Le poème du jour : " Je veille au grain, " de ... Pierre
A propos d’un petit secret
entre elle et moi.
Je veille au grain,
Moi seul connais l’endroit secret
où la nature, en fine mouche,
a déposé, sublime touche,
un grain doré : cachet discret !
De sa beauté, signe concret,
qui n’apparaît que sous la douche,
vous ne saurez pas de ma bouche
l’endroit précis : c’est indiscret !
Passez au loin tous les minets !
Je deviendrais méchant, farouche,
encore plus que Scaramouche,
j’ai la tête au ras du bonnet !
Une attaque à potron-minet ?
Moi je suis prêt à l’escarmouche
et vous pourrez chasser les mouches
des lésions de mes moulinets !
Grain de beauté,
sur toi je veille,
tout à coté,
comme une abeille !
Ma loyauté
est sans pareille,
te dorloter,
moi, m’émerveille !
Pierre Dupuis
Giscard et Lady Di ... ou " Le président et la princesse " ... une fable de Rotpier !
Mesdames …… préparez vos mouchoirs ! Même si j’ai eu la grande délicatesse de ne point faire rimer princesse avec fesses, Mercédès avec vitesse, les faits sont là ( les f- - - - s … aussi d'ailleurs ! ) vos petits cœurs vont connaître un moment de tristesse ……… sous la couette ( comme disait Sheila qui en avait ! ) ou sous les draps !
Photo prise sur le net
Fable,
Le président et la princesse,
Il était une fois un président rêveur,
d’une naïveté proche de la bêtise.
Il pensait que son rang lui donnait expertise
pour séduire aussitôt et en tirer faveur.
Une belle princesse au charme ensorceleur
et au décolleté qui toujours hypnotise,
vint à s’asseoir tout près de l’élu cavaleur,
lui remplissant les yeux de vive convoitise.
Il prit argent comptant un sourire de rigueur
- en politique on sait s’asseoir sur la franchise ! -
« l’affaire est dans la poche, à moi le beau valseur ! »
se dit le vieillissant, croyant la chose acquise !
Mais la belle princesse avait pour son bonheur
pléthore de garçons prêts à lever chemise,
des grands, des forts, des beaux, pas des vieux radoteurs
pour oublier le prince et sa grande traîtrise !
Il en fut pour ses frais et eut bobo au cœur,
la suite lui prouva - et de façon précise ! -
que cet amour aurait été fatale erreur :
sous le pont de l’Alma, bien des rêves se brisent !
Moralité première :
La puissance et le rang sont des atouts majeurs
quand un individu veut en faire à sa guise,
mais en amour souvent, la plus grande valeur
reste bien la jeunesse et cela les défrise !
Mais … quoi qu’il en soit et quelque soit son rang :
Moralité seconde :
Manant ou président, débardeur ou chanteur,
le rêve sans entrave est une chose exquise !
Bannir toute chimère est une grave erreur,
quitte à laisser son cœur à poil sur la banquise !
Rotpier
Jupiter ( Zeus ) ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Aujourd’hui :
image du net
Le dieu des dieux :
Zeus pour les grecs
Jupiter pour les romains
Jupiter était le fils de Saturne ( Chonos, celui des 24 H ) et de Cybèle ( Rhéa, de son nom : Qu’ tivée ). Sa mère l’avait sauvé de son père qui mangeait ses enfants au petit dég, mais je vous en avais déjà parlé !
Zeus, encore adolescent, détrône son père et devient le roi des dieux, le dieu suprême ! C’est de là que vient l’expression « Nom de Zeus ! » au lieu de « Nom de dieu » ce qui est beaucoup plus classe, mais qui ne change rien à la douleur quand on se file un coup de marteau sur les salsifis !
Du haut du mont Olympe, brandissant son Zinzano ou ses cinq anneaux ( je ne sais plus tellement j’en ai bu ! ) il surveillait le monde, armé de la foudre. Il était le maître du ciel, de l’orage et du désespoir, des éclairs, du tonnerre, de la pluie, de la nuit, de ma sœur et aussi de Bleu Ciel qu’il avait piqué à EDF lors d’un combat épique à la lance !
Sa fille, Diké ( La justice ) qui vira de bord et devint un saint … Saint Diké , nous donnera certainement la clé de l’affaire Clearstream et nous dira qui a emmanché qui, des deux guerriers et de leurs sbires ! D’ici qu’on apprenne que Madof était dans le coup de listings, il n’y a pas loin !
Jupiter était un homme à femmes ( un peu moins que J.C., mais quand même ! ) même si sa femme, Junon
( Héra ) était très jalouse ! Il la trompait avec de nombreuses autres femmes (même avec des animaux, l’animal ! ) dont Métis, Thémis, Dione (Céline ? ) Mnémosyne, Aspirine et Ségolène Royal, mais là, c’était sur le tard ! Bref, il tirait tout ce qui bougeait et s’en fichait comme de son premier éclair, étant maître des coups de foudre ( Heu … non ! là, je n’ose pas ! )
Il en voulu beaucoup à Benjamin Franklin d’avoir inventé le paratonnerre et aussi à Georges Brassens pour lui avoir fait de la pub !
Voilà qui était Jupiter ou Zeus !
…………. Je viens d’avoir cet éclair :
l’anagramme de Zeus est Suez ! Par quel canal cela est-il sortit de mon pauvre cerveau : mystère et boule de gomme !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !
Rébus : réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus … sur le billet « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image: la moitié de Coco ! ........ dernière image: en direct : " Art "
2éme ligne: le personnage, d'un coup de couteau, " - - - " !
( les trois autres aussi ! )
3ème ligne, 1ère image: c'est un " luth " ! ( les trois autres aussi ! ) ... 2ème image: ça gratte !
5ème ligne, 2ème image: le petit de la vache !
6ème ligne, dernière image: pour faire des trous dans le bois!
Et pis c'est tout !
Réponse :
Comme dit Arlette, turlute pour turlute, rien ne vaut la turlute ouvrière !
Ça, c’est juste la signature !
Nicoletta : " Il est mort le soleil " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
by Nicoletta
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Mais je suis la seule à porter le deuil
Et le jour ne franchit plus mon seuil.
Hier, on dormait sur le sable chaud
Hier pour nous il faisait beau
Il faisait beau même en hiver
C'était hier
Il est mort,
Il est mort, le soleil
L'ombre est sur ma vie,
Dans mon cœur, la pluie
Et mon âme s'habille de gris.
Hier, la couleur que j'aimais le mieux
C'était la couleur de tes yeux
C'était la couleur de la mer
C'était hier.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil,
Il est mort, le soleil.
Bon partage !
Rotpier
" Les mots bleus " de Christophe qui deviennent " Les gros bleus " de ... Rotpier
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette foi-ci :
« Les mots bleus »
de Christophe
qui deviennent :
« Les gros bleus »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Les gros bleus,
Ça fait six heures que je la brutalise
Dans la chambre et pour des bêtises
Cette fille je l’ai conduite à la mairie
Je voudrais lui péter les dents
Elle me sourit
Il faudrait que je parte
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui marquent bien les yeux
Elle sera très ridicule
Je m’élance et je la bouscule
Pas un coup qui soit inutile
J’ai le coup de poing très habile
Et pas de contre
Et pas de contre
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui rendent malheureux
Je la cogn’rais sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le bruit des coups s’entend en ville
Mais je m’en fous c’est ça mon style
Et pas de contre
Et pas de contre
Il n’y a plus d’horloge elle est cassée
Comme les chevets de la chambre à coucher
En lambeaux sa chemise de nuit
Sur le cul je la revois
Qui me maudit
Il faudra bien qu’elle comprenne
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
On ne pourra plus voir ses yeux
Toutes les claques que je donne
Sont de grande classe et de haut vol,
Il me reste une rancoeur de bile
Mon estomac est très fragile
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
Fin de l’histoire et des paroles
J’ai pas besoin de protocole
Et de très longs discours futiles
Ce ne serait pas dans mon style
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De préférence sur les yeux
Je lui ferais de très gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
De très gros bleus
De très gros bleus
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
Falaise d'Etretat ou d'ailleurs! Le poème du jour : " La loi des tas " de ... Rotpier
La loi des tas
ou
Avec la complicité de Newton
ou
L’art d’occire Constance,
Chute de meuf
et je suis veuf !
J’étais sa chose
et ça repose !
Tout au début
ben … moi j’ai bu !
Oh ! Quelles cuites
j’ai pris de suite !
Un peu plus tard
même un pétard !
Quelle bombance
quand j’y repense !
Le tout discret,
tout en secret !
Loin de la ville :
j’ suis pas débile !
Au quotidien,
le mec très bien :
deuil de Constance
de circonstance !
Pour moi c’est dur
soyez-en sûr,
j’ai de la peine,
ma vie se traîne.
Je prie les cieux
mon bon monsieur ,
paix à son âme
ma bonne dame.
C’était un soir,
il faisait noir,
j’étais à l’aise
sur la falaise.
Mes yeux de chat
voyaient en bas
une marée
fort déchaînée.
J’ai profité
en vérité
de la vue basse
de la bécasse !
Un croche-pied
très bien placé
et une chute
sans parachute !
De haut en bas :
la loi des tas !
Newton oblige
quelle voltige !
Bien éclaté
sur les rochers,
son corps en loques
qui se disloque !
Un scénario
bien comme il faut :
joli montage
et … l’héritage !
Rotpier
Adieu l'été, mais les rêves restent ! Le poème du jour : " Trésor coquelicot, " de ... Pierre
Trésor coquelicot,
Jupe légère et froufroutante,
corsage ouvert en calicot,
la belle est belle et envoûtante
avec ses joues coquelicot !
Cheveux au vent et mèches folles
bouche à poser mille bécots
et un sourire qui affole
sur ses lèvres coquelicot !
Très réactive à touche-touche :
acquiescement sans quiproquo
pour se faire une fraîche couche
au milieu des coquelicots !
La peau à nu - adieu corsage ! -
corps velouté comme abricot
de jolis seins pas du tout sages
aux mamelons coquelicot.
Et pour finir - pourquoi le taire ? -
jupe légère en tas bientôt
et … non ! Stop ! Plus de commentaire
sur … un trésor coquelicot !
Et pour bannir toute indécence,
sur la scène : glisse rideau !
Aller plus loin serait licence :
on en reste aux coquelicots !
Pierre Dupuis
Veau sauce Rotpier ! Le poème-délire du jour: " Mieux veau en rire " ou " Coup vache pour le veau " de ... Rotpier !
Mieux veau en rire,
ou
Coup vache pour le veau,
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt :
litanie
du malheur !
Veau des champs
qui finit
veau de ville
en bouch’rie
en passant,
c’est notoire,
par la case
« abattoir » !
Pas marrant
ce jeu d’oie :
cause aux gens
qui festoient !
Côtelette
dans l’assiette,
et le veau
Marengo !
Têt’ de veau :
que c’est beau !
Le ragoût
quel bon goût,
le rôti
c’est exquis
et le ris
ça nourrit !
Pied de veau :
c’est le pied !
Mais mes pieds
perdent pied,
c’est la faute
à Rotpier !
Ça se barre
au vau-l’eau,
c’est un drôle
d’écheveau !
Un cheval
des chevaux
à cheval
ou à pied
claudiquant :
ils sont bots !
Mon cerveau
a bobo !
Stop !
Il est temps
- j’en conviens ! -
de r’ lever
le niveau :
j’en reviens
à mon veau !
Je ne peux
fair’ d’impair
sur le sort
de sa mère :
C’est très vache
pour la vache :
son petit
en frichtis !
« Mon petit,
tu es beau,
tu seras
un taureau ! »
Patati
patatras
et le v’ la
dans le plat !
Le taureau,
il s’en fout !
Au boulot
pis c’est tout !
Nouveau veau
il le faut,
un travail
des travaux :
« Y en a trois
aujourd’hui
quel boulot
les amis !
Je ne suis
pas Hercule,
mais jamais
je n’ recule,
pas question
de flancher :
si plus bon,
au boucher ! »
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt !
Veau des champs
veau de ville
un méchant
vaudeville
… en les champs !
Pas marrant ?
C’est débile ?
Si c’est ça
pas de bile :
vous léchez
tout tomber !
Oui, mes vers
sont idiots,
de travers
très triviaux !
Je m’amuse
mais ma muse
est confuse
et s’excuse :
« Pardonnez
au Rotpier
son Q.I.
est tout p’tit :
pas plus haut
au bas mot
qu’un demi
cani … veau !
Veau des champs
veau de ville,
tout fumant
sur le gril !
Il est beau
le morceau
allez-y
de facto :
reprenez
un morceau
de p’ tit … veau !
Bon appétit !
Rotpier