Les scoops du jour : l'actualité vue par le Rotpier
Avertissement :
Même si n’est pas tout à fait sûr, c’est quand même fortement probable.
Et si c’était tout à fait le contraire, j’aurais au moins eu le mérite de mettre le doigt dessus afin que vous y jetiez un œil !
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1er scoop : Affaire de l'oeuf lancé sur Macron
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2ème scoop : Marine Le Pen, Marion Maréchal Le Pen et Zemmour
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Remarque :
Si quelqu’un m’interpelle au sujet de mon humour un tantinet déplacé, je lui dirais que l'ouverture d'esprit c'est comme l'ouverture des jambes ça se cultive !
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
Le Rotpier
Le poème du jour pas fait pour les véganes : "Mieux veau en rire," de ... Rotpier
Je ne vais pas me faire des amis chez les véganes mais tant pis !
Rotpier ... de veau, bien entendu !
Mieux veau en rire,
ou
Coup vache pour le veau,
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt :
litanie
du malheur !
Veau des champs
qui finit
veau de ville
en bouch’rie
en passant,
c’est notoire,
par la case
« abattoir » !
Pas marrant
ce jeu d’oie :
cause aux gens
qui festoient !
Côtelette
dans l’assiette,
et le veau
Marengo !
Têt’ de veau :
que c’est beau !
Le ragoût
quel bon goût,
le rôti
c’est exquis
et le ris
ça nourrit !
Pied de veau :
c’est le pied !
Mais mes pieds
perdent pied,
c’est la faute
à Rotpier !
Ça se barre
au vau-l’eau,
c’est un drôle
d’écheveau !
Un cheval
des chevaux
à cheval
ou à pied
claudiquant :
ils sont bots !
Mon cerveau
a bobo !
Stop !
Il est temps
- j’en conviens ! -
de r’ lever
le niveau :
j’en reviens
à mon veau !
Je ne peux
fair’ d’impair
sur le sort
de sa mère :
C’est très vache
pour la vache :
son petit
en frichtis !
« Mon petit,
tu es beau,
tu seras
un taureau ! »
Patati
patatras
et le v’ la
dans le plat !
Le taureau,
il s’en fout !
Au boulot
pis c’est tout !
Nouveau veau
il le faut,
un travail
des travaux :
« Y en a trois
aujourd’hui
quel boulot
les amis !
Je ne suis
pas Hercule,
mais jamais
je n’ recule,
pas question
de flancher :
si plus bon,
au boucher ! »
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt !
Veau des champs
veau de ville
un méchant
vaudeville
… en les champs !
Pas marrant ?
C’est débile ?
Si c’est ça
pas de bile :
vous léchez
tout tomber !
Oui, mes vers
sont idiots,
de travers
très triviaux !
Je m’amuse
mais ma muse
est confuse
et s’excuse :
« Pardonnez
au Rotpier
son Q.I.
est tout p’tit :
pas plus haut
au bas mot
qu’un demi
cani … veau !
Veau des champs
veau de ville,
tout fumant
sur le gril !
Il est beau
le morceau
allez-y
de facto :
reprenez
un morceau
de p’ tit … veau !
Bon appétit !
Rotpier
Salut les amis !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second est tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Celui-là n'est pas piqué des vers ! Grosso modo, c'est un conseil d'hygiène qui en vaut bien un autre après tout !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Je ne sortirai pas grandi de celui-là auprès des dames, mais bon, je vais me faire une raison !
Réponse :
Mesdames, optez pour le naturel pour votre hygiène intime : utilisez une décoction de rainette. Rassurez-vous, vous ne deviendrez pas pour autant une grenouille de bénitier !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus de chaude actualité française !
😂
Bon déchiffrage et faites front ! 😄
Réponse :
Si c’est le grand amour entre Marion Maréchal Le Pen et Éric Zemmour, la Marine n’as plus qu’à se saborder ! Que va en penser le vieux pirate ?
Qu'il dit l'animal !
Michel Sardou : " Le rire du sergent " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Michel Sardou »
« Le rire du sergent »
Cela ne nous rajeunit pas !
Le Rire du sergent
Avec à la main les beignets qu'ma mère m'avait faits
Ils m'ont demandé
Mon nom, mon métier
Mais quand fier de moi j'ai dit "artiste de variétés"
À ce moment-là
Je n'sais pas pourquoi
J'ai entendu rire un type que je n'connaissais pas
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
M'a fait comprendre comment gagner du galon
Sans balayer la cour
En chantant simplement
Quelques chansons d'amour
Le rire du sergent
La fleur du régiment
Avait un cœur de troubadour
Je m'suis présenté tout nu devant un infirmier
Moyennant dix sacs, il m'a dit "Moi, j'peux vous aider."
Je m'voyais déjà
Retournant chez moi
Mais quand ils m'ont dit
Que j'étais bon pour dix-huit mois
À ce moment-là
Juste derrière moi
J'ai entendu rire un type que je n'connaissais pas
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
M'a fait comprendre comment gagner du galon
Sans balayer la cour
En chantant simplement
Quelques chansons d'amour
Le rire du sergent
La fleur du régiment
Avait un cœur de troubadour
Depuis ce temps-là
Je n'sais pas pourquoi
Il y a toujours un sergent pour chanter avec moi
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
M'a fait comprendre comment gagner du galon
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
M'a fait comprendre comment gagner du galon
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Le rire du sergent
Un matin de printemps
M'a fait comprendre comment gagner du galon
Le rire du sergent
La folle du régiment
La préférée du Capitaine des Dragons
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour et du retour : " La trilogie des gros, " de ... Rotpier !
Les vacances, cela sert :
veuillez noter cette bonne adresse !
La trilogie des gros,
Sonnet 1 :
Elle était experte en cuisine
et pour sa blanquette de veau
on venait des villes voisines
à pied à cheval à vélo !
Mais son allure éléphantine
avec ses cent-quinze kilos
faisait qu’au bal de la marine
faire banquette était son lot.
Pourtant un jour grosse surprise
alors qu’elle était un peu grise
un gars l’invita à danser.
Ils se frottèrent la bedaine
en riant de se la frotter
sans s’occuper du capitaine.
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Sonnet 2 :
De quoi en faire une romance
c’est ce que je fais aujourd’hui
en mettant tout dans la balance
presque deux quintaux et demi !
Vous allez me parler d’outrance
et me traiter de malappris
mais moi je joue la transparence
en défendant les arrondis !
Ils se prénommaient Louise et Serge
ils prirent une belle auberge
qu’ils appelèrent « Les deux gros »
Quand il était dans la marine
c’est lui qui tenait les fourneaux
tout le monde aimait sa cuisine !
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Dénouement :
Entre la blanquette de Louise
le turbot de Serge et le bar
les client étaient dans la mouise
quand ils réservaient un peu tard !
Ils ne reçurent pas d’étoile
de la part de chez Michelin
mais ils gagnèrent les « Trois poêles »
du guide « Les petits malins ».
Le dirlo de la grande boite
relégua comme factotum
la responsable maladroite
ayant raté les Bibendum !
Pour se rattraper ils tentèrent
les « deux étoiles » d’un seul coup
mais en cœur ils les refusèrent
en tapant sur leurs grands faitouts !
Entre deux repas ils trouvèrent
le temps de faire deux marmots
l’un taillé comme père et mère
et l’autre comme un haricot !
Le premier aimait la cuisine
et il se colla aux fourneaux
le second aimait sa cousine
qu’il lutinait près du piano !
Après un prompt apprentissage
le rondelet devint cuistot
l’enseigne changea au passage
de nom et devint « Les trois gros » !
Le maigrichon fit le service
avec sa cousine Nina
il n’avait pas perdu le vice
de la peloter ça et là !
Si vous allez un jour à Vannes
pour le travail ou le repos
en voiture ou en caravane
n’allez pas rater « Les trois gros » !
Le Rotpier
Blog en pause ... oui j'ose ! ... par Pierre et le Rotpier
Du 02 septembre à 5H 33 au 23 septembre à 8H 57 environ :
Je pars, je pars quelque part
du coté de …
Chinon !
Là-bas, je boirais du Chinon chinon rien !
Nous retournons, mon épouse et moi à un endroit où nous avons déjà séjourné ... pour les fidèles, rappelez-vous :
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Image du net
Au pays du grand Rabelais
où la fabulation est reine
et l’absurdité souveraine
le bon mensonge n’est pas laid.
Ce n’est qu’un petit canular
entre le fromage et la pomme
« Le rire est le propre de l’homme »
et contre l’ennui un rempart.
Alors amis rions souvent
cela met du baume à nos peines
cela rend la vie plus sereine
et gomme nos emmerdements !
J’aurais pu c’est bien évident
choisir une toute autre rime
mais Rabelais nous a en prime
pondu le bon mot « excrément » !
Sortons provisions et bouteilles,
mangeons buvons jusqu’à plus tard
on entend mieux bien remplis car :
« Ventre affamé n’a pas d’oreille ! »
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Photo personnelle
Épopée sibylline,
Alors que j’étais en vacances
au gîte du Moulin Giraud
un très beau gîte au bord de l’eau
j’ai nagé dans l’extravagance.
Il faut préciser c’est notoire
afin de bien comprendre tout
que la commune de Panzoult
est fortement chargée d’histoire.
Parmi les abris troglodytes
il en est un particulier
le logis craint ou recherché
d’une sibylle et de ses mythes.
Situé juste au dessus du gîte
- joli poste d’observation ! -
j’avais la fâcheuse impression
d’être espionné par la susdite !
Photo personnelle
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Pas n’importe quelle sibylle
mais la Sibylle de Panzoult
dont Rabelais citait le trou
et dont l’image m’obnubile !
Si je vous brosse ce contexte
c’est pour que vous compreniez mieux
que vous soyez moins suspicieux
sur la véracité du texte.
Je vais vous relater l’histoire
n’allez surtout pas vous moquer
d’un pauvre barde très marqué
par cette épreuve vexatoire.
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C’est par un soir de pleine lune
que me parvint comme une voix
un murmure étrange ma foi
qui enclencha mon infortune.
« Que fais-tu près de ma demeure ?
Es-tu venu me consulter ?
Tu me parais bien emprunté :
tu es plus mou qu’un quart de beurre !
Viens donc et entre dans ma grotte
je ne vais pas te dévorer
et mon vieux chien a bien mangé
dépêche-toi crotte de crotte ! »
Son antre sentait la fumée
ça bouillait dans un vieux chaudron
une mixture à gros bouillons
n’ayant pas été écumée.
Dans un coin une vielle chouette
dardait sur moi ses yeux tout ronds
de quoi me filer les jetons
heureusement qu’elle était muette !
Sur une paillasse douteuse
un chat pelé se prélassait
autour de son cou un lacet
sa peau était exémateuse !
Le chien qui était une chienne
m’observait de façon bizarre
prêt à entamer la bagarre
dans une ambiance kafkaïenne !
Croassant de façon lugubre
un gros crapaud tout rabougri
à la peau couleur vert-de-gris
bavait de façon insalubre !
Cela faisait de grosses bulles
venant s’écraser au plafond
qui retombaient dans le brouillon
en formant une pellicule !
J’avais une de ces pétoches
je frémissais de toutes parts
tout prêt à souiller mon falzar
… ne riez pas ce serait moche !
Tout en remuant sa mixture
elle me dit : « N’aie donc pas peur
je ne tue pas mes visiteurs
ou rarement je te le jure.
Je te trouve très sympathique
bien que tu sois un peu simplet
c’est cela chez toi qui me plait
dans le fond tu es drôlatique.
Quand Épistémon et Panurge
sont venus pour me consulter
nous nous sommes bien disputés :
pour trois fois rien moi je m’insurge !
Je leur ai montré mon derrière
car ils m’avaient poussé à bout
et quand on me cherche des poux
je sais me faire cavalière !
En raison de ta bonne bouille
tout mon travail sera gratuit
mais ne le dit pas à autrui
ou je te transforme en grenouille !
Donne-moi tes mains que je lise
dans leurs lignes ton avenir
et ne fais pas tous ces soupirs
vraiment tu te ridiculises !
Je vois … je vois … Oh ! Quelle chance
tu vas avoir prochainement
tu peux partir tranquillement
là tu peux me faire confiance !
Tiens trois louis d’or de ma cagnotte
tu vois ça commence déjà
cela ira bien au-delà
car tu as marché dans ma grotte ! »
Me raccompagnant à sa porte
elle m’embrassa goulûment
puis disparut en un instant
sa chouette en tomba raide morte !
Grosse montée d’adrénaline
de quoi me perturber l’esprit
au bout d’un moment j’entrepris
de redescendre la colline.
A peine entamé la descente
j’ai glissé sur je ne sais quoi
dévalé le ravin tout droit
une culbute ahurissante !
J’ai bel et bien fait une chute
mais tout simplement de mon lit
car je rêvais et sapristi
ce rêve était sans parachute !
Il faut préciser que la veille
j’avais un peu trop abusé
d’un chinon pour le moins corsé
une véritable merveille !
Quand on ne tient pas la chopine
mieux vaut y aller très mollo
mais c’est bien meilleur que de l’eau
quand ce n’est pas de la bibine !
Cette histoire rabelaisienne
je me devais de la conter
du doigt n’allez pas me montrer
ou je me jette dans la Vienne !
Comme les moutons de Panurge
bien d’autres viendront s’y jeter
dans un élan d’absurdité
ce sera une grande purge !
Faites en plutôt le partage
plus on est de fous plus on rit
et Rabelais dans ses écrits
nous a légué cet héritage.
La vie n’est pas sans anicroche
amusons-nous tant qu’on le peut
avant que de devenir vieux
et que le moral s’effiloche !
Foin des guerres picrocholines
qu’un petit rien peut déclencher
prenons la vie du bon coté
érigeons ça en discipline !
Merci à Nanie pour la photo !
Les belges ne sont pas des lents ternes !