Busiris : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Busiris
Après avoir cueilli les pommes d'or du jardin des Hespérides désespérément, Héraclès ne revint pas directement à Mycènes dans l’Yonne. Il traversa d'abord la Libye où Kadafi n’était pas encore arrivé. Là, le roi Antée Clérical obligeait tous ceux qui s'aventuraient dans ses domaines, dont le Château Lafite, à lutter contre lui et à payer de leur vie une défaite certaine.
Héraclès se rendit ensuite à l'Oracle d'Ammon avec Marcel en criant Oracle ô désespoir ô vieillesse de ma mie, puis se dirigea vers le sud et fonda une ville aux cent portes, donc au moins aux deux cent gonds (ce qui faisait une jolie bande de gonds) appelée Thèbes en l'honneur de son lieu de naissance; mais, d'après certains, Osiris sans bulbe avait déjà fondé cette ville. En ce temps-là, le roi d'Egypte était le frère d'Antée, dit Luvien, Busiris, fils de Poséidon par Lysianassa Nitaire, fille d'Epaphos septique.
Or, le royaume de Busiris avait connu la sécheresse et la famine à cause des conneries de la fourmi pendant huit ou neuf ans et il avait envoyé chercher des augures grecs dont Zorba et son copain Anthony Quinn et aussi Mélina Mercouri, pour avoir un avis. Son neveu, un devin de messe chypriote très patriote et très instruit nommé Phrasios, fils de Pygmalion, annonça que la famine ne cesserait chez sa voisine que si, chaque année, un étranger était sacrifié en l'honneur de Zeus et si Bayrou faisait plus de 17,69 % aux prochaines présidentielles, ce qui n’était pas gagné d’avance.
Busiris commença par sacrifier Phrasios lui-même et ensuite sacrifia les hôtes que le hasard lui envoyait jusqu'au jour où arriva Héraclès qui laissa les prêtres l'amener jusqu'à l'autel de passe,un Carlton, où DSK n’étant même pas là, les filles s’emmerdaient à tout va. Ils entourèrent ses cheveux d'un bandeau vers le bas et Busiris, invoquant les dieux, Zorba, Dalida, Mélina Mercouri et le bon vieux Georges Papandréou au bout d’une corde, s'apprêtait à lever la hache de guerre du sacrifice quand Héraclès, brisant ses chaînes, dont la 2, la 3 et Arté, tua Busiris, Amphidamas, tenu par Bachar Al-Assad, fils de Busiris, et tous les prêtres qui assistaient à la cérémonie : un beau carnage qui se répète encore en Syrie.
Voila ce que vous deviez savoir sur Busiris, à l’œil en plus, puisque je vous en fais cadeau avec en prime, un battement de paupière du beau Pierre, mon complice sérieux.
Moi, beaucoup moins réservé, je vous fais un clin d’œil ... toujours à l’œil !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C’est un slogan très écologique !
1ère ligne, 1ère image: il parait que le bonheur s'y situe !
4ème ligne, 1ère image : la peinture, la musique, l'écriture en font partie ! … 2ème image: en direct: le gars à froid, il fait donc "brrr" !
5ème ligne, 4ème image : le mec est balèze, donc très "- - - - " !
7ème et dernière ligne, 1ère image : lieu où l'on envoie les véhicules hors d'usage ! ... 2ème image : à 3H 52 , il est vraiment "- - -" pour se lever !
Réponse :
Préservons la planète, sauvons des arbres, sauvons des forêts : bouffons du castor !
Qu'il dit l'animal !
l
Un hommage au grand Georges pour les 30 ans de sa disparition : "Hécatombe" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
… 30 ans aujourd’hui qu’il a disparu ! …
Hécatombe:
Au marché de Briv'-la-Gaillarde
A propos de bottes d'oignons
Quelques douzaines de gaillardes
Se crêpaient un jour le chignon
A pied, à cheval, en voiture
Les gendarmes mal inspirés
Vinrent pour tenter l'aventure
D'interrompre l'échauffourée
Or, sous tous les cieux sans vergogne
C'est un usag' bien établi
Dès qu'il s'agit d'rosser les cognes
Tout le monde se réconcilie
Ces furies perdant tout' mesure
Se ruèrent sur les guignols
Et donnèrent je vous l'assure
Un spectacle assez croquignol
En voyant ces braves pandores
Etre à deux doigts de succomber
Moi, j'bichais car je les adore
Sous la forme de macchabées
De la mansarde où je réside
J'exitais les farouches bras
Des mégères gendarmicides
En criant: "Hip, hip, hip, hourra!"
Frénétiqu' l'un' d'elles attache
Le vieux maréchal des logis
Et lui fait crier: "Mort aux vaches,
Mort aux lois, vive l'anarchie!"
Une autre fourre avec rudesse
Le crâne d'un de ses lourdauds
Entre ses gigantesques fesses
Qu'elle serre comme un étau
La plus grasse de ses femelles
Ouvrant son corsage dilaté
Matraque à grand coup de mamelles
Ceux qui passent à sa portée
Ils tombent, tombent, tombent, tombent
Et s'lon les avis compétents
Il paraît que cette hécatombe
Fut la plus bell' de tous les temps
Jugeant enfin que leurs victimes
Avaient eu leur content de gnons
Ces furies comme outrage ultime
En retournant à leurs oignons
Ces furies à peine si j'ose
Le dire tellement c'est bas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas
Leur auraient mêm' coupé les choses
Par bonheur ils n'en avait pas
Le couplet bonus du Rotpier
que vous pouvez chanter sur le même air :
Je me permets une remarque
A votre intention braves gens
Que si de nos jours débarquent
Des couplets aussi dérangeants
Je fais le pari que les cognes
Ne laisseraient pas passer ça
Et qu’ils porteraient les charognes
Plainte au tribunal et fissa
Et qu’ils porteraient les charognes
Plainte au tribunal et fissa
Et
Et gare aux grilles !
Bon partage !
Rotpier
" Mon ami le lavoir, " : un poème de ... Pierre !
Préambule :
Il ne s’agit là que d’une simple fiction, mais … si cela n’a pas été, cela aurait pu être !
Le grand privilège des poètes est de pouvoir relater des choses extraordinaires sans que l’on ne les prenne totalement pour des fous … du moins, le croient-ils !
Pierre Dupuis
Image du net
Mon ami le lavoir,
C’est un très vieux lavoir dont les poutres fendues
ont traversé le temps et les générations,
malgré le poids des ans, même les plus tordues
se portent vaillamment sans trop d’altération.
Les tuiles de son toit ont abrité des foules
de femmes aux battoirs agiles et bruyants,
caquetant aussi fort qu’un escadron de poules
pour échanger des faits sérieux ou croustillants !
Elles arrivaient tôt pour faire les lessives,
brouettes et paniers remplis jusqu’à ras bords,
des jeunes chantonnant ou des vieilles poussives
s’attelaient au travail, toujours à bras le corps !
Pour oublier le mal, pour tromper la fatigue
- des heures à genoux dans des boites de bois ! -
elles se racontaient jusqu’aux moindres intrigues :
tout le monde y passait, des pauvres aux bourgeois !
En a-t-il entendu des histoires coquines !
Des récits avérés ou d’autres inventés,
comme le jeune abbé et la grande rouquine
dont les rapports étaient plutôt mouvementés !
Le notaire assiégeant la gironde soubrette,
qui avait tout tenté avant d’être éconduit
et Jean, le jardinier, dont la large brouette
servait gaillardement de lit certaines nuits !
Le calme revenait vers la fin de journée
et tous les animaux reprenaient possession
du lieu qu’ils fréquentaient tout au long de l’année,
obligés d’accepter la cohabitation !
Les oiseaux s’abritaient aux creux de la charpente,
les rongeurs grignotaient les miettes des repas,
les poissons revenaient sauter dans l’eau courante :
c’est le monde animal qui reprenait le pas !
Le lavoir accueillait avec plaisir ces hôtes,
des bruissements, des chants et quelques ronds dans l’eau
ne venait pas troubler, au point qu’il en sursaute,
une sérénité à coucher sur tableau !
Pourtant, certaines fois, il n’était pas tranquille,
la nuit favorisant quelque autres visiteurs,
certains très attachants, d’autres bien plus hostiles,
des gentils, des méchants plus ou moins prédateurs !
Il partageait parfois des instants romantiques :
les serments les plus fous des jeunes amoureux,
éclairés par la lune aux reflets chromatiques,
des serments qui duraient longtemps ou bien très peu !
Combien de vagabonds ou de traîne-savates
avait-il abrité certaines nuits d’hiver ?
Il avait vu un jour un ancien acrobate
s’asseoir au bord de l’eau pour déclamer des vers !
Pendant une période, il y a bien des lustres,
vers le coup de minuit un groupe de brigands
s’y rassemblait souvent et cette bande illustre
venait y préparer de sombres guet-apens !
Sous la révolution - je parle de la grande ! -
son partage avait fait l’objet de changements :
fini le bon vouloir du seigneur qui commande,
chacun avait son tour plus équitablement !
Il avait la mesure aussi du temps des guerres
par la diminution des habits masculins,
gilets et pantalons, il n’en voyait plus guère :
les hommes sur le front n’étaient plus aux moulins.
J’ai la chance d’avoir obtenu sa confiance
en venant tous les jours discuter avec lui,
il ne voit plus grand monde et c’est l’insignifiance
qui s’installe aujourd’hui, comme pour le vieux puits.
Ils ont régné naguère, étant incontournables,
on venait de fort loin pour se fournir en eau ;
quant aux mères Denis - profils incomparables ! -
le lavoir résonnait au son de leurs sabots !
Heureusement pour eux certains ont pris conscience
que c’était un devoir de les garder debout,
en nos modernes temps où s’étale la science,
un coup d’œil au passé n’est pas mauvais du tout !
Epilogue :
Tu le vois mon ami, j’ai tenu ma promesse,
j’ai couché sur papier certains de tes récits,
j’ai restreint fortement les histoires de fesses :
deux strophes seulement … j’ai beaucoup rétréci !
Tu as - je le sais bien ! - des tableaux en réserve,
c’est pourquoi je viendrais encore auprès de toi
et dans un siècle ou deux - je connais bien ta verve ! -
à quelqu’un d’inconnu … tu parleras de moi !
Pierre Dupuis
Placement financier : investisez dans un produit sûr ! ... les conseils du grand journaliste financier Rotpier
La bourse, c’est trop risqué, l’assurance vie n’a plus la cote, le livret A rapporte des clopinettes, que faire de l’argent que vous avez accumulé en masse ?
Ne soyez pas moroses, investissez dans l’innovation industrielle mais pas dans n’importe qu’elle branche !
J’ai sélectionné pour vous la meilleure affaire du moment !
(Montage sans filet du Rotpier)
Inventeur recherche capitaux ou investisseurs indépendants pour exploiter une idée simple (brevet déposé) : le recyclage du caoutchouc des vieux pneus pour en faire des préservatifs.
Le procédé est déjà fonctionnel au niveau du recyclage.
Il reste deux mises au point à faire sur le produit final :
a) Ça « couine » encore un peu dans les virages et en vitesse excessive, mais certains aimant cela, il est envisagé de garder, en option, le produit tel qu’il est pour les virtuoses du bigoudi.
b) Le freinage reste quasi impossible à cause de l’humidité ambiante, ce qui n’est pas un problème en soi … le produit faisant fonction, à lui seul, d’airbag ! Les sculptures longitudinales ont bien été testées, mais cela ne donnait pratiquement rien (sauf une tenue de biroute plus rectiligne). Quant aux sculptures transversales, les expériences ont été arrêtées après trois explosions : ça fait joint de pompe et ça les éclate, les femmes, pas les préservatifs ! Ces derniers ont été testés comme pratiquement increvables par des laboratoires indépendants)
En ce qui concerne la couleur du produit, noire, une étude de marché prouve que les femmes adorent : cela les dépayse et les excite ! Pour l’exportation vers les pays africains la couleur blanche est envisagée.
Un dérivé du produit (breveté, lui aussi) est promis à un marché très prometteur : on laisse les armatures des vieux pneus en place lors du broyage (ce qui diminue encore le prix de revient !) et l’on obtient des préservatifs semi-rigides destinés aux 60 – 80 ans. Quand on connaît le pouvoir d’achat de cette tranche d’âge, il est pratiquement sûr que la courbe des ventes sera orientée à la hausse !
Si vous croyez, comme moi, ce marché très porteur et que vous disposez de capitaux conséquents, vous pouvez contacter l’inventeur au N° de téléphone suivant : 08 69 69 69 69. Je m’engage à répondre à toutes les propositions, pourvu qu’elles soient honnêtes.
Le projet est appuyé et soutenu par les verts.
José Bové a expérimenté le produit avec Eva Joly : tout s’est bien passé et ils en sont très satisfaits ! Nous leur en avons offert quelles boites (ils les avaient exigés de couleur verte, ce qui a été fait et nous pouvons en produire des rouges, pour Mélanchon par exemple, ou des bleus blancs rouges pour les équipes de France tous sports confondus.)
Nous sommes à la recherche d’un slogan pour promouvoir le produit. Toutes les idées seront les bienvenues ! Les meilleures seront récompensées par des boites de 24 de couleurs variées.
Nous avons déjà les propositions suivantes :
« La capote écolo c’est la capote qu’il vous faut ! »
« La capote recyclée c’est le pied assuré ! »
« Un pneu usé, 100 couples protégés ! »
« Roule mon pote, c’est de la bonne capote ! »
« 4 pneu recyclés, c’est un hévéa sauvé ! »
« Je roule en Michelin, je garde du Michelin pour les câlins ! »
« Avec une capote recyclée, plus de risque de déjanter ! »
Ce billet a été … recyclé !
Le Rotpier
" La main " ... un poème cauchemard de ... Pierre
C’était il y a très longtemps
… 15 ans … peut-être un peu plus ?
C’était un rêve
… un mauvais rêve
… un cauchemar
… une ombre au tableau
… une ombre au tableau noir
… un trou
… un trou profond
Image du net modifiée
La main,
Comme enfin je soufflais - bonheur compréhensible -
Assis sur une table enduite de couleurs,
Récupérant un peu d’une classe impossible,
Je vis le tableau noir partager ma douleur !
La craie courrait sans fin, par une main guidée,
Une main je vous dis ! Toute seule ! Sans bras !
D’une pâleur extrême, assurément vidée
Du sang dont une goutte échappait vers le bas.
S’égrainait sous mes yeux et très bizarrement
Je comprenais le sens des phrases contenues
Dans ce message étrange écrit si clairement.
Je m’en vais essayer de vous donner lecture
- Pas du message écrit : il n’était que pour moi ! -
De ce qui se passa, c’est vrai, je vous le jure !
Et je saurais comprendre ensuite votre émoi !
La main, d’autorité, me pris alors en charge
en pointant son index sur un ordinateur
Qui afficha de suite en écran extra large
Une image incroyable : un plan fascinateur !
Je reconnus, malgré la façade noircie,
Le profil évident du Lycée Aragon
Qui avait dû subir un très grave incendie,
une porte battait, pendant à un seul gond.
Un bruit de fond montait et je vis une bande
Déboucher en hurlant de derrière un muret,
Des propos venimeux rythmaient la sarabande :
« A mort ces cons de profs, il faut les capturer ! »
On pouvait reconnaître en tête de la horde,
Les clones de certains du fond de nos paniers
Qui nous posent problème en refusant tout ordre :
Ils étaient à coup sûr les fils de ces derniers !
Et d’un bûcher fumant, les pages calcinées
Des livres déchirés s’envolaient dans le soir,
Un vent ascensionnel, volutes déchaînées,
Entraînait vers le ciel ce vol de corbeaux noirs.
La main vint à placer, je ne vis pas de suite,
Son index tremblant à un endroit précis :
Tout en bas du brasier, une forme réduite
Agitait sous le feu cinq doigts tout rétrécis.
La main comme une folle agita ses phalanges,
Son cri désespéré me vrilla les tympans
Et je la vis pleurer, libérant un mélange
Composé pour moitié, de larmes et de sang !
Je la pris dans mes mains, ce ne fut pas facile,
De calmer sa douleur, d’éteindre ses sanglots :
La peur de formuler des propos imbéciles,
Quoi dire à une main qui hante les tableaux ?
A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur.
Elle avait, il est sûr, renoncer à surseoir
L’annonce du futur : l’annonce des décombres.
En me serrant la main, elle me dit bonsoir.
Le tableau s’effaça, supprimant le message.
L’ordinateur se tut, son écran devint noir.
Un tourbillon me prit : j’étais sur son passage
et je fus avalé par un grand entonnoir.
Pierre Dupuis
Prométhée : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Prométhée
Prométhée Moitou, le créateur de la race humaine, que certains considèrent comme faisant partie des sept Titans était le fils de Japet qui remuait toujours la queue (ou du Titan Eurymédon) et de la Nymphe Clyméné aux petits nénés; ses frères étaient Epiméthée leur une branlée, Atlas et Ménoetios.
Prométhée, qui était plus avisé qu'Atlas, avait prévu l'issue de la révolte contre Cronos (celui des 24H) et, par conséquent, préféra combattre aux côtés de Zeus; il persuada Epiméthée donc une tournée, de faire de même. Il était, à la vérité, le plus avisé de sa race, et Athéna, à la naissance de laquelle il avait assisté lorsqu'elle avait jailli de la tête de Zeus, lui enseigna l'architecture, l'astronomie, les mathématiques, la bombe atomique, la bombe anatomique, la motte à Monique dans la main de Dominique, la nique, la nique nique, la navigation, la médecine, les mes deux seins, la métallurgie, la métamain où j’ pense et bien d'autres arts utiles dont les artichauts qu'il communiqua aux hommes.
Mais Zeus, qui avait décidé d'exterminer totalement la race des hommes, et qui ne l'avait épargnée que sur l'intervention expresse de café et de Prométhée, s'irrita de leurs talents divers et aussi de voir leurs pouvoirs s'accroître sans cesse.
Un jour, une querelle éclata à Sycione et ce fut la sission au sujet d'un taureau offert en sacrifice: personne n'était d'accord sur les morceaux qui devaient être consacrés aux dieux et ceux qui revenaient aux hommes.
Prométhée, appelé pour être l'arbitre du conflit, dépeça et découpa un taureau et avec la peau il fit deux sacs qu'il remplit de ce qu'il avait découpé. Le premier sac contenait toute la chair, mais il la dissimula sous l'estomac, qui est la partie la moins appétissante de l'animal, le second contenait les os cachés sous une onctueuse couche de graisse blanche. Lorsqu'il demanda à Zeus de choisir celui-ci, facilement trompé, choisit le sac contenant les os et la graisse qui fut désormais la part réservée aux dieux : une sorte de conflit de foi de canaille. Mais Zeus punit Prométhée en retirant le feu aux hommes et l’intelligence aux femmes, ce qui, pour ces dernières, ne pu jamais être réparé et dure encore.
Prométhée se rendit aussitôt chez Athéna et la pria de le faire entrer secrètement dans l'Olympe ya, ce qu'elle lui accorda. Aussitôt qu'il y fut parvenu, il alluma une torche au char de feu du Soleil et il en détacha un morceau de braise incandescente qu'il glissa dans la tige creuse d'un fenouil géant. Puis, éteignant sa torche et allumant un cigare, il s'enfuit sans être aperçu et donna le feu aux hommes. Zeus jura de se venger. Il donna l'ordre à Héphaïstos de fabriquer une femme en argile, aux quatre Vents d'insuffler la vie en elle, à toutes les déesses de l'Olympe de la parer.
Pandore: image du net
Cette femme, Pandore et non Pandargent, la plus belle qui fût jamais créée, Zeus l'envoya en présent à Epiméthée, sous la conduite d'Hermès. Mais Epiméthée, qui avait été prévenu par son frère de n'accepter aucun cadeau venant de Zeus, s'excusa respectueusement et refusa son présent. De plus en plus irrité, Zeus fit enchaîner Prométhée, nu, à une colonne dans les montagnes du Caucase où règnait le féroce Poutine et où un vautour vorace lui dévorait le foie toute la journée. Et il n'y avait pas de terme à sa souffrance, car toutes les nuits son foie se reconstituait. Mais Zeus pour s'excuser de sa cruauté, fit circuler une histoire qu'il avait inventée: Athéna, racontait-il, avait fait venir Prométhée dans l'Olympe à cause d'une secrète aventure amoureuse. avec une nommée Carla dans un palais dont je ne me souviens plus du nom, mom de nom !
Epiméthée, très ému du sort de son frère, s'empressa d'épouser Pandore, que Zeus avait faite aussi sotte, aussi méchante et aussi paresseuse qu'il l'avait faite belle. Elle était à l’image de Brigitte Bardot dont la mère avait fauté avec un âne. Peu après, elle ouvrit une jarre, avec l’aide de Jean-Michel, que Prométhée avait recommandé à son frère de tenir close dans une maison et dans laquelle il avait eu le plus grand mal à enfermer tous les maux capables d'affliger le genre humain: notamment la vieillesse, le travail, le Sarkosisme, la grippe aviaire, la maladie, la folie, la vérole, la main de ma sœur, la main du masseur dans la culotte de ma sœur, le vice et la passion. Tous les maux se répandirent au-dehors en une immense nuée et piquèrent Epiméthée donc une troisième tournée et Pandore sur toutes les parties du corps puis s'attaquèrent aux mortels dans divers motels et autres lieux de passe et j’en passe. Cependant la trompeuse Espérance, que Prométhée avait aussi enfermée dans la jarre, les dissuada, par ses mensonges, d'un suicide général de gaule. Un jour, Héraclès atteignit les montagnes du Caucase, surveillé par Poutine en bottine et où Prométhée avait été enchaîné tandis qu'un griffon-vautour, né de Thyphon et d' Echidna, lui arrachait le foie et la tête alouette alouette.
Zeus s'était repenti de lui avoir infligé ce châtiment, car Prométhée l'avait, depuis, averti amicalement de ne pas épouser Thétis, de crainte qu'elle n'engendre quelqu'un qui serait plus puissant que lui, et, à présent qu'Héraclès intercédait pour le pardon de Prométhée, Zeus l'accorda. Cependant, comme il l'avait un jour condamné à un châtiment éternel, Zeus stipula que pour donner l'impression d'être toujours prisonnier, il devrait porter une bague faite du métal de ses chaînes et sertie d'une pierre du Caucase, et ce fut la première bague sertie d'une pierre et non d’un Rotpier.
Mais les souffrances de Prométhée devaient durer jusqu'au jour où un immortel descendrait de son plein gré au Tartare et fines herbes dans la valleé du Boursin à sa place; aussi Héraclès rappela-t-il à Zeus qu'il tardait à Chiron et non carré de se libérer de son don d'immortalité depuis qu'il souffrait d'une blessure incurable de lapin.
Ainsi n'y avait-il plus d'obstacle et Héraclès, invoquant Apollon abattit le griffon vautour d'une flèche au cœur et délivra Prométhée. Ce dernier, tellement heureux, se mit à entonner successivement : « Les filles de Camaret », « La petite Huguette » et « Ça bouge dans la braguette de DSK » . C’est cette dernière chanson que fredonne souvent Christine Lagarde quand elle est seule et qu’elle s’ennuie dans l’ancien bureau de DSK en regardant toutes les taches sur la vieille moquette que les services du FMI ont négligé de changer. D’où l’expression qui reste attachée à ce genre de chanson : « ce sont des chansons de corps de Lagarde » ……. enfin, je crois, mais n’en suis par certain à 100%.
Voici, voila ce que vous deviez savoir sur Prométhée et promettez-moi de bien suivre et de bien réviser par la suite : il y va de votre réputation et de la mienne !
Quand vous aurez terminé, promettez-moi d’ouvrir votre fenêtre et t’entonner « la petite Huguette » ou « les filles de Camaret » je vous laisse le choix !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus au poil et de brûlante actualité !
2ème ligne, 1ème image : C'est un ordre pour le petit personnage ! ... Dernière image: en direct "bi" !
3ème ligne, 1ère image : "- - -" est ce personnage ! ... 2ème image : c'est le petit et non la mère ! ... Dernière image : pour tromper les poissons carnasiers !
4ème ligne, 1ère image endroit ou se tient des marchés couverts ! ... 5ème ligne, 3ème image : ce n'est pas le dur qu'il faut prendre !
PS: Pour ma part: je ne crois pas trop aux miracles !
Réponse :
Coq contre wallaby qui volera le plus : les plumes ou les poils ?
PS : Un fin spécialiste, que je remercie, m’a signalé que le surnom des All Blacks était les Kiwis (oiseau) ! Donc, de chaque coté, ce sont donc des plumes qui ont volé et le match a été splendide !
Vive le kiwi, vive le coq ! A bas le Rotpier qui s’est gouré !!!
Mais bon, un rébus c’est un rébus, donc … vive le Rotpier !
Et pis c’est tout, non mais ! Si l’on ne s’encense pas soit même cela n’a pas de sens et au prix où sont les sens … !!!
Qu'il dit l'animal !
l