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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Blog en pause pour cause vacances du ... Rotpier !!!

20 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Avis de vacances !
Chers ami(e)s et internautes,
Ce blog ne sera plus alimenté pendant 2 semaines 1/2 :
il va donc maigrir !
Le Rotpier sera en vacances dans la Creuse entre :
;
Montluçon
Montluçon( image du net )

et

 

Guéret
Guéret ( image du net )
     
Je vous laisse avec un peu de lecture:
Le " Robinson pris au piège " de Pierre,
bien que l'on soit un jeudi et non un vendredi !

 

 

 

Pour ceux qui ne le connaisse pas ou bien pour ceux
qui veulent le relire pendant mon absence sur la toile ...

Attention ! C'est assez long !
Si vous avez le temps allez-y
... sinon, revenez à un autre moment !
.
;
Photo pour robinson pris au piège
Image prise sur le net
 
 
 
;

Robinson pris au piège,

;

 

Depuis trois ans déjà, je vivais sur cette île ;

robinson volontaire et toujours décidé

à ne plus retourner dans des milieux futiles

générateurs, pour moi, d’avenir oxydé.

 

J’avais fait table rase, en me coupant du monde,

de toutes relations comportant des humains

et je m’affranchissais doucement d’une blonde

que j’avais bien longtemps supplié des deux mains.

 

J’arrivais à un âge où la philosophie

se trouve au fond de soi - oublié tous les cours ! -

bien qu’étant convaincu que leur sérigraphie

imprègne à tout jamais, les écrits, les discours.

 

Je passais tout mon temps en longues promenades,

sur des grèves de rêve aux sables éblouissants ;

je savais sur cette île une unique peuplade

dont le village était sur un autre versant.

 

Je ne les connaissais que du bout des jumelles.

Ils vivaient simplement et avaient sous la main

de quoi boire et manger de façon naturelle ;

j’évitais à tout prix de croiser leur chemin.

 

Me savaient-ils ici ?

 

En y réfléchissant, il semblait peu probable

que des centaines d’yeux ne m’aient pas découvert,

car, même en y veillant, mes traces sur le sable

s’ajoutaient tous les jours à des signes divers.

 

Pourquoi m’évitaient-ils ? Je ne savais le dire

et ce n’aurait été que des supputations :

quand on n’en sait pas plus on devrait s’interdire

de donner des avis risquant l’aberration !

.

J’ai toujours détesté les « si cela se trouve … »

les « il se pourrait que … » et autres locutions

qui n’ont pour autre but - c’est ce que je réprouve ! -

que de donner à boire aux soûles discussions !

 

Ce point de vue aussi, avait pesé lourd

dans mon choix d’exil volontaire.

;

 

Dans ce fait avéré d’ignorance tacite,

le temps coulait tranquille et pourtant un matin,

l’espace d’un regard, tout bascula très vite :

mon vœu de rester seul se trouva fort atteint !

 

Alors que je pêchais des poissons de rivage,

je sentis un regard se poser sur mes reins.

J’excluais tout de suite un animal sauvage :

trois ans de solitude affûtent les instincts !

 

Mon regard balaya les rochers de la rive,

arrondis par le sable emporté par le vent,

sa longue silhouette aux chauds reflets de cuivre

éclipsait la beauté des rayons du levant.

 

Elle avait au poignet deux fines cordelettes

- un costume à vrai dire extrêmement ténu ! -

et si l’on exceptait cinq à six gouttelettes,

les rochers arrondis paraissaient bien moins nus !

 

Miracle de la nature,

la communion des formes confinait au sublime :

;

 

Assemblage parfait de courbes harmonieuses !

Un décor à lever des légions de pinceaux,

à faire se signer des bigotes furieuses,

à jeter dans les lits des milliers de puceaux !

 

Acceptant sans ciller mon intime inventaire,

elle avança vers moi, me montrant qu’elle aussi

se passait volontiers de protocole austère,

provoquant sans façon le plus chaud des lacis !

 

Abjurant sur-le-champ mon vœu de solitude,

je laissais libre cours à mes mâles instincts :

un tremblement de chairs de grande magnitude

agita nos deux corps dans le petit matin.

 

Pas besoin de parler en telle circonstance,

car la langue en amour - le langage s’entend ! -

n’est pas un élément de très grande importance :

on se comprend toujours dès lors que l’on s’étend !

 

Quand le calme revint, nos regards se croisèrent

- sans s’occuper de moi, sans prendre mon avis ! -

et sans mal apparent, ses yeux aux miens parlèrent

en cet instant ouaté du désir assouvi.

 

Je ne compris pas tout de leur conciliabule

- c’est un fait avéré : les yeux ont leurs secrets ! -

sur le fil du regard, en adroits funambules,

se croisent les serments dans des ballets discrets !

 

Au terme de l’échange, en guise d’amulette,

elle prit mon poignet pour y glisser du sien,

regard devenu grave, une des cordelettes

avec l’habileté d’un parfait magicien !

 

D’un léger coup de rein l’impeccable plastique

de son corps onduleux s’étira vers le haut.

Les rayons du soleil par effet chromatique

s’amusaient à changer la couleur de sa peau.

 

Silhouette irréelle, elle s’évanouit.

.

 

Je restais étourdi, sans bouger sur le sable.

Ce n’était pas un rêve … un cauchemar non plus ;

je ne m’accusais pas … quoiqu’un peu responsable,

de cet acte réflexe en aucun cas voulu.

 

Je conquis l’amitié des poissons de rivage

en revenant souvent, m’abstenant de pêcher,

tout du moins dans ce sens, car la beauté sauvage

y revenait aussi : pourquoi l’en empêcher ?

 

Elle arrivait toujours en costume identique,

en guise de discours, me montrant son poignet.

J’avais depuis longtemps appris la mimétique :

les cordelettes-liens nous servaient de signet !

 

Spectateurs assidus de nos folles étreintes,

les oiseaux de bordure acquiesçaient à grands cris !

Ajoutons à cela nos rires et nos plaintes

et la plage héritait d’un vrai charivari !

 

Cependant … quelques fausses notes

venaient troubler le bel ordre établi.

.

 

Il arrivait parfois qu’une semaine entière

je ne la visse pas : où était-elle alors ?

Cette interrogation n’étant pas la première,

je m’aperçus du piège et je sentis ses mors !

 

Trop tard pour m’arracher : la prise était solide !

Mélange de regrets, de plaisirs, de soupirs,

mes sentiments hachés, parfois, frôlaient le vide :

je rêvassais sans cesse au lieu de déguerpir !

 

Un jour elle arriva plus tard que de coutume.

Je ne l’espérais plus et allais m’éloigner,

je relevais de suite un détail de costume :

Eve brune intégrale y compris le poignet !

 

Ce détail mis à part, rien ne changea de suite

dans le ballet rodé de nos ardents ébats,

se donnant sans tabou, repoussant les limites,

elle assumait son rôle en ces vaillants combats.

;

C’est après le repos - que toute joute implique -

que vint le changement. Quand, désir éloquent,

du tremblement de chairs, je voulus la réplique,

elle se déroba me laissant paniquant.

 

Un long moment passa - parenthèse immobile -

puis elle se leva me montrant son poignet ;

je compris à l’instant : d’un geste malhabile,

je lui rendis son lien puis courus m’éloigner.

 

Combien de temps errais-je en suivant le rivage,

à ressasser la chose, à chercher la raison ?

Autant qu’il en fallait pour le grand lessivage

de mon morne cerveau parlant de trahison.

 

Je ne demandais rien que de vivre en ermite,

de savourer la paix jusqu’à mon dernier jour ;

pourquoi donc accepter un cadeau-dynamite

quand on sait qu’il explose en vous broyant toujours !

 

Ce qui prouve que l’homme a bien faible mémoire,

regobant l’hameçon garni du même appât :

il hisse sa bêtise en tare expiatoire

et même les poissons ne s’y reprennent pas !

 

Vidé de toute force et le cerveau en friche,

je m’écroulais sur place et d’un coup m’endormis.

La nuit fut écran noir - pas de rêve à l’affiche ! -

d’une désolation comme il n’est pas permis.

 

La lune me veilla, naufragé sur le sable.

La fraîcheur matinale activa tous mes sens ;

Je me surpris calmé, tout à fait responsable,

abandonnant la grève … allant à contresens.

 

Avec grande douceur, les vagues m’accueillirent

et comme mon cerveau, mon corps se purifia.

Equilibre parfait, sans jamais tressaillir,

je goûtais les bienfaits de ce bonheur médiat.

 

La mer ayant comprit ma grande lassitude,

se referma sur moi, m’accueillant sans façon.

Fossoyeuse efficace en toute latitude,

elle connaissait l’homme et savait sa chanson.

 

Il me restait encore un soupçon de croyance :

que mon âme et mon corps pouvaient se séparer !

Je prenais cette option - était-ce clairvoyance ? -

au point où j’en étais, autant m’en emparer !

 

Je mourus sans souffrir : ce ne fut que justice !

Mon corps entre deux eaux flottait élégamment,

un courant l’entraîna sur le bord d’un abysse

qui faillit l’avaler définitivement !

 

Une main secourable empêcha sa descente,

le prenant par la main comme on prend un enfant.

J’assistais à la scène et réserve décente,

je restais en retrait tout en les observant.

 

Quand il tourna la tête et qu’il vit la sirène,

mon corps se démena comme étant possédé :

tout ! - et même finir rongé par les murènes ! -

plutôt que de céder à l’appât dénudé !

 

Il avait avalé déjà bien trop d’arêtes :

pas question de goûter à la femme poisson !

Il sacrifia sa main d’une façon secrète

et plongea sans regrets dans l’abîme sans fond.

 

Je me retrouvais seul, alors pourquoi poursuivre

ma quête de bonheur sans pouvoir y goûter ?

Une âme sans son corps n’a plus raison de vivre,

je disparus d’un coup dans un remous bleuté.

 

 

 

.

 

                                                                                 Pierre Dupuis
 
.
Merci de m'avoir lu jusqu'à la fin !

 

 

 

 

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Effet papillon : une autre version ! Le poème du jour " Métamorphose " de ... Pierre !

18 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Je viens de retrouver le résultat d'un autre effet papillon que j'avais décrit il y a quelques temps ..............


Photo prise sur le net


J’étais en ce temps là, un explorateur des plus novices mais j’avais déjà la fibre aventurière.



Métamorphose,

Elle avait, sans secret,

un joli petit bouton rose

sur le nez !

Elle avait, en secret,

deux jolis petits boutons roses

aux bouts de ses nénés !

Et moi, plus tout à fait un saint,

j’avais obtenu un blanc-seing :

j’avais le droit

de m’amuser avec les trois

… les trois à la fois !

Trois petits boutons roses

c’est bien !

Pourtant … pourtant cela devient

un peu énervant à la fin !

Alors, passant à autre chose,

j’entrepris de faire l’inventaire

de tout ce qui pouvait être rose.

Et, pourquoi le taire,

j’ai découvert

une délicate,

une merveilleuse,

une somptueuse

variété de rose !

Rose, qu’aucun papillon

n’avait jamais butiné.

Alors, instinctivement,

innocemment polisson,

je m’appliquais avec délectation

à ma métamorphose :

je devins … papillon !

                              Pierre Dupuis

 

 

 

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

18 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus ... avec beaucoup de retard !

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

16 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

rebus 250 (1)

 

rebus 250 (2)

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

C'est une pensée liée à la bienséance ( ou presque ! ) de ... Rotpier ! Donc, à prendre au second degré !

 

1ère ligne, 2ème image : le cri de la vache!       Dernière image : " - - - - - " ou ne pas ( - - - - - ) ... telle est la question !

 

4ème ligne, dernière image : place de la vigie sur un ancien voilier !

 

5ème ligne, 1ère image : ce n'est pas un garçon ! 2ème image : interrogation : " - - - " est ce personnage ! 5ème image : le cri du mouton !

 

Dernière ligne, 2ème image : une " - - - " vue d'en haut !

 

 

Et pis c'est tout !

 

    

 

 

       

Réponse :

Il me parait très déplacé de poser un lapin à une fille qui a un bec de lièvre !

 

Excusez-moi pour le retard … je vous ai presque posé… un  lapin !

                            

 

Ça, c’est juste la signature !
.
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Pierre Perret : "Estelle" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

15 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
 
Cette fois-ci :
 
 « Pierre Perret »
« Estelle »
Une belle tranche de vie
et ... un grand moment de poésie !

 
 
 
 

Estelle

 

Si vous voyez dites-lui mes amis
Combien je suis fou d´elle comment je suis puni
Que ça n´a rien de drôle de se la mettre sous le bras
En cherchant du pétrole dans le Guatemala

Si vous voyez Estelle dites-lui mes amis
Que je bande pour elle, que j´en perds l´appétit
Qu´on se remettra ensemble que je m´avoue vaincu
Et que j´ai les mains qui tremblent quand j´évoque son cul

Dites-lui que je suis lucide depuis que je l´ai quittée
Que j´étais bien trop candide que j´aurais dû l´écouter
Et que cette fille superbe qui m´emmena en bateau
Je l´ai su qu´à l´île d´Elbe que c´était un travelo

Ça les a bien fait rire ces salauds m´ont gardé
Sur ce bon vieux navire bourré de vieux pédés
Et que jusqu´en septembre sur ce maudit rafiot
J´étais la femme de chambre du lieutenant de vaisseau

Si vous voyez Estelle dites-lui que je me suis trompé
Que je ferai tout pour elle toujours le dos courbé
Rien qui ne lui déplaise et que le dimanche matin
Si c´est debout qu´on baise je prendrai les patins

Dites aussi à Estelle que ma virilité
Est bien redevenue telle qu´avant de la quitter
Bien que cette foutue danseuse des ballets de Hong Kong
M´ait laissé les valseuses comme des balles de ping pong

Si vous voyez Estelle dites-lui bien surtout
Que j´aimerai sa cuisine que je serai plus jaloux
Et que si encore elle m´aime que j´en serai si content
Que j´oublierai le nom de baptême de son putain d´amant

Qu´elle aura toute ma paie pour sortir quand elle veut
Que c´est fini la bouteille que je ne triche plus au jeu
Que ma vie est amère qu´il faut que l´on renoue
Dites-lui même que sa mère peut habiter chez nous

Si vous voyez Estelle dites-lui mes amis
Combien je suis fou d´elle comment je suis puni
Que ça n´a rien de drôle de se la mettre sous le bras
En cherchant du pétrole dans le Guatemala

 

Bon partage !

 

Rotpier

 
 

 

 

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Coloquintes : " Amours coupables … au jardin ou ... comment naquirent les coloquintes, " un poème de Rotpier le jardinier !

13 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

C'est le printemps
et c'est le moment de les repiquer !
 
.
Image du net !
.
Bon, d'accord, il y en a plus que 8, mais
vous n'allez pas en faire une jaunisse quand même !
 
 
.

Parce qu’il y a bien une raison

pour que les coloquintes soient si biscornues !

 

;

Petit montage du Rotpier !
Bon, là, le compte y est !
 
.

 

Amours coupables … au jardin

ou … comment naquirent les coloquintes,

.

 

Un beau matin dans un jardin

qui s’éveillait sous la rosée,

un cornichon très très coquin

fit une cour des plus osée !

.

 

Le baratin de ce gredin

s’adressait à une citrouille

de très jeune âge, au nez mutin

mais innocente: oh! la fripouille !

.

 

La belle avait la peau satin,

des yeux luisants, quant à la taille,

lui, mesurait douze fois moins

et … c’était là toute la faille !

;

 

Mais en amour, c’est bien connu,

la raison n’a que peu de place !

De leurs ébats très saugrenus,

il en est resté une trace :

.

 

 

Un beau matin dans le jardin,

la belle qui était enceinte

donna le jour à huit bambins

tout biscornus : des coloquintes !

 

 

                                       

                                     Rotpier

 

.

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Poésie, le poème du jour : "Heureux qui comme cul lisse," ... un poème de Joachim ... euh ... non ! de ... Rotpier

11 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Nota :

Je le repasse une fois par an … cela ne fait pas un pli !

Laissez moi votre avis en  … coulisse !

 

 

Prenez Joachim et Pierre

… du Bellay et Ronsard, bien sûr !

Prenez « Heureux qui comme Ulysse » du premier,

pour la forme et « Mignonne allons voir si la rose »

du second, pour l’esprit et vous obtenez la synthèse :

« Heureux qui comme cul lisse » de … Rotpier !

 

Un peu sonnet quand même le gars ... non ?

 

 

 

 

 

.

 

Montage du Rotpier

... enfin ... bidouillage du Rotpier !

 

 

 

 

Heureux qui comme cul lisse,

 

 

 

Bien heureux le cul lisse avide de voyages

qui s’affranchit du joug de sa lourde toison

et qui s'offre aux regards bien plus que de raison,

se prêtant aux plaisirs de nombreux essayages.

 

 

Qu’il en profite à fond, en ville ou au village,

dans les champs, dans les bois, à la belle saison

ou bien sous l’édredon à la défeuillaison :

il aura moins d’attrait quand il prendra de l’âge.

 

 

Même en gardant toujours son coté audacieux,

il aura plus de mal à attirer les yeux.

Les rides seront là sur sa peau moins affine

 

 

qui faisait que les gars en perdaient leur latin

devenant pour le coup presque tous chauds lapins

et le faisaient reluire autant que pierre fine !

 

 

 

                                                                                                  

                                                    Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

10 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

 

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

9 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

rebus 249 (1)

 

rebus 249 (2)

 

      

rebus 249 (3) rebus 249 (4)

 

 

     

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

C'est une pensée très sérieuse de Pierre ! Pas de connerie aujourd'hui.

 

1ère ligne, 3ème image : en direct "che" ! Dernière image : bande de terre entre deux pays ou deux continents !

 

2ème ligne: 2ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! ( Le suivant aussi : nous sommes en plein carnage ! ) 4ème image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !

 

4ème ligne, 3ème image : elle mange son mec après l'amour ! Dernière image : il y en a quatre !

 

5ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours '"s" ! ( l'autre aussi ! )

 

6ème ligne: 2ème image : il ne faut pas prendre le mou !

 

7ème ligne, 1ère image : nom du volume ! 2ème image : c'est la position du personnage qu'il faut retenir !

 

8ème ligne: 2ème image : une sale bête qui pique !

 

9ème ligne: 2ème image : celui-ci n'est pas à Roland Garros !

 

11ème ligne: 1ère image : en direct : "vie" ! 3ème image : un diagramme de "- - - " !

 

12ème ligne: 1ère image : quand bébé pleure, il fait " - - - " ... il fait un de ces foins ... sans " f " !

 

Dernière ligne, 2ème image : une " - - - " vue d'en haut !

 

 

 

Et pis c'est tout ! Bon courage, il est long et je suis en retard !

 

 

Réponse :

Le fascisme est une maladie intellectuellement transmissible et la durée d’incubation est d’autant plus courte que les individus sont moins instruits.

                           

 

Ça, c’est juste la signature !

 

 

 

 

 

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Avant que l'on ait besoin de recommencer : "Le chant des Partisans" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

8 Juin 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
 
Cette fois-ci :
 
 « Le chant des partisans »
Avant que l’on ait besoin de recommencer …
la bête recommence à hurler !
Voir aussi un de mes billets de la semaine :
 
 
.
 
 

 
 

Bon partage !

 

Rotpier

 
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