Nino Ferrer : " Le sud " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Nino Ferrer »
« Le sud »
La remarque :
La remarque :
Puisque aujourd'hui le soleil nous fait faux bond ...
Le sud,
C´est un endroit qui ressemble à la Louisiane
A l´Italie
Il y a du linge étendu sur la terrasse
Et c´est joli
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Il y a plein d´enfants qui se roulent sur la pelouse
Il y a plein de chiens
Il y a même un chat, une tortue, des poissons rouges
Il ne manque rien
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Un jour ou l´autre il faudra qu´il y ait la guerre
On le sait bien
On n´aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire
On dit c´est le destin
Tant pis pour le Sud
C´était pourtant bien
On aurait pu vivre
Plus d´un million d´années
Et toujours en été.
Bon partage et bon soleil !
Rotpier
A propos des bobos ... humour : les petites (ou les grosses !) conneries du jour de Rotpier
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
Remarque préliminaire assez longue ( mais les préliminaires gagne toujours à traîner en longueur ! ) :
Une bêtise, plus ou moins grosse, voir carrément une connerie des plus baroques peut cacher une ou plusieurs vérités plus ou moins profondes. Elle n'est pas toujours décelable par tout le monde car le cheminement de l'esprit est fort disparate d'une personne à l'autre. Certaines sont plus ou moins hermétiques en matière de jeux de mots ou d'humour.
Je n'ai pas ce handicap, c'est manifeste ! Mon esprit serait plutôt porté à tricoté ce genre de bêtises à tiroir, pas toujours commode à détricoter ! Mais de fil en aiguille, on y arrive toujours.
C'est une petite réflexion qui est un peu trop longue pour être mise en rébus, alors, je vous la livre en clair, encore qu'il faille décortiquer un brin !
A propos des bobos dont le nom est, comme chacun sait, une contraction de Bourgeois-bohême …
Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bourgeois-boh%C3%A8me
Il y a bobos et bobos. Les vrais, à l’attitude sympathique et les inversés à l’attitude condescendante … ayant une forte propension à descendre encore plus avec l’âge.
Il n’y a pas de bobo à être un bobo de la première catégorie mais cela craint beaucoup de l’être de la seconde.
A ceux-là d’ailleurs, qui s’évertuent à singer les premiers, j’octroierai volontiers le qualificatif de « bonobobos » tout en priant instamment nos frères primaires de ne pas se froisser de ce rapprochement tout à fait défavorable pour eux !
Le Rotpier, le vieux singe a qui l’on n’apprend pas à faire des grimaces !
Image du net bidouillée par ... le Rotpier !
( Suite ! ) Les sonnets du jour : "Je pars en croisade" , "A cheval sur mon idéal" et "Tel un nouveau don Quichotte" de ... Rotpier le chevalier fêlé ! ( suite ! )
Nota :
Pour une question pratique de consultation ultérieure, donc pour éviter le retour à l’article précédent, je le remets en tête. J’ajoute simplement les nouveaux sonnets d’une autre couleur.
Pas trop saucissonnée mon explication ? ( Il y en a six pas si sots … que cela … je l’espère ! )
image du net
Que les amoureux de la langue
française m’adoubent …
Je pars en croisade !
Certains voudraient - je les abhorre ! -
S’attaquer à notre français,
Le simplifier jusqu’à l’excès
Moi je dis « non ! » car je l’adore !
Je mets mes bras en sémaphore
Pour alerter sur ce forfait,
Rejoignez-moi, oui c’est parfait :
Approchez donc les matamores !
Venez nous allons vous couper
Vite fait l’herbe sous le pied
Et si vous vous entêtez j’ose
Je vous le dis droit dans les yeux
Nous vous couperons autre chose
Cachez tout ce qui va par deux !
Rotpier
Image du net
A cheval sur mon idéal,
Je trouverais mon idéal
En servant notre belle langue
Je saurais être son féal :
Ses ennemis seront exsangues !
Et s’il faut que je les étrangle,
Je le ferai, c’est viscéral,
Jusqu’à ce que leur raison tangue :
Je ne suis pas sentimental !
Et si dans la meute de chiens
Se cache un académicien,
Qu’il sorte vite son épée !
Au lieu de faire un long discours,
Qu’il conforte mon épopée
Ou bien que comme un lâche il court !
Rotpier
Image du net + petit montage !
Tel un nouveau don Quichotte,
Et tel un nouveau don Quichotte
Je mènerai par monts par vaux
Des combats à tous les niveaux
Pour que notre langue ait la cote !
Que personne ne m’asticote
Ou bien je le coupe en morceaux
Et je les balance aux pourceaux
Qui en feront belle ribote !
Voilà le décor est planté
Et si un quidam est tenté
De me défier sous la coupole,
Qu’il se taise pauvre manant,
Le combat sera sans parole :
Qu’il ferme son moulin avant !
Rotpier
Image du net + petit montage !
Et si la folie me gagne …
Bien calé sur ma rossinante
Applaudi par Anne Hidalgo
J’irai du grand Paris à Nantes
Quitte à en revenir dingo !
Ma volonté déterminante
Sera d’occire les gogos
Voulant de façon consternante
Toucher aux mots… même à l’argot !
J’embrocherais ces tartignoles
Ou je leur mettrai des torgnoles
De façon à les rebuter !
Notre langue est beaucoup trop belle,
Hors de question de l’amputer
Ou bien je leur trousse un libelle !
Rotpier
Image du net + petit montage !
La fin de l’épopée,
Si je suis encore vivant
Après cette longue épopée
J’irai vers le soleil levant
Pour retrouver ma dulcinée.
Et si elle a pris un amant
Pour combler ses longues journées
J’empalerai le malfaisant
Avec le pic de cheminée !
Puis j’irai chez les argousins
Pour me rendre au petit matin,
J’implorerai les fonctionnaires,
Certains ne sont pas trop idiots,
Pour avoir de gros dictionnaires
Pour finir entouré de mots !
Rotpier
Image du net + petit montage !
Ultimes tentatives,
J’écrirai de longues suppliques
Que j’enverrai à tous les dieux,
Ce n’est pas que je crois en eux,
Je n’ai pas la fibre utopique !
Des compliments dithyrambiques
A sortir des larmes des yeux,
Je sais mentir quand je le veux
Mais bien moins que les politiques !
Quant à ceux-là, n’en parlons pas,
S’il ne s’agit pas de mandats
Ils ne bougeront pas d’un pouce !
Enfin usé par tous mes maux
Je rendrais l’âme sans secousse
Sous l’œil mouillé de mes chers mots !
Rotpier
image du net
Que les amoureux de la langue
française m’adoubent …
Je pars en croisade !
Certains voudraient - je les abhorre ! -
S’attaquer à notre français,
Le simplifier jusqu’à l’excès
Moi je dis « non ! » car je l’adore !
Je mets mes bras en sémaphore
Pour alerter sur ce forfait,
Rejoignez-moi, oui c’est parfait :
Approchez donc les matamores !
Venez nous allons vous couper
Vite fait l’herbe sous le pied
Et si vous vous entêtez j’ose
Je vous le dis droit dans les yeux
Nous vous couperons autre chose
Cachez tout ce qui va par deux !
Rotpier
Image du net
A cheval sur mon idéal,
Je trouverais mon idéal
En servant notre belle langue
Je saurais être son féal :
Ses ennemis seront exsangues !
Et s’il faut que je les étrangle,
Je le ferai, c’est viscéral,
Jusqu’à ce que leur raison tangue :
Je ne suis pas sentimental !
Et si dans la meute de chiens
Se cache un académicien,
Qu’il sorte vite son épée !
Au lieu de faire un long discours,
Qu’il conforte mon épopée
Ou bien que comme un lâche il court !
Rotpier
Image du net + petit montage !
Tel un nouveau don Quichotte,
Et tel un nouveau don Quichotte
Je mènerai par monts par vaux
Des combats à tous les niveaux
Pour que notre langue ait la cote !
Que personne ne m’asticote
Ou bien je le coupe en morceaux
Et je les balance aux pourceaux
Qui en feront belle ribote !
Voilà le décor est planté
Et si un quidam est tenté
De me défier sous la coupole,
Qu’il se taise pauvre manant,
Le combat sera sans parole :
Qu’il ferme son moulin avant !
Rotpier
La suite jeudi prochain ! ... Si vous le voulez bien !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Si un jour les galipettes étaient taxées on pourrait appeler cette contribution l’impôt de chambre !
Nota :
Je m’excuse pour la petite erreur que j’ai corrigée par la suite grâce aux remarques très pertinentes de Dominique et de Durdan
Explication : Je reprends la trame du rébus précédant chaque fois ( cela m’évite de refaire une nouvelle mise en page ! ) mais là, j’ai omis de supprimer la 5ème ligne de celui d’avant ! … Vous avez suivi ? 
Qu'il dit l'animal !
Serge Reggiani : « Votre fille a vingt ans » ... Les chansons ou les musiques que j'aime de ... Rotpier !
Serge Reggiani :
« Votre fille a vingt ans »
... Ce qui ne rajeunit personne !
Votre fille a vingt ans,
que le temps passe vite
Madame, hier encore elle était si petite
Et ses premiers tourments sont vos premières rides
Madame, et vos premiers soucis
Chacun de ses vingt ans pour vous a compté double
Vous connaissiez déjà tout ce qu´elle découvre
Vous avez oublié les choses qui la troublent
Madame, et vous troublaient aussi
On la trouvait jolie et voici qu´elle est belle
Pour un individu presque aussi jeune qu´elle
Un garçon qui ressemble à celui pour lequel
Madame, vous aviez embelli
Ils se font un jardin d´un coin de mauvaise herbe
Nouant la fleur de l´âge en un bouquet superbe
Il y a bien longtemps qu´on vous a mise en gerbes
Madame, le printemps vous oublie
Chaque nuit qui vous semble à chaque nuit semblable
Pendant que vous rêvez vos rêves raisonnables
De plaisir et d´amour ils se rendent coupables
Madame, au creux du même lit
Mais coupables jamais n´ont eu tant d´innocence
Aussi peu de regrets et tant d´insouciance
Qu´ils ne demandent même pas votre indulgence
Madame, pour leurs tendres délits
Jusqu´au jour où peut-être à la première larme
A la première peine d´amour et de femme
Il ne tiendra qu´à vous de sourire Madame
Madame, pour qu´elle vous sourie...
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : "Défaillance," de ... Pierre
Un poème ancien, écrit en 2007 ... je crois … à moins que ma mémoire ne défaille …
Sur une très jolie photo de Jean-François Simon, un poème que j'aime tout particulièrement...
Défaillance,
Il bruine dans mon cœur
comme il pleut sur la faille ;
pourquoi cette rancœur
qui fait qu’un cœur défaille.
Hier encore ici,
mais revers de médaille,
plus personne aujourd’hui
et mon cœur qui déraille.
Dans les yeux ce crachin
augmentant la grisaille
et le bout du chemin
et l’ultime broussaille.
La chute sans rappel
parallèle à l’entaille,
les rochers en scalpel
et mon cœur en tenailles.
Pour vivre maintenant
je ne suis plus de taille,
je plane en attendant
d’être au pied de la faille.
Pierre Dupuis
Le poème du jour : "L’ergoteur," de ... Rotpier !
Et ne me cherchez pas de poux sur la tête ... hein !
Image du net bidouillée par le Rotpier
L’ergoteur,
Un peu poète et ergoteur,
C’est ce qui me caractérise,
Un tout petit rien me défrise
Et je deviens très pinailleur !
Bien des gens le pensent d’ailleurs
Quand je m’arrête en temps de crise
Sur un détail, une bêtise
Et que je joue les emmerdeurs !
Je tiens à enfoncer le clou :
Ma plume serait chiffonnée
D’employer « entre chien et loups »
Pour un début de matinée !
Je souffle aux académiciens
D’employer « entre loups et chiens » !
Et je précise :
C’est une question de logique,
Juste une histoire de tempo,
Je suis sans peur et sans repos
A cheval sur la rhétorique !
Et si cela coupait la chique
A certains coincés du stylo
Et qu’ils me traitent de charlot
Et bien je leur ferais la nique !
.
Ou je leur jetterai mon gant :
Je déteste les arrogants,
Je les affronterai en joute !
C’est mon coté théoricien,
Je persiste signe et rajoute :
Au matin entre loups et chiens !
Rotpier
Image du net bidouillée par le Rotpier
Et ne me cherchez pas de poux sur la tête ... hein !
Image du net bidouillée par le Rotpier
L’ergoteur,
Un peu poète et ergoteur,
C’est ce qui me caractérise,
Un tout petit rien me défrise
Et je deviens très pinailleur !
Bien des gens le pensent d’ailleurs
Quand je m’arrête en temps de crise
Sur un détail, une bêtise
Et que je joue les emmerdeurs !
Je tiens à enfoncer le clou :
Ma plume serait chiffonnée
D’employer « entre chien et loups »
Pour un début de matinée !
Je souffle aux académiciens
D’employer « entre loups et chiens » !
Et je précise :
C’est une question de logique,
Juste une histoire de tempo,
Je suis sans peur et sans repos
A cheval sur la rhétorique !
Et si cela coupait la chique
A certains coincés du stylo
Et qu’ils me traitent de charlot
Et bien je leur ferais la nique !
.
Ou je leur jetterai mon gant :
Je déteste les arrogants,
Je les affronterai en joute !
C’est mon coté théoricien,
Je persiste signe et rajoute :
Au matin entre loups et chiens !
Rotpier
Image du net bidouillée par le Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Ce qui me sortirait par les yeux ce serait de voir un pupille de l’état ne pas avoir un regard de reconnaissance envers la nation !
C’était bien vu … non ?
Biographie
Jean-Marie Le Pen est le fils de Jean Le Pen (1901-1942), patron pêcheur, président de l'association des anciens combattants et conseiller municipal de La Trinité-sur-Mer, et d'Anne-Marie Hervé (1904-1965), couturière et fille de paysans originaires de Locmariaquer et du Bono. Ses parents le surnomment « Jeanjean ». Sa famille est essentiellement originaire du département du Morbihan ; un de ses aïeux y fut le chef chouan de la paroisse d'Auray, un autre conventionnel. Jean-Marie Le Pen devient pupille de la nation par jugement du tribunal civil deLorient du 23 décembre 1942, son père ayant trouvé la mort à bord du chalutier La Persévérance dont il était le patron, quand le bateau de pêche qui péchait la sole en pleine nuit a sauté sur une mine remontée dans son chalut le 22 août 19421 (son nom figure d'ailleurs sur le monument aux morts de La Trinité-sur-Mer).
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Qu'il dit l'animal !