Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 3ème image : il faut prendre la moitié de la marque ! ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, 1ère image : le personnage est " - - - - - " ... c'est sa position !
4ème ligne, 1ère image : après le tétée le bébé fait son " - - - " ! 2ème image : le serpent fait toujours '"s" ! 3ème image et en direct : "ti" ! Dernière image: l'assassin " - - - " au présent !
6ème ligne, 1ère image : c'est du sélectif ! 4ème image : son nez s'allonge quand il " - - - - " ! 8ème ligne, 3ème image : la colombe est le signe de la " - - - - " !
10ème ligne, dernière image : il ne faut pas prendre le grand !
11ème ligne, c'est le volume qu'il faut prendre !
Dernière ligne, 2ème image : petite étendue d'eau ! Dernière image : lieu où sont entreposés des fûts !
Et pis c'est tout !
Réponse :
La pénalisation des clients des prostituées mettra triplement les bourses à plat et pénalisera aussi cette petite économie de marché !
Qu'il dit l'animal !
Jean-Jacques Goldman : " Pas toi " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Jean-Jacques Goldman »
« Pas toi »
Je l’aime beaucoup celle-ci … pas toi ?
Pas Toi
Graver l'écorce
Jusqu'à saigner
Clouer les portes
S'emprisonner
Vivre des songes
A trop veiller
Prier des ombres
Et tant marcher
J'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Mais sans amour
Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément
J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi
Y'a pas de haine
Y'a pas de roi
Ni Dieu, ni chaîne
Qu'on ne combat
Mais que faut-il
Quelle puissance ?
Quelle arme brise
L'indifférence ?
Oh, c'est pas juste
C'est mal écrit
Comme une injure
Plus qu'un mépris
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi...
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction !
Le poème du jour : " Le heurtoir, " de ... Pierre
Elle attendait
… elle était là
… suspendue au bon vouloir
… au bon vouloir
d’un simple heurtoir … bleu…
Photo de Marie
Elle était là … juste derrière !
Phalanges de craie,
elle attendait.
Elle attendait,
redoutant l’ultime marche arrière,
… non croyante … elle priait !
L’épreuve était douloureuse :
allait-il venir ou pas ?
Elle n’était plus qu’une amoureuse
qui avait jeté sur ses ans l’omerta.
A peine quelques cheveux blancs
et une allure fière.
Une existence sans vraiment de cadeaux,
un âge où la vie peut encore se refaire,
après … rideau !
Pas de judas au travers de la porte :
tout dépendait du heurtoir !
Allait-il rester sonorité morte
ou bien retentir comme battoir ?
Elle s’était promise une chose :
ne pas entrebâiller l’huis !
Attendre, attendre jusqu’à l’overdose
… attendre que ce soit lui !
Elle était là, presque dans le noir,
phalanges de craie,
elle attendait.
Elle attendait
… se demandant si son cœur tiendrait
au tout premier coup de heurtoir.
Elle était là
… suspendue au bon vouloir
au bon vouloir d’un simple heurtoir … bleu,
bleu comme le pâle azur de ses yeux.
Pierre Dupuis
Elle attendait
… elle était là
… suspendue au bon vouloir
… au bon vouloir
d’un simple heurtoir … bleu…
Photo de Marie
Elle était là … juste derrière !
Phalanges de craie,
elle attendait.
Elle attendait,
redoutant l’ultime marche arrière,
… non croyante … elle priait !
L’épreuve était douloureuse :
allait-il venir ou pas ?
Elle n’était plus qu’une amoureuse
qui avait jeté sur ses ans l’omerta.
A peine quelques cheveux blancs
et une allure fière.
Une existence sans vraiment de cadeaux,
un âge où la vie peut encore se refaire,
après … rideau !
Pas de judas au travers de la porte :
tout dépendait du heurtoir !
Allait-il rester sonorité morte
ou bien retentir comme battoir ?
Elle s’était promise une chose :
ne pas entrebâiller l’huis !
Attendre, attendre jusqu’à l’overdose
… attendre que ce soit lui !
Elle était là, presque dans le noir,
phalanges de craie,
elle attendait.
Elle attendait
… se demandant si son cœur tiendrait
au tout premier coup de heurtoir.
Elle était là
… suspendue au bon vouloir
au bon vouloir d’un simple heurtoir … bleu,
bleu comme le pâle azur de ses yeux.
Pierre Dupuis
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image : c'est le cri de la bête qu'il faut prendre ! 3ème image : le serpent fait "s" ou "se" selon son humeur ! Dernière image : tout le monde en connait des grosses ( il faut enchaîner avec la suite et ce n'est pas très évident ! )
4ème ligne, 2ème image : le petit de la vache !
5ème ligne, 3ème image : Eros est le dieu de l' " - - - - - " !
6ème ligne, 1ère image : il va venir ! 4ème image : le mec est balèze, donc très " - - - - " !
Dernière ligne, 1ère image : quand elle est petite, la sale bête est lente !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Je me suis laissé dire que la bière favorite des amoureux était la Pelforth ? Ça roule pour vous ?
Qu'il dit l'animal !
" Barbara " de Jacques Prévert, chanté par Yves Montant : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Barbara
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest ce jour-là
Et tu marchais souriante
Épanouie ravie ruisselante
Sous la pluie
Rappelle-toi Barbara
Il pleuvait sans cesse sur Brest
Et je t'ai croisée rue de Siam
Tu souriais
Et moi je souriais de même
Rappelle-toi Barbara
Toi que je ne connaissais pas
Toi qui ne me connaissais pas
Rappelle-toi
Rappelle-toi quand même ce jour-là
N'oublie pas
Un homme sous un porche s'abritait
Et il a crié ton nom
Barbara
Et tu as couru vers lui sous la pluie
Ruisselante ravie épanouie
Et tu t'es jetée dans ses bras
Rappelle-toi cela Barbara
Et ne m'en veux pas si je te tutoie
Je dis tu à tous ceux que j'aime
Même si je ne les ai vus qu'une seule fois
Je dis tu à tous ceux qui s'aiment
Même si je ne les connais pas
Rappelle-toi Barbara
N'oublie pas
Cette pluie sur la mer
Sur ton visage heureux
Sur cette ville heureuse
Cette pluie sur la mer
Sur l'arsenal
Sur le bateau d'Ouessant
Oh Barbara
Quelle connerie la guerre
Qu'es-tu devenue maintenant
Sous cette pluie de fer
De feu d'acier de sang
Et celui qui te serrait dans ses bras
Amoureusement
Est-il mort disparu ou bien encore vivant
Oh Barbara
Il pleut sans cesse sur Brest
Comme il pleuvait avant
Mais ce n'est plus pareil et tout est abîmé
C'est une pluie de deuil terrible et désolée
Ce n'est même plus l'orage
De fer d'acier de sang
Tout simplement des nuages
Qui crèvent comme des chiens
Des chiens qui disparaissent
Au fil de l'eau sur Brest
Et vont pourrir au loin
Au loin très loin de Brest
Dont il ne reste rien
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
... Je vous chouette une bonne distraction !
Et ... je tire mon chapeau à Annick ! Annick
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Le poème du jour: " Les rêves et le temps " de ... Pierre
Image du net
Peut-être est-ce trop demander …
Les rêves et le temps,
J’avais en ces temps-là des rêves à revendre
mais je n’en vendais pas, je les gardais pour moi,
quand on a dix-sept ans on se prend pour le roi,
on les met de coté pour pouvoir les reprendre.
On se dit « j’ai le temps ! » mais on s’aperçoit vite
que l’ennemi avance avec célérité,
on a du mal à croire en cette vérité
mais l’animal est là, personne ne l’évite !
Il boulotte les ans avec grande appétence,
il ne faiblit jamais, il y met de l’ardeur,
à croire que l’on est dans son collimateur
et qu’il s’en prend à nous avec trop d’insistance !
On se restreint alors aux rêves raisonnables,
la liste se réduit comme peau de chagrin
et l’on résume tout en cinq ou six quatrains
en espérant ne pas paraître trop minable !
Quand le temps a fini son grand travail de sape,
quand on est à deux doigts de fermer son pébroc,
si l’on fixe la mort sans faire dans son froc
on aura évité l’ultime chausse-trappe !
Tout le monde bien sûr voit midi à sa porte,
je vous ouvre la mienne et ne demande rien
sauf de me souhaiter de réussir ma fin,
de voir mon dernier rêve exaucé de la sorte.
Je ne force personne à suivre mes idées,
ni même d’approuver ma façon de penser
mais le moment venu de bien les respecter
car elles sont pour moi solidement fondées.
A tous ceux qui viendront pour l’ultime visite
je demande instamment de respecter cela,
qu’ils laissent au couloir les pleurs et les blabla,
C’est ce que je souhaite et que je sollicite.
Je sais bien que cela ne sera pas facile
et bon nombre de gens ne comprendront pas tout,
c’est un dernier cadeau qui pour moi vaut le coup
alors faites-le-moi sans être trop fébrile !
Image du net
Peut-être est-ce trop demander …
Les rêves et le temps,
J’avais en ces temps-là des rêves à revendre
mais je n’en vendais pas, je les gardais pour moi,
quand on a dix-sept ans on se prend pour le roi,
on les met de coté pour pouvoir les reprendre.
On se dit « j’ai le temps ! » mais on s’aperçoit vite
que l’ennemi avance avec célérité,
on a du mal à croire en cette vérité
mais l’animal est là, personne ne l’évite !
Il boulotte les ans avec grande appétence,
il ne faiblit jamais, il y met de l’ardeur,
à croire que l’on est dans son collimateur
et qu’il s’en prend à nous avec trop d’insistance !
On se restreint alors aux rêves raisonnables,
la liste se réduit comme peau de chagrin
et l’on résume tout en cinq ou six quatrains
en espérant ne pas paraître trop minable !
Quand le temps a fini son grand travail de sape,
quand on est à deux doigts de fermer son pébroc,
si l’on fixe la mort sans faire dans son froc
on aura évité l’ultime chausse-trappe !
Tout le monde bien sûr voit midi à sa porte,
je vous ouvre la mienne et ne demande rien
sauf de me souhaiter de réussir ma fin,
de voir mon dernier rêve exaucé de la sorte.
Je ne force personne à suivre mes idées,
ni même d’approuver ma façon de penser
mais le moment venu de bien les respecter
car elles sont pour moi solidement fondées.
A tous ceux qui viendront pour l’ultime visite
je demande instamment de respecter cela,
qu’ils laissent au couloir les pleurs et les blabla,
C’est ce que je souhaite et que je sollicite.
Je sais bien que cela ne sera pas facile
et bon nombre de gens ne comprendront pas tout,
c’est un dernier cadeau qui pour moi vaut le coup
alors faites-le-moi sans être trop fébrile !