Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, dernière image : il ne faut pas prendre le court !
3ème ligne, 1ère image : certains sont sans fond ... du moins le dit-on ! 3ème image : un arbre cher à Shakespeare ! ( l'autre aussi ! ) 2ème image : le serpent fait toujours "s", c'est sa manie !
4ème ligne, 2ème image : on y a mal quand on boit trop !
5ème ligne, 2ème image : c'est un " - - - - " mec ... comme le Rotpier !
6ème ligne, dernière image : lieu où se tenaient les marchés autrefois ... il en reste encore !
.
Et pis c'est tout !
Réponse :
Ne pas admettre que l’on puisse être parfois un peu borné c’est déjà l’être.
Qu'il dit l'animal !
Mouloudji : "Mon pot' le gitan " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Mouloudji »
« Mon pot’ le gitan »
Allez, je vous propose une petite
balade en roulotte …
Mon Pot' Le Gitan
Mon Pot' Le Gitan c'est un gars curieux
Une gueule toute noir, des carreaux tout bleus
Y reste des heures sans dire un seul mot
Assis près du poêle au fond du bistrot
C'gars-là une roulotte s'promène dans sa tête
Et quand elle voyage jamais ne s'arrête
Des tas d'paysages sortent de ses yeux
Mon Pot' Le Gitan c'est un gars curieux
Mon Pot' Le Gitan, c'est pas un marrant
Et dans notre bistrot personne le comprend
Comme tous ces gars-là il a sa guitare
Une guitare crasseuse qui vous colle le noir
Quand y s'met à jouer la vieille roulotte
Galope dans sa tête, les joueurs de belote
S'arrêtent et plus rien... on a mal en dedans
Mon Pot' Le Gitan c'est pas un marrant
Mon Pot' Le Gitan un jour est parti
Et Dieu seul sait où il ballade sa vie
Ce type là était un grand musicien
Ça j'en étais sûr, moi je l'sentais bien
Le tôlier m'a dit qu'on est venu l'chercher
Un grand music-hall voulait l'acheter
Mon Pot' Le Gitan il a refusé
Un haussement d'épaules et il s'est taillé
J'ai eu l'impression de perdre un ami
Et pourtant c'gars-là ne m'a jamais rien dit
Mais il m'a laissé un coin de sa roulotte
Et dans ma petite tête j'ai du rêve qui trotte
Sa drôle de musique en moi est restée
Quand je pense à lui, m'arrive de chanter
Toi sacré gitan qui sentait l'cafard
Au fond ta musique était pleine d'espoir.
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Le gendarme du harem : " La nostalgie de l'eunuque " , un poème tout en nuances de ... Rotpier
J'espère que cette histoire, déjà relatée, ne vas pas trop vous la couper ...
Les temps sont durs,
qu'importe les sacrifices,
il faut bien bosser, même si c'est ici :
La nostalgie de l’eunuque,
Il avait fait le sacrifice,
pour diriger un grand harem,
de deux pièces de son service :
celles qui marchent en tandem !
Il était devenu eunuque
et conséquence de ce choix,
une virilité caduque :
ça marche moins bien sans les noix !
On ne peut pas vouloir le beurre,
l’argent du beurre et le beurrier,
il faut savoir choisir sur l’heure :
c’est le lot des aventuriers !
Mais à passer entre les croupes
lestes des femmes du sultan,
sans pouvoir goûter à la soupe
c’est quand même très attristant ! *
Parfois il versait une larme
sur son appareil estropié,
relégué au rang de gendarme
ne pouvant plus prendre son pied.
Il était un peu nostalgique
en les regardant dans leur bol
rempli d’aldéhyde formique :
duo fort mou dans le formol !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
J’entends déjà les cris d’orfraie
des grands coincés du bigoudi,
ceux que le parler vrai effraie
mais qui jouent à touche pipi !
Bien qu’ils soient un peu équivoques,
ces vers ne sont pas incongrus :
juste une ablation de breloques
et pas une affaire de cul !
C’est un poème sans luxure :
pas besoin de gesticuler !
Je ne veux pas que la censure
se mêle de l’émasculer !
Rotpier
* Comme disait Bernard ! ( note de Pierre )
J'espère que cette histoire, déjà relatée, ne vas pas trop vous la couper ...
Les temps sont durs,
qu'importe les sacrifices,
il faut bien bosser, même si c'est ici :
La nostalgie de l’eunuque,
Il avait fait le sacrifice,
pour diriger un grand harem,
de deux pièces de son service :
celles qui marchent en tandem !
Il était devenu eunuque
et conséquence de ce choix,
une virilité caduque :
ça marche moins bien sans les noix !
On ne peut pas vouloir le beurre,
l’argent du beurre et le beurrier,
il faut savoir choisir sur l’heure :
c’est le lot des aventuriers !
Mais à passer entre les croupes
lestes des femmes du sultan,
sans pouvoir goûter à la soupe
c’est quand même très attristant ! *
Parfois il versait une larme
sur son appareil estropié,
relégué au rang de gendarme
ne pouvant plus prendre son pied.
Il était un peu nostalgique
en les regardant dans leur bol
rempli d’aldéhyde formique :
duo fort mou dans le formol !
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J’entends déjà les cris d’orfraie
des grands coincés du bigoudi,
ceux que le parler vrai effraie
mais qui jouent à touche pipi !
Bien qu’ils soient un peu équivoques,
ces vers ne sont pas incongrus :
juste une ablation de breloques
et pas une affaire de cul !
C’est un poème sans luxure :
pas besoin de gesticuler !
Je ne veux pas que la censure
se mêle de l’émasculer !
Rotpier
* Comme disait Bernard ! ( note de Pierre )
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, dernière image : le petit personnage " - - - - - " tout simplement ! Comme le petit bonhomme de Bruxelles !
3ème ligne, 1ère image : celui-ci est de sable ! 2ème image : le dernier des Dalton ! Dernière image : outil qui comporte au moins une bulle ! Et pas de con s'il y a bulle ... ce n'est pas le genre de la maison !
4ème ligne, 2ème image : la moitié du prénom du volatile ! 3ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
6ème ligne, dernière image : c'est un " - - - - " mec ... comme le Rotpier !
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Et pis c'est tout !
Réponse :
Si l’on faisait plus de dépistage au niveau des commandants, le cancer du colon serait beaucoup plus rare !
Qu'il dit l'animal !
Jacques Brel : " L'éclusier " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Jacques Brel »
« L’éclusier »
Je ne l’ai sans doute jamais mise celle-ci…
ou alors un jour où j’avais trop éclusé
pour que je m’en souvienne… allez savoir …
L'Éclusier
Les mariniers
Me voient vieillir
Je vois vieillir
Les mariniers
On joue au jeu
Des imbéciles
Où l'immobile
Est le plus vieux
Dans mon métier
Même en été
Faut voyager
Les yeux fermés.
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Les mariniers
Savent ma trogne
Ils me plaisantent
Et ils ont tort
Moitié sorcier
Moitié ivrogne
Je jette un sort
À tout c'qui chante
Dans mon métier
C'est en automne
Qu'on cueille les pommes
Et les noyés
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Dans son panier
Un enfant louche
Pour voir la mouche
Qui est sur son nez
Maman ronronne
Le temps soupire
Le chou transpire
Le feu ronchonne
Dans mon métier
C'est en hiver
Qu'on pense au père
Qui s'est noyé
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Vers le printemps
Les marinières
M'font des manières
De leur chaland
J'aimerais leur jeu
Sans cette guerre
Qui m'a un peu
Trop abimé
Dans mon métier
C'est au printemps
Qu'on prend le temps
De se noyer
Bon partage !
Rotpier
« Jacques Brel »
« L’éclusier »
Je ne l’ai sans doute jamais mise celle-ci…
ou alors un jour où j’avais trop éclusé
pour que je m’en souvienne… allez savoir …
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L'Éclusier
Les mariniers
Me voient vieillir
Je vois vieillir
Les mariniers
On joue au jeu
Des imbéciles
Où l'immobile
Est le plus vieux
Dans mon métier
Même en été
Faut voyager
Les yeux fermés.
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Les mariniers
Savent ma trogne
Ils me plaisantent
Et ils ont tort
Moitié sorcier
Moitié ivrogne
Je jette un sort
À tout c'qui chante
Dans mon métier
C'est en automne
Qu'on cueille les pommes
Et les noyés
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Dans son panier
Un enfant louche
Pour voir la mouche
Qui est sur son nez
Maman ronronne
Le temps soupire
Le chou transpire
Le feu ronchonne
Dans mon métier
C'est en hiver
Qu'on pense au père
Qui s'est noyé
Ce n'est pas rien d'être éclusier
Vers le printemps
Les marinières
M'font des manières
De leur chaland
J'aimerais leur jeu
Sans cette guerre
Qui m'a un peu
Trop abimé
Dans mon métier
C'est au printemps
Qu'on prend le temps
De se noyer
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
"Soleil couchant à Ivry," ... un enchaînement poétique de ... Pierre
On commence par un tableau et ... on est entraîné beaucoup plus loin ...
Image du net
Avant-propos :
Ce tableau peint par Armand Guillaumin (1841-1927) en 1873 est une sorte de mise en garde avant l’heure sur les dangers de la pollution atmosphérique.
Le peintre en avait-il conscience à cette époque ou pas ? … De nos jours, cela parait évident... mais ...
Pierre Dupuis
Soleil couchant à Ivry,
Sur un fond de ciel incendie
Des fumées, immondes crachats,
Nous donnent un avant-goût déjà
Des pollutions des industries.
Prémices de l’écologie,
Ce tableau augure un combat
Qui deviendra apostolat
Pour ceux qui servent de vigies.
Jusque là la ville d’Ivry
N’était que campagne et taillis
Mais les usines sont venues
S’implanter en vastes bassins
Comme autant d’horribles verrues,
De monstres crachant leur venin !
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Retombées,
Le peintre en avait-il conscience ?
Personne ne peut l’affirmer,
Son esprit était sublimé
Par les couleurs, pas la prescience.
A cette époque les nuisances
Étaient ardues à estimer,
Comment pouvoir imaginer
Les dégâts sur nos existences ?
Aujourd’hui avec le recul
On peut refaire les calculs
Mais ce serait par trop facile !
Alors que maintenant on sait
On poursuit - pauvres imbéciles ! -
À polluer plus que jamais !
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Toujours est-il que Guillaumin
À mis le pinceau sur la plaie
De cet avenir qui effraie,
Fruit de l’égarement humain.
Ce n’est pas à la saint-glinglin,
C’est une vérité - la vraie ! -
Un jour il faudra que l’on paie
Et il s’approche de demain !
C’est vraiment du je-m’en-fichiste
Que d’extraire du gaz de schiste
Sous l’aval urbi et orbi
De dirigeants irresponsables
Cédant aux pressions des lobbys
Et qui plaideront non coupables !
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Péroraison de la péroraison :
Pour convaincre les politiques
Il faudra pour les combinards
S’attaquer à leur crâne par
… La fracturation hydraulique !
On commence par un tableau et ... on est entraîné beaucoup plus loin ...
Image du net
Avant-propos :
Ce tableau peint par Armand Guillaumin (1841-1927) en 1873 est une sorte de mise en garde avant l’heure sur les dangers de la pollution atmosphérique.
Le peintre en avait-il conscience à cette époque ou pas ? … De nos jours, cela parait évident... mais ...
Pierre Dupuis