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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Ils reviennent en force ... les coquelicots ! Le chaud poème du jour: "Trésor coquelicot," de ... Pierre

31 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

 

 

images du net !

 

 



 

 

Trésor coquelicot,

 

Jupe légère et froufroutante,

corsage ouvert en calicot,

la belle est belle et envoûtante

avec ses joues coquelicot !

 

Cheveux au vent et mèches folles

bouche à poser mille bécots

et un sourire qui affole

sur ses lèvres coquelicot !

 

Très réactive à touche-touche :

acquiescement sans quiproquo

pour se faire une fraîche couche

au milieu des coquelicots !

 

La peau à nu  -  adieu corsage ! -

corps velouté comme abricot

de jolis seins pas du tout sages

aux mamelons coquelicot.

 

Et pour finir  -  pourquoi le taire ? -

jupe en drapeau presque aussitôt

libérant enfin le mystère

d’un doux trésor coquelicot !

 

Et là une pressante envie

d’y déposer de chauds bécots

et de profiter de la vie

au milieu des coquelicots !

 

Et pour bannir toute indécence,

sur la scène : glisse rideau !

Aller plus loin serait licence :

on en reste aux coquelicots !

 

                                          Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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Le poème du jour : "Spirale," de ... Pierre !

30 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

 

Image de Marie ... je crois me souvenir ...

 

 

Spirale,

 

Selon le sens où tu la prends,

elle te hisse ou bien te broie ;

elle t’apprend, te désapprend,

dans les deux cas, toi, tu tournoies.

 

La tête en l’air, la tête en bas :

C’est là toute la différence !

C’est jour de fête ou de combat,

le goût sucré ou le goût rance !

 

Tout un symbole en un cliché :

toute l’image de la vie !

De bas en haut, prime moitié,

de haut en bas, l’autre asservie.

 

Rester en haut le plus longtemps,

est un pari, est un challenge !

Sachant qu’il est compté le temps

dès que tu es sorti des langes !

 

Plus tu restes de temps perché

et plus belle est ton existence,

mais un jour il faut décrocher :

tu descends où tu te balances !

             

              Pierre Dupuis

 

 

 

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" Cortège ": le poème du jour de ... Pierre

29 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Au suivant ...
Image du net modifiée par Pierre

 

 

 

 

Cortège,

 

En cortège derrière

le dernier qui s’en va,

que tu sois Paul ou Pierre

tu y penses déjà :

 

… « Le prochain … c’est moi ? »

 

 

 

Doucement tu chemines

et l’ombre des cyprès,

voyant que tu rumines

t’enveloppe de près

 

murmurant : « C’est possible mon gars ! »

 

 

 

Et soudain tu frissonnes,

tu presses un peu le pas,

tu rejoins la colonne

évitant le faux-pas

 

et tu te dis :

 

« J’ai encore le temps

… le temps de ne pas être devant. »

 

 

Pourtant …

pourtant ... tu sens

... tu sens

que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !

 

 

 

 

 

 

                                                  Pierre Dupuis

 

 

i

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

28 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

27 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

 

 

 

C'est une petite pensée d'actualité brûlante du Rotpier !

 

 

1ère ligne, 1ème image: Autre nom pour un tonneau !

 

2ème ligne, 1ère image: Endroit où l'on entrepose des ... tonneaux ! 3ème image: le personnage " - - - - " ! ( excusez-moi! ) Dernière image: quand son nez s'allonge il " - - - - " !
3ème ligne, 1ère image: "Oui" dans une autre langue !
4ème ligne, 1ère image: des poches de " - - - - " ! 3ème image: en direct " brrr " ! 4ème image itou : "U " !
6ème ligne, 2ème image: c'est un ordre ! 3ème image : elle pique la sale bête !

 

 

Réponse :

 

Fumée blanche et blanchiment d’argent, ça sent le brûlé au Vatican !

 

 

 

 

Ça, c’est juste la signature !

 

 

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Serge Reggiani " Le petit garçon " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

25 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Serge Reggiani :
« Le petit garçon »
 
Ce soir mon petit garçon
Mon enfant, mon amour
Ce soir, il pleut sur la maison
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On reste tous les deux
On va bien jouer ensemble
On est là tous les deux
Seuls

Ce soir elle ne rentre pas
Je n'sais plus, je n'sais pas
Elle écrira demain peut-être
Nous aurons une lettre
Il pleut sur le jardin
Je vais faire du feu
Je n'ai pas de chagrin
On est là tous les deux
Seuls

Attend, je sais des histoires
Il était une fois
Il pleut dans ma mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il fait un peu froid, ce soir
Une histoire de gens qui s'aiment
Une histoire de gens qui s'aiment

Tu vas voir
Ne t'en vas pas
Ne me laisse pas

Je ne sais plus faire du feu
Mon enfant, mon amour
Je ne peux plus grand-chose
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On est là tous les deux
Perdus parmi les choses
Dans cette grande chambre
Seuls

On va jouer à la guerre
Et tu t'endormiras
Ce soir, elle ne sera pas là
Je n'sais plus, je n'sais pas
Je n'aime pas l'hiver
Il n'y a plus de feu
Il n'y a plus rien à faire
Qu'à jouer tous les deux
Seuls

Attends, je sais des histoires
Il était une fois
Je n'ai plus de mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il est un peu tard, ce soir
L'histoire des gens qui s'aimèrent
Et qui jouèrent à la guerre

Ecoute-moi
Elle n'est plus là
Non... ne pleure pas... !

Bon partage !

 

Rotpier

 

 

 

 

 

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Nouveau festival de cane ou de canne ! "Quand la canne ou la cane va, tout va!" de ... Rotpier

25 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

Encore un festival de canne !

 

 

 

Toute les images proviennent du net: c'est net !

 

 

 

 

Et encore un autre !

 

 

 

 

 

 

 

 

Quand la canne ou la cane va, tout va !

 

ou

 

Le fermier facétieux,

 

 

 

On peut très bien être un fermier

 

et être adepte des boutades,

 

« la boutade me monte au nez ! »

 

était une de ses tirades !

 

 

 

Il adorait les calembours,

 

surtout ceux avec le mot « cane »,

 

ce volatile de basse-cour

 

à qui il ordonnait : « ris cane ! »

 

 

 

Comme il lui fallait s’appuyer,

 

il aimait bien aussi sa canne,

 

cadeau de monsieur le curé

 

avant que le pauvre abbé cane !

 

 

 

Je m’en vais vous énumérer

 

quelques jeux de mots de son cru,

 

ils ne sont pas tous éthérés

 

mais ne parlent jamais de c - - !

 

 

 

La cane marche à petits pas,

 

elle avance et elle tournaille,

 

c’est ainsi que la cane va

 

où voulez-vous que la cane aille !

 

 

 

Elle prend de l’eau dans son bec,

 

s’envole et la largue pépère,

 

recommençant tout aussi sec :

 

quand ça lui plait le cane adhère !

 

 

 

 

 

Un jour d’orage et de grand vent,

 

dans la rivière très gonflée,

 

il y eu un puissant courant

 

et l’on y vit la cane happée !

 

C’est alors que passait Zoé

 

qui l’attrapa à l’épuisette

 

« Elle a sauvé la cane … ohé ! »

 

s’écria en dansant Suzette !

 

 

 

Un jour de très vilains bandits

 

l’enlevèrent dans une cage

 

contre rançon pour le jour dit :

 

elle fut une cane otage !

 

 

 

Quand on chantait - toujours gratis ! -

 

elle préférait les romances,

 

on l’appelait la cane à bis :

 

elle voulait qu’on recommence !

 

 

 

Il avait un âge certain

 

et marchait avec une canne :

 

peut-être bien que ce mâtin,

 

de tout là-haut il en ricane !

 

 

 

Car le bougre s’en est allé

 

en exigeant d’avoir sa canne

 

dans son cercueil pour lui parler :

 

avec elle pas de chicane !

 

 

 

Il lui portait grande attention,

 

il l’avait surnommée « Icule »,

 

il est mort d’une insolation

 

emporté par la canicule !

 

 

 

Moi j’adorais cet homme sage

 

qui aurait pu me conseiller

 

pour épargner mon entourage :

 

on ne sait jamais quand caner !

 

                               

 

                                       Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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" Le jeune abbé et Lucie, la succube, " un poème traitant du célibat des prêtes, de ... Rotpier le réformiste !

23 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

Le poème infernal du jour

 

tout chaud sorti de chez le satanique Rotpier !

 

Image du net: une succube bien ronde ... c'est carré !

 

 

            Prologue :

Je m’en vais vous conter l’histoire

de la tentation d’un abbé

où le diable cria « victoire ! »

et dieu « il m’a bien entubé ! »

 

Le jeune abbé et Lucie, la succube,

 

Il connaissait bien la diablesse :

elle venait se confesser

chaque dimanche avant la messe,

il en était embarrassé !

 

C’était des histoires de fesses

qu’elle déballait à dessein,

comptant bien sur une faiblesse

de l’abbé un jour pour ses seins !

 

Poitrine pleine de promesses

qu’elle lui mettait sous le nez

et ses yeux remplis de détresse

en étaient tout congestionnés !

 

Il essayait avec mollesse

d’arriver à se dégager

de cette Lucie chasseresse

qui voulait voir l’abbé céder !

 

La succube avec allégresse

arriva un jour à ses fins

et elle devint sa maîtresse

à la grande joie du malin !

 

Et c’est ainsi qu’il succomba

mais sans quitter son ministère :

seule la soutane tomba

sur les pavés du presbytère !

 

Tout ce que l’abbé regretta

c’est d’avoir retardé l’affaire

et il chanta l’alléluia,

laissant la belle Lucie faire !

 

                  Epilogue :

 

Le bon dieu étant bon joueur

se dit « J’ai perdu la partie,

Lucifer a été meilleur :

c’est un canon cette Lucie ! »

 

S’il continue à l’employer

je vais devoir fermer boutique,

tous mes prêtes vont y passer,

il me faut changer de tactique !

 

Je vais devoir sans restriction

autoriser le mariage,

valider la fornication

si je veux rester à la page !

 

Mes curés ne sont pas de bois

et comme ils ne sont pas eunuques,

je me dois de changer mes lois

qui sont devenues bien caduques !

 

Pareil pour les sœurs des couvents,

elles seront en minijupes

et je ferais souffler le vent

pour que mes curés s’en occupent !

 

Je m’en vais ouvrir sur Facebook

une agence matrimoniale,

quelque chose de très new-look,

pour les curés et les moniales !

 

Il faut à tout prix évoluer

si l’on veut rester dans la course,

il ne faut pas sous-évaluer

les problèmes liés aux bourses !

 

                                         Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Un autre festival de cane ... sans faute d'aurtaugraffe ! Par ... Rotpier

22 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Fable

 

 

Un autre festival de cane 

... sans faute d'aurtaugraffe !

 

 

n

Photo de Pierre et bidouillage du Rotpier
    
 
Fable,

 

 

 

 

 

Le poète et sa canne et la cane de la Canne,

 

 

 

 

Sous un soleil de plomb je pêchais dans la Canne,

une belle rivière aux confins du Morvan,

avec pour matériel une très courte canne

et un petit flotteur qui suivait le courant.

 

 

Pour leur part les poissons devaient être en vacances

- pas une seule touche à mettre à mon compteur ! -

quand je vis arriver avec grande prestance

une cane au détour d’un méandre enchanteur.

 

 

Son port de cou altier lui donnait de la grâce,

elle glissait sur l’eau sans aucun clapotis,

son plumage irisé, de la plus grande classe,

conférait à son charme un air très abouti.

 

 

« Enchanté » me dit-elle avec beaucoup d’aisance,

d’une voix cristalline et s’exprimant très bien,

avec facilité, sans trop de suffisance,

chose extrêmement rare et ça je le soutiens !

 

 

 

Elle enchaînait fort bien, preuve de sa culture,

il était évident qu’elle en avait beaucoup,

bien des femmes auraient aimé cette stature :

une tête bien faite et pleine pour le coup !

 

 

 

« Vous êtes, cher monsieur, prédateur innommable,

pêcher pour le plaisir est un acte gratuit,

si c’était pour manger, ce serait raisonnable,

mais là je vous abhorre et ce n’est pas fortuit !

 

 

 

Mettez-vous dans la peau de la gent aquatique

qui cherche sa pitance et trouve vos appâts,

avec en leur milieu ce piège traumatique

que l’on nomme hameçon et qui mène au trépas.

 

 

 

Supposez un instant que vous preniez leur place

et que vous vous trouviez de la sorte piégé,

vous auriez bonne mine et ce serait cocasse :

tout nu au bout d’un fil, le regard ravagé !

 

 

 

Je m’en vais vous contraindre à retenir la chose,

jamais vous n’oublierez cette forte leçon,

regardez bien mes yeux et mes prunelles roses :

endormez vous monsieur et cela sans façon. »

 

 

 

Après un court sommeil - peut-être dix minutes ?-

quand je refis surface en me frottant les yeux,

elle avait disparu en me laissant en butte

à une apparition aux contours licencieux.

 

 

 

 

Assise sur la berge et remuant la queue

une sirène était à deux doigts de mes mains,

elle égrainait un chant et une hochequeue

accompagnait sans heurt son lancinant refrain.

 

 

 

Devant mes yeux hagards, sortis de leurs orbites,

elle mit en avant ce qu’elle avait devant

et cambra à l’arrière - oh ! la la : dynamite ! –

un profil à lever au moins trois régiments !

 

 

 

Sur un clin d’œil d’invite et sans réserve aucune,

elle m’encouragea à venir évaluer

sa plastique de rêve aux courbes sans lacune :

pas un petit défaut et j’en fus éberlué !

 

 

 

 

Je goûtais ses appâts sans la moindre méfiance

- elle m’avait ferré et elle tenait bon ! -

pour aller de l’avant et avec impatience,

je me mis sans retard aussi nu qu’un jambon !

 

 

 

Mais pour le cas précis, je manquais d’expérience :

aimer une sirène est un art bien à part !

Pas de mode d’emploi pour maîtriser la science :

je cherchais à tâtons, j’y allais au hasard !

 

 

 

Alors que j’essayais une énième manœuvre,

elle me décocha un coup de queue violent

en riant aux éclats, très fière de son œuvre :

je fis un vol plané des plus époustouflant !

 

 

 

Retombant lourdement, je perdis connaissance.

Quand je revins à moi, encore un peu sonné,

plus de sirène mais, je sentis la présence

de la cane infernale au parler raisonné.

 

 

 

« J’ai beaucoup de pouvoir, tu l’as compris je pense,

je peux me transformer de multiple façon,

je protège la Canne et suis sa providence :

je suis fée de nature et c’est ma profession !

 

 

 

Si tu reviens ici n’emmène pas ta canne,

observe seulement nature et poissons,

tu trouveras peut-être en bordure de Canne

une belle sirène et cela pour de bon. »

 

 

 

Sur ce dernier conseil, toujours très élégante,

elle fit demi-tour et partit lentement,

me laissant bien perplexe et chose extravagante,

tout étonné qu’elle soit passée au tutoiement !

 

 

 

 

 

 

Moralité première:

 

 

 

Si tu vois une canne, arrête de pêcher,

si tu ne le fais pas, tu pourrais la fâcher :

rappelle-toi toujours la cane de la Canne

et de ce qu’elle a fait, usant de ses arcanes !

 

 

 

 

Moralité seconde :

 

 

Le jour où tu viens à croiser une sirène,

sache bien qu’elle peut se muer en murène !

Avant de lutiner, n’oublie pas d’amarrer

sa queue solidement avant de l’honorer !

 

 

      

 

                        Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Triton et les Tritons ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

21 Mai 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui :

 

 

Image du net : Poséidon et les Tritons 

 

 

Triton,

 

Il était le fils de Poséidon ton cul sur l’étagère et d'Amphitrite de sodium et il vivait dans le palais doré du maître des mers et sous Marine la blondine pour les amis et la blondasse pour les ennemis. Il avait pour sœur Rhodé, une fille qui avait beaucoup servi. Il avait un corps d'homme terminé par une queue de poisson, ce qui lui en faisait deux … de queue. Sur un cheval ou un monstre marin ou sur le dos de Marine, il se promenait sur les vagues tenant à la main une conque au son si éclatant qu'on l'entendait à l'autre bout de la terre. Les gens disaient alors : « Encore une histoire de conque ! »

 

   

Image du net

 



Il passait en général et en colonel pour une divinité sage et bienveillante qui aurait accueilli les Argonautes et les internautes jetés par une tempête sur les rivages de Libye dont il était originaire ainsi que Kadhafi. C'est lui qui, apparaissant sous les traits d'Eurypylos, donna une motte de terre à Euphémos, comme présent d'hospitalité, et indiqua aux navigateurs la route à suivre pour rejoindre la Méditerranée où Charles traînait souvent ses guêtres.

 

Les Tritons,

 

Au pluriel le nom s'applique à toute une série de créatures, qui font partie du cortège de Poséidon. Ils ont le haut du corps semblable à celui d'un homme, mais le bas est en forme de poisson. Pausanias les décrit avec des cheveux verts sur la tête, des moustaches rousses, des écailles très fines et très dures, des ouies en dessous des oreilles, un nez humain, une bouche large comme deux fois celle de Béatrice Dalle, ce qui fait quand même largement la largeur d’un bouche de métro, garnies de dents d'animaux en dehors aussi, yeux bleu-vert, des mains rugueuses comme un coquillage d’où la très grande irritation de leurs coucougnettes qu’ils grattaient souvent pour se débarrasser des moules et des coquillages qui venaient tenter de s’y fixer, et au lieu de pieds, une queue comme celle des dauphins. Ils jouaient d’ailleurs souvent au flipper.

Des Tritons sont parfois représentés avec des pattes de chevaux; ils sont alors appelés Centaures -Tritons ou Ichthyocentaures, donc sans reproches.

Ils sont représentés ordinairement en train de souffler dans des coquillages qui leur servent de trompe pendant que des sirènes leur soufflaient dans la trompe en faisant des bruits de coquillage.

Les Tritons s’accouplaient parfois avec des grenouilles de bénitier. Ils seraient les lointains ancêtres de Christine Boutin et de Philippe De Villiers, ce qui expliquerait en partie la dégénérescence de la descendance du catho !

 

Voici, voila chers lecteurs ce que je pouvait vous dire sur les Tritons sans avoir une sale amande.

Et, à la question : « Trie-t-on ?» … je dis oui, même un lundi ! Vive l’écologie, vive la France, vive les verts : recyclons Eva Joly ! Ce qui ne va pas être très facile !

Et pis c’est tout !

 

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

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