L'effet papillon appliqué à ... l'amour ! Le poème du jour: " L'effet papillon " de ... Rotpier
Petite cause, grands effets
ou
L’effet papillon,
Le battement de cils à peine perceptible
avait fait bel effet sur son cœur au repos.
Quand l’œil lui fit de l’œil, ce fut irrésistible,
logique enchaînement : changement de tempo !
Pour faire l’inventaire : exploration lancée !
De haut en bas la chère avait de quoi troubler !
Un très joli minois, une belle avancée
et l’étage du bas était très bien meublé !
Deux ou trois rendez-vous : repas en tête à tête
et déjà les genoux qui cherchent les accords :
prémices d’ouragan menant au corps à corps !
Du souffle du désir à la grande tempête !
Un battement de cils menant au tourbillon :
parfaite illustration de l’effet papillon !
Pierre Dupuis
l
Travaillant comme météorologue au MIT, il découvre en 1963 que l'on peut obtenir un comportement chaotique avec seulement trois variables, montrant ainsi qu'une dynamique très complexe peut apparaître dans un système formellement très simple, une idée dont le mathématicien français du 19e siècle Henri Poincaré avait eu l'intuition. C'est ainsi que de faibles différences dans la dynamique de l'atmosphère peuvent déclencher de vastes effets souvent insoupçonnés.
Ces observations l'on conduit à formuler ce qui est désormais connu comme l'effet du papillon. Il avait utilisé ce terme dans une étude présentée en 1972 et intitulée : "Prévisibilité : est-ce que le battement des ailes d'un papillon au Brésil peut déclencher une tornade au Texas ?". Ces découvertes d'Edward Lorenz ont marqué le début d'un nouveau champ de recherche qui a eu un grand impact non seulement sur les mathématiques mais aussi virtuellement dans toutes les spécialités, la biologie, la physique et les sciences sociales.
Pris sur le net et tranmis par Pierre
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Comme dit le hippie très satisfait : « ma hippie pipe hourra ! »
Pendant ou après : il fait ce qu’il veut le hippie !
Qu'il dit l'animal !
Serge Reggiani " Le petit garçon " : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Mon enfant, mon amour
Il pleut sur la maison
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On reste tous les deux
On va bien jouer ensemble
On est là tous les deux
Seuls
Ce soir elle ne rentre pas
Je n'sais plus, je n'sais pas
Elle écrira demain peut-être
Nous aurons une lettre
Il pleut sur le jardin
Je vais faire du feu
Je n'ai pas de chagrin
On est là tous les deux
Seuls
Attend, je sais des histoires
Il était une fois
Il pleut dans ma mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il fait un peu froid, ce soir
Une histoire de gens qui s'aiment
Une histoire de gens qui s'aiment
Ne t'en vas pas
Ne me laisse pas
Je ne sais plus faire du feu
Mon enfant, mon amour
Je ne peux plus grand-chose
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On est là tous les deux
Perdus parmi les choses
Dans cette grande chambre
Seuls
On va jouer à la guerre
Et tu t'endormiras
Ce soir, elle ne sera pas là
Je n'sais plus, je n'sais pas
Je n'aime pas l'hiver
Il n'y a plus de feu
Il n'y a plus rien à faire
Qu'à jouer tous les deux
Seuls
Attends, je sais des histoires
Il était une fois
Je n'ai plus de mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il est un peu tard, ce soir
L'histoire des gens qui s'aimèrent
Et qui jouèrent à la guerre
Ecoute-moi
Elle n'est plus là
Non... ne pleure pas...!
Bon partage !
Rotpier
" Clovis " , le poème loufoque du jour de ... Rotpier !
Second devoir de vacances !
… Ce chien existe bien, c’est celui des propriétaires du gîte dont je vous ai parlé précédemment !
Photo détourée de ... Pierre !
Clovis,
Je me présente : je suis Clovis.
Je suis un golden retriever
et l’on m’aime souvent sur l’heure !
Surtout mes maîtres, les Livera,
qui sont avec moi très sympa !
Caroline, Jean-Mathé et Louis
… le petit Louis qui a grandi !
Fini le temps, le temps d’alors,
où sa maman disait encore :
« Quand Louis dort c’est un vrai trésor ! »
La prochaine qui le dira
sera peut-être - pouquoi pas ? -
… une Madame Livera !
… Vous paressez bien étonnés
d’entendre un chien ainsi parler,
j’ai l’étoffe d’un philosophe
alors pourquoi la mettre en « off » ?
J’ai bien le droit de m’exprimer
et ce serait bien m’opprimer
que de m’enpêcher d’aboyer !
Cela relèverait du vice
de sortir tous les tournevis
quand simplement Clovis aboie !
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
En plus je suis un chien très franc
comme dit Jean-Mathé souvent :
« Clovis est bien le roi des francs ! »
Je suis très loin d’être un tartuffe,
je sais même trouver des truffes
… Ah ! Cela vous en bouche un coin
et vous faites moins les malins !
Et ne noyez pas le poisson
en parlant « Vase de Soissons »
on m’a déjà fait ce coup là
alors Clovis ne marche pas !
j’avoue quand même un petit vice
- Vous voyez qu’il est franc Clovis ! -
j’ai tendance à faire des fugues,
oui, je vous l’avoue tout net … hug !
J’ai hérité d’un beau collier
et je ne me suis pas méfié,
un truc pas top, une vraie teigne,
un truc qui colle des chataignes !
Clovis ne se fait plus la paire,
il reste à la maison pépère,
terminé de courrir les bois
dans tous les sens comme autre fois !
… Oui ? … Qu’il y a-t-il ? … On me sonne ?
… Je parle à la troisième personne ?
Bon sang … c’est vrai ! Cré non de non,
voila que je m’ prends pour Delon !
Mince, il faut que je me surveille,
voila que mon orgueil s’éveille,
je vais le museler de suite :
hors de question qu’il ne m’habite !
Si je veux devenir un sage,
je dois surveiller mon langage,
pour certains ce serait trop beau
de me traiter de vrai cabot !
Rotpier
Montage de Pierre ... qui n'est pas une truffe ... enfin peut-être pas ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Le comble pour un mycologue c’est d’avoir des relations avec une femme à l’hygiène douteuse pour pouvoir étudier de nouveaux champignons !
Qu'il dit l'animal !
Jacques Brel : " Orly " .... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés,
Semble-t-il, l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire « Je t'aime ! »
Elle doit lui dire « Je t'aime ! »
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement, il pleure
Il pleure à gros bouillons
Tout entourés qu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c’est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et maintenant, ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment, lentement,
Ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis, ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis, se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis, en reculant
Comme la mer se retire,
Il consomme l'adieu
Il bave quelques mots
Agite une vague main
Et brusquement, il fuit
Fuit sans se retourner
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c'est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'à terre
Ça y est ! Elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là, elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là, je la suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
Bon partage !
Rotpier
Juste pour satisfaire la curiosité de D. D. !
Voici, voila !
La friture est assez grosse ! ... 6 Kg pour celle-là !
Et pis c'est tout !