Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Et pis c'est tout … c’est bien vu ?
Réponse :
Paradoxalement la meilleure voyante que j’ai connu était atteinte de cécité cela m’a beaucoup taraudé l’esprit !
"Je descends du singe" de Marc Lavoine. Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Il y a des jours de litanie
Où les uns jouent avec l’ennui
Des jours de silence
Où les ombres pensent
Il y a des jours de solitude
Le cœur bat plus que d’habitude
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours ou tu me manques
Des heures ou le bonheur se planque
Des jours de torture
Qui ont la dent dure
Il y a des jours de manquer d’air
A deux doigts de se foutre en l’air
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours mal dans leur peau
Qui ne trouvent pas le repos
Des journées entières
Qui partent en arrière
Et je descends dans la rue
Parmi les gens perdus
Je vais sur la jetée
Parler au vent salé
Je vis dans ma bouteille
Je bois jusqu’au soleil
Je vole jusqu’alalie
Des milles et une nuiit
Hen, hen
J’suis blanc comme un linge
Je descends du singe
Il y a des jours à te chercher
Sur les ruines de mon passé
J’suis blanc comme un linge
Je descends du…singe
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
Tu, tu, lu, tu, tu
Tu, tu, lu, tu, tu, tu
Tu, tu, tu, lu, tu, tu
Je descends du singe
Bon partage !
Rotpier
La minute pamphlétaire du facétieux palmipède ! De ... Rotpier !
La minute pamphlétaire du facétieux palmipède !
Mieux vaut un canard qui se rebiffe
qu’un canard laquais !
Le coup de bec du jour :
Rien d’étonnant à ce que Valls devienne impopulaire chez les roms, lui qui s’emploie à les faire valser sans la moindre mesure de Strauss !*
Je constate avec nostalgie que l’élégance et les bonnes manières se perdent sous les lambris de la république !
* Quand je parle de Strauss, c’est bien entendu de Johann et non de Kan … hein, mes petits canards ! Avec lui, ce serait plutôt du Wagner et, de préférence : « La chevauchée des Walkyries » !
Détonnant … non ?
Et pis c'est tout !
Le Rotpier
" Le moulin de Guiboeuf " : un poème de ... Pierre
Le Moulin de Quiboeuf avant restauration. Photo d'une photo appartenant aux propriétaires prise par moi-même !
A Madame et Monsieur Soulez, les propriétaires,
qui ont redonné vie au Moulin de Guiboeuf.
Le Moulin de Guiboeuf,
C’est un ancien moulin qui n’était plus que ruines,
plus de toit, de charpente et des murs délabrés,
il sentait le moisi bien plus que la farine :
les attaques du temps l’avaient tout délabré.
Un crève-cœur pour qui aime les vieilles pierres
qui sentent bon l’histoire et les récits d’antan,
à l’époque c’était à grands coups de rapières
que se départageaient chrétiens et protestants !
Adossé à l’étang d’où il tirait sa force,
il appartenait au domaine du château
qui fièrement se dresse en bombant bien le torse,
toujours gaillard depuis le temps des huguenots !
C’est l’an onze cent qui lui a donné naissance
après que l’étang eut été aménagé
par le seigneur d’alors auquel l’obéissance
était de mise pour pouvoir y accéder.
Combien a-t-il moulu de sac de blé ou d’orge
ou encore d’avoine ou de tout autre grain ?
On ne saura jamais car si le lieu regorge
de souvenirs muets… plus d’écrits à la main !
Le dix-neuvième siècle a vu sa décadence,
son rendement n’était pas de taille à lutter
contre le modernisme et contre les cadences
des moulins actionnés par l’électricité.
Un jour il a fallu se rendre à l’évidence,
le vieux moulin s’est tu au grand dam du meunier,
qui perdait là son seul moyen de subsistance,
obligé de changer de cadre et de métier.
Il fut abandonné aux vents et aux tempêtes
qui s’acharnèrent à s’attaquer à son toit,
quelques infiltrations commençant par le faîte
se mirent au travail pour pourrir tous les bois.
La charpente céda et les murs s’écroulèrent,
quelques pans plus gaillards défièrent le temps,
sur son squelette enfin les ronces s’installèrent
pour former un amas qui resta fort longtemps !
C’est du château que vint le projet estimable
de sa restauration dans les règles de l’art,
ce qui fut dit fut fait de façon responsable
avec des matériaux, locaux pour la plupart.
Nouvelles fondations, vieilles pierres jointées,
très lourds linteaux de chêne et granit aux appuis,
des fermes à l’ancienne et bien sûr chevillées
et des ardoises pour étancher le bâti.
Un étage est venu couronner tout l’ensemble,
sans le dépareiller, ce qui est important,
c’est une pièce à vivre et où l’on se rassemble
pour se retrouver juste au niveau de l’étang.
Cette restauration est une réussite,
à la voir on ressent vraiment un effet bœuf,
le tout s’intègre en plus dans un splendide site :
il revit aujourd’hui … Le Moulin de Guiboeuf !
Pierre Dupuis
Photos prises par moi-même
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Les barbus islamistes radicaux commencent à nous les briser menu : il va falloir songer à les raser et pas gratis !
Big Ben ... le suite de la saga autour de Big Ben ! Par ... Rotpier !
Chers lectrices, chers lecteurs,
chose promise, chose due :
Vous allez pouvoir prendre connaissance de la suite
de la grande saga autour de Big Ben
que vous trouverez sur le billet d’hier !
N’hésitez pas, messieurs, à vous inscrire pour le pèlerinage !
Rotpier
Big Ben ... un Big Ben que vous ne connaissez pas ! Un poème haut en couleur de ... Rotpier !
Bonjour à tous !
Me voici de retour avec une saga,
ô combien poétique, tournant autour de … Big Ben !
Big Ben,
Préambule :
L’histoire que je vais vous conter, en vers, me vient d’un ami écossais qui la tenait de son grand-père, laquais chez un vieux lord anglais.
Cela se passait dans les années 1880-90, en Angleterre aux alentours de Londres. Est-ce une légende ou bien la vérité dans un pays vénérant encore la royauté, le thé et l’amiral Nelson ?
Je ne saurais vous le dire et me bornerais seulement à vous la rapporter, sans artifice, avec la plus fidèle loyauté. Il vous reviendra ensuite le délicat dilemme de la croire ou pas. Je n’ai pas cherché la rime riche à tout prix et la syntaxe de mes vers est très souvent bancale. Mais mieux vaut encore une rime pauvre qui sonne bien qu’une riche qui pérore, se targue de sa suffisance et se retrouve seule à se pavaner comme cocotte sur trottoir ! Quand à la syntaxe, si je n’ai rien contre, je sais aussi m’en affranchir de temps à autres comme l’on se défait d’un carcan.
Ceci dit, je vous laisse en compagnie de Big Ben et espère que vous n’en sortitez pas trop sonnés !
Rotpier
Image du net
Big Ben,
Il avait un sexe affolant,
il faut dire qu’il était grand
… le gus !
Dans le genre phénoménal
… je parle de son arsenal
et là ce n’est pas un lapsus !
De son état : sonneur de cloche…
Mais…
mieux vaudrait éloigner les gosses
et belle maman qui approche !
Avec son menton en galoche,
de près elle ressemble à Folcoche !
Revenons au gus en question,
à cause de sa profession
( et le tout sans calembredaine ! )
il avait donné un surnom
à son espèce de canon :
Big Ben !
Vous allez dire : « C’est fastoche,
le Rotpier nous prend pour des cloches :
nous ne somm’ pas des abrutis ! »
Mais … moi, je n’ai rien dis !
Toujours est-il que son Big Ben
était un sacré spécimen,
femmes et filles de tout âge
venaient le voir en pel’rinage !
Il y avait une marquise
qui lui trouvait la taille exquise,
exactement proportionnée
à ses deux quintaux bien sonnés !
Elles n’étaient qu’une dizaine
à pouvoir supporter Big Ben
mais il fallait une semaine
pour se remettre des fredaines !
Il rencontra pour son malheur,
un soir maudit de chandeleur,
une comtesse norvégienne
qui ne connaissait pas l’hygiène !
C’était une veuve très riche
qui voulait qu’on l’appell’ « Ma biche »
mais elle avait de la moustache
et se rapprochait de la vache !
Quand elle découvrit Big Ben
elle hurla pis qu’une sirène,
voulant sur le champ l’essayer
quitte à très cher le monnayer !
Devant l’hygiène très douteuse
de la comtesse eczémateuse,
il eut un moment de recul
surtout quant il vit les pustules !
Mais un sonneur gagne très peu,
quand elle lui mit sous les yeux
une bourse remplie d’écus
le pauvre en tomba sur le cul !
Il se dit : « tant pis pour la crasse ! »
et il l’a prit sur la paillasse,
cela dura toute la nuit
et là commença les ennuis !
A traîner n’importe où ses fesses,
elle avait choppé la comtesse,
toutes sortes de maladies
que d’honteuses l’on qualifie !
Malgré deux Ave, trois Pater,
il ne passa pas à travers :
cette femme pourrie de vices
lui refila la syphilis !
Ce fut le déclin de Bing Ben,
à voir il faisait de la peine,
il pendait lamentablement
comme à une cloche un battant !
Un professeur de faculté
essaya bien de le soigner
à grand renfort de sulfamides
mais l’opération fut un bide !
Un jour arriva l’échéance,
c’était en fait couru d’avance :
on eut recours à l’ablation
pour éviter la contagion.
Afin de l’étudier plus tard
lors des colloques sur les dards,
on le plongea dans le formol
additionné de méthanol !
Il fallut un bocal énorme
pour ce phallus vraiment hors normes,
pas moins de trois souffleurs de verre
à cette tâche s’attelèrent !
On mit à poil deux chênes-lièges
- certains crièrent au sacrilège ! -
pour confectionner un bouchon
aux incroyables proportions !
On décréta dix jours de deuil,
les femmes avaient la larme à l’œil,
la comtesse eut droit à l’acide,
le tout maquillé en suicide !
Dans un baquet de vitriol
elles jetèrent la mariole :
il n’en resta que trois pustules
et une moitié de rotule !
Bing Ben, le vrai, sonna dix jours
et les cloches aux alentours
lui répondirent lugubrement :
tintement de glas pour un gland !
Au rez-de-chaussée de la tour,
une pièce à l’abri du jour
fut créée avec un triptyque
pour bien conserver la relique !
En perdant un tel arsenal,
le gus en perdit le moral,
plus question de sonner les cloches
quand on est privé de baloches !
Il travailla dans un harem
pour un sultan dont le problème
était de l’avoir tout petit
… je parle bien sûr du zizi !
Tant de meufs à disposition
prêtes à la fornication
et ne pouvoir presque rien faire
était une horrible galère !
Quand il lui parla de Bing Ben
le sultan eut beaucoup de peine
à le croire et lui demanda
d’aller vérifier sur le tas !
Ils prirent le bateau au Caire,
laissant sur place les mouquères
qui s’empressèrent de trouver
des mamelouks pour forniquer !
En arrivant sur la Tamise,
il exigea qu’on le conduise
voir immédiatement Bing Ben
… pas la tour mais le spécimen !
Quand il vit l’engin si balaise,
il frôla vraiment le malaise :
comment pouvoir imaginer
qu’un truc pareil put exister !
Lui avait pouvoir et fortune
et il aurait donné la lune
pour avoir un tel attribut
plus gros que celui d’un zébu !
Il en perdit tout appétit,
lui qui l’avait vraiment petit,
restant prostré pendant des heures
à ressasser tout son malheur !
Un jour il perdit la raison
et décida de l’ablation
de son appareil génital
qui eut lui aussi un bocal !
On le plaça dans la semaine
tout à coté du gros Bing Ben,
qui ne se moque pas de lui :
pas de lazzi chez les zizis !
A chaque fois que le glas sonne,
même devant deux cent personnes,
ils s’amusent à faire des bulles
sous les yeux des gens incrédules !
Si à Londres vous vous rendez,
hors de question de les manquer,
privez-vous plutôt de la reine
que d’une visite à Bing Ben !
Si vous croyez que je vous berne,
demandez donc à Stéphane Bern
qui connaît tout sur l’Angleterre,
des zizis à Madame Thatcher !
Si cette histoire peu banale
vient à traverser le chenal,
le MI 5 - et ça c’est moche ! –
viendra pour me sonner les cloches !
J’espère bien qu’ils n’auront pas
l’idée de me trancher le bas,
ça me saperait le moral
de voir popol dans un bocal !
Tous les hommes seront d’accord
avec moi car mieux vaut encore
en vieillissant l’avoir fort molle
que de la voir dans le formol !
Sur cette brillante formule
je vous quitte et vous congratule
pour avoir lu sans trop de peine
la longue épopée de Bing Ben !
Rotpier
Voila la suite !
Nouvelles de dernière minute :
Il parait qu’aux jeux olympiques
ils auraient sorti la relique
à la demande d’ Usain Bolt
qui aurait goûté au formol !
Il s’ rait parti dans la foulée,
plus rapide qu’une fusée,
rejoindre l’équip’ féminine
qui s’entraînait à la piscine.
Elles étaient une douzaine,
il les a prises à la chaîne
devant l’entraîneur médusé
qui a finit par y passer !
Si je peux donner mon avis,
je crois que Lance Amstrong aussi
a du goûter à la formule
après son truc aux testicules !
Pour pouvoir aller aussi vite,
ce n’était pas de l’eau bénite
qu’il devait prendre chaque jour
pour pouvoir rafler ses sept tours !
Epilogue :
Comme j’ai le sens des affaires
et que je sais très bien y faire,
j’organises dans trois semaines
un pèlerinage à Big Ben.
Ce sera un peu comme à Lourdes,
veuillez approchez vos esgourdes :
il suffira de faire un vœu
pour doubler ou tripler du nœud !
A l’aller un seul TGV,
au retour deux aménagés
en gigantesques lupanars
avec pléthore de plumards !
En cas d’absence de miracle,
n’étant pas un parfait oracle,
je vous revendrais du Viagra
pour ne pas rester raplapla !
Ne tardez pas à vous inscrire
avant que la date n’expire,
si vous voulez dans trois semaines
l’avoir aussi gros que Big Ben !
Encarté sur la morale ( je tiens à être en phase avec la politique de moralisation laïque prônée par notre gouvernement )
Au point de vue de la morale,
si jamais le Vatican râle,
je lui dirais tout simplement :
« Fallait pas commencer avant !
Car pour ce qui est de l’arnaque,
c’est vous qui tenez la baraque,
je ne suis qu’un petit larron
vous sur rue vous avez pignon !
C’est un commerce comme un autre
qui marche à coup de patenôtres,
des cars entiers chaque matin
déversent plein de pèlerins !
A Lourdes c’est la grande foire,
le paradis des accessoires,
l’éden des produits dérivés :
très lucrative activité !
Il y en a plein les boutiques,
en bois, en fer ou en plastique,
des surannés et des new-look :
on se croirait vraiment au souk !
Des Saintes Vierges sous la neige,
des chapelets marrons ou beiges,
des crucifix et des missels
et des miracles à la pelle !
Pléiade de photos jaunies
artificiellement vieillies,
des Bernadette Soubirous
encadrée à pendre à un clou !
Et bien sûr la grotte bénie,
des fidèles qui communient,
des malades, des estropiés
en fauteuil ou encore à pied !
Ne m’accusez pas de blasphème,
ne me lancez pas d’anathème,
vous copier est mon seul péché :
pas de querelles de clocher !
Je vous laisse votre domaine,
laissez-moi exploiter Big Ben
que chacun fasse son métier :
les cloches seront bien gardées !
Boutique shop dans un hôtel de Lourdes
Dernière précision :
Je ne dirais rien sur l’Islam
pour ne pas faire de ramdam,
mais comme disait Georges Marchais :
c’est bonnet blanc et blanc bonnet !
… Que dites-vous ? … Il est trop tard !
Bon sang, je suis bien trop bavard !
Je suis un peu comme Jack Lang :
je ne sais pas tenir ma langue !
Et puis après tout je m’en fous,
autant que j’aille jusqu’au bout :
l’arme de toute religion,
c’est bien la manipulation !
Rotpier