Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )
3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !)
5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !
6ème ligne, dernière image : le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo !
9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand !
10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi ! Je ferais mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose !
11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des " - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !
12ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus !
14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !
Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "
Il est assez long alors ... au boulot les champions et bon voyage !
Et pis ch'est tout !
Réponse :
Il ne faut jamais demander à un musulman et encore plus un intégriste si au bout de son voyage il est arrivé à bon port car il risque de faire sa tête de cochon !
Nota : Il eut été, même en hiver, peut-être plus judicieux de mettre "moins" à la place de "plus", on m'en a fait la remarque et ma foi je pense qu'elle est justifiée !
Je fais mon mea cul plat
et remercie qui de droit !
Amen !
... Et pis c'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )
3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !)
5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !
6ème ligne, dernière image : le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo !
9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand !
10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi ! Je mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose !
11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des " - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !
12ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus !
14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !
Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "
Il est assez long alors ... au boulot les champions et bon voyage !
Et pis ch'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Barbara: " Göttingen " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Barbara »
« Göttigen »
La longue dame brune …
Göttingen
Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen
Bon partage !
Rotpier
« Barbara »
« Göttigen »
La longue dame brune …
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Göttingen
Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : " La rousse semeuse de maux, " de ... Rotpier
Des maux et des mots ... démo :
Image du net bidouillée par le Rotpier
.
La rousse semeuse de maux,
Elle avait un petit sourire
Qui laissait pantois les garçons
Et un coté pince-sans-rire
Qu’elle cultivait sans façon.
Allaient-ils se faire éconduire
Ou passer sous son édredon ?
Répertorier ou bien maudire
Ses nombreuses taches de son ?
Pas facile à cerner la rousse :
Une énigme que sa frimousse !
Et toujours la même question :
Même teinte à tous les étages ?
Et pour la vérification
Ne pas essuyer un : « Dégage ! »
Péroraison :
Voila l’espoir énigmatique
Mais ne manquant pas de piquant
Que de façon systématique
La rousse semait à tous vents !
Image du net, c'est net !
Des maux et des mots ... démo :
Image du net bidouillée par le Rotpier
.
La rousse semeuse de maux,
Elle avait un petit sourire
Qui laissait pantois les garçons
Et un coté pince-sans-rire
Qu’elle cultivait sans façon.
Allaient-ils se faire éconduire
Ou passer sous son édredon ?
Répertorier ou bien maudire
Ses nombreuses taches de son ?
Pas facile à cerner la rousse :
Une énigme que sa frimousse !
Et toujours la même question :
Même teinte à tous les étages ?
Et pour la vérification
Ne pas essuyer un : « Dégage ! »
Péroraison :
Voila l’espoir énigmatique
Mais ne manquant pas de piquant
Que de façon systématique
La rousse semait à tous vents !
Image du net, c'est net !
" Écrin de classe " : un poème de Pierre qui a plus d'une corde dans son arc !
Écrin de classe,
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
L’archet malin
qui la chatouille
se fait gredin
avec papouilles !
De grands frissons,
de longues plaintes,
voilà le son
de la complainte !
Et bien au chaud,
elle ronronne,
moite berceau :
la place est bonne !
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
Rêve …
J’aimerais bien
avoir ma place
en cet écrin
de grande classe !
Je voudrais …
Aux noirs souliers,
faire la nique,
prendre mon pied
… tout en musique !
Mais je n'ai pas
la moindre chance :
je reste là
hors de la danse !
Écrin de classe,
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
L’archet malin
qui la chatouille
se fait gredin
avec papouilles !
De grands frissons,
de longues plaintes,
voilà le son
de la complainte !
Et bien au chaud,
elle ronronne,
moite berceau :
la place est bonne !
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
Rêve …
J’aimerais bien
avoir ma place
en cet écrin
de grande classe !
Je voudrais …
Aux noirs souliers,
faire la nique,
prendre mon pied
… tout en musique !
Mais je n'ai pas
la moindre chance :
je reste là
hors de la danse !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image : le serpent fait toujours "s" ou "se" selon son humeur avec ou sans panaris ! 3ème image : " - - - " est ce personnage ? Dernière image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
2ème ligne, 2ème image : ça ne sent pas bon ... au présent !
4ème ligne, 1ère image : en direct: "ti" ! 2ème image : ils sont à poil ! 3ème image : petite, la sale bête est lente !
5ème ligne, 1ère image :il ne faut pas prendre la brosse ! Dernière image, le symbole de la "vie" ... c'était en direct du rébus dominical du Rotpier, à vous les studios !
6ème ligne, 2ème image : la sale bête pique tant et plus !
7ème ligne, dernière image : prison pour animaux sauvages ! ( l'autre aussi ! ) Nota: il faut enchaîner avec la 1ère image de la 8ème ligne !
11ème ligne, dernière image : attention c'est " - - - - " bouillant !
12ème ligne, dernière image : endroit où sont entreposés des fûts ! Je rappelle pour les imprudents qu'il est très dangereux de laisser un doigt dans le trou du fût !
Dernière ligne, 1ère image : celui-ci est sélectif comme dit souvent mon coiffeur qui a tendance à les couper en quatre !
Il est assez long alors ... au boulot les champions !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Ceux qui manipulent le Coran en continu pour créer de vives tensions entre les hommes et les peuples ne méritent pas autre chose que la chaise électrique !
Qu'il dit l'animal !
Léo Ferré : " La mémoire et la mer " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Que dire ? Rien, écouter et se laisser bercer par
la voix, la musique et les paroles ...
LA MÉMOIRE ET LA MER
La marée je l'ai dans le coeur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite soeur
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baisers
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus
Ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais géométrisant
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte mon spleen
Les coquillages figurants
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieu des granits ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue
Dans cette mer jamais étale
D'où nous remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du flafla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue aux musiques mortes
C'est fini la mer c'est fini
Sur la plage le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
Bon partage !
Rotpier
Le poème et les réflexions du jour : " Dérapage non contrôlé mais … pas forcément de l’auteur, " de ... Pierre
Préambule :
Il n’est pas pire ineptie que de croire que la démocratie, une fois acquise, demeure éternelle. Elle est à la fois forte et fragile, ce qui implique de la défendre bec et ongles contre toute attaque, extérieure comme intérieure.
Des limites de la démocratie,
La démocratie est sans conteste la meilleure façon pour un pays d’être gouverné mais … parce qu’il y a un « mais » ! Elle n’est pas à l’abri de se saborder elle-même par le fait de l’ignorance, de l’inconséquence et de la versatilité d’une partie des citoyens qui la composent.
Les apprentis dictateurs à l’affût le savent bien qui les manipulent en les brossant dans le sens du poil à coup d’attrape-tout et d’exacerbation de leur haine et de leur racisme latents envers les « autres ». Autres qui peuvent très bien être leurs propres voisins et même des membres de leur propre famille. Ces manipulations s’appellent tout simplement le populisme ! Qu’il soit de droite ou bien de gauche, il aboutit inévitablement un jour ou l’autre à la dictature.
Les politiques démocrates ne peuvent pas dénoncer tout haut ce que j’énonce ici ( bien qu’ils le sachent parfaitement ! ) car ce serait se tirer une balle dans le pied et tarir complètement la source des voix des quelques hésitants. Il ne leur reste plus qu’à essayer de raisonner ces électeurs potentiels sans grand espoir d’y parvenir.
Il importe donc que ce soit des gens de la société civile qui tentent de le faire en sachant aussi que quand l’ignorance et la bêtise sont sur les rails il est très difficile de les arrêter, l’histoire l’a prouvé à maintes reprises aux quatre coins de la terre.
N’étant ni homme politique ni homme important mais républicain convaincu, j’ai décidé d’apporter cette petite pierre à l’édifice de la démocratie. Elle est ce qu’elle est, mais elle est et a le mérite d’être. Elle est brute et tranchante comme silex puisque totalement expurgée de toute trace de langue de bois.
Pierre Dupuis
Image du net
Préambule :
Il faut encore et toujours sonnet le tocsin !
Dérapage non contrôlé mais
… pas forcément de l’auteur,
Sonnet premier :
Il est des gens très hermétiques
qui gobent les attrape-tout *
et nul besoin d’être caustique
pour encore enfoncer le clou !
Sur le plan purement pratique
autant le dire sans tabou,
leur QI est problématique :
à peine plus qu’un sapajou !
Comptons que jamais ils ne volent
car je vous fiche ma parole
que ce genre d’individus
criards et cons comme des mouettes
pourraient nous déféquer dessus
en y allant à l’aveuglette !
* Programme politique assez vaste pour attirer un grand nombre de voix d’électeurs, que l’on peut qualifier plus prosaïquement d’attrape-couillons !
xxxxxxxxxxxxxx
Sonnet second :
Quand je pense que ceux-là votent
cela me fait froid dans le dos,
une ficelle, une carotte
et leurs voix tombent aussitôt !
Changeant de bord comme de chiotte,
brandissant leur nouveau drapeau,
retournant vestes et culottes
quitte à se faire mettre gros !
Vous allez dire : « Il exagère
sous l’emprise de la colère ! »
Moi calmement je vous dis « Non ! »
Je ne supprime aucune ligne,
c’est clair et net et non abscons :
je confirme persiste et signe !
xxxxxxxxxxx
Sonnet troisième :
Je ne fais pas de politique,
je ne cours pas après les voix
et les discours dithyrambiques
je m’en bas l’œil ça va de soit !
Je comprends que ma dialectique
puisse choquer et je conçois
qu’on l’abhorre et qu’on la critique
mais sur tout cela je m’assois !
Quand je vois la classe ouvrière
tomber la tête la première
gaiement dans le piège infernal
du populisme vomitoire
je crie à l’affront national :
ils ne connaissent plus l’histoire !
Péroraison :
Quoi que l’on dise ou que l’on fasse
l’éternel recommencement
remettra les gens face à face
pour en découdre allègrement !
C’est chaque fois la même chose,
on dit que c’est la der des der
mais la haine se réimpose,
métastasant comme cancer !
Et au sein de chaque famille
de nombreuses prises de bec
partiront sur une broutille
et flamberont comme bois sec !
Cela durera des années,
se propageant comme typhus,
des relations empoisonnées
comme dans l’affaire Dreyfus !
J’aurais pu évoquer la peste
comme vecteur de mal connu,
surtout la brune qui empeste
beaucoup plus fort selon Camus !
On y laissera tous des plumes
mais les responsables diront
drapés dans leurs nouveaux costumes :
« Ce n’est pas nous ! » … à l’unisson !
Ils ne pourront pourtant pas dire :
« Si seulement nous avions su ! »
partout l’information transpire
et ce tous médias confondus !
Mais il faut en avoir l’envie
et arrêter de s’abrutir
avec des émissions pourries
tout juste bon à abêtir !
Tous les grands chantres populistes
tablent sur le repli sur soi
qui selon tous les spécialistes
conduirait au chaos tout droit !
De nos jours vivre en autarcie
n’est que chimère et illusion,
ceux qui prônent cette ineptie
ont d’autres buts : leurs ambitions !
Car ne nous voilons pas la face
c’est bien de cela qu’il s’agit :
manipuler la populace
et puis l’asservir à l’envi !
Raviver le feu de la haine
et du racisme en même temps
venant des profondeurs lointaines
et couvant chez les ignorants !
Lever des meutes phalangères,
des milices prêtes à tout,
ne dites pas que j’exagère,
regardez tout autour de vous !
Dans un bar allez boire un verre,
observez bien et écoutez,
vous en entendrez de sévères
et vous ne pourrez plus douter !
Fermez les yeux et en images
vous les verrez vociférer
et s’élancer pour le lynchage
de quelques cercles désignés !
L’histoire est remplie de ces scènes
mais l’amnésie est de rigueur,
la peste brune est pathogène
et se propage avec vigueur !
Au bout de la triste aventure,
quand les combats seront finis,
quand on dressera la facture
viendra l’heure du grand déni !
Responsables mais pas coupables :
on connaît le refrain par cœur,
au moment de se mettre à table
tous deviendront enfants de chœur !
Mais il y aura les portables
comme impitoyables mouchards,
Facebook et autres redoutables
outils pour piéger les cafards !
Rien de nouveau en ce bas monde,
les pigeons restent les pigeons,
quelques grains et ils font la ronde
… certains même tendent le fion !
Avec ce genre de poème
je ne me ferai pas d’ami
et à vrai dire je crois même
que j’ouïs déjà des ennemis !
S’ils viennent sonner à ma porte
j’essaierai de leur expliquer
pourquoi j’ai agi de la sorte,
je tenterai de m’appliquer !
Mais ils n’auront pas la patience
d’attendre avant de me lyncher,
ces gens sont pétris d’obédience
et peu enclin à s’épancher !
Avec ce genre de poème
je ne me ferai pas d’ami,
ce n’est pas pour moi un dilemme :
ce que je pense je le dis !
"Métamorphose foldingue et décousue," ... un poème déjanté de ... Rotpier !
Image du net
Métamorphose foldingue et décousue,
Je suis devenu athée tard :
une incubation prolongée !
J’étais un peu dans le brouillard :
ma raison était submergée !
Je suis devenu athée tard,
une éducation catholique
laisse des traces, c’est vachard,
comme la peste bubonique !
Je suis devenu athée tard,
et depuis j’aime les grenouilles
sauf celles de bénitier car
elles ont le frifri qui rouille !
Je suis devenu athée tard,
je ne suis pas un imbécile
et je planque mes cuisses car
elles pourraient finir dans l’huile !
Je suis devenu athée tard,
maintenant je saute et coasse,
on dit de moi : « Il est jobard ! »
mais je suis bien dans mes godasses !
Je suis devenu athée tard,
j’ai fréquenté des amphis bien,
des nuls aussi, c’est le hasard,
comme les rendez-vous pubiens !
Je suis devenu athée tard,
j’ai des palmes entre les doigts,
pas les académiques car
je ne les ai pas eu ma foi !
Je suis devenu athée tard,
j’ai horreur des fauteuils crapaud,
je leur trouve un coté bâtard :
j’ai cette pensée dans la peau !
Je suis devenu athée tard,
j’aime bien l’écologie verte
mais pas les verts soixante-huitards
qui cavalent après leur perte !
Je suis devenu athée tard,
je n’aime pas ceux qui grenouillent
dans des religions de hasard
et qui s’en mettent plein les fouilles !
Je suis devenu athée tard
mais si jamais un dieu existe,
je ne suis pas contre un rancard
je tiens à rester progressiste !
Je suis devenu athée tard,
et je suis certain que la chose
ne sera pas - aucun espoir ! -
sans l’ombre d’une sinistrose !
Je suis devenu athée tard,
toutes les religions m’hérissent
et je les charge à la hussard
les sachant mystificatrices !
je suis devenu athée tard,
j’ai un penchant pour le blasphème,
je n’en fais pas un étendard
mais de temps à autres j’en sème !
Je suis devenu athée tard,
ma dialectique est décousue,
tant que ce n’est pas mon falzar
j’aurais la langue bien pendue !
Photo du net bidouillée par le Rotpier
Attention ! Je garde un œil sur vous !
Image du net
Métamorphose foldingue et décousue,
Je suis devenu athée tard :
une incubation prolongée !
J’étais un peu dans le brouillard :
ma raison était submergée !
Je suis devenu athée tard,
une éducation catholique
laisse des traces, c’est vachard,
comme la peste bubonique !
Je suis devenu athée tard,
et depuis j’aime les grenouilles
sauf celles de bénitier car
elles ont le frifri qui rouille !
Je suis devenu athée tard,
je ne suis pas un imbécile
et je planque mes cuisses car
elles pourraient finir dans l’huile !
Je suis devenu athée tard,
maintenant je saute et coasse,
on dit de moi : « Il est jobard ! »
mais je suis bien dans mes godasses !
Je suis devenu athée tard,
j’ai fréquenté des amphis bien,
des nuls aussi, c’est le hasard,
comme les rendez-vous pubiens !
Je suis devenu athée tard,
j’ai des palmes entre les doigts,
pas les académiques car
je ne les ai pas eu ma foi !
Je suis devenu athée tard,
j’ai horreur des fauteuils crapaud,
je leur trouve un coté bâtard :
j’ai cette pensée dans la peau !
Je suis devenu athée tard,
j’aime bien l’écologie verte
mais pas les verts soixante-huitards
qui cavalent après leur perte !
Je suis devenu athée tard,
je n’aime pas ceux qui grenouillent
dans des religions de hasard
et qui s’en mettent plein les fouilles !
Je suis devenu athée tard
mais si jamais un dieu existe,
je ne suis pas contre un rancard
je tiens à rester progressiste !
Je suis devenu athée tard,
et je suis certain que la chose
ne sera pas - aucun espoir ! -
sans l’ombre d’une sinistrose !
Je suis devenu athée tard,
toutes les religions m’hérissent
et je les charge à la hussard
les sachant mystificatrices !
je suis devenu athée tard,
j’ai un penchant pour le blasphème,
je n’en fait pas un étendard
mais de temps en tant j’en sème !
Je suis devenu athée tard,
ma dialectique est décousue,
tant que ce n’est pas mon falzar
j’aurais la langue bien pendue !
Photo du net bidouillée par le Rotpier
Attention ! Je garde un œil sur vous !