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Du 12 juin à 5H 33 au 03 juillet à 8H 57 environ :
Je pars, je pars quelque part
du coté de …
.
Entre Orne et Mayenne,
Juste à cheval sur la limite
de deux départements voisins
Orne et Mayenne nous invitent
à sillonner leurs beaux chemins.
Situé dans les Alpes Mancelles
entre Pré-en-Pail et Ciral
un petit moulin où ruisselle
la Mayenne au fond de son val.
Lectures balades et pêche
seront le lot de tous les jours
pas à se casser la cabèche :
la vie sera au jour le jour !
Voilà vous avez le programme
et ce n’est qu’en début juillet
pour peu que quelqu’un me réclame
que je referais des billets !
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Je vous laisse avec un adage
il est tout frais d’hier pondu
je vous en prie restez bien sages
même s’il est un peu tordu !
L’adage du jour :
« A Tain l'Hermitage ou ailleurs,
souffleter n’est pas jouer ! »
.
J'espère qu'à cet adage toute la Drôme adhère, excepté quelques chameaux ... ça va de soit !
Et n'oublions pas que, même quand le Rotpier boit, la caravane passe !
Voilà voilà, terminé la séquence, vive la France et vive les vacances !
Le Rotpier
Épicétout !
La Mayenne, terre de toutes les surprises ! Le poème du jour : " Fantaisie… sauce mayennaise ! " de ... Rotpier !
Vous allez me dire : « ça sent les vacances du coté de chez Rotpier ! ) et vous ne vous trompez pas ! C’est pour samedi les petits !
En attendant, comme nous retournons dans un secteur où nous avons déjà séjourné, je vous remets ce petit souvenir !
Même s’il n’y a pas de quoi fouetter un chat, on peut quand même sourire un brin !
Fantaisie… sauce mayennaise !
Avez-vous déjà essayé
un jour de draguer en Mayenne ?
Vous y êtes-vous employé ?
Est-ce ardu ou dans la moyenne ?
Si je vous pose la question
c’est que j’ai tenté l’aventure
et que j’ai viré au couillon
quand elle a dit : « c’est ta voiture ?
Tu n’as pas dû la payer cher :
c’est un joli tas de ferraille
assorti à ton pull-over
et à ton cerveau qui déraille ! »
J’en suis resté le bec dans l’eau
avec la main sur la portière,
c’était pourtant un joli lot
mais d’une humeur primesautière !
Sur le trottoir, plus que baba,
je n’étais pas du tout à l’aise :
je n’avais pas réussi à
… faire monter la mayennaise !
J’aurais dû me servir d’un fouet :
il parait que cet ustensile
les font monter tout à souhait
mais qu’autrement … c’est difficile !
Rotpier
L'ai-je bien fait monter ?
Image du net !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est une expression qui pourrait avoir cours ( avec un peu d'imagination ! ) de l'autre coté des Pyrénées ! 😊
Réponse :
« Tapas cent balles ou je t’explose la cabeza » comme disent familièrement les mendiants andalous un peu éméchés du coté de Grenade ?
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est mon coté Séguéla qui ressort !
😉
Allez, au boulot ! Vous évaluez, vous mesurez, et vous me donnez votre réponse ferme et définitive !
🤣
Réponse :
« Séduction et fermeté » pourrait être un slogan accrocheur pour un fabricant de soutien-gorge ou une femme politique mettant en avant certains avantages ! Est-ce sensé ou décousu ?
Qu'il dit l'animal !
Didier Barbelivien : "Jean de France" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Un superbe éloge à Jean Ferrat !
Jean De France:
J’aimais ton rire j’aimais ta voix
qui racontait nos différences
moustache rapportées de Cuba
de Santiago quelle importance
j’aimais tout ceux qui étaient toi
quand tu bousculais nos consciences
Jean ta belle môme ou Jean Ferrat
tes mots déchiraient nos silences
et je m’imaginais Créteil
quand tu me fredonnais
ma môme et ces deux enfants au soleil
Garcia Lorca en son royaume
moi j’écoutais nuit et brouillard
enfermé dans mon innocence
je comprendrais beaucoup plus tard
nul ne guérit de son enfance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la Bretagne à la Provence
avec la fièvre telle insolence
de dire ce mot ne disais pas Jean de France
Humain jusqu'à la transparence
de se regard qui fait confiance
pour le secret des confidences
quand tu croisais les yeux d’Elsa
D’ailleurs que serais-je sans toi
et voilà Aragon qui danse
même Ferré n’en reviens pas
de ces mélodies qui s’élancent
ces Potemkine et Maria unit
dans la même souffrance
mourir au soleil ça me va
mourir debout quelle élégance
Jean de France
tu chantais pour les gens de France
de la montagne aux plaines immenses
tu défendais tout ceux qui pensent
que le malheur n’existe pas
Tu mettais le vide hors la loi
du simple fait de ta présence
un jour futur un jour viendra
ou plutôt que l’indifférence
et tes chansons de ce temps là
ont bercé mon adolescence
un drapeau rouge au bout des bras
tous ces taureaux quand j’y repense
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Image du net
" Le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'empêche pas de se laver un peu de temps en temps. "
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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Les pensées du jour de … Rotpier
La pensée du jour pragmatique :
L’apprentissage des choses, en général, passe par trois étapes incontournables :
a) Leur découverte
b) Leur appropriation
c) Leur utilisation
L’amour, cas particulier s’il en est, ne déroge pas à la règle fondamentale : culbutant … non ?
La pensée du jour tristounette :
Il était d’une tristesse qui faisait peine à voir … tiens, aussi triste qu’une vieille paire de fesses… c’est dire !
La pensée profonde du jour :
La vie m'a beaucoup apporté et m'apporte encore beaucoup, la mort devra se surpasser pour espérer l'égaler !
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1ère connerie du jour :
J’ai connu un italien du sud, Georgio, qui n’était pas le fils maudit mais qui avait un chance de cocu ( d’ailleurs, il était fort probable qu’il le fut ! ). Ses copains lui disaient toujours : « Georgio, tu as le cul bordé de nouilles ! ». Comme il n’était pas très fute-fute, il consultât un proctologue pour s’assurer de la chose. Le spécialiste le tranquillisa et le Georgio pris la poudre d’escampette sans régler ses honoraires et en faisant , de surcroît, un doigt d’honneur au praticien médusé ! Ensuite, il alla déguster tranquillement une carbonara magistrale !
1ère connerie du jour :
J’ai connu un grutier qui aimait tellement son boulot qu’il ne voulait pas se marier pour s’y consacrer pleinement. Au niveau femmes, il se contentait de se taper des grues le samedi soir mais un jour, il péta un câble et se jeta du haut de sa grue. A son enterrement, toutes les grues du coin vinrent lui rendre hommage : c’était beau à voir et bien des gens firent le pied de grue pour admirer le spectacle.
Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
La fable du jour : "Ça, c’est le pompon !" de ... Rotpier !
Souvenirs d'une escale à Amsterdam quand je travaillais comme matelot-pêcheur et que je mangeais des frittes, des frites et puis des moules et buvait du vin de Moselle ... c'était le bon temps où je pêchais le hareng et croissais des morues ...
Ô combien de marins, combien de capitaines
Qui sont montés joyeux sur des demi-mondaines,
en sont redescendu complètement fourbus
éreintés et usés et bien souvent tondus !
Vive la marine, la vraie !
Fable
Ça, c’est le pompon !
Un jour j’ai aperçu
et ce à son insu,
dans sa maison cossue,
ma voisine fessue.
Pas le moindre tissu,
terriblement pansue,
bourrelets tant et plus :
un profil de massue !
Il y avait dessus,
collé comme sangsue
- et pas à son insu ! -
une forme bossue !
Un marin tout poilu
et n’ayant pour tenue
qu’un pompon vermoulu
de laine refendue !
A peine descendu,
ma voisine fessue
lui dit « c’est cent écus :
c’est la somme attendue ! »
« Quoi ! Que je sois pendu,
tu es une morue !
Mon cœur est tout fendu :
c’est une triste issue !
Il aurait mieux valu
que j’ignore ta rue,
que je fusse au chalut :
voilà mon point de vue !
Mon amour a vécu,
tu étais ma statue,
montagne de vertu
… mon âme est fort déçue ! »
Sans raquer un écu,
il remit sa tenue,
sourire contenu
et enfila la rue !
Hurlant : « Oh ! Le tordu ! »
ma voisine fessue
en tomba sur le cul :
une arnaque, ça tue !
Moralité :
A cent écus la passe,
ça passe ou bien ça casse,
il ne faut pas pleurer
quand on se fait b - - - - - !
Rotpier
Délire déjà publié mais augmenté !