Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
4ème ligne, 3ème image : la moitié de ce que regarde Titeuf ! (l'autre aussi ! ) 5ème image : " - - - " est ce personnage ?
Et pis c’est tout !
Réponse :
Si je m’analyse bien, je suis un cartésien qui prend des vacances en poésie !
Jacques Brel : « Il pleut ( Les carreaux ) » ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Il pleut
Il pleut
C´est pas ma faute à moi
Les carreaux de l’usine
Sont toujours mal lavés
Il pleut
Les carreaux de l’usine
Y en beaucoup d´cassés
Les filles qui vont danser
Ne me regardent pas
Car elles s´en vont danser
Avec tous ceux-là
Qui savent leur payer
Pour pouvoir s´amuser
Des fleurs de papier
Ou de l´eau parfumée
Les filles qui vont danser
Ne me regardent pas
Car elles s´en vont danser
Avec tous ceux-là
Il pleut
C´est pas ma faute à moi
Les carreaux de l’usine
Sont toujours mal lavés
Les corridors crasseux
Sont les seuls que je vois
Les escaliers qui montent
Ils sont toujours pour moi
Mais quand je suis
Seul sous les toits
Avec le soleil
Avec les nuages
J´entends la rue pleurer
Je vois les cheminées
De la ville fumer
Doucement dans mon ciel à moi
La lune danse
Pour moi le soir
Elle danse danse
Elle danse danse
Et son haleine
Immense halo, me caresse
Le ciel est pour moi
Je m´y plonge le soir
Et j´y plonge ma peine
Il pleut
Et c´est ma faute à moi
Les carreaux de l’usine
Sont toujours mal lavés
Il pleut
Les carreaux de l’usine
Moi j´irai les casser
Bon partage !
Rotpier
Bretagne ... "Vive les bretons !" Allez, on chante sur des paroles de ... Rotpier
Dernier devoir de vacance :
Vous prendrez bien un petit pastiche ?
Et … vous êtes priés de chanter !
Sinon, à quoi ça sert que le Rotpier de décarcasse !
Sur l'air de :
Image du net
Vive les bretons !
Les bretons du Morbihan
sont des gens très épatants
oui je les brocarde un peu
mais on est très bien chez eux !
Refrain :
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive la Bretagne
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive les bretons !
Le marché de Pluméliau
peut tenir dans un chapeau
mais il est partout connu :
il bouche toute la rue !
(Refrain)
Il parait qu’à Locminé
ils n’aiment pas les minets
et qu’à cinq lieues à la ronde
ils les passent au micro-onde !
(Refrain)
Il parait qu’à Remungol
les filles sont bénévoles
pour déniaiser les garçons
en soulevant leurs jupons !
(Refrain)
A Saint Nicolas des Eaux
j’en ai bouffé mon chapeau
on m’a dit que Sarkozy
n’est jamais venu ici !
(Refrain)
Au château de Pontivy
j’ai vu de très beaux habits
ceux que portaient les bretonnes
avant qu’on les déboutonne !
(Refrain)
Quand je suis passé à Baud
avec mon large chapeau
il m’ont dit : « T’es pas breton
mais tu es bel et bien rond ! »
(Refrain)
Pour aller à Vannes en train
ce n’est vraiment pas très loin
il n’y a et sans chicane
que six gares de là à Vannes !
(Refrain)
Il parait mêm’ qu’à Colpo
on a vu Fidel Castro
et aussi Che Guevara
qui trafiquaient du tabac !
(Refrain)
Le curé de Plouermel
aux filles roule des pelles
on ne compte plus les marmots
qu’il a dans tous les hameaux !
(Refrain)
Il parait qu’un Quistinic
dans le temps à l’arsenic
on supprimait les bell’ mères
les fouines et les notaires !
(Refrain)
Du coté de Landévent
quand il y a du grand vent
on voit le derrière des filles
les gars ça les émoustillent !
(Refrain)
Mon grand-père qui était maire
a fauté avec grand-mère
du coté de Pluvigner
c’est comm’ ça qu’ mon père est né !
(Refrain)
Je suis allé à Carnac
et j’ai croisé un cornac
qui cherchait son éléphant
en pleurant comme un enfant !
(Refrain)
J’ai vu à Belle-île-en-mer
une baston de grand-mères
ell’ se crêpaient le chignon
et se foutaient pleins de gnons !
(Refrain)
A Plumelin c’est certain
on compt’ sur les doigts d’ la main
les filles de plus de vingt ans
qui n’ont pas plusieurs amants !
(Refrain)
Un jour en passant à Crac’h
on m’a proposé du crack
je leur ai dis « Non les gars
moi je me choute au calva !
(Refrain)
Sur le pont de Hennebont
j’en ai blavet pour de bon
quand un trio de loubards
m’a fauché tout mon pinard !
(Refrain)
Je suis allé à Lorient
je n’ai pas vu de hareng
mais j’ai vu des maqueraux
mettre leurs fill’ au boulot !
(Refrain)
Un pêcheur sur le Blavet
m’a dit : « Ici un brochet
ayant bouffé des méduses
a bouché toute l’écluse ! »
(Refrain)
Les bretonnes sont très pieuses
mais aussi très malicieuses
le dimanche après la messe
ell’ ne parlent que de fesses !
(Refrain)
Il parait que l’ bon Merlin
était un très chaud lapin
quand Vivian’ tournait la tête
il changeait vit’ de baguette !
(Refrain)
Il parait qu’à Guéméné
les pépés et les mémés
forniquent à tour de bras
grâce au far et au Viagra
(Refrain)
Dans la forêt de Paimpont
quand ça boug’ dans les buissons
rien à voir avec Merlin
c’est les amoureux du coin !
(Refrain)
Si jamais roulant par deux
tu vois des Korrigans bleus
sur des motos dans tes phares
ralentis c’est des motards !
(Refrain)
Il parait qu’à Pluméliau
les gars ne boiv’ jamais d’eau
ils font tous glisser le far
au chouchen et au pinard !
(Refrain)
De l’autr’ coté du Couesnon
c’est pas mieux pour le gorgeon
ils se beurrent au calva
et en sorte flagada !
(Refrain)
Les bretons sont très jaloux
quand les normands sont fins soûls
ils reprennent des tournées
pour être encor’ plus bourrés !
(Refrain)
En cas de compétition
entre normands et bretons
il faudrait plein de barriques
pour remplir ces alcooliques !
(Refrain)
Au moulin de la Boulaye
un gars aimant la bouteille
a écrit cette chanson
pour brocarder les bretons !
(Refrain)
J’espèr’ qu’un jour un breton
saura sur le même ton
railler ses voisins normands
sans prendre le moindre gant !
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive la Bretagne
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive les bretons !
Rotpier
|
"Le pêcheur-poète et la sirène de l’étang de la Boulaye," un poème de déconvenue du ... Rotpier !
Et de trois : encore un petit devoir de vacances !
Il n’en restera plus qu’un après !
Image personnelle + un petit bidouillage du Rotpier
Le pêcheur-poète et la sirène de l’étang de la Boulaye,
Un matin dès potron-minet
alors que je lançais mes lignes
et débloquais mes moulinets
elle apparût et me fit signe.
Mes yeux n’en crurent pas leurs yeux
quand elle s’installa tranquille
sur un rocher un peu mousseux
d’un seul coup de queue fort habile !
Tout de suite elle me lança :
«Que penses-tu de ma plastique ?
Ne me dis pas couci-couça,
ton regard est apoplectique !
J’ai ce qu’il faut là où il faut
- Je vois bien que tu me reluques ! -
j’ai déjà enlevé le haut,
viens voir le bas que je t’éduque ! »
Comme Ulysse j’aurais mieux fait
de me ficeler au gros chêne,
de me souvenir des méfaits
de ces traîtresses de sirènes !
Au lieu de ça, pauvre de moi,
j’ai tout laissé pour la rejoindre
sur son rocher, très à l’étroit,
j’ai aussitôt voulu l’étreindre !
Mais pour lui enlever le bas,
ce fut une toute autre affaire
qu’avec des collants ou des bas,
cela semblait la satisfaire !
Pour réussir il eut fallu
la dépiauter comme une anguille,
un travail beaucoup plus ardu
que d’enlever des bas résilles !
Elle exploita mon embarras
et d’un geste jubilatoire,
en riant elle me lança
un coup de queue en pleine poire !
J’en fus à moitié assommé
et faillis bien boire la tasse,
au lieu d’un désir consommé
… un grand coup sur la calebasse !
Après avoir très longtemps ri
elle m’adressa la parole :
« Je te sens ma foi fort marri
d’avoir reçu cette torgnole !
C’est une juste punition
cela t’apprendra que la pêche
est cruelle pour les poissons
et ce n’est pas là une prêche !
Tu as vu comme mes appâts
ont su très vite te séduire,
te conduire à faire un faux pas
et en fin de compte te nuire !
Ne reviens plus pêcher ici
et dis bien à tes homologues
qu’ils risquent bel et bien aussi
une punition analogue !
Je suis gardienne de ce lieu
et je remercie la nature
de m’avoir fait ce corps gracieux
qui sait vous piéger sans bavure !
Je ne ferais pas de cadeau
et cela pourrait être pire,
au lieu de la bête à deux dos
ils se pourrait bien qu’ils expirent ! »
Elle plongea et disparut
j’avais l’air plus con que la lune,
aussi demeuré qu’un zébu
qui rumine son infortune !
Un lama qui passait par là
eut une crise de fou rire,
il s’en tapait sur l’estomac :
il n’était pas pince-sans-rire !
Depuis j’ai toujours l’impression
d’avoir en travers de la gorge
comme une arête de poisson
et je souffle comme une forge !
De plus je me méfie de tout
et quand j’entends une sirène,
je prends mes jambes à mon cou
… je suis devenu schizophrène !
J’ai une phobie du poisson,
dans les queues je suis mal à l’aise
et quand je vois un hameçon
je suis à deux doigts du malaise !
Si j’ai le malheur de sentir
le fumet d’une bouillabaisse,
avant de me mettre à vomir
je me sauve à toute vitesse !
Je ne vais plus à Copenhague,
la Petite Sirène en rit :
elle pense à la bonne blague
que sa frangine a réussi !
Je me suis fâché pour de bon
avec ceux qui, dans le zodiaque,
sont sous le signe du poisson :
je suis vraiment paranoïaque !
Le pire c’est que j’en suis un
alors tous les jour je gamberge
et comme le dit mon cousin :
« Pas prêt de sortir de l’auberge ! »
Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
4ème ligne, dernière image : " - - - " est ce personnage ?
7ème ligne, 3ème image : ce n'est pas le crayon qu'il faut prendre !
8ème ligne, 2ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! 3ème image : début de la prière du muezzin ! Dernière image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
9ème ligne, 1ère image : le dernier des frères Dalton ! 3ème image : la boisson favorite des rosbifs !
10ème ligne: dernière image : après avoir tété, le bébé fait son " - - - " !
Dernière ligne, 1ère image : c'est celui affiché ! 2ème image : la suite de l'onomatopée du chanteur Antoine !
Et pis c'est tout !
Réponse :
J’aime les chevaux parce qu’il y en a peu qui pètent plus haut que leur cul contrairement à la majorité de leurs propriétaires !
Nota : Les plus chanceux, je parle des chevaux, sont ceux qui appartiennent à des petits propriétaires qui les aiment et les soignent avec attention.
Nolwenn Leroy : " Tri Martolod " Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Tri martolod yaouank... la la la...
Tri martolod yaouank i vonet da veajiñ (bis)
E vonet da veajiñ, gê!
E vonet da veajiñ (bis)
Gant 'n avel bet kaset... la la la...
Gant 'n avel bet kaset betek an Douar Nevez (bis)
Beteg an Douar Nevez, gê!
Beteg an Douar Nevez (bis)
E-kichen mein ar veilh... la la la...
E-kichen mein ar veilh o deus mouilhet o eorioù (bis)
O deus mouilhet o eorioù, gê!
O deus mouilhet o eorioù (bis)
Hag e-barzh ar veilh-se... la la la...
Hag e-barzh ar veilh-se e oa ur servijourez (bis)
E oa ur servijourez, gê!
E oa ur servijourez (bis)
Hag e c'houlenn ganin... la la la...
Hag e c'houlenn ganin pelec'h 'n eus graet konesañs (bis)
Pelec'h 'n eus graet konesañs, gê!
Pelec'h 'n eus graet konesañs (bis)
E Naoned er marc'had... la la la...
E Naoned er marc'had hor boa choazet ur walenn (bis)
Hor boa choazet ur walenn, gê
Hor boa choazet ur walenn (bis) »
Trois jeunes marins tra la la... Trois jeunes marins s’en allant voyager
S’en allant voyager,
S’en allant voyager
Conduits par le vent tra la la... Conduits par le vent jusqu’à Terre Neuve
Jusqu'à Terre Neuve,
jusqu'à Terre Neuve
Près des pierres du moulin, tra la la... Près des pierres du moulin ils ont mouillé l’ancre
Ils ont mouillé l'ancre,
ils ont mouillé l'ancre
Et dans ce moulin, tra la la... Et dans ce moulin il y avait une servante
Il y avait une servante, i
l y avait une servante
Et elle me demande, tra la la... Et elle me demande où nous avions fait connaissance
Où nous avions fait connaissance,
où nous avions fait connaissance
À Nantes au marché, tra la la... À Nantes au marché nous avions choisi un anneau
Nous avions choisi un anneau,
nous avions choisi un anneau
Bon partage !
Rotpier
Alzheimer: le poème du jour: "En désapprenance" ... de ... Pierre
Pour faire écho à dimanche dernier qui était la journée consacrée à la maladie d’Alzheimer …
Image du net
En désapprenance,
Dans son regard … rien que du vide
… même en cherchant … plus un ressort.
Ses yeux, autrefois si limpides,
si pétillants … là, quasi morts.
Et il se tient en face d’elle,
la regardant … mains dans les mains,
yeux dans les yeux … plus d’étincelle
… la grande peur du lendemain.
Tout au début, rien de bien grave,
dans la mémoire, des petits trous,
pas de quoi en faire un conclave,
quelques oublis de rendez-vous.
« Tu te souviens du nom d’Octave ?
Où ai-je mis mon grand fait-tout ?
Tiens, elle est ouverte la cave ?
… J’avais pourtant mis le verrou … ? »
Et puis un jour en promenade,
plus d’une heure à tourner en rond
et les jambes en cotonnade :
« Mais où se trouve la maison ? »
A reculons, elle consulte,
le verdict tombe :il est amer !
Ça claque pire qu’une insulte :
les faits sont là : c’est Alzheimer.
Après c’est la dégringolade :
l’esprit, les sens, en flottaison.
Une mémoire en marmelade
et des atteintes à la raison.
Et les visages qui s’effacent,
de mois en mois, de jour en jour.
Des souvenirs, plus une trace :
un grand désert et rien autour.
Et lui est là, tout en souffrance,
n’y pouvant rien que de pleurer,
témoin de la désapprenance
de l’être cher… tout apeuré.
Pierre Dupuis
La forêt de Brocéliande peut réserver des surprises ! La fable du jour de ... Rotpier !
Allez, un autre devoir de vacances !
Une fable à la mode de Rotpier, c'est-à-dire … un peu corsée !
Fable,
Rencontre féerique en forêt de Brocéliande,
Dans la forêt de Brocéliande
alors que je me promenais,
je vis déboucher de la lande
une fée sortant des genets.
Elle avait une longue robe
de tissu blanc très transparent,
avant que je ne me dérobe
elle me dit en souriant :
« Alors mon gars on se promène,
tu n’as pas peur tout seul ici ?
Sur cette ancienne voie romaine
plusieurs gars ont été occis !
Je suis la bonne fée Viviane,
tu peux avoir confiance en moi,
je suis souple comme une liane
et peux faire beaucoup pour toi !
Si tu le veux je te protège
et pour passer le temps vois-tu,
je t’accorde le privilège
de disposer de ma vertu. »
Mon grand charme ayant fait son œuvre
( un fort pouvoir de séduction ! )
je mis en route la manœuvre
pour concrétiser notre union !
C’est alors que d’une voix douce
elle me dit « C’est cent euros,
si c’est trop cher tu mets les pouces
et moi je repars au boulot ! »
Elle m’avait coupé la chique,
et j’en devins tout ramollo,
de quoi devenir psychotique
quand d’un seul coup dans notre dos …
… Surgit toute une sarabande
de korrigans vêtus de bleu,
sortis eux aussi de la lande,
qui nous cerna en moins de deux !
« Alors Mado on se retrouve,
tu t’es recollée au turbin ?
Qui est donc celui qui te couvre ?
Ne me dis pas que c’est Merlin !
Tu te fais appeler Viviane,
c’est bien trouvé, joli boulot,
d’idées tu n’es jamais en panne
… ou est-ce un coup de ton julot ?
Vu le travail que tu pratiques
tu aurais pu sans discussion,
tout en étant moins poétique,
prendre pour nom : La fée Lation ! »
C’est ainsi que le chef des gnomes
lui parla en gesticulant,
il collectionnait les syndromes
du flic blasé et truculent !
C’est quand le panier à salade
vint se ranger sirène hurlant
qu’avec la tête en marmelade
je tombais du lit haletant !
Car …
Vous aviez compris tout de suite
qu’il s’agissait d’un cauchemar
consécutif à une cuite
due au chouchen et au pinard !
Tout cela mêlé aux légendes
qui fleurissent dans le pays
et dans la tête, en sarabande,
ça provoque un sacré tournis !
Moralité :
Il faut rester très raisonnable
et pour faire glisser le far,
boire modérément à table
pour éviter les cauchemars !
Surtout ne pas prendre la route
car des Korrigans tout en bleu
vous font souffler en cas de doute
dans des ballons et … pas par jeu !
Et là pas question de magie
pour escamoter l’infraction :
ils n’ont aucune fantaisie
et il faut payer l’addition !
Même la baguette magique
du bon Merlin n’y pourrait rien,
leur héritage est génétique
et se moque des magiciens !
Rotpier
Image du net + petit montage du Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus !
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier