Frigide Barjot, la pas mal sonnée, méritait un sonnet-acrostiche de ... Pierre
Image du net
Telle est celle qui dans la vie
se nomme Merle Virginie,
capable au nom de son ego
de court-circuiter les cathos !
j
Saluons cette performance
qui met en avant l’évidence
que l’on peut tout manipuler
quand on sait bien gesticuler !
Pierre Dupuis
PS: Un lien pour cerner le personnage :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Frigide_Barjot
"La vieille branche," ... un poème du vieux Pierre !
Image du net trafiquée !
La vieille branche,
Ce matin, j’ai frôlé une branche.
D’une voix compatissante, elle m’a dit :
« alors, ça va ma vieille branche ? »
J’en suis resté interdit !
Qu’une branche parle, passe encore,
mais, qu’elle m’adresse la parole sur se ton,
je dis non, non et non : pas d’accord !
Interloqué, je me suis précipité
devant mon miroir pour vérifier.
Verdict sans appel : des rides à la pelle !
Les yeux dans les yeux,
j’ai interpellé ce traître à tain :
« Dis dons toi ! On se regarde tous les matins,
nous vivons sous le même toit
et tu ne m’as même pas signalé
que je prenais un coup de vieux
… un sérieux coup de vieux ! »
Sans baiser les yeux, il m’a répondu :
« J’ai bien essayé, mais quand tu me regardes
tu ne me vois pas … tu ne te vois pas
… mon vieux ! »
Furieux ! J’étais furieux !
J’ai brisé mon faux jeton de miroir
et suis allé chercher dans une armoire,
ma meilleure scie ! …Si !
Histoire, histoire de faire voir
à cette satanée branche
de quel bois se chauffe une « vieille branche » !
Mais avant même de commencer à la scier
… j’ai glissé !
Une seconde avant de m’écraser,
je l’ai entendue ricaner :
« Tiens, ça fait le quatrième cette année !
Ils vont pouvoir taper le carton, les macchabées !
En attentant … en attendant
de pouvoir jouer aux osselets ! »
Pierre Dupuis
Osselets
Os beaux !
Os laids
C’est pas beau !
Os longs
Os courts !
Au secours !
J’ai pas d’ pot !
Didon : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas : suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !
Aujourd’hui :
Didon recevant Enée avec ses nénés en avant
Nicolas Verkolye (vers 1700)
(Collection personnelle)
Didon
Mutto, roi de Tyr, qui tirait beaucoup, avait deux enfants Elissa, qu’il obligeait à lui chercher des poux (selon Gainsbourg) et Pygmalion à belle crinière, quand il mourut.
Bien que très jeune ce fût Pygmalion qui devint roi et Elissa épousa son oncle ( je vous rappelle que dans la mythologie, c’était genre famille tuyaux de poêle !) Mais après que son frère Pygmalion ait assassiné son époux Sicharbas qu’il traînait le cul par terre, afin de lui voler ses trésors, Elissa s'enfuit en compagnie de quelques fidèles en emportant les trésors dont Marius et ses lunettes.
En passant par Chypre quatre-vingt jeunes filles furent enlevées pour devenir les futures femmes des fugitifs : ils ne s’emmerdaient pas à l’époque avec les gonzesses !
Elissa se réfugia en Afrique du Nord à Byrsa ("la peau de bœuf"), et demanda une terre d'asile aux autochtones et aux islamistes d’Ansar Dine Alhuile commandés par lyad ag Ghali Nassé à crête rouge. Ceux-ci lui donnèrent par dérision "autant de terre qu'elle pourrait en faire tenir dans une peau d'un bœuf".
Après réflexion, elle découpa la peau en fines lanières et elle obtint, en les mettant bout à bout, une corde d'une grande longueur. Avec la corde ainsi formée, elle encercla son territoire assez vaste et fonda la ville de Carthage ("la ville neuve", proche de la contemporaine Tunis. Elissa prit le nom latin de Didon et elle fût loin d’être le Didon de la farce !
Plutôt que de se marier au roi Larbas au Connemara de la peuplade nomade des Gétules à prendre chaque matin qui l'avait demandée en mariage et qui voulait déclarer la guerre aux carthaginois si elle refusait, elle préféra se sacrifier sur un bûcher plutôt que d’être responsable d’un véritable carthage comme à Damas actuellement où règne un fou nommé Assad le maudit.
D'après l’Enéide de Virgile, qui travaillait comme agent de sécurité chez Carrefour, qui donne une autre version, elle se poignarda de dépit car Enée, avec des gros pare-chocs, avait refusé son amour et préféré s'embarquer vers l'Italie pour fonder Rome et répondre à son destin avec Giscard et Berlusconi le bandit.
Voici, voila ce que vous deviez connaître sur Didon pour ne pas être pris pour des dindons car avec le Rotpier c’est toujours du bon et pas du bidon !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
k
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Pamphlet sans moderato contre la dérive de Françoise Dolto ! ... Le poème du jour : « La machine à fabriquer des asociaux, » de … Pierre !
Elever son enfant en enfant roi, c’est le conduire sur le chemin du déni de société.
Lui cacher qu’il devra se soumettre aux lois de la dite société, c’est lui dissimuler la vérité et aller à l’encontre de la thèse qui veut que l’enfant soit une personne et qu’ il ne faut jamais lui mentir car il a, instinctivement, le don de percer le mensonge.
Image du net modifiée
La machine à fabriquer des asociaux,
Je parle ici d’une personne
à la fois mythe et étendard
pour les anciens soixante-huitards
qui criait dans leurs mégaphone :
« Il est interdit d’interdire !
La jeunesse fait ce qu’elle veut !
A bas les cons, à bas les vieux
et on ne vous l’envoie pas dire ! »
Ils avaient compris le message
de celle qui au long des ans
voulait placer tous les enfants
hors des sentiers d’apprentissage.
Pour l’enfant aucune contrainte
pour un bon épanouissement,
tout viendra naturellement :
il ne faut pas avoir de craintes !
S’il fait une grosse bêtise
ou qu’il refuse d’obéir,
hors question de le punir :
la sanction serait incomprise !
Expliquons-lui pendant des heures
qu’il ne faut plus recommencer
sans oublier de l’embrasser :
il ne faut surtout pas qu’il pleure !
Si le lendemain rebelote,
c’est que l’on n’a pas été bon
quelque part dans l’explication :
on a le Q.I. d’une lotte !
Pour le gamin c’est l’étincelle !
Il comprend très rapidement
qu'entre lui, papa et maman
… c’est lui qui tire les ficelles !
Du berceau à la maternelle
- disons de neuf mois à trois ans -
pas plus haut que trois bouts de Zan,
l’enfant a forgé sa chapelle !
Ce ne sera pas de sa faute
ou de quinze à vingt-cinq pour cent,
le reste à charge des parents,
tant pis si ces derniers sursautent !
Dès qu’il entrera à l’école
il sera vite confronté
à la dure réalité,
à un tout autre protocole !
Terminé l’individualisme,
maintenant il faut se frotter
aux règles de la société :
l’inverse de l’égocentrisme !
Il n’y a plus de privilèges,
tout partager et obéir,
travailler pour pouvoir choisir
sa place dans le grand manège !
Plus de limites élastiques,
le contrat est clair et précis :
on dit « s’il vous plait et merci »
exit les phases lunatiques !
Les sanctions sont prévues d’avance :
hors de question d’y échapper !
Si l’on transgresse il faut payer :
tout est fait dans la transparence !
La juste image de la vie,
base de toute société
qu’il faut en tous points respecter
pour en assurer la survie !
Les passe-droits : aux oubliettes !
C’est la grande compétition
et il faut se donner à fond
si l’on veut terminer en tête !
Pour se faire des camarades,
il faut oublier le « moi, je »
dans les discours et dans les jeux
sinon on se retrouve en rade !
Tout cela est bien l’antithèse
de la doctrine de Dolto,
vous l’aviez deviné très tôt
( un bon point entre parenthèses ! )
Reconnaissons-lui le mérite
d’avoir attiré l’attention
sur un mode d’éducation
obsolète en … quarante-huit !
Entre rigueur et fantaisie,
il faut déplacer le curseur
avec prudence et en douceur
hormis peut-être en bourgeoisie !
Quand l’argent n’est pas un problème
on a du temps pour corriger
et l’on peut même se payer
un psy pour gérer les problèmes !
Et aussi une institutrice
et un professeur de piano,
des domestiques tant qu’il en faut
… forcés d’encaisser les caprices !
L’erreur est là et manifeste !
Dolto s’est servi des médias
pour toucher le prolétariat
sans que personne ne proteste !
Une myriade de disciples
a vite repris le flambeau
« L’enfant est roi dès le berceau ! »
… c’était parti pour le périple !
Prenant la fibre maternelle
comme levier - un jeu d’enfant ! -
ils ont entraîné les parents
sur une pente irrationnelle !
Prisonniers de cet engrenage
ils ont du mal à s’en sortir,
à admettre que trop chérir
conduit droit vers le dérapage !
A l’inverse de toute attente
l’enfant roi n’est jamais comblé,
les parents en sont accablés :
l’incompréhension est patente !
Du salut ils cherchent la planche
en tentant de sévir un peu
mais vite ils s’aperçoivent que
… c’est une autre paire de manche !
Obligés en toute conscience
de faire leur mea-culpa,
de reconnaître le faux pas
ils peinent dans la résilience.
Hissé au rang de « Magnifique » !
Vénéré au stade fœtal !
Installé sur un piédestal :
c’est l’engrenage maléfique !
Je, je, je, je, je, je, je, je,
moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi,
moi je, moi je, moi je, moi je,
et moi, et moi, et moi, et moi !
Bien installé comme monarque
par ceux devenus ses sujets,
l’enfant-roi, dès potron-minet,
mène en vrai despote la barque !
Et cela jusqu’à la naissance
d’un petit frère ou d’une sœur,
se faisant rarement sans heurt :
perte de la toute puissance !
Partager est une contrainte
très difficile à accepter,
on voit son pouvoir s’effriter
et apparaître les astreintes !
L’enfant roi alors se révolte,
tout n’est pas toujours apparent,
c’est au niveau du subconscient
que se prépare la récolte !
Au moment de l’adolescence
- lors du complexe du homard ! -
cela ressort façon pétard :
grande zone de turbulences !
Aubaine pour des psychologues
qui doivent beaucoup à Dolto :
leur position et leur boulot
grâce à ses thèses démagogues !
Pour les basses classes sociales,
pour ceux qui n’ont pas les moyens,
majorité de citoyens,
c’est la dérive qui s’installe.
Le « moi, je » se démocratise,
l’adulte roi devient légion,
une forme de contagion,
un statut qui se dogmatise.
Elle n’est pas la seule en cause
mais elle est un chaînon majeur
de la dégradation des mœurs
qui se propage et qui explose !
Conclusion :
C’est un très dur réquisitoire
que je viens de vous exposer,
vous pouvez vous y opposer :
pas d’obstacle rédhibitoire !
Entre rigueur et puis laxisme,
il faut bien un juste milieu
( en tout domaine c’est le mieux ! )
ni soumission, ni narcissisme !
Quitte à enfiler le costume
d’un procureur sans aucun droit,
d’un avocat très maladroit
… je voudrais un procès posthume !
Responsable mais pas coupable
- Nous connaissons tous le refrain ! -
mais elle a mis dans le pétrin
un nombre d’enfants incroyable !
Si elle était encore en vie
et qu’elle voyait les méfaits
résultant de ce qu’elle a fait
plaiderait-elle pour l’amnistie ?
Interrogez les profs d’école,
ils sont tous les jours sur le front
pour pallier aux aberrations
de celle qui fut une idole !
Quand je relis cette bêtise :
« Tout ce qui est éducateur
ne peut être que castrateur »
… j’avoue que cela me les brise ! *
Si l’enfant est une personne
à qui l’on doit la vérité
et qu’on lui cache la société :
il y a mensonge et maldonne !
Surprotéger sa descendance
c’est la mettre en grand porte-à-faux
pour affronter comme il le faut
le monde avec toutes ses chances !
Dans ma vie et dans ma carrière,
j’ai pu constater les dégâts
engendrés par son postulat :
je ne ferais pas marche arrière !
Les psys vont faire du vacarme
à l’exception de Didier Pleux
et quelques autres valeureux
qui ont déjà sonné l’alarme !
Pierre Dupuis
* Pas très poétique, je l’avoue et m’en excuse, mais dans le contexte de la strophe, ce dernier vers me semble bien approprié et couler de source !
Nota : Pour mieux cerner la vie et le parcours de Françoise Dolto, je vous donne ce lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Dolto
Certitudes de cage d'escalier ... un petit billet d'humour de ... Rotpier !
Le dicton du Rotpier :
Moins on en sait, plus on en parle et plus on en parle, moins on en sait, ce qui fait qu’à la fin on n’y comprend plus rien mais au moins … on a participé !
Car, mine de rien, l’important c’est de participer comme le disait le baron de Coubertin !
Que celui qui n’a jamais critiqué gratuitement son voisin, me lance la première pierre !
Préambule : Si ce n’est pas tout à fait sûr, c’est fortement possible. Mais … mais il est aussi certain que ce peut être totalement l’inverse… à moins que …
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Certitudes … de cage d’escalier !
On aurait aperçu le voisin du bas discutant à voix basse avec la voisine du haut dans la cage d’escalier du premier. Certains pensent, étant donné que la dite voisine est enceinte, qu’il ne serait pas impossible que …
Tout en prenant de grandes précautions avec les risques d’un jugement trop hâtif, les certains en question penchent à croire, sans en être absolument sûr … bien sûr, que cette hypothèse, tout à fait plausible, n’est pas à exclure à priori. Néanmoins… néanmoins! L’inverse, c'est-à-dire que le futur papa légitime soit le vrai - en l’occurrence le mari de la voisine du haut - n’est pas non plus, loin s’en faut, à négliger en tant qu’une des possibles facettes de la vérité !
D’autant plus qu’il aurait été rapporté par une personne généralement bien informée et digne de confiance ( Mme Affond, pour ne pas la nommer ) que le ménage du haut marche bien … ainsi d’ailleurs que celui du bas !
Mais, il n’y a pas de fumée sans feu et les apparences sont souvent trompeuses ! Comme dit la concierge : « on a vu des choses pires que ça qui ne sont jamais arrivées ! » En plus, Mme Affond peut très bien se tromper : cela lui est déjà arrivé ! De toute façon, elle ferait mieux de s’occuper de ses fesses, vu qu’elles n’ont pas toujours été garées dans des endroits bien comme il faut ! Ah ! elle porte bien son prénom celle-là : Annick !
Enfin, il ne faut pas non plus oublier que l’on ne sait toujours pas ce que faisait le facteur, l’autre jour, sur le palier du haut où il n’a rien à faire vu que les boites à lettres sont dans l’entrée de l’immeuble, ce qui est absolument incontestable et prouvable !
Bref, tout ça c’est pas clair du tout et d’ici que l’on en apprenne de belles, il n’y a pas loin …
Conclusion et question :
Si vous étiez enquêteur, et que vous en sachiez autant que cela, seriez-vous en mesure que répondre, par oui ou par non, à la question suivante : « Le voisin du bas saute-t-il, ou a-t-il déjà sauté la voisine du haut ? »
Rotpier
Anchise et Vénus ... ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.
Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Cette semaine:
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Anchise et Vénus
Anchise, descendant de Tros c’est tros le fondateur de Troie, par Assacarus et Capys, eut la rare fortune de plaire à une déesse mieux carrossée qu’une 2 CV, même si cela devait avant tout servir la vengeance de Zeus.Ce qui a eu comme conséquence de changer la face du Monde et de l’Express.
Pour se venger, «Zeus inspira à son tour à Aphrodite le doux désir de s'unir à un homme mortel». C'est ainsi que la déesse se prit d'une irrésistible passion pour le Troyen Anchise Beurgueur (il confectionnait toutes sortes de sandwichs), dont la beauté égalait celle des dieux bien qu’elle fut très inférieure à celle du Rotpier. Un jour que celui-ci faisait paître ses troupeaux sur le mont Ida avec Dalida et Georges Moustaki, Aphrodite alla le rejoindre. Auparavant elle s'était rendue dans son sanctuaire de Paphos du tout, où les Charités avaient oint son corps d'une huile incorruptible et odorante, et l'avaient parée de ses plus précieux joyaux. « Son voile était plus brillant que l'éclat de la flamme d’un briquet signé Dior ; elle portait des bracelets, des pendants d'oreilles, son cou était chargé de colliers d'or, sa poitrine délicate resplendissait comme la lune et sa lune brillait comme les yeux de DSK en voyant une femme de chambre manier un aspirateur. » Tandis qu'elle gravissait les pentes de l'Ida, les loups velus, les lions hérissés, les panthères agiles folâtraient autour d'elle ; « à ce spectacle, elle se réjouit et jeta l'amour dans leurs coeurs ».
Parvenue auprès d'Anchise, la déesse se fit passer pour la fille d'Otrée, roi de Phrygie, et lui marqua son désir de devenir son épouse en lui faisant, sur le champ, une petite gâterie façon maison. Sans plus attendre, Anchise conduisit Aphrodite vers la couche bien préparée, recouverte de peaux d'ours et de lions ; et là, « un mortel, par la volonté des dieux et du destin (mais pas de Giscard qui ne voulait pas le saloupiot !) dormit avec une Immortelle, sans savoir qui elle était ».
Au réveil, Aphrodite se manifesta à Anchise dans sa splendeur de déesse, et, comme le berger s'effrayait, redoutant la vieillesse prématurée dont est frappé l'homme qui s'est uni aux déesses et aux 2 CV immortelles, elle le rassura et lui promit un fils, qui serait semblable à un dieu. Elle lui demanda seulement de ne point révéler le nom de la mère de cet enfant, qui fut plus tard le pieux Enée. C’est là que naquit la chanson « Il Enée le divin enfant » !
Aphrodite lui annonça qu'elle lui donnerait un fils qui serait élevé par les nymphes jusqu'à l'âge de 5 ans, âge auquel elles le remettraient entre ses mains. Ce fils devait être Enée. Anchise ne put taire son bonheur ; Zeus, pour le punir de son indiscrétion, le frappa de la foudre (c’était une sale manie chez lui !) qui cependant ne lui fit qu'une insignifiante blessure. Après la prise de Troie par des commandos djihadistes, il eut de la peine à se décider à quitter la ville. Il demanda de l’aide à François Hollande et à l’armée française au grand dam de Sazko qui vit d’un mauvais œil l’ascension de celui qu’il considérait comme tout mou. Un coup de tonnerre, qu'il prit pour un augure favorable, le détermina. Enée le porta jusqu'aux vaisseaux sans gain au loto, où il s'embarqua avec ses dieux pénates et ce qu'il avait de plus précieux, c'est-à-dire sa Rollex et son petit service trois pièces. Il vécut sans être constipé jusqu'à l'âge de quatre-vingts ans, et fut enterré sur le mont Ida, sans Dalida ni Moustaki, selon Homère Michèle, et, suivant Virgile qui surveillait un magasin de la FNAC, à Drépane à pas cher, en Sicile, où il mourut et où son fils lui éleva un tombeau qui n’était pas moche du tout
Voila ce que je pouvais vous dire en toute franchise sur Anchise pour que vous puissiez briller un tant soit peu devant la machine à café.
Et pis c’est tout !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Réponse :
Un proctologue est-il habilité à pratiquer des touchers rectaux sur des natifs du Verseau ?
Jacques Brel : "La chanson des vieux amants " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Vingt ans d´amour, c´est l´amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l´eau
Et moi celui de la conquête
Mais mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime
Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m´as gardé de pièges en pièges
Je t´ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement, finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes
Oh, mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime
Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n´est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l´eau
Mais c´est toujours la tendre guerre
Oh, mon amour...
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime.