Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Le poème du jour, tout frais mais pas très catholique : " Miracle patent et irrécusable, " de ... Rotpier
Image du net trafiquée
Liminaire :
Je ne sortirai pas grandi
de cet écrit blasphématoire
qui va déplaire c’est notoire
à ceux qui croient au paradis.
Si les amis de Bellamy *
ont vent un jour de cette histoire
je n’aurais pas d’échappatoire
ils me cloueront au pilori.
En attendant mes bons amis
sans que ce soit obligatoire
et sans formule incantatoire
parcourez donc ce fol écrit.
Si vous n’aimez pas l’humour noir
laissez tomber cette lecture
n’en cherchez pas la quadrature
ce serait vraiment sans espoir.
-
Ndl : Bellamy qui n’a rien à voir avec Maupassant qui avait, lui, des inclinations plutôt anticléricales et des penchants libidineux qui l’ont conduit à chopper la vérole !
... Ce n’était que quelques mots en passant et rassurez-vous, je n’ai pas de Horla en moi … enfin, je ne crois pas …
Miracle patent et irrécusable,
Bien qu’assumant son handicap
une paralysie des jambes
pour quelqu’un qui était ingambe
il peinait à passer le cap.
Il maniait son fauteuil roulant
avec une très grande adresse
ne ratant jamais une messe
car c’était un fervent croyant.
Il recherchait sur Internet
les lieux propices aux miracles
et il portait au pinacle
un certain endroit c’était net.
Une fontaine ayant servi
autrefois à un monastère
toute auréolée de mystères
selon bon nombre de ravis.
Je ne donnerai pas le lieu
surtout pas l’adresse précise
car je suis quoi que l’on en dise
un homme honnête et très sérieux.
Je ne peux que vous relater
ce qui s’est passé par la suite
car il s’y est rendu très vite
et il était très exalté.
Selon les habitants du cru
on ne comptait plus les miracles
les gens franchissaient les obstacles
pour s’approcher tout près du but.
Même lui en fauteuil roulant
parvint au bord de la fontaine
sans que personne ne comprenne
il s’y balança en hurlant.
Au milieu d’un très grand remous
le fauteuil et lui disparurent
et quand cessèrent les murmures
on n’entendit plus rien du tout.
Tous avaient le regard fixé
sur le chassé-croisé des bulles
dans des postures ridicules
ils étaient comme hypnotisés.
Il fallut pour se ressaisir
plus de trois quart d’heure à la foule
certains avaient perdu la boule
lorsque l’on décida d’agir.
On le remonta raide mort
une bonne heure sous la flotte
généralement cela ôte
la vie même aux gens les plus forts.
Quand on remonta le fauteuil
la foule resta médusée
devant la merveille exposée
tout le monde eu la larme à l’œil.
Cela produit un effet bœuf
et confirma tous les oracles
de la fontaine des miracles :
l’engin avait des pneus tout neufs !
Il y eu des alléluias
et puis une grande lumière
trois grand-mères se prosternèrent
ce fut une vraie fantasia.
Apostille :
Je suis conscient sachez-le bien
que cette histoire est un peu lourde
je n’irais pas la vendre à Lourdes
ils en perdraient tous leur latin.
Et Bernadette Soubirous
se retournerait dans sa châsse
de verre à Nevers quelle poisse
ce ne serait pas de bon goût.
Si je fais une apparition
n’importe où dans le sanctuaire
je serais lynché de première
c’est mon intime conviction.
Je n’y mettrai donc pas les pieds
hors de question qu’on me bousille
le crâne à grands coups de béquille
je persiste et signe Ropier.
Apostille de l’apostille :
Je connais bien quelques escrocs
en dehors de la politique
qui auraient monté en relique
des bouts de pneu sur des velcros.
Ils les auraient sous le manteau
vendus aux pèlerins crédules
plus c’est gros moins c’est ridicule
quand s’est servi sur un plateau.
Prenez le temps de méditer
vous retomberez sur vos pattes
quant à moi je me carapate :
ils doivent déjà me chercher !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Réponse :
Comme on dit au Mexique pour trancher le lard de quelqu’un rien ne vaut un couteau aztèque !
PS: Je vous avais bien dis qu'il était tranchant !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est une constatation d'une réalité avérée !
Ceux qui me suivent, vont voir que j'ai de la suite dans les idées par rapport à mardi dernier !
Et pis c'est tout !
C'est une réflexion qui mérite d'être approfondie et j'espère que vous aurez la langue bien pendue pour le faire ... quitte à repasser !
Bon, je vous laisse pour aller voter et j'en profiterai pour acheter un camembert bien fait pour le déjeuner !
Réponse :
Statistiquement, les femmes se pendent très rarement alors que majoritairement, elles aiment les nœuds coulants. Ah ! L’inconstance féminine !
... Je me carapate !
Maxime Le Forestier : « Education sentimentale,» ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Maxime Le Forestier
Education sentimentale,
Ce soir à la brune
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d´enfants
Pour toi, ma princesse
J´en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
Demain à l´aurore
Nous irons encore
Glaner dans les champs
Cueillir des promesses
Des fleurs de tendresse
Et de sentiment
Et sur la colline
Dans les sauvagines
Tu te coucheras
Dans mes bras, ma brune
Eclairée de lune
Tu te donneras
C´est au crépuscule
Quand la libellule
S´endort au marais
Qu´il faudra, voisine
Quitter la colline
Et vite rentrer
Ne dis rien, ma brune
Pas même à la lune
Et moi, dans mon coin
J´irai solitaire
Je saurai me taire
Je ne dirai rien
Ce soir à la brune
Nous irons, ma brune
Cueillir des serments
Cette fleur sauvage
Qui fait des ravages
Dans les cœurs d´enfants
Pour toi, ma princesse
J´en ferai des tresses
Et dans tes cheveux
Ces serments, ma belle
Te rendront cruelle
Pour tes amoureux
Bon partage !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Le poème du jour : " La maison du pendu, " de ... Pierre
.
La maison du pendu de Paul Cézanne 1873
Image du net
Poème brossé autour du tableau de
Paul Cézanne : " La maison du pendu "
peint à Auvers sur Oise en 1873 .
La maison du pendu,
Personne n'a jamais pu dire
qui était ce fameux pendu
et pourquoi cet individu
avait décidé de s'occire.
Ce fait a-t-il guidé Cézanne
dans le choix de cette maison
ou avait-il d'autres raisons
que j'ignore en tant que profane ?
A l'époque ils étaient très tièdes
les critiques et les marchands
de tableaux pour cet art naissant :
ils étaient sur la corde raide !
Tous les autres impressionnistes,
les Monet, Pissarro, Renoir,
Sisley broyaient aussi du noir
pour être trop avant-gardistes !
Ils avaient un métro d'avance
pour pouvoir être bien compris
et l'on traite par le mépris
ceux qui ont trop de clairvoyance !
Avec le recul et l'histoire
ils ont du se mordre les doigts
tous ceux qui n'ont pas fait le choix
d'un engouement prémonitoire !
Et qui sait s'il n'y a pas eu
au gré des revers de fortune
chez un de ces marchands d'art une
... nouvelle maison du pendu !
Pierre Dupuis
Image du net
Lien pour les curieux :
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image : petite, la sale bestiole est lente ! 2ème image: une " - - - " vue du haut d'un balcon ... en un seul mot !
3ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le manche sous peine de se faire traiter d’emmanché !
5ème ligne, 1ère image : attention, passage de " - - - - - " 2ème image : c'est le son qui sortait de cette boite que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître j'aimais en ce temps voir les vaches paître ... mais qu'est-ce que je raconte moi !
6ème ligne, 2ème image : à coups de couteau l'assassin " - - - " au présent de l'indic à tifs, un margoulin chevelu qui travaille pour la police !
7ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... ne faites pas l'âne pour en avoir ! 2ème image : la moitié du prénom du volatile ! Dernière image : en direct : " u " ... cocote !
8ème ligne, dernière image : Avec une autre orthographe : " - - - - " ou ne pas " - - - - " , là est la question !
Dernière ligne, 2ème image : 5 centimes d'euro ce n'est pas beaucoup mais un " - - - " c'est un " - - - " et pis c'est tout !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Pour une femme malheureuse faire l’amour avec un vieux monsieur est une façon comme une autre d’être soulagée !
PS: ... Ou " sous l’âgé ! " c'est comme vous le sentez !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Allez, il est court et vous connaissez la musique : pas de pipeau avec moi !
Et pis c'est tout ! ... ça va rouler pour vous, j'en suis certain !
Réponse :
Est-il nécessaire de savoir faire la roue, de porter des cornes et d’être un peu satyre pour jouer de la flûte de pan ?
Françoise Hardy: " La maison où j'ai grandi " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Françoise Hardy »
« La maison où j’ai grandi »
… Un lointain souvenir …
La maison où j’ai grandi
Quand je me tourne vers mes souvenirs,
je revois la maison où j'ai grandi.
Il me revient des tas de choses:
je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison, les fleurs que j'aimais tant,
n'existent plus.
Ils savaient rire, tous mes amis,
ils savaient si bien partager mes jeux,
mais tout doit finir pourtant dans la vie,
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu'ici on ne voit pas,
toute une ville qui s'endort la nuit dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance,
je savais déjà que j'y laissais mon cœur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance,
mais moi, je pense encore à leur bonheur.,
à l'insouciance qui les faisait rire,
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin
parmi vos rires,
oui, je prendrai un jour le premier train
du souvenir."
La temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses,
toutes les choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace,
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison , où est-elle, la maison
où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison,
la maison où j'ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Bon partage !
Rotpier