Bonne année 2013 ! ... De la part de Pierre et de son complice Rotpier !
A tous :
Image du net de Cyril Almeras
http://www.cyrilalmeras.com/cartes-gratuites/cartes-de-voeux-gratuites-bonne-annee.html
Vive l’an 2013 !
Deux mille douze s’en allant,
filant à minuit à l’anglaise,
ne restons pas les bras ballants
et fêtons l’an deux mille treize !
Oublions les soucis latents
- classons-les dans les hypothèses ! -
si on se les prend dans les dents,
bien sûr nous serons moins à l’aise !
En attendant, en attendant,
ménageons une parenthèse :
réunissons groupes et clans
… très bonne année deux mille treize !
Pierre et son complice Rotpier
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Un peu de philosophie ne peut qu'adoucir le monde de brutes où nous vivons !
Réponse :
Celui qui considère la poésie comme une niaiserie a totalement coupé les ponts avec ses rêves d’enfant et je le plains !
Michel Berger : "Chanter pour ceux" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Nota: Je l'ai déjà mise au moins deux fois,
mais quand on aime ... on ne compte plus !
A regarder les étoiles
En pensant qu´au bout du monde
Y a quelqu´un qui pense à lui
Et cette petite fille qui joue
Qui ne veut plus jamais sourire
Et qui voit son père partout
Qui s´est construit un empire
Où qu´ils aillent
Ils sont tristes à la fête
Où qu´ils aillent
Ils sont seuls dans leur tête
{Refrain:}
Je veux chanter pour ceux
Qui sont loin de chez eux
Et qui ont dans leurs yeux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal
Je veux chanter pour ceux
Qu´on oublie peu à peu
Et qui gardent au fond d´eux
Quelque chose qui fait mal
Qui fait mal
Qui a volé leur histoire?
Qui a volé leur mémoire?
Qui a piétiné leur vie
Comme on marche sur un miroir?
Celui-là voudra des bombes
Celui-là comptera les jours
En alignant des bâtons
Comme les barreaux d´une prison
Où qu´ils aillent
Ils sont tristes à la fête
Où qu´ils aillent
Ils sont seuls dans leur tête
{au Refrain}
Quand je pense à eux
Ça fait mal ça fait mal
Quand je pense à eux
Ça fait mal ça fait mal
Bon partage !
Rotpier
"La bonne samaritaine," : un double sonnet de ... Rotpier !
C’est l’époque des cadeaux
et comme je ne sais pas mesquin,
je vous offre un double sonnet tout frais !
Image du net bidouillée par le Rotpier !
Doublement sonnet le Rotpier !
La bonne samaritaine,
Elle avait un petit triangle
qui tenait bien chaud à la main,
Elle avait un petit triangle
qu’elle monnayait en sous-main !
J’en connais qui tirait la langue
au sein même de ses copains :
tout à l’opposé d’être exsangues
ils viraient au rouge carmin !
Elle en bonne samaritaine
avec une bonté certaine
offrait quelques tours de bonheur
à ceux qui n’avait pas de braise
en disant pour les mettre à l’aise :
« Prends, c’est gratis et de bon cœur ! »
xxxxxxxxxx
Elle avait un petit triangle
et aussi le cœur sur la main,
elle avait un petit triangle
qui ne chômait pas c’est certain !
C’est plus pratique qu’un rectangle
pour indiquer le bon chemin,
pas besoin de donner sa langue
au chat … sauf si on le veut bien !
Avant que cela ne m’entraîne
sur un chemin scabreux je freine :
il me reste un peu de pudeur !
Certains vont s’écrier : « Foutaises !
Il connaît les rimes en « aise » ! »
… Peut-être mais … j’ai mon honneur !
Rotpier
"La petite" : un poème de ... Pierre
Pas encore tout à fait vous,
pas encore tout à fait moi
mais ... ça viendra !
Un poème très ancien, déja publié, que j'aime beaucoup ...
Image du net modifiée par moi-même
La petite,
La petite ne courait pas
- ne courait pas vous dis-je ! -
elle dansait ! Elle volait !
Cabri fantastique
comme mu par d’invisibles élastiques !
Pour toile de fond,
les couleurs de l’automne.
Et le vieux était là qui s’émerveillait
- un vieux, encore, parfois s’étonne ! -
Il ne pouvait plus détacher
ses yeux de la scène :
il était subjugué !
La fraîche vigueur de la petite
le laissait songeur.
Sa mémoire,
souvent dans le brouillard,
faisait des efforts désespérés
pour retrouver une image éthérée
enfouie, quelque part, au fond de lui.
Mais rien ne venait dans cette presque nuit.
La petite disparut
et le vieil homme se tassa encore un peu plus.
Ce vieil homme,
ce vieil homme, un instant en émoi,
ce vieil homme … c’était moi.
Pierre Dupuis
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
En ces jours de préparation de fêtes et d’agapes, ne soyons pas trop nombrilistes et pensons très fortement aux autres. Aux humains bien sûr, mais aussi à la gente animale qui peut avoir, elle aussi, de gros problèmes psycho relationnels.
Il était de mon devoir d’attirer votre attention sur ce sujet précis qui ne manquera pas, j’en suis certain, de vous interpeller aussi.
J’espère que vous partagerez ma profonde préoccupation.
Je vous en remercie à l’avance et vous souhaite de très bonnes fêtes de fin d’année.
Rotpier
Dernière ligne, 1ère image : c'est la marque qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout !
Réponse :
A part le Rotpier qui prendra un jour la mesure de la profonde détresse de la poule faisane hétérosexuelle obligée de choisir un mâle faisan ?
« Quand le hommes vivront d’amour » : Robert Charlebois, Félix Leclerc et Gilles Vigneau ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Il n´y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d´amour
Ce sera la paix sur la Terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d´amour
Il n´y aura plus de misère
Peut-être song´ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère
Mais quand les hommes vivront d´amour
Qu´il n´y aura plus de misère
Peut-être song´ront-ils un jour
A nous qui serons morts mon frère
Nous qui aurons aux mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix, cherché l´amour
Qu´ils connaîtront alors mon frère
Dans la grand´ chaîne de la vie
Pour qu´il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici-bas c´est le prix
Quand les hommes vivront d´amour
Il n´y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d´amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous, nous serons morts mon frère
Bon partage !
Rotpier
"La journée de ci, la journée de ça ... ras le pompon !" : un poème en or du Rotpier !
Image du net bidouillée
par le Rotpier
La journée de ci, la journée de ça
… ras le pompon !
Tous les jours on en célèbre une,
cela devient très fatigant,
ils cherchent le meilleur slogan
pour ramasser le plus de thunes !
Vive les rousses ou les brunes,
les grand-mères, les éléphants,
les arbres, les petits-enfants,
les chiens, les chats … à quand les burnes ?
« C’est avant tout du commercial ! »
comme dit mon copain Martial :
« A la Toussaint : des chrysanthèmes,
pour les femmes : fleurs et bijoux !
Moi j’ voudrais dormir un bon coup :
c’est quand la journée de la flemme ? »
Tu sais, Martial …
Si jamais on la met en place,
j’en connais d’assez perspicaces
pour s’emparer de ce coup-là :
… les fabricants de matelas !
Ils lanceront une campagne
de pub à grand coup de champagne
sur ceux en mousse et à ressort
et ils se les feront en or !
Si du clip tu es la vedette,
tu te feras de la galette,
tu deviendras un vrai milord :
tu les auras aussi en or !
Tu te prendras la grosse tête,
et tu voudras aussi ta fête :
celle de ceux qui dans la nuit,
à poil, n’ont pas que l’œil qui luit !
Rotpier