Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Pierre
Réponse :
Nota :
Qu'il dit l'animal !
Nino Ferrer : " Le sud " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
.
.
Le sud,
C´est un endroit qui ressemble à la Louisiane
A l´Italie
Il y a du linge étendu sur la terrasse
Et c´est joli
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Il y a plein d´enfants qui se roulent sur la pelouse
Il y a plein de chiens
Il y a même un chat, une tortue, des poissons rouges
Il ne manque rien
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Un jour ou l´autre il faudra qu´il y ait la guerre
On le sait bien
On n´aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire
On dit c´est le destin
Tant pis pour le Sud
C´était pourtant bien
On aurait pu vivre
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Bon partage et bon soleil !
Rotpier
Revoilà le printemps et comme tous les ans ... ça me démange ! "Démangeaisons," un poème de ... Rotpier !
Ça va mal !
Avec le retour du printemps voila qu’ ça m’reprend !
Et cette année, c’est encore pire … les élections peut-être ?
Ou alors une recrudescence du pollen ? Va savoir !
En tout cas … ça m’ démange !
Rotpier
Démangeaisons,
Il est des gens qui m’agacent
… qui m’agacent au plus haut point !
Ils tournent en rond,
pour un oui, pour un non.
Jamais contents de leur tête dans la glace !
Le steak ? Pas trop saignant … un peu quand même
… mais pas à point … quoique … dès fois, j’aime …
La voiture ?
Couleur verte bien sûr !
Mais … quel vert ?
Surtout pas trop clair !
Pas trop foncé non plus … quoique …
tiens … et si je la prenais bleue ?
Et pis ma sœur, t’as vu ses yeux !
Il y est des gens qui m’horripilent,
qui m’agacent, qui m’escagassent !
Qui me les broient, qui me les pilent !
Tiens, j’en ai des démangeaisons
au bout de ma godasse !
Et ça blablate et ça jacasse !
Et pis pas ci, et pis pas ça !
Ça c’est trop p’tit … ça c’est mastoc
… mais c’est pas sûr … y faudrait voir …
Et pis ma sœur, t’as vu son froc ?
et ses p’ tits strings dans le tiroir ?
En politique c’est élastique :
un coup à gauche, un coup à droite,
c’est franc du collier comme main moite !
Et c’est parfois le grand écart :
ça saut’ du coco au facho
( rarement l’inverse … sauf quand c’est chaud ! )
faut être con ou mou du dos
ou bien les deux, cocorico !
Et pis ma sœur qu’a l’ bas du dos
qui équilibr’ ses roploplos
mêm’ qu’a la plage il y a file
de gars qui rêvent qu’ils l’enfilent !
Il est des gens qui m’horripilent,
qui me les pilent, qui me les cassent !
Tiens-toi tranquille, toi ma godasse,
appell’ ta sœur pour qu’on se casse :
faut s’ fair’ la paire avant qu’ ça chasse !
Les cons ça sait se mettre en meute :
en bande on est un peu moins pleutre
pour chasser le vilain canard,
à vingt contre un c’est plus peinard !
En attendant moi je me barre
avant qu’ils ne me tranch’ le lard :
un con c’est con y a pas d’ lézard
on se méfie toujours trop tard !
On dira : « il s’est défilé ! »
mais moi, je m’en bats le gilet
… qu’ils aillent se faire … épiler ! *
Je s’ rais jugé sur la grand place,
mais ce sera par contumace !
Allons ma sœur … pas de grimace
tu as eu ta petite place !
Rotpier
* Ils l’ont échappé belle !
Le poème du jour ... enfin, le délire du jour : "Histoire himalayenne " de ... Rotpier !
Avec le rébus dominical j’avais déjà abordé le sujet, mais là je le brosse entièrement !
Image du net
Préambule :
Cette histoire atteint des sommets
que certains n’atteindront jamais,
c’est pourtant la vérité pure
je vous le dis, je vous le jure.
Pas la moindre trace de bluff,
tout commença en soixante neuf
quand pour me faire un peu de beurre
je me fis routard avant l’heure…
Ne soyez pas dubitatifs,
même un peu tiré par les tifs
ce scénario est fort plausible :
au Rotpier rien n’est impossible !
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Histoire himalayenne
ou
Ne boudons pas les bouddhas,
Lors d’un voyage à Katmandou
j’ai rencontré une doudou,
une pure et belle autochtone,
une fille pas monotone !
Elle m’a dit : « Il se fait tard,
viens chez moi fumer un pétard ! »
le sien, moulé dessous sa robe
empêchait que je me dérobe !
« Moi je m’appelle Anna Purna,
je vends de la marihuana,
tous les deux on peut faire affaire,
tu m’as l’air de savoir y faire !
Je connais ton nom, c’est Rotpier
et si tu veux prendre ton pied
je te ferais une remise,
tu ne perdras pas ta chemise !
Tu m’as l’air d’un sacré client,
plutôt dans le genre ruffian
truand ou alors mercenaire
… peut-être un ancien légionnaire ?
Tiens, comme tu me plais beaucoup
tu ne raqueras pas un sou,
rien du tout, pas une roupie :
je vais devenir ta groupie ! »
Impossible de dire non
à ce véritable canon
qui m’implorait que je l’honore :
vous comprenez, je subodore ?
Je la suivis dans sa maison,
sitôt passé le paillasson
elle se déshabilla vite
prise d’une rage subite !
Elle était belle de partout
et ses nénés pas laids du tout
avaient la couleur de l’opale
tout comme son petit nez pâle !
Je sais que vous voudriez bien
- ne niez pas bande de vauriens ! -
que je vous détaille la scène
mais je ne fais pas dans l’obscène !
Vous n’aurez rien de croustillant !
Sous la gégène ou le carcan,
je ne me mettrais pas à table
et mon choix est inébranlable !
Ce sera de l’édulcoré,
pas la peine de m’implorer :
ce fut une nuit fantastique
effleurant l’état extatique !
Mais … comme je suis un gars foncièrement honnête
… je me dois de ne pas vous cacher la suite :
C’est au matin, pauvre de moi
que je me suis réveillé roi
des cons de toute la planète :
la belle avait fait place nette !
Plus de papiers, plus de pognon
( planqués dans mon gros ceinturon ! )
même plus mon automatique :
il ne me restait que ma chique !
( Pas étonnant qu’elle m’ait dit :
" Mets-toi à poil, ô mon chéri,
ôte donc ta grosse ceinture
tu vas me coller des gerçures ! ")
Un jean et un polo douteux,
des pompes au cuir très miteux :
triste état pour une barbouze,
restait à marcher dans la bouse !
Je m’étais foutu par orgueil
le grand Brahmapoutre dans l’œil
en prenant la fille du Gange
pour une déesse ou un ange !
Une vache passant par là
me fit cadeau d’un très gros tas,
de quoi booster vraiment la chance :
j’y mis le pied avec conscience !
Le proverbe se vérifia,
- merci mon dieu, alléluia ! -
en butant dans une palette
je découvris une mallette !
Elle était bourrée de biftons
- jamais vu autant de pognon ! -
ça sentait la mafia locale,
je me suis dit : « choppe et détale ! »
Je me suis resapé à neuf,
j’ai évité toutes le meufs,
j’ai pris l’avion pour l’Inde proche
sans rencontrer une anicroche !
Arrivé à Chandernagor,
dans ce très grand aéroport,
j’ai croisé un unijambiste
qui s’avéra sage bouddhiste.
Je lui proposais de l’aider
vu qu’il était handicapé,
il fut très touché par la chose :
j’entamais ma métamorphose !
Il m’a dit : « Je suis un bouddha,
emmène-moi à Calcutta,
je t’apprendrais avec passion
la profonde méditation.
Il faut croire que j’étais doué
- il en était tout éberlué ! -
je suis devenu un vieux sage :
j’ai bel et bien tourné la page.
Maintenant je lis le sanskrit,
à croire que c’était écrit,
je consulte de vieux ouvrages
dont un sur le libertinage !
Il s’agit du Kama-Sutra,
une étude nec plus ultra
sur les positions amoureuses
dont bon nombre sont très scabreuses !
Je suis sage mais pas de bois,
alors de temps en temps ma foi,
oubliant la métaphysique
j’opte pour des travaux pratiques !
J’ai très grande réputation
et les filles de la région
veulent me servir de cobaye :
c’est le revers de la médaille !
Tous les jours devant la maison,
des femmes perdant la raison
prient pour que je les initie
à diverses acrobaties !
Je dois faire une sélection,
dans la plus grande abnégation,
de celles qui auront la chance
de goûter à une séance !
Et j’ai vu arriver un jour
la doudou m’ayant joué le tour
qu’au début vous avez pu lire,
qui venait pour se faire élire !
Du haut de ma grande bonté,
je lui ai dit " tu peux monter,
je suis sage et je te pardonne
car en amour tu es très bonne ! "
Pour satisfaire ses désirs
j’ai été forcé de choisir :
on ne peut pas, je le professe,
s’occuper d’une armée de fesses !
Depuis …
Je traduis le Kama-Sutra
en ayant soin pour chaque cas
d’expérimenter les figures :
ce n’est pas une sinécure !
On fait ça consciencieusement
pour éviter les accidents
à ceux qui auraient la folie
de tenter tout ça sans poulie !
Nos travaux sont très reconnus
par des savants qui sont venus
de tous les coins de la planète
nous observer à la lorgnette !
Certains n’en ont pas cru leurs yeux,
on a du évacuer des vieux
… il faut dire que ma favorite
c’est vraiment de la dynamite !
Nous serions et c’est naturel
sur la liste des prix Nobel
en physique des corps instables :
c’est du lourd et du respectable !
On a même eu un bataillon
de vieux potes de la légion
… ils en avaient la bave aux lèvres :
sale temps en vue pour les chèvres !
Ils sont repartis en chantant
un vieux refrain de dans le temps
dont je mets ici les paroles
ne croyez pas que je rigole :
« Tiens, tiens, voila du bouddha
voila du bouddha
voila du bouddha !
Du bon, du bout, du bon bouddha,
nous on en veut, on en aura ! »
Je pourrais bien sûr continuer
mais vous pourriez me conspuer
aussi vous ne saurez la suite
que si un jour l’envie m’habite.
En attendant n’oubliez pas
d’acquérir mon Kama-Sutra :
terminé la vie terne et rance
mais prenez bien une assurance !
Jouer à la bête à deux dos
en tentant le double salto
sans se rompre une ou deux vertèbres
exclue que l’on fasse le zèbre !
C’est une question de mental
et pour éviter l’hôpital
suivez mes conseils à la lettre :
je me ferais mentor et maître !
Il faut de la concentration
bien avant et pendant l’action,
le septième ciel se mérite
… à l’entraînement tout de suite !
Au début mettez un filet
en chanvre tressé népalais
pour ne pas finir aux urgences
à poil et en toute indécence !
Rotpier
Image du net bidouillée ... par le Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Il paraît qu’à Katmandou les autochtones qui ont le nez pâle ont des nénés pas laids du tout et le pétard qui roule beaucoup !
Nota : Demain, vous aurez un autre aperçu du sujet traité sous forme de poème … le tout pas piqué des vers !
Qu'il dit l'animal !
Bonjour à tous ! Le poème du jour : « La rupture » de … Rotpier
Bonjour à tous,
Me voila de retour après une dure épreuve dont vous trouverez les circonstances ci-dessous.
Pierre
La rupture,
Quoi de plus dur qu’une rupture ?
Moment difficile à gérer,
Plat difficile à digérer
Et un goût de déconfiture.
Et la valse des apertures*
Lors des échanges acérés
Pour essayer d’accélérer
Le règlement de la fracture.
De grands moments d’abattements
Et on crie au bout d’un moment,
On est tenace et on menace :
Au téléphone c’est du fiel !
Puis on s’en sort et cela passe
… Une rupture d’ADSL !
Rotpier
* Aperture : Degré d’ouverture de la bouche, pendant l’articulation d’un phonème.
Phonème : Plus petite unité dépourvue de sens que l’on puisse délimiter dans la chaîne parlée.
Le dicton sous-tendu :
« Mieux vaut une rupture d’ADSL qu’une rupture tout court ou encore une rupture d’anévrisme : c’est un moindre mal ! »
PS : Je suis client chez Free et je viens de constater que la liberté a un prix !
Quand même neuf jours pour le dépannage en sachant que je suis en dégroupé et que la ligne téléphonique est louée par Free à France Télécom !
Le poème du jour : " La vie n’a pas de touche « Replay » ! " de ... Pierre
Image du net modifiée par mes soins
Que ce soit sur console, tablette, ordinateur ou téléphone
portable … que ce soit un garçon ou une fille …
La vie n’a pas de touche « Replay » !
Les yeux scotchés sur son écran,
les doigts fébriles sur les touches,
il est ailleurs et c’est flagrant
un rictus rivé sur la bouche.
Essayez donc de lui parler :
il est dans un tout autre monde !
Il vous faudra l’interpeller
pour qu’il émerge et vous réponde !
Il est tout simplement accro,
plus rien d’autre ne l’intéresse,
le virtuel et tous ses héros
l’ont bouffé avec allégresse !
Seul il ne sans sortira pas,
il faut l’aider : c’est nécessaire !
C’est un travail très délicat
que l’on doit absolument faire !
C’est maintenant qu’il faut agir,
il faut le sortir de la nasse,
lui ne peut plus s’en affranchir :
il est bel et bien dans l’impasse !
A l’école les résultats
vont tendre à la dégringolade :
plus de patati patata
et plus question de reculade !
Et que penser de sa santé
sur les plans psychique et physique
quand pour unique activité
les doigts s’agitent, frénétiques !
Aucun autre muscle au boulot :
des performances atrophiées !
Attention aussi aux kilos,
aux silhouettes modifiées !
La vie, ce n’est pas du virtuel,
les erreurs laissent des traces,
c’est du concret, du contractuel
et tant pis pour ceux qui rêvassent !
Pas de bouton marqué « Replay »
quand on a raté quelque chose
il faut assumer au complet
même si cela indispose !
Parents ne fermez plus les yeux
car vous êtes les responsables,
à vous de comprendre l’enjeu :
cela doit rester raisonnable !
Ne vous faites pas d’illusions,
plus tard vous aurez des reproches :
les nouvelles générations
n’ont pas leur langue dans la poche !
Et vous l’aurez bien mérité
car par laxisme ou bien faiblesse,
votre manque d’autorité
les a conduits à la paresse !
Mais …
Mais je dis aussi aux ados :
" Vous qui briguez l’indépendance,
la vie ne fait pas de cadeau
vous paierez vos inconséquences ! "
Pierre Dupuis
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier