Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier + une petite pensée en prime !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
La petite pensée en prime :
C’est quand on voit une boucherie-charcuterie coincée entre un sex-shop et une boutique SFR que l’on s’aperçoit vraiment que la France a beaucoup changé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Réponse :
Ce qui est intéressant pour faire des économies de chauffage c’est d’avoir une femme qui a toujours des bouffées de chaleur !
Qu'il dit l'animal !
Stromae : " Formidable " ... ce n'est pas un em ... papaoutai ! ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Formidable
Formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Oh bébé, oups! Mademoiselle
Je vais pas vous draguer, promis juré
Je suis célibataire, depuis hier putain!
Je peux pas faire d'enfant et bon c'est pas! Eh reviens!
5 Minutes quoi! Je t'ai pas insulté,
Je suis poli, courtois, et un peu fort bourré
Et pour les mecs comme moi
Vous avez autre chose à faire hein
Vous m'auriez vu hier
J'étais
Formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Eh tu t'es regardé, tu te crois beau
Parce que tu t'es marié, mais c'est qu'un anneau
Mec, t'emballes pas,
Elle va te larguer comme elles le font chaque fois
Et puis l'autre fille, tu lui en as parlé?
Si tu veux je lui dis, comme ça c'est réglé
Et au petit aussi, enfin si vous en avez
Attends 3 ans, 7 ans et là vous verrez
Si c'est
Formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Et petite, oh pardon! Petit
Tu sais dans la vie y'a ni méchant ni gentil
Si maman est chiante
C'est qu'elle a peur d'être mamie
Si papa trompe maman
C'est parce que maman vieillit, tiens
Pourquoi t'es tout rouge? Ben reviens gamin!
Et qu'est-ce que vous avez tous
À me regarder comme un singe, vous?
Ah oui vous êtes saints, vous!
Bande de macaques!
Donnez-moi un bébé singe, il sera
Formidable, formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Formidable
Tu étais formidable, j'étais fort minable
Nous étions formidables
Bon partage !
Rotpier
" Les couleurs de la vie " : le poème du jour de Pierre
Une photo ... un homme ... un poème ... la vie quoi.
Photo de Jean-françois Simon
Les couleurs de la vie,
L’homme était là, droit … immobile …
détaillant chaque ton … fragile
… encore … encore un peu.
Il avait, sous les yeux,
les couleurs traversées
cette dernière année.
De gauche à droite sur le cliché,
… il les revivait …une à une … intensément.
Le sombre … le plus que sombre,
cette poisse d’ombre
…désespérant.
Il était là … dans ce trou noir.
Il avait perdu tout espoir.
L’enfer ! Le fond ! La fin du rêve !
Et tous les jours … et pas de trêve !
Il n’y avait plus que le vide
… plus que le noir … livide.
Le temps passait … pas un éclair.
Pourtant il savait bien le clair !
Il l’avait connu … avec elle.
Oui ! Avec elle, la belle !
Et puis un jour … plus rien … partie !
Sans explications ! … La folie !
Le tunnel ! Le trou ! Le néant !
Des mois dans ce gouffre béant.
Des mois et des mois d’amertume :
le long deuil d’un amour posthume.
Pourtant …
Un matin, dans son vieux miroir,
il avait cru apercevoir
une lueur … fugitive.
Eclaicie toute relative :
du noir … moins noir … virant au gris.
Mais, vigilant même amaigri,
décochant des nuées de traits sombres,
le noir essayait le surnombre.
Malgré cela, il reculait.
Des escadrons, couleur de lait,
arrivaient à faire main-basse
sur les volumes de l’espace !
Le bleu avançait, impérial,
gommant tout souvenir glacial.
Ayant fini son balayage,
certain d’avoir tourné la page,
l’homme pivota et sourit.
Son regard accrocha – surpris ! –
le fier profil d’une passante
d’une clarté éblouissante !
Pierre Dupuis
Le petit rébus dominical du ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Réponse :
A force de racler les fonds de tiroirs l’antiquaire était devenu peu commode !
PS : Excusez-moi pour le retard mais hier, je gonflais des ballons !
Qu'il dit l'animal !
Richard Cocciante : "Marguerite" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Marguerite,
Surtout ne m'en voulez pas trop
Si ce soir je rentre chez moi
J'ai tellement de choses faire
Avant que le jour se lve
Et pendant qu'elle dormira
Moi, je lui construirai des rves
Pour que plus jamais au rveil
Elle ne se lve les yeux en pleurs
Et pour que cette longue nuit
Ne soit plus jamais noire et profonde
Je demanderai la lune
De remplir le ciel tout entier
Et pour que je puisse encore avoir
Le sourire comme avant
Je demanderai au solleil
De brler mme en plein hiver
Et pour qu'elle puisse encore chanter
Les chansons de notre Bohme
Je construirai un silence
plus grand que ceux des cathdrales
J'irai rveiller les amants
Je parlerai des heures entires
Et je sais qu'ils me suivront
Tant que nous resterons amants
Alors on se promnera
Tous ensemble on dansera
D'incroyables sarabandes
Et elle oubliera sa peine
Et pour que la ville danse
Et pour que la ville chante
On inventera des couleurs
Et elle oubliera ses larmes
Nous irons dans les campagnes
Pour cueuillir des fleurs des champs
Et en faire un grand lit blanc
O l'on s'aime tendrement
Et puis nous irons au bord du ciel
Pour lui choisir une toile
Parce que Marguerite est belle
Parce que Marguerite est belle
Parce que Marguerite est frle
Parce que Marguerite est douce
Parce que Marguerite m'aime
Moi je ne vis que pour elle
Marguerite est ma raison
Mon lendemain mon idal
Marguerite qui est le vent
Ne sais pas qu'elle peut me faire mal
Parce que Marguerite est celle
Que je veux toujours prs de moi
Marguerite est Marguerite
Marguerite est tout pour moi
Marguerite est tout pour moi
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : "Hello, Lola !" de ... Pierre
Aujourd’hui, un poème pour une charmante petite nièce.
Poème remis à ses parents pour qu’il soit donné maintenant avec quelques explications de vocabulaire et de texte ou bien un peu plus tard selon leur choix !
Pierre
Photo personnelle détourée !
A Lola,
Hello, Lola !
Dans tes cheveux Lola,
pas de méli-mélo,
ils descendent très bas :
jusqu’au bas de ton dos !
De tes grands yeux Lola
émanent des halos
qui plus tard - holà là ! -
rendront les mecs accros !
Dans peu de temps Lola
tu auras des lolos
et à ce moment-là
attention aux cocos
qui voudront - les goujats ! -
s’attaquer à tes hauts
et ensuite à tes bas
sans plus de distinguo !
Mais tu sauras Lola
faire tout ce qu’il faut
car ta maman aura
su te glisser les mots
qu’il faut dans ces cas-là
balancer aussitôt :
« Bas les pattes mon gars,
range ta libido ! »
Mais un beau jour Lola
tu prendras au lasso
de tes yeux, de tes bras,
un garçon de facto !
Il n’en reviendra pas
de ton joli culot,
il en sera baba
mais ravi aussitôt !
Jamais il n’admettra,
en ville ou au boulot,
de raconter cela :
bobo à son ego !
Mais … mais …
Peut-être bien Lola
que ce court fabliau
ne se produira pas
comme disent mes mots !
Peut importe Lola
le rythme du tempo,
c’est toi qui choisiras
ton propre scénario !
Et quand tu reliras
plus tard ces quelques mots,
en riant tu diras :
« Sacré tonton Pierrot ! »
Pierre Dupuis
Le poème du jour : "Dans la maison vide," ... un poème de Pierre
Dans la maison vide,
Bien sûr, il lui restait la vie
… et aussi son petit chien noir,
mais elle n’avait plus envie,
souvent, de quitter son peignoir.
Pendant ces jours longs et sinistres,
sans fin, elle tournait en rond,
tout en puisant dans le registre
de sa mémoire … au plus profond.
Elle passait de pièce en pièce
dans la maison beaucoup trop grande,
revivant les scènes de liesses
… les jours de bonheur à revendre !
Mais maintenant tout était vide,
le lourd silence étourdissant
rendait son visage livide
et son moral déliquescent.
Les quelques pas sur la terrasse
et son regard sur le jardin,
la rendaient encore plus lasse :
les beaux massifs étaient bien loin.
Le chiendent y régnait en maître,
le gazon n’était plus tondu,
la haie faisait plus de trois mètres
et le vieux puits était fendu.
L’entretien n’était plus possible :
trop onéreux pour son budget,
dans les charges incompressibles,
pas de place pour le sujet.
Car en plus de la solitude
l’argent commençait à manquer,
de plus en plus d’incertitudes :
des revenus bien étriqués.
Il n’y avait pas de mystère,
elle avait compris que malgré
un train de vie des plus austères
viendrait le jour tant redouté.
Un jour vraiment épouvantable :
celui de vendre la maison !
Un jour - ô combien - détestable,
un jour à perdre la raison !
Un pan entier de son histoire
allait alors de détacher,
une secousse vibratoire
où son cœur pourrait bien lâcher !
Sans croire, elle priait quand même :
« Que je voudrais mourir avant !
Ne jamais trancher ce dilemme
… peut-être avancer le cadran ? »
Et ces jours-là la vieille dame,
revivant les scènes d’antan,
n’essuyait même plus ses larmes :
il y en avaient tant et tant.
Pierre Dupuis
Les images sont du net, la première est retouchée.