Blog en vacances !
Petit montage à partir d'une image du net !
Je serais absent jusque vers le 11 ou 12 juillet !
J’espère vous concocter quelques poèmes
pendant ces vacances en Haute Marne
du coté de Colombey les deux églises !
Je saluerais le Général de votre part !
Pierre ou Rotpier : c’est au choix !
Je vous laisse avec un long devoir de lecture
de vacances : « Robinson pris au piège »,
poème que je n’ai pas remis depuis 2 ou 3 ans !
Bonne lecture et bon soleil si le bougre
daigne enfin de montrer le bout de son nez !
Robinson pris au piège,
Depuis trois ans déjà, je vivais sur cette île ;
robinson volontaire et toujours décidé
à ne plus retourner dans des milieux futiles
générateurs, pour moi, d’avenir oxydé.
J’avais fait table rase, en me coupant du monde,
de toutes relations comportant des humains
et je m’affranchissais doucement d’une blonde
que j’avais bien longtemps supplié des deux mains.
J’arrivais à un âge où la philosophie
se trouve au fond de soi - oublié tous les cours ! -
bien qu’étant convaincu que leur sérigraphie
imprègne à tout jamais, les écrits, les discours.
Je passais tout mon temps en longues promenades,
sur des grèves de rêve aux sables éblouissants ;
je savais sur cette île une unique peuplade
dont le village était sur un autre versant.
Je ne les connaissais que du bout des jumelles.
Ils vivaient simplement et avaient sous la main
de quoi boire et manger de façon naturelle ;
j’évitais à tout prix de croiser leur chemin.
Me savaient-ils ici ?
En y réfléchissant, il semblait peu probable
que des centaines d’yeux ne m’aient pas découvert,
car, même en y veillant, mes traces sur le sable
s’ajoutaient tous les jours à des signes divers.
Pourquoi m’évitaient-ils ? Je ne savais le dire
et ce n’aurait été que des supputations :
quand on n’en sait pas plus on devrait s’interdire
de donner des avis risquant l’aberration !
J’ai toujours détesté les « si cela se trouve … »
les « il se pourrait que … » et autres locutions
qui n’ont pour autre but - c’est ce que je réprouve ! -
que de donner à boire aux saoules discussions !
Ce point de vue aussi, avait pesé lourd
dans mon choix d’exil volontaire.
Dans ce fait avéré d’ignorance tacite,
le temps coulait tranquille et pourtant un matin,
l’espace d’un regard, tout bascula très vite :
mon vœu de rester seul se trouva fort atteint !
Alors que je pêchais des poissons de rivage,
je sentis un regard se poser sur mes reins.
J’excluais tout de suite un animal sauvage :
trois ans de solitude affûtent les instincts !
Mon regard balaya les rochers de la rive,
arrondis par le sable emporté par le vent,
sa longue silhouette aux chauds reflets de cuivre
éclipsait la beauté des rayons du levant.
Elle avait au poignet deux fines cordelettes
- un costume à vrai dire extrêmement ténu ! -
et si l’on exceptait cinq à six gouttelettes,
les rochers arrondis paraissaient bien moins nus !
Miracle de la nature,
la communion des formes confinait au sublime :
Assemblage parfait de courbes harmonieuses !
Un décor à lever des légions de pinceaux,
à faire se signer des bigotes furieuses,
à jeter dans les lits des milliers de puceaux !
Acceptant sans ciller mon intime inventaire,
elle avança vers moi, me montrant qu’elle aussi
se passait volontiers de protocole austère,
provoquant sans façon le plus chaud des lacis !
Abjurant sur-le-champ mon vœu de solitude,
je laissais libre cours à mes mâles instincts :
un tremblement de chairs de grande magnitude
agita nos deux corps dans le petit matin.
Pas besoin de parler en telle circonstance,
car la langue en amour - le langage s’entend ! -
n’est pas un élément de très grande importance :
on se comprend toujours dès lors que l’on s’étend !
Quand le calme revint, nos regards se croisèrent
- sans s’occuper de moi, sans prendre mon avis ! -
et sans mal apparent, ses yeux aux miens parlèrent
en cet instant ouaté du désir assouvi.
Je ne compris pas tout de leur conciliabule
- c’est un fait avéré : les yeux ont leurs secrets ! -
sur le fil du regard, en adroits funambules,
se croisent les serments dans des ballets discrets !
Au terme de l’échange, en guise d’amulette,
elle prit mon poignet pour y glisser du sien,
regard devenu grave, une des cordelettes
avec l’habileté d’un parfait magicien !
D’un léger coup de rein l’impeccable plastique
de son corps onduleux s’étira vers le haut.
Les rayons du soleil par effet chromatique
s’amusaient à changer la couleur de sa peau.
Silhouette irréelle, elle s’évanouit.
Je restais étourdi, sans bouger sur le sable.
Ce n’était pas un rêve … un cauchemar non plus ;
je ne m’accusais pas … quoiqu’un peu responsable,
de cet acte réflexe en aucun cas voulu.
Je conquis l’amitié des poissons de rivage
en revenant souvent, m’abstenant de pêcher,
tout du moins dans ce sens, car la beauté sauvage
y revenait aussi : pourquoi l’en empêcher ?
Elle arrivait toujours en costume identique,
en guise de discours, me montrant son poignet.
J’avais depuis longtemps appris la mimétique :
les cordelettes-liens nous servaient de signet !
Spectateurs assidus de nos folles étreintes,
les oiseaux de bordure acquiesçaient à grands cris !
Ajoutons à cela nos rires et nos plaintes
et la plage héritait d’un vrai charivari !
Cependant … quelques fausses notes
venaient troubler le bel ordre établi.
Il arrivait parfois qu’une semaine entière
je ne la visse pas : où était-elle alors ?
Cette interrogation n’étant pas la première,
je m’aperçus du piège et je sentis ses mors !
Trop tard pour m’arracher : la prise était solide !
Mélange de regrets, de plaisirs, de soupirs,
mes sentiments hachés, parfois, frôlaient le vide :
je rêvassais sans cesse au lieu de déguerpir !
Un jour elle arriva plus tard que de coutume.
Je ne l’espérais plus et allais m’éloigner,
je relevais de suite un détail de costume :
Eve brune intégrale y compris le poignet !
Ce détail mis à part, rien ne changea de suite
dans le ballet rodé de nos ardents ébats,
se donnant sans tabou, repoussant les limites,
elle assumait son rôle en ces vaillants combats.
C’est après le repos - que toute joute implique -
que vint le changement. Quand, désir éloquent,
du tremblement de chairs, je voulus la réplique,
elle se déroba me laissant paniquant.
Un long moment passa - parenthèse immobile -
puis elle se leva me montrant son poignet ;
je compris à l’instant : d’un geste malhabile,
je lui rendis son lien puis courus m’éloigner.
Combien de temps errais-je en suivant le rivage,
à ressasser la chose, à chercher la raison ?
Autant qu’il en fallait pour le grand lessivage
de mon morne cerveau parlant de trahison.
Je ne demandais rien que de vivre en ermite,
de savourer la paix jusqu’à mon dernier jour ;
pourquoi donc accepter un cadeau-dynamite
quand on sait qu’il explose en vous broyant toujours !
Ce qui prouve que l’homme a bien faible mémoire,
regobant l’hameçon garni du même appât :
il hisse sa bêtise en tare expiatoire
et même les poissons ne s’y reprennent pas !
Vidé de toute force et le cerveau en friche,
je m’écroulais sur place et d’un coup m’endormis.
La nuit fut écran noir - pas de rêve à l’affiche ! -
d’une désolation comme il n’est pas permis.
La lune me veilla, naufragé sur le sable.
La fraîcheur matinale activa tous mes sens ;
Je me surpris calmé, tout à fait responsable,
abandonnant la grève … allant à contresens.
Avec grande douceur, les vagues m’accueillirent
et comme mon cerveau, mon corps se purifia.
Equilibre parfait, sans jamais tressaillir,
je goûtais les bienfaits de ce bonheur médiat.
La mer ayant comprit ma grande lassitude,
se referma sur moi, m’accueillant sans façon.
Fossoyeuse efficace en toute latitude,
elle connaissait l’homme et savait sa chanson.
Il me restait encore un soupçon de croyance :
que mon âme et mon corps pouvaient se séparer !
Je prenais cette option - était-ce clairvoyance ? -
au point où j’en étais, autant m’en emparer !
Je mourus sans souffrir : ce ne fut que justice !
Mon corps entre deux eaux flottait élégamment,
un courant l’entraîna sur le bord d’un abysse
qui faillit l’avaler définitivement !
Une main secourable empêcha sa descente,
le prenant par la main comme on prend un enfant.
J’assistais à la scène et réserve décente,
je restais en retrait tout en les observant.
Quand il tourna la tête et qu’il vit la sirène,
mon corps se démena comme étant possédé :
tout ! - et même finir rongé par les murènes ! -
plutôt que de céder à l’appât dénudé !
Il avait avalé déjà bien trop d’arêtes :
pas question de goûter à la femme poisson !
Il sacrifia sa main d’une façon secrète
et plongea sans regrets dans l’abîme sans fond.
Je me retrouvais seul, alors pourquoi poursuivre
ma quête de bonheur sans pouvoir y goûter ?
Une âme sans son corps n’a plus raison de vivre,
je disparus d’un coup dans un remous bleuté.
Poésie, le poème du jour : "Heureux qui comme cul lisse," ... un poème de Joachim ... euh ... non ! de ... Rotpier
Prenez Joachim et Pierre
… du Bellay et Ronsard, bien sûr !
Prenez « Heureux qui comme Ulysse » du premier,
pour la forme et « Mignonne allons voir si la rose »
du second, pour l’esprit et vous obtenez la synthèse :
« Heureux qui comme cul lisse » de … Rotpier !
Un peu sonnet quand même le gars ... non ?
Montage du Rotpier
... enfin ... bidouillage du Rotpier !
Heureux qui comme cul lisse,
Bien heureux le cul lisse avide de voyages
qui s’affranchit du joug de sa lourde toison
et qui s'offre aux regards bien plus que de raison,
se prêtant aux plaisirs de nombreux essayages.
Qu’il en profite à fond, en ville ou au village,
dans les champs, dans les bois, à la belle saison
ou bien sous l’édredon à la défeuillaison :
il aura moins d’attrait quand il prendra de l’âge.
Même en gardant toujours son coté audacieux,
il aura plus de mal à attirer les yeux.
Les rides seront là sur sa peau moins affine
qui faisait que les gars en perdaient leur latin
devenant pour le coup presque tous chauds lapins
et le faisaient reluire autant que pierre fine !
Rotpier
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Réponse :
Certains me surnomment Tolstoï, il faut dire que je ne suis guère épais !
Nino Ferrer : " Le sud " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
A l´Italie
Il y a du linge étendu sur la terrasse
Et c´est joli
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Il y a plein d´enfants qui se roulent sur la pelouse
Il y a plein de chiens
Il y a même un chat, une tortue, des poissons rouges
Il ne manque rien
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Un jour ou l´autre il faudra qu´il y ait la guerre
On le sait bien
On n´aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire
On dit c´est le destin
Tant pis pour le Sud
C´était pourtant bien
On aurait pu vivre
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Bon partage !
Rotpier
" La main " : Un poème très ancien de ... Pierre
Poème très ancien ( 1999 ? )
" A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur."
La main,
Comme enfin je soufflais - bonheur compréhensible -
Assis sur une table enduite de couleurs,
Récupérant un peu d’une classe impossible,
Je vis le tableau noir partager ma douleur !
La craie courrait sans fin, par une main guidée,
Une main je vous dis ! Toute seule ! Sans bras !
D’une pâleur extrême, assurément vidée
Du sang dont une goutte échappait vers le bas.
S’égrainait sous mes yeux et très bizarrement
Je comprenais le sens des phrases contenues
Dans ce message étrange écrit si clairement.
Je m’en vais essayer de vous donner lecture
- Pas du message écrit : il n’était que pour moi ! -
De ce qui se passa, c’est vrai, je vous le jure !
Et je saurais comprendre ensuite votre émoi !
La main - d’autorité - me pris alors en charge
en pointant son index sur un ordinateur
Qui afficha de suite en écran extra large
Une image incroyable : un plan fascinateur !
Je reconnus, malgré la façade noircie,
Le profil évident du Lycée Aragon
Qui avait dû subir un très grave incendie,
une porte battait, pendant à un seul gond.
Un bruit de fond montait et je vis une bande
Déboucher en hurlant de derrière un muret,
Des propos venimeux rythmaient la sarabande :
« A mort ces cons de profs, il faut les capturer ! »
On pouvait reconnaître en tête de la horde,
Les clones de certains du fond de nos paniers
Qui nous posent problème en refusant tout ordre :
Ils étaient à coup sûr les fils de ces derniers !
Et d’un bûcher fumant, les pages calcinées
Des livres déchirés s’envolaient dans le soir,
Un vent ascensionnel, volutes déchaînées,
Entraînait vers le ciel ce vol de corbeaux noirs.
La main vint à placer - je ne vis pas de suite -
Son index tremblant à un endroit précis :
Tout en bas du brasier, une forme réduite
Agitait sous le feu cinq doigts tout rétrécis.
La main comme une folle agita ses phalanges,
Son cri désespéré me vrilla les tympans
Et je la vis pleurer, libérant un mélange
Composé pour moitié, de larmes et de sang !
Je la pris dans mes mains, ce ne fut pas facile,
De calmer sa douleur, d’éteindre ses sanglots :
La peur de formuler des propos imbéciles,
Quoi dire à une main qui hante les tableaux ?
A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur.
Le tableau s’effaça, supprimant le message.
L’ordinateur se tut, son écran devint noir.
Un tourbillon me prit : j’étais sur son passage
et je fus avalé par un grand entonnoir.
Pierre Dupuis
Le poème bien assis du jour : "Le petit coin," de ... Rotpier
Un petit poème écrit à la demande
d’une amie qui tenait un petit restaurant
et qui était désolée du manque de propreté
de certains de ses clients … ou … clientes !
Image du net ... c'est net ?
Bonjour !
Je suis le petit coin,
de moi, on prend bien soin !
On me frotte, on me brique,
on me lave, on m’astique !
Il me plait d’être frais,
mais à mon grand regret,
je reçois des personnes
dont le Q. I. plafonne
au niveau de leur cul :
je m’excus’ d’être cru !
Le plaisir imbécile
de ces esprits débiles
est de pisser de loin
ou de fair’ dans les coins !
Ces gens-là, je les classe
dans les grands dégueulasses !
Il me faudrait des bras
pour chopper ces mecs-là ! *
Je leur tremp’rais la tête
dans ma propre cuvette
pour qu’on puisse au dehors
identifier les porcs ! **
Je fais un dur métier, pas souvent reconnu.
Certaines fois il faut montrer bien de courage !
Mais je dois confesser un énorme avantage :
il m’arriv’ d’admirer de jolis petits culs !
Rotpier
* Je vous assure qu’il y a aussi des filles !
** Je tiens à m’excuser auprès des porcs : ils sont bien souvent plus propres que ces saligots-là !
Amphitrite ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.
Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Le mariage de Poséidon et d'Amphitrite d'après Felice Gianni © Palazzo Milzetti (Collection personnelle)
l
Amphitrite
Amphitrite de sodium la Néréide, fille de Doris ( le frère de Pierre ) et de Nérée, (Théogonie, 243 et Apollodore I,2,7) toutefois ce même Apollodore et d’argent (I,2,2 et I,4,7) parle d'elle comme une Océanide à poils durs et drus comme Guy. Elle fut recherchée par le FBI, en mariage pour Poséidon ton cul sur l’étagère, depuis qu'il l'avait vue danser avec les loups sur les plages de Naxos; mais elle préféra se cacher d’aspirine chez le Titan Atlas pour lui échapper car elle craignait ce dieu aux colères redoutables et sous-marines qui ne faisait que se disputer avec toutes les autres divinités.Elle lui donna trois enfants: un fils Triton ( dont c’est t-y que je vous avais causé l’autre jour ! ) et deux filles:
Rhodè à 16452 Km qui donna son nom à l'île de Rhodes et fut mère des Héliades et de l’Audy C, 16 soupapes en tête, par Hélios selon Pindare qui se la peignait en rouge vermillon. Mais certains pensent qu'elle serait la fille de Poséidon et d'Halia de toutes les couleurs, soeur des Telchines et de Mao ( petit livre rouge, page 69,t out en haut à gauche )
Benthésicymé, qui s'établit en Éthiopie c’est tout et se maria avec Enalos dont elle eut deux filles et qui éleva Emolpos, le fils de Poséidon et de Chioné en retard par rapport à l’autre.
Le rôle d'Amphitrite est assez secondaire; elle n’a pas de culte connu et n'apparaît que très brièvement dans les légendes. On sait qu'elle a assisté à l'accouchement de Léto, un accouchement très serré.
Epouse calme, Amphitrite supporta patiemment les multiples infidélités de Poséidon (Ce qui prouve que c’était une belle époque, essayez donc d’avoir la même aujourd’hui !) Une seule fois elle manifesta sa jalousie : ce fut à l'égard de la nymphe Scylla, qui était d'une grande beauté. Furieuse de l'amour que Poséidon lui témoignait, Amphitrite jeta des herbes magiques dans la source où Scylla se baignait, et la nymphe fut changée en un monstre affreux, presque pire que Ribéry. Cette métamorphose est aussi attribuée à Circé pompes.
ICONOGRAPHIE
De même Amphitrite est peu abondante dans l'art grec, contrairement à Zorba, où elle est le plus souvent aux cotés de son époux, les cheveux retenus par un filet de pêche et des crabes qui en pinçaient pour elle, en guise de broches. Chez les Romains on la représentait allant sur les eaux sur un char Leclerc traîné par des dauphins, dont Flipper, ou des chevaux marins sans Marine et accompagnée de Tritons et de Néréides.
Voila ce que vous deviez retenir d’Amphitrite afin de pouvoir aller vous coucher moins ignares ce soir !
Et pis c’est tout !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier