Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus du Rotpier qui a été tôlier ( c'est vrai: tôlier-prototypiste dans l'éclairage public ! ) mais pas taulier !
1ère ligne, 2ème image : c'est la marque du Petit Beurre qu'il faut retenir ! 4ème image : la moitié de la marque !
2ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours " s " !
3ème ligne, 2ème image : lieu où des animaux sont en captivité !
4ème ligne, 1ère image : attention c'est " - - - - - " bouillant !
7ème ligne, dernière image : quand il a fini de téter, le bébé fait son " - - - " ... vous pouvez mettre le "t" dans votre poche et votre mouchoir par dessus !
9ème ligne, dernière image : à 3 H 52 du mat, c'est très " - - - " ... et pas de France !
11ème ligne, dernière image : de sable ou d'autre !
12ème ligne, 2ème image: une fleur pas rugueuse du tout ! Dernière image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! ... quand c'est autre chose, on ne sait pas !
Dernière ligne, 3ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! Dernière image : c'est l'arme qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Il est assez court, vous pouvez y aller gaiement ... mais pas forcément dans le lieu indiqué ! Et comme on dit : " Roule ma poule ! "
Manger du bon, mangez du bio !
Réponse :
Un lupanar, ce n’est pas autre chose que des poules en batterie, sauf que la patronne n’est pas fermière mais taulière et que les établissements bios sont rares !
...Voila voila ... du tout frais pondu d'hier !
Jean Ferrat : "Ma môme" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Jean Ferrat »
« Ma môme »
Elle courte mais superbe !
Jeudi nous étions à Ivry aujourd'hui à Clichy
c'est tout près tout près mais un peu loin de Saint-Germain !
Ma môme,
Ma môme, elle joue pas les starlettes
Ell'e met pas des lunettes
De soleil
Elle pose pas pour les magazines
Elle travaille en usine
À Créteil
Dans une banlieue surpeuplée
On habite un meublé
Elle et moi
La fenêtre n'a qu'un carreau
Qui donne sur l'entrepôt
Et les toits
On va pas à Saint-Paul-de-Vence
On passe toutes nos vacances
À Saint-Ouen
Comme famille on n'a qu'une marraine
Quelque part en Lorraine
Et c'est loin
Ma môme elle a vingt-cinq berges
Et j' crois bien que la Sainte Vierge
Des églises
N'a pas plus d'amour dans les yeux
Et ne sourit pas mieux
Quoi qu'on dise
L'été quand la ville s'ensommeille
Chez nous y a du soleil
Qui s'attarde
Je pose ma tête sur ses reins
Je prends doucement sa main
Et j' la garde
On s' dit toutes les choses qui nous viennent
C'est beau comme du Verlaine
On dirait
On regarde tomber le jour
Et puis on fait l'amour
En secret
Ma môme, elle joue pas les starlettes
Elle met pas des lunettes
De soleil
Elle pose pas pour les magazines
Elle travaille en usine
À Créteil
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
"Soleil couchant à Ivry," ... un enchaînement poétique de ... Pierre
On commence par un tableau et ... on est entraîné beaucoup plus loin ...
Image du net
Avant-propos :
Ce tableau peint par Armand Guillaumin (1841-1927) en 1873 est une sorte de mise en garde avant l’heure sur les dangers de la pollution atmosphérique.
Le peintre n'en avait certainement pas conscience à cette époque … de nos jours, cela parait évident... mais ...
Pierre Dupuis
Soleil couchant à Ivry,
Sur un fond de ciel incendie
Des fumées, immondes crachats,
Nous donnent un avant-goût déjà
Des pollutions des industries.
Prémices de l’écologie,
Ce tableau augure un combat
Qui deviendra apostolat
Pour ceux qui servent de vigies.
Jusque là la ville d’Ivry
N’était que campagne et taillis
Mais les usines sont venues
S’implanter en vastes bassins
Comme autant d’horribles verrues,
De monstres crachant leur venin !
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Retombées,
Le peintre en avait-il conscience ?
Personne ne peut l’affirmer,
Son esprit était sublimé
Par les couleurs, pas la prescience.
A cette époque les nuisances
Étaient ardues à estimer,
Comment pouvoir imaginer
Les dégâts sur nos existences ?
Aujourd’hui avec le recul
On peut refaire les calculs
Mais ce serait par trop facile !
Alors que maintenant on sait
On poursuit - pauvres imbéciles ! -
À polluer plus que jamais !
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Péroraison :
Toujours est-il que Guillaumin
À mis le pinceau sur la plaie
De cet avenir qui effraie,
Fruit de l’égarement humain.
Ce n’est pas à la saint-glinglin,
C’est une vérité - la vraie ! -
Un jour il faudra que l’on paie
Et il s’approche de demain !
Et, s’il ne faut prendre qu’un seul exemple :
C’est vraiment du je-m’en-fichiste
Que d’extraire du gaz de schiste
Sous l’aval urbi et orbi
De dirigeants irresponsables
Cédant aux pressions des lobbys
Et qui plaideront non coupables !
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Péroraison de la péroraison :
Pour convaincre les politiques
Il faudra pour les combinards
S’attaquer à leur crâne par
… La fracturation hydraulique !
Pierre Dupuis
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus très ferme ! Il ne faut pas tourner autour du pot !
2ème ligne, 1ère image : il y a 2 personnages sur 4 " - - - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 2ème image : lieu où l'on entrepose des fûts ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, dernière image : il parait qu'elle s'envole quand on passe de l'autre coté !
4ème ligne, 2ème image : l’athlète " - - - - " au présent de l'indicatif !
8ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s", c'set sa manie !
9ème ligne, dernière image : le cri du mouton !
11ème ligne, 1ère image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies ! Dernière image : en direct, le symbole de la " vie " !
12ème ligne, 1ère image: la boisson favorite des rosbif ! 2ème image : petite, la sale bête est lente ! 3ème image : ce que fait le bébé après la tétée ! 4ème image : quand elle pique la sale bête fait très mal !
Dernière ligne, 3ème image : l'assassin " - - - " au présent de l'indicatif ! Dernière image : c'est l'arme qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Et ... n’hésitez pas à trancher !
Réponse :
Quand il faut trancher il faut trancher, à ménager la chèvre et le chou on finit par se faire embourber par le bouc sans éviter pour autant les flatulences !
Nota :
C'est un adage du Rotpier : ne pas choisir de trancher entre deux problèmes c'est s'exposer à subir les inconvénients des deux !
Jacques Brel : " L'éclusier " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Jacques Brel »
« L’éclusier »
Le plus difficile c'est d'arriver à écluser
sa peine quand on en a de trop
au fil du temps, au fil de l'eau
sur les rivières, sur les canaux ...
L'Éclusier
Les mariniers
Me voient vieillir
Je vois vieillir
Les mariniers
On joue au jeu
Des imbéciles
Où l'immobile
Est le plus vieux
Dans mon métier
Même en été
Faut voyager
Les yeux fermés.
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Les mariniers
Savent ma trogne
Ils me plaisantent
Et ils ont tort
Moitié sorcier
Moitié ivrogne
Je jette un sort
À tout c'qui chante
Dans mon métier
C'est en automne
Qu'on cueille les pommes
Et les noyés
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Dans son panier
Un enfant louche
Pour voir la mouche
Qui est sur son nez
Maman ronronne
Le temps soupire
Le chou transpire
Le feu ronchonne
Dans mon métier
C'est en hiver
Qu'on pense au père
Qui s'est noyé
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Vers le printemps
Les marinières
M'font des manières
De leur chaland
J'aimerais leur jeu
Sans cette guerre
Qui m'a un peu
Trop abimé
Dans mon métier
C'est au printemps
Qu'on prend le temps
De se noyer
Bon partage !
Rotpier
"Le monte-en-l’air sentimental," un poème de Rotpier qui se conservera bien... je crois !
Image du net !
L’histoire se passe en début de siècle dernier …
Le monte-en-l’air sentimental,
C’était il y a très longtemps,
il vivait de cambriolages
lui l’homme à la force de l’âge
et elle au fort tempérament.
Il en était fou amoureux
mais elle était cuisse légère
ses aventures passagères
le rendaient vraiment fou furieux.
Et un jour le drame arriva,
il serra fort une lanière
autour du cou de sa bergère :
en peu de temps elle expira.
Il la découpa en morceaux
de façon vraiment méthodique,
une manière bien pratique
pour désorienter les perdreaux.
Il savait manier le hachoir,
les couteaux ainsi que les scies,
il avait une décennie
derrière lui en abattoir.
Après trois mois de flottement
il avait expurgé sa peine
ainsi que le reste de haine,
il n’avait plus trop de tourments.
Il avait repris le métier
de monte-en-l’air par habitude,
il le faisait sans inquiétude,
tranquillement en vieux routier.
Dans le genre Arsène Lupin
un peu moins élégant quand même,
vivant de façon plus bohème
mais gagnant largement son pain.
En souvenir de son amour
et afin de penser à elle
de manière très solennelle
il gardait dans son sac toujours …
… à portée de main un tibia
taillé d’un bout en pied de biche
qu’il utilisait chez les riches
quand il faisait une razzia.
Un outil vraiment idéal
pour forcer fenêtres et portes
et toute la joie qu’il apporte
pour quelqu’un de sentimental.
On peut bien être monte-en-l’air
et s’enticher d’une friponne
au point que son cœur s’enjuponne
et que l’on commette un impair.
Et un jour il en commit un
alors qu’il forçait une porte
avec le tibia de la morte
il ne vit pas les argousins.
Ils lui tombèrent sur le dos
alors qu’il rêvait à sa belle,
il passa en correctionnelle
et se prit vingt ans à Clairvaux.
Moralité :
Quand on pratique ce métier
qui est assez funambulesque
on évite le romanesque :
pas la peine d’en rajouter !
En lieu et place d’un tibia
il aurait pu, sur l’étagère,
dans le formol et solitaire
garder son plus joli ténia.
Rotpier
Image du net !
Je ne suis pas certain que cela soit un ténia.
Ce dont je suis persuadé c'est que cela ne doit pas être très bon à manger !
Ah ! Poésie, quand tu nous tiens !