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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Didon : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

28 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas : suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 


Aujourd’hui :

 

 


Didon recevant Enée avec ses nénés en avant
Nicolas Verkolye (vers 1700)

(Collection personnelle)

 

 

 

Didon

 

Mutto, roi de Tyr, qui tirait beaucoup, avait deux enfants Elissa, qu’il obligeait à lui chercher des poux (selon Gainsbourg) et Pygmalion à belle crinière, quand il mourut.
Bien que très jeune ce fût Pygmalion qui devint roi et Elissa épousa son oncle ( je vous rappelle que dans la mythologie, c’était genre famille tuyaux de poêle !) Mais après que son frère Pygmalion ait assassiné son époux Sicharbas qu’il traînait le cul par terre, afin de lui voler ses trésors, Elissa s'enfuit en compagnie de quelques fidèles en emportant les trésors dont Marius et ses lunettes.

 

En passant par Chypre quatre-vingt jeunes filles furent enlevées pour devenir les futures femmes des fugitifs : ils ne s’emmerdaient pas à l’époque avec les gonzesses !

 

 Elissa se réfugia en Afrique du Nord à Byrsa ("la peau de bœuf"), et demanda une terre d'asile aux autochtones et aux islamistes d’Ansar Dine Alhuile commandés par lyad ag Ghali Nassé à crête rouge. Ceux-ci lui donnèrent par dérision "autant de terre qu'elle pourrait en faire tenir dans une peau d'un bœuf".

 

Après réflexion, elle découpa la peau en fines lanières et elle obtint, en les mettant bout à bout, une corde d'une grande longueur. Avec la corde ainsi formée, elle encercla son territoire assez vaste et fonda la ville de Carthage ("la ville neuve", proche de la contemporaine Tunis. Elissa prit le nom latin de Didon et elle fût loin d’être le Didon de la farce !

 

Plutôt que de se marier au roi Larbas au Connemara de la peuplade nomade des Gétules à prendre chaque matin qui l'avait demandée en mariage et qui voulait déclarer la guerre aux carthaginois si elle refusait, elle préféra se sacrifier sur un bûcher plutôt que d’être responsable d’un véritable carthage comme à Damas actuellement où règne un fou nommé Assad le maudit.

 

D'après l’Enéide de Virgile, qui travaillait comme agent de sécurité chez Carrefour, qui donne une autre version, elle se poignarda de dépit car Enée, avec des gros pare-chocs, avait refusé son amour et préféré s'embarquer vers l'Italie pour fonder Rome et répondre à son destin avec Giscard et Berlusconi le bandit.

 

 

 

Voici, voila ce que vous deviez connaître sur Didon pour ne pas être pris pour des dindons car avec le Rotpier c’est toujours du bon et pas du bidon !

  

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

k

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

28 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Pamphlet sans moderato contre la dérive de Françoise Dolto ! ... Le poème du jour : « La machine à fabriquer des asociaux, » de … Pierre !

24 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Billet d'humeur

 

 

     Elever son enfant en enfant roi, c’est le conduire sur le chemin du déni de société.

 

Lui cacher qu’il devra se soumettre aux lois de la dite société, c’est lui dissimuler la vérité et aller à l’encontre de la thèse qui veut que l’enfant soit une personne et qu’ il ne faut jamais lui mentir car il a, instinctivement, le don de percer le mensonge.

 

 

Enfant roi

Image du net modifiée

 

 

 

 

La machine à fabriquer des asociaux,

 

 

 

Je parle ici d’une personne

 

à la fois mythe et étendard

 

pour les anciens soixante-huitards

 

qui criait dans leurs mégaphone :

 

 

 

« Il est interdit d’interdire !

 

La jeunesse fait ce qu’elle veut !

 

A bas les cons, à bas les vieux

 

et on ne vous l’envoie pas dire ! »

 

 

 

Ils avaient compris le message

 

de celle qui au long des ans

 

voulait placer tous les enfants

 

hors des sentiers d’apprentissage.

 

 

 

Pour l’enfant aucune contrainte

 

pour un bon épanouissement,

 

tout viendra naturellement :

 

il ne faut pas avoir de craintes !

 

 

 

S’il fait une grosse bêtise

 

ou qu’il refuse d’obéir,

 

hors question de le punir :

 

la sanction serait incomprise !

 

 

 

 

 

 

 

Expliquons-lui pendant des heures

 

qu’il ne faut plus recommencer

 

sans oublier de l’embrasser :

 

il ne faut surtout pas qu’il pleure !

 

 

 

Si le lendemain rebelote,

 

c’est que l’on n’a pas été bon

 

quelque part dans l’explication :

 

on a le Q.I. d’une lotte !

 

 

 

Pour le gamin c’est l’étincelle !

 

Il comprend très rapidement

 

qu'entre lui, papa et maman

 

… c’est lui qui tire les ficelles !

 

 

 

Du berceau à la maternelle

 

- disons de neuf mois à trois ans -

 

pas plus haut que trois bouts de Zan,

 

l’enfant a forgé sa chapelle !

 

 

 

Ce ne sera pas de sa faute

 

ou de quinze à vingt-cinq pour cent,

 

le reste à charge des parents,

 

tant pis si ces derniers sursautent !

 

 

 

Dès qu’il entrera à l’école

 

il sera vite confronté

 

à la dure réalité,

 

à un tout autre protocole !

 

 

 

Terminé l’individualisme,

 

maintenant il faut se frotter

 

aux règles de la société :

 

l’inverse de l’égocentrisme !

 

 

 

Il n’y a plus de privilèges,

 

tout partager et obéir,

 

travailler pour pouvoir choisir

 

sa place dans le grand manège !

 

 

 

Plus de limites élastiques,

 

le contrat est clair et précis :

 

on dit « s’il vous plait et merci »

 

exit les phases lunatiques !

 

 

 

Les sanctions sont prévues d’avance :

 

hors de question d’y échapper !

 

Si l’on transgresse il faut payer :

 

tout est fait dans la transparence !

 

 

 

La juste image de la vie,

 

base de toute société

 

qu’il faut en tous points respecter

 

pour en assurer la survie !

 

 

 

Les passe-droits : aux oubliettes !

 

C’est la grande compétition

 

et il faut se donner à fond

 

si l’on veut terminer en tête !

 

 

 

Pour se faire des camarades,

 

il faut oublier le « moi, je »

 

dans les discours et dans les jeux

 

sinon on se retrouve en rade !

 

 

 

Tout cela est bien l’antithèse

 

de la doctrine de Dolto,

 

vous l’aviez deviné très tôt

 

 ( un bon point entre parenthèses ! )

 

 

 

Reconnaissons-lui le mérite

 

d’avoir attiré l’attention

 

sur un mode d’éducation

 

obsolète en … quarante-huit !

 

 

 

Entre rigueur et fantaisie,

 

il faut déplacer le curseur

 

avec prudence et en douceur

 

hormis peut-être en bourgeoisie !

 

 

 

Quand l’argent n’est pas un problème

 

on a du temps pour corriger

 

et l’on peut même se payer

 

un psy pour gérer les problèmes !

 

 

 

Et aussi une institutrice

 

et un professeur de piano,

 

des domestiques tant qu’il en faut

 

… forcés d’encaisser les caprices !

 

 

 

L’erreur est là et manifeste !

 

Dolto s’est servi des médias

 

pour toucher le prolétariat

 

sans que personne ne proteste !

 

 

 

Une myriade de disciples

 

a vite repris le flambeau

 

« L’enfant est roi dès le berceau ! »

 

… c’était parti pour le périple !

 

 

 

Prenant la fibre maternelle

 

comme levier - un jeu d’enfant ! -

 

ils ont entraîné les parents

 

sur une pente irrationnelle !

 

 

 

Prisonniers de cet engrenage

 

ils ont du mal à s’en sortir,

 

à admettre que trop chérir

 

conduit droit vers le dérapage !

 

 

 

A l’inverse de toute attente

 

l’enfant roi n’est jamais comblé,

 

les parents en sont accablés :

 

l’incompréhension est patente !

 

 

 

Du salut ils cherchent la planche

 

en tentant de sévir un peu

 

mais vite ils s’aperçoivent que

 

… c’est une autre paire de manche !

 

 

 

 

Obligés en toute conscience

 

de faire leur mea-culpa,

 

de reconnaître le faux pas

 

ils peinent dans la résilience.

 

 

 

Hissé au rang de « Magnifique » !

 

Vénéré au stade fœtal !

 

Installé sur un piédestal :

 

c’est l’engrenage maléfique !

 

 

 

Je, je, je, je, je, je, je, je,

 

moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi, moi,

 

moi je, moi je, moi je, moi je,

 

et moi, et moi, et moi, et moi !

 

 

 

Bien installé comme monarque

 

par ceux devenus ses sujets,

 

l’enfant-roi, dès potron-minet,

 

mène en vrai despote la barque !

 

 

 

Et cela jusqu’à la naissance

 

d’un petit frère ou d’une sœur,

 

se faisant rarement sans heurt :

 

perte de la toute puissance !

 

 

 

Partager est une contrainte

 

très difficile à accepter,

 

on voit son pouvoir s’effriter

 

et apparaître les astreintes !

 

 

 

L’enfant roi alors se révolte,

 

tout n’est pas toujours apparent,

 

c’est au niveau du subconscient

 

que se prépare la récolte !

 

 

 

Au moment de l’adolescence

 

- lors du complexe du homard ! -

 

cela ressort façon pétard :

 

grande zone de turbulences !

 

 

 

Aubaine pour des psychologues

 

qui doivent beaucoup à Dolto :

 

leur position et leur boulot

 

grâce à ses thèses démagogues !

 

 

 

Pour les basses classes sociales,

 

pour ceux qui n’ont pas les moyens,

 

majorité de citoyens,

 

c’est la dérive qui s’installe.

 

 

 

Le « moi, je » se démocratise,

 

l’adulte roi devient légion,

 

une forme de contagion,

 

un statut qui se dogmatise.

 

 

 

Elle n’est pas la seule en cause

 

mais elle est un chaînon majeur

 

de la dégradation des mœurs

 

qui se propage et qui explose !

 

                  

 

              Conclusion :

 

 

 

C’est un très dur réquisitoire

 

que je viens de vous exposer,

 

vous pouvez vous y opposer :

 

pas d’obstacle rédhibitoire !

 

 

 

Entre rigueur et puis laxisme,

 

il faut bien un juste milieu

 

( en tout domaine c’est le mieux ! )

 

ni soumission, ni narcissisme !

 

 

 

Quitte à enfiler le costume

 

d’un procureur sans aucun droit,

 

d’un avocat très maladroit

 

… je voudrais un procès posthume !

 

 

 

Responsable mais pas coupable

 

- Nous connaissons tous le refrain ! -

 

mais elle a mis dans le pétrin

 

un nombre d’enfants incroyable !

 

 

 

Si elle était encore en vie

 

et qu’elle voyait les méfaits

 

résultant de ce qu’elle a fait

 

plaiderait-elle pour l’amnistie ?

 

 

 

Interrogez les profs d’école,

 

ils sont tous les jours sur le front

 

pour pallier aux aberrations

 

de celle qui fut une idole !

 

 

 

Quand je relis cette bêtise :

 

« Tout ce qui est  éducateur 

 

ne peut être que castrateur »

 

… j’avoue que cela me les brise ! *

 

 

 

Si l’enfant est une personne

 

à qui l’on doit la vérité

 

et qu’on lui cache la société :

 

il y a mensonge et maldonne !

 

 

 

Surprotéger sa descendance

 

c’est la mettre en grand porte-à-faux

 

pour affronter comme il le faut

 

le monde avec toutes ses chances !

 

 

 

Dans ma vie et dans ma carrière,

 

j’ai pu constater les dégâts

 

engendrés par son postulat :

 

je ne ferais pas marche arrière !

 

 

 

Les psys vont faire du vacarme

 

à l’exception de Didier Pleux

 

et quelques autres valeureux

 

qui ont déjà sonné l’alarme !

 

 

 

                            Pierre Dupuis

 

 

 

 * Pas très poétique, je l’avoue et m’en excuse, mais dans le contexte de la strophe, ce dernier vers me semble bien approprié et couler de source !

 

Nota : Pour mieux cerner la vie et le parcours de Françoise Dolto, je vous donne ce lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise_Dolto

 

 

 

 

 

 

 

 

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Certitudes de cage d'escalier ... un petit billet d'humour de ... Rotpier !

23 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour

 

   

Le dicton du Rotpier :

Moins on en sait, plus on en parle et plus on en parle, moins on en sait, ce qui fait qu’à la fin on n’y comprend plus rien mais au moins … on a participé !

Car, mine de rien, l’important c’est de participer comme le disait le baron de Coubertin !

Que celui qui n’a jamais critiqué gratuitement son voisin, me lance la première pierre !

Préambule :   Si ce n’est pas tout à fait sûr, c’est fortement possible. Mais … mais il est aussi certain que ce peut être totalement l’inverse… à moins que …

  

 

 

 

Image du net

 

 

Certitudes … de cage d’escalier !

 

On aurait aperçu le voisin du bas discutant à voix basse avec la voisine du haut dans la cage d’escalier du premier. Certains pensent, étant donné que la dite voisine est enceinte, qu’il ne serait pas impossible que …

Tout en prenant de grandes précautions avec les risques d’un jugement trop hâtif, les certains en question penchent à croire, sans en être absolument sûr … bien sûr, que cette hypothèse, tout à fait plausible, n’est pas à exclure à priori. Néanmoins…  néanmoins! L’inverse, c'est-à-dire que le futur papa légitime soit le vrai - en l’occurrence le mari de la voisine du haut - n’est pas non plus, loin s’en faut, à négliger en tant qu’une des possibles facettes de la vérité !

D’autant plus qu’il aurait été rapporté par une personne généralement bien informée et digne de confiance ( Mme Affond, pour ne pas la nommer ) que le ménage du haut marche bien … ainsi d’ailleurs que celui du bas !

Mais, il n’y a pas de fumée sans feu et les apparences sont souvent trompeuses ! Comme dit la concierge : «  on a vu des choses pires que ça qui ne sont jamais arrivées ! »  En plus, Mme Affond peut très bien se tromper : cela lui est déjà arrivé ! De toute façon, elle ferait mieux de s’occuper de ses fesses, vu qu’elles n’ont pas toujours été garées dans des endroits bien comme il faut !  Ah ! elle porte bien son prénom celle-là : Annick !

Enfin, il ne faut pas non plus oublier que l’on ne sait toujours pas ce que faisait le facteur, l’autre jour, sur le palier du haut où il n’a rien à faire vu que les boites à lettres sont dans l’entrée de l’immeuble, ce qui est absolument incontestable et prouvable !

Bref, tout ça c’est pas clair du tout et d’ici que l’on en apprenne de belles, il n’y a pas loin …

 

 

Conclusion et question :

Si vous étiez enquêteur, et que vous en sachiez autant que cela, seriez-vous en mesure que répondre, par oui ou par non, à la question suivante : « Le voisin du bas saute-t-il, ou a-t-il déjà sauté la voisine du haut ? »

 

 

 Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

 

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Anchise et Vénus ... ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

21 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Cette semaine:

       Anchise et Vénus

Image du net

 

Anchise et Vénus

Anchise, descendant de Tros c’est tros le fondateur de Troie, par Assacarus et Capys, eut la rare fortune de plaire à une déesse mieux carrossée qu’une 2 CV, même si cela devait avant tout servir la vengeance de Zeus.Ce qui a eu comme conséquence de changer la face du Monde et de l’Express.

Pour se venger, «Zeus inspira à son tour à Aphrodite le doux désir de s'unir à un homme mortel». C'est ainsi que la déesse se prit d'une irrésistible passion pour le Troyen Anchise Beurgueur  (il confectionnait toutes sortes de sandwichs), dont la beauté égalait celle des dieux bien qu’elle fut très inférieure à celle du Rotpier. Un jour que celui-ci faisait paître ses troupeaux sur le mont Ida avec Dalida et Georges Moustaki, Aphrodite alla le rejoindre. Auparavant elle s'était rendue dans son sanctuaire de Paphos du tout, où les Charités avaient oint son corps d'une huile incorruptible et odorante, et l'avaient parée de ses plus précieux joyaux. « Son voile était plus brillant que l'éclat de la flamme d’un briquet signé Dior ; elle portait des bracelets, des pendants d'oreilles, son cou était chargé de colliers d'or, sa poitrine délicate resplendissait comme la lune et sa lune brillait comme les yeux de DSK en voyant une femme de chambre manier un aspirateur. » Tandis qu'elle gravissait les pentes de l'Ida, les loups velus, les lions hérissés, les panthères agiles folâtraient autour d'elle ; « à ce spectacle, elle se réjouit et jeta l'amour dans leurs coeurs ».

Parvenue auprès d'Anchise, la déesse se fit passer pour la fille d'Otrée, roi de Phrygie, et lui marqua son désir de devenir son épouse en lui faisant, sur le champ, une petite gâterie façon maison. Sans plus attendre, Anchise conduisit Aphrodite vers la couche bien préparée, recouverte de peaux d'ours et de lions ; et là, « un mortel, par la volonté des dieux et du destin (mais pas de Giscard qui ne voulait pas le saloupiot !) dormit avec une Immortelle, sans savoir qui elle était ».
Au réveil, Aphrodite se manifesta à Anchise dans sa splendeur de déesse, et, comme le berger s'effrayait, redoutant la vieillesse prématurée dont est frappé l'homme qui s'est uni aux déesses et aux 2 CV immortelles, elle le rassura et lui promit un fils, qui serait semblable à un dieu. Elle lui demanda seulement de ne point révéler le nom de la mère de cet enfant, qui fut plus tard le pieux Enée. C’est là que naquit la chanson « Il Enée le divin enfant » !

Aphrodite lui annonça qu'elle lui donnerait un fils qui serait élevé par les nymphes jusqu'à l'âge de 5 ans, âge auquel elles le remettraient entre ses mains. Ce fils devait être Enée. Anchise ne put taire son bonheur ; Zeus, pour le punir de son indiscrétion, le frappa de la foudre (c’était une sale manie chez lui !) qui cependant ne lui fit qu'une insignifiante blessure. Après la prise de Troie par des commandos djihadistes, il eut de la peine à se décider à quitter la ville. Il demanda de l’aide à François Hollande et à l’armée française au grand dam de Sazko qui vit d’un mauvais œil l’ascension de celui qu’il considérait comme tout mou.  Un coup de tonnerre, qu'il prit pour un augure favorable, le détermina. Enée le porta jusqu'aux vaisseaux sans gain au loto, où il s'embarqua avec ses dieux pénates et ce qu'il avait de plus précieux, c'est-à-dire sa Rollex et son petit service trois pièces. Il vécut sans être constipé jusqu'à l'âge de quatre-vingts ans, et fut enterré sur le mont Ida, sans Dalida ni Moustaki, selon Homère Michèle, et, suivant Virgile qui surveillait un magasin de la FNAC, à Drépane à pas cher, en Sicile, où il mourut et où son fils lui éleva un tombeau qui n’était pas moche du tout

 

Voila ce que je pouvais vous dire en toute franchise sur Anchise pour que vous puissiez briller un tant soit peu devant la machine à café.

 

Et pis c’est tout !

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

 

 

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

21 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

20 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier

 
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
 
 
 
 
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
      
 
C'est une question existentielle que le Rotpier se pose ...
 
1ère ligne, 1ère image : 3ème image: après la tétée le bébé fait son
" - - - " !
 
2ème ligne,1ère image : à 3 H 52 du mat,il est très " - - - " (l'autre aussi ... si !) Dernière image: prendre celui qui est d'actualité en ce moment en France!
 
3ème ligne, 1ère image: en direct "ti" ! 3ème image :en direct: " bi "
 
4ème ligne, 1ère image: la boisson favorite des rosbifs !
 
5ème ligne, 1ère image : grande ennemie des chiens et des chats ! Dernière image : le type à une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
 
6ème ligne, 1ère image : lieu où l'on entrepose des barriques ( et ce n'est pas forcément en Belgique ou en Russie ! )
 
7ème ligne, 1ère image: le serpent fait toujours "s"   2ème image : sorte de pâté de sanglier ou de cochon! Dernière image : la moitié de la marque ... je le répète périodiquement !
 
Dernière ligne, 1ère image : le mec à pléthore de " - - - - "
 
 
Et pis c'est tout !

Réponse :

 

Un proctologue est-il habilité à pratiquer des touchers rectaux sur des natifs du Verseau ?

   
 
 
 
Ça, c’est juste la signature !

 
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Jacques Brel : "La chanson des vieux amants " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

19 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
 
Cette fois-ci :
Jacques Brel
« La chanson des vieux amants »
l

 
 
Bien sûr, nous eûmes des orages
Vingt ans d´amour, c´est l´amour fol
Mille fois tu pris ton bagage
Mille fois je pris mon envol
Et chaque meuble se souvient
Dans cette chambre sans berceau
Des éclats des vieilles tempêtes
Plus rien ne ressemblait à rien
Tu avais perdu le goût de l´eau
Et moi celui de la conquête

Mais mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime

Moi, je sais tous tes sortilèges
Tu sais tous mes envoûtements
Tu m´as gardé de pièges en pièges
Je t´ai perdue de temps en temps
Bien sûr tu pris quelques amants
Il fallait bien passer le temps
Il faut bien que le corps exulte
Finalement, finalement
Il nous fallut bien du talent
Pour être vieux sans être adultes

Oh, mon amour
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime

Et plus le temps nous fait cortège
Et plus le temps nous fait tourment
Mais n´est-ce pas le pire piège
Que vivre en paix pour des amants
Bien sûr tu pleures un peu moins tôt
Je me déchire un peu plus tard
Nous protégeons moins nos mystères
On laisse moins faire le hasard
On se méfie du fil de l´eau
Mais c´est toujours la tendre guerre

Oh, mon amour...
Mon doux, mon tendre, mon merveilleux amour
De l´aube claire jusqu´à la fin du jour
Je t´aime encore, tu sais, je t´aime.
 
 
Bon partage !
 
Rotpier
 
 
 
 
 
 
 
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" Fantaisie sur la rime riche " : un poème de Pierre revu pour cause d'actualité

18 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Version revue pour cause d’actualité !

 

 

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j

 

      

Fantaisie sur la rime riche,

 

« Pour un budget en équilibre

il faut augmenter les impôts ! »

Me disait un ami félibre

avec qui je buvais un pot !

 

« La rime riche est menacée ! »

N’arrêtait-il pas de crier !

« Ce n’est pas une panacée

Mais moi je rends mon encrier !

 

Mon encrier et puis ma plume :

Ils ne pourront pas me taxer,

Je refuse que l’on me plume,

Ces gens-là sont des désaxés ! »

 

Je lui ai dit : « Mon très cher barde,

Si l’on impose nos poèmes,

Il nous restera nos guimbardes

Pour jouer et dire je t’aime !

 

Mais au vu de ce qu’ils rapportent

Je ne me fais pas de mouron,

Ils pourront frapper à nos portes

Nous ne leur devrons pas un rond ! »

 

Je ne ferais jamais fortune

Avec mes écrits à deux sous !

Je n’aurais pas un tas de thunes,

Ni en dessus, ni en dessous !

 

Mais si j’avais beaucoup d’artiche

Je trouverais très indécent

D’aller en Suisse avec postiche

En jouant les grands innocents !

 

Ou de me barrer en Belgique

comme Obélix Depardieu

qui, encore plus stratégique,

a mis Poutine au rang de Dieu !

 

A tous ceux qui, sans trop de vagues,

sont partis en catimini,

ne dites pas que je divague :

chez moi pas d’embrouillamini !

 

On peut les trouver si l’on cherche,

il suffit de taper des mots

sur un des moteurs de recherche

c’est à la portée d’un marmot !

 

« Exilés fiscaux français liste »

et vous aurez le résultat ! *

C’est une manœuvre simpliste

et là pas question d’omerta !

 

Quand on fait tout son fric en France

On se doit de participer

Aux efforts et à la souffrance

Sans avoir l’air trop constipé !

 

Une contribution en hausse

Et ils parlent de baluchon,

Alors qu’en privé ils se gaussent

Quand ils se croisent chez Fauchon !

 

Comme dit ma sœur Ernestine :

« Il faut une révolution !

Les piques et la guillotine :

Voila la seule solution ! »

 

Oh ! Tout doucement la frangine

ce n’est qu’une affaire de vers,

de rime riche à l’origine

… tu peux ranger ton revolver !

 

 

 

Pierre Dupuis

 

      

* Il suffit de cliquer ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Expatriation_fiscale

Ou ici : http://www.dreuz.info/2012/12/liste-des-minables-exiles-fiscaux-qui-sallonge-chaque-jour/

 

 

 

Observations :

- Un félibre est un poète de langue d’Oc.

- De l’artiche est de l’argent en argot.

- Pour la guimbarde, c’est de l’instrument de musique à bouche dont je parle (rien à voir avec Bill, Monica ou Dominique !)

- Aucune de mes sœurs ne se prénomme Ernestine ! … Ni Arlette d’ailleurs !

 

 

Pierre ou Rotpier : c’est au choix !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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" Les bobotes … à sept lieues de la réalité ! " un poème sociétal de ... Pierre

17 Janvier 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Petite incurtion dans le sociétal ...

 

 

 

Les bobotes

 

Image du net floutée volontairement

 

 

 

Préambule :

 

Une bobote étant une fille de bobos

 

et son pendant masculin étant le bobo !

 

Le caractère des bobotes me semblant plus

 

exacerbé que celui des bobos, ce sont elles

 

qui sont dépeintes dans cet écrit mais il va de soit

 

que cette réflexion s’applique aux deux genres !

 

 

 

Aux bobotes :

 

 

 

 

Les bobotes … à sept lieues de la réalité !

 

 

 

Elles sont pleines d’assurance

 

et ce dès qu’elles sont ados,

 

elles rêvent d’indépendance

 

de voyage et de sac à dos !

 

 

 

Elles rejettent les adultes

 

avec leur morale à la con,

 

mais rêvent, bien qu’elles l’occultent,

 

de l’être ce qui est abscons !

 

 

 

L’argent ce n’est pas un problème :

 

« Les parents c’est bien fait pour ça !

 

Ils sont intégrés au système,

 

manquerait plus qu’on n’en ait pas ! » 

 

 

 

« J’ai droit à une vie privée ! »

 

Ce refrain-là revient souvent,

 

dès que vient la quinzième année

 

et même très souvent avant !

 

 

 

Bien qu’elles soient surconnectées

 

sur nombre de réseaux sociaux,

 

elles sont bien déconnectée

 

de la misère et de ses maux !

 

 

 

Entièrement centrées sur elles

 

elles vivent dans un cocon,

 

leur existence est naturelle :

 

pourquoi se faire du mouron ?

 

 

 

Si pour certaines les études

 

sont source de satisfactions,

 

d’autres parlent de servitude

 

en guise de définition !

 

 

 

Bureau, ordi et une chambre

 

pour travailler dans le confort,

 

dites-leur et elles se cambrent,

 

que d’autres rêvent de leur sort !

 

 

 

Travailler au bout d’une table,

 

avec autour des cris d’enfants,

 

c’est le quotidien détestable

 

d’autres ados fort méritants !

 

 

 

« De ceux-là nous on s’en balance,

 

on a d’autres chats à fouetter !

 

Le matin on se fait violence

 

quand il nous faut se découetter !

 

 

 

On n’a pas le temps de tout faire,

 

les cours, le tchat, Twitter, Facebook

 

et les sorties … c’est la galère !

 

Plus un copain et c’est le souk !

 

 

 

Vous ne pouvez pas nous comprendre,

 

vous avez un lourd handicap :

 

il est bien loin votre âge tendre,

 

vous avez oublié ce cap ! »

 

 

 

Il faudrait presque qu’on les plaigne :

 

« Ce n’est pas marrant d’être ados,

 

agressives comme des teignes

 

et d’avoir tout le monde à dos ! »

 

 

 

S’il faut leur trouver des excuses,

 

plaidons pour un monde un peu fou

 

où les frontières sont confuses,

 

rendant le discernement flou.

 

 

 

Elles ont dès leur prime enfance

 

hérité encore au berceau

 

peu ou prou des inconséquences

 

d’une certaine F. Dolto !

 

 

 

Celle qui est à l’origine

 

de l’enfant roi et de ses maux,

 

de la formidable machine

 

à fabriquer des asociaux !

 

 

 

Comme elles sont loin d’être bêtes

 

elles vont sauter à pieds joints

 

sur l’argument que je leur jette

 

et qui tombe vraiment à point !

 

 

 

Sur un des moteurs de recherche

 

elles vont taper « F. Dolto » !

 

Je leur ai bien tendu la perche

 

mais je la reprendrais bientôt !

 

 

 

La motivation étant grande,

 

elles vont bûcher le sujet

 

et atterriront par la bande

 

sur Didier Pleux et ses pamphlets !

 

 

 

Elles en feront une analyse

 

-  et ce  sans se faire prier ! -

 

et prépareront une exquise

 

intervention pour le dîner !

 

  

 

« Si nous avons ce caractère,

 

vous y avez participé !

 

C’est comme ça, pas de mystère,

 

vous n’aviez qu’à anticiper ! 

 

  

 

Vous nous avez laissé la bride

 

beaucoup trop lâche sur le cou

 

et vous en récoltez des rides :

 

c’est de votre faute après tout ! »

 

 

 

Holà, doucement les bobotes,

 

je ne vous donne pas raison

 

et je vous prie d’en prendre note :

 

que l’on soit bien au diapason !

 

 

 

Pour avoir votre indépendance,

 

vous allez devoir affronter

 

la société sans indulgence

 

sur laquelle il faudra compter !

 

 

 

Et là, qui s’y frotte s’y pique,

 

adieu la magnanimité

 

des parents supportant les piques

 

enrobées d’agressivité !

 

 

 

Vous ferez l’amère expérience

 

et là vous tomberez de haut :

 

fini le temps de l’insouciance,

 

la vie ne fait pas de cadeau !

 

 

 

Dès maintenant forgez vos armes

 

pour pouvoir l’attaquer de front,

 

vous vous éviterez des larmes

 

et des regrets les plus profonds !

 

 

 

Pour ce faire il y a l’école

 

mais il faut bien sûr travailler,

 

laisser tomber les fariboles

 

et s’y plonger sans sourciller !

 

 

 

Vous avez encore la chance

 

de ne pas avoir à bosser

 

pour pouvoir partir en vacances,

 

d’autres le font sans renâcler !

 

 

 

Pour certains c’est encore pire,

 

ils travaillent pour étudier :

 

avoir de l’argent pour s’inscrire,

 

plus les frais de scolarité !

 

 

 

Pour voler de ses propres ailes

 

il faut gagner son propre argent,

 

pour l’instant belles demoiselles

 

… c’est celui de papa, maman !

 

 

 

Tentez une bonne expérience :

 

prenez un job pendant un mois !

 

C’est là que vous prendrez conscience

 

des inconvénients de l’emploi !

 

 

 

Pas besoin d’être un grand oracle :

 

je sais que vous allez hurler !

 

Loin de me porter au pinacle,

 

toutes allez me conspuer !

 

 

 

               Epilogue :

 

Ne jetez pas à la poubelle

 

cet écrit qui peut vous servir

 

à vous rendre un peu moins rebelles

 

prenez le temps de réfléchir !

 

 

 

Un jour viendra, c’est fort probable,

 

vous aurez aussi des ados

 

à la conduite insupportable

 

et vous en aurez plein le dos !

 

 

 

Je sais que vous allez me dire :

 

« Ce n’est pas la veille demain ! »

 

Moi je préfère vous l’écrire :

 

vous l’aurez toujours sous la main !

 

 

 

 

 

                           Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

 

 

 

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