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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

24 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

rebus 360 (1)

rebus 360 (2)

 

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est une question existentielle que je me pose, j'espère qu'elle ne jettera pas un froid !

2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !

3ème ligne, 4ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion !

4ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils !  4ème image : la vache fait "  - - - " !

 5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !

6ème ligne, 2ème image : la suite d'un refrain d'Antoine ... pas Marc ! 4ème image : ne pas tenir compte de cette virgule : elle arrivée à l’insu de mon plein gré ! 

7ème ligne, 1ère image : en direct: " U " ! 

9ème ligne, 3ème image : la sale bête donne la piroplasmose à nos amis les chiens !

Dernière ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit ! Dernière image : c'est la teuf !

Il n'est pas trop long alors au boulot et bon dimanche à tous !  

Et pis c'est tout !

Réponse :

Est-ce que l’insémination d’une femme avec du sperme conservé en paillette réussit mieux quand elle est pratiquée un jour de fête 

Qu'il dit l'animal !

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

rebus 360 (1)

rebus 360 (2)

 

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est une question existentielle que je me pose, j'espère qu'elle ne jettera pas un froid !

2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !

3ème ligne, 4ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion !

4ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils !  4ème image : la vache fait "  - - - " !

 5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !

6ème ligne, 2ème image : la suite d'un refrain d'Antoine ... pas Marc ! 4ème image : ne pas tenir compte de cette virgule : elle arrivée à l’insu de mon plein gré ! 

7ème ligne, 1ère image : en direct: " U " ! 

9ème ligne, 3ème image : la sale bête donne la piroplasmose à nos amis les chiens !

Dernière ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit ! Dernière image : c'est la teuf !

Il n'est pas trop long alors au boulot et bon dimanche à tous !  

Et pis c'est tout !

 

Qu'il dit l'animal !

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Léo ferret: "Paname" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

24 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

 

Léo Ferré :

« Paname »

  

Paname

Paname
On t'a chanté sur tous les tons
Y a plein d'parol's dans tes chansons
Qui parl'nt de qui de quoi d'quoi donc
Paname
Moi c'est tes yeux moi c'est ta peau
Que je veux baiser comme il faut
Comm' sav'nt baiser les gigolosPaname
Rang' tes marlous rang' tes bistrots
Rang' tes pépées rang' tes ballots
Rang' tes poulets rang' tes autos
Paname
Et viens m'aimer comme autrefois
La nuit surtout quand toi et moi
On marchait vers on n'savait quoiPaname
Y a des noms d'rues que l'on oublie
C'est dans ces rues qu'après minuit
Tu m'faisais voir ton p'tit Paris
Paname
Quand tu chialais dans tes klaxons
Perdue là-bas parmi les homm's
Tu v'nais vers moi comme un' vraie môm'Paname
Ce soir j'ai envie de danser
De danser avec tes pavés
Que l'monde regarde avec ses pieds
Paname
T'es bell' tu sais sous tes lampions
Des fois quand tu pars en saison
Dans les bras d'un accordéonPaname
Quand tu t'habill's avec du bleu
Ça fais sortir les amoureux
Qui dis'nt "à Paris tous les deux"
Paname
Quand tu t'habill's avec du gris
Les couturiers n'ont qu'un souci
C'est d'fout' en gris tout's les sourisPaname
Quand tu t'ennuies tu fais les quais
Tu fais la Seine et les noyés
Ça fait prend' l'air et ça distrait
Paname
C'est fou c'que tu peux fair' causer
Mais les gens sav'nt pas qui tu es
Ils viv'nt chez toi mais t'voient jamaisPaname
L'soleil a mis son pyjama
Toi tu t'allum's et dans tes bas
Y a m'sieur Haussmann qui t'fait du plat
Paname
Monte avec moi combien veux-tu
Y a deux mille ans qu't'es dans la rue
Des fois que j'te r'fasse un' vertu

Paname
Si tu souriais j'aurais ton charme
Si tu pleurais j'aurais tes larmes
Si on t'frappait j'prendrais les armes
Paname
Tu n'es pas pour moi qu'un frisson
Qu'une idée qu'un' fille à chansons
Et c'est pour ça que j'crie ton nom
Paname, Paname, Paname, Paname...

  

Bon partage ! 

 Rotpier

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

 

Léo Ferré :

« Paname »

http://www.youtube.com/watch?v=S8l8-aic780

Paname

Paname
On t'a chanté sur tous les tons
Y a plein d'parol's dans tes chansons
Qui parl'nt de qui de quoi d'quoi donc
Paname
Moi c'est tes yeux moi c'est ta peau
Que je veux baiser comme il faut
Comm' sav'nt baiser les gigolosPaname
Rang' tes marlous rang' tes bistrots
Rang' tes pépées rang' tes ballots
Rang' tes poulets rang' tes autos
Paname
Et viens m'aimer comme autrefois
La nuit surtout quand toi et moi
On marchait vers on n'savait quoiPaname
Y a des noms d'rues que l'on oublie
C'est dans ces rues qu'après minuit
Tu m'faisais voir ton p'tit Paris
Paname
Quand tu chialais dans tes klaxons
Perdue là-bas parmi les homm's
Tu v'nais vers moi comme un' vraie môm'Paname
Ce soir j'ai envie de danser
De danser avec tes pavés
Que l'monde regarde avec ses pieds
Paname
T'es bell' tu sais sous tes lampions
Des fois quand tu pars en saison
Dans les bras d'un accordéonPaname
Quand tu t'habill's avec du bleu
Ça fais sortir les amoureux
Qui dis'nt "à Paris tous les deux"
Paname
Quand tu t'habill's avec du gris
Les couturiers n'ont qu'un souci
C'est d'fout' en gris tout's les sourisPaname
Quand tu t'ennuies tu fais les quais
Tu fais la Seine et les noyés
Ça fait prend' l'air et ça distrait
Paname
C'est fou c'que tu peux fair' causer
Mais les gens sav'nt pas qui tu es
Ils viv'nt chez toi mais t'voient jamaisPaname
L'soleil a mis son pyjama
Toi tu t'allum's et dans tes bas
Y a m'sieur Haussmann qui t'fait du plat
Paname
Monte avec moi combien veux-tu
Y a deux mille ans qu't'es dans la rue
Des fois que j'te r'fasse un' vertu

Paname
Si tu souriais j'aurais ton charme
Si tu pleurais j'aurais tes larmes
Si on t'frappait j'prendrais les armes
Paname
Tu n'es pas pour moi qu'un frisson
Qu'une idée qu'un' fille à chansons
Et c'est pour ça que j'crie ton nom
Paname, Paname, Paname, Paname...

  

Bon partage ! 

 Rotpier

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Pastiche de la chanson « Les filles du bord de mer » de Salvatore Adamo qui devient : "Tu t’en souviens mémère," de ... Rotpier

22 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

Je vous offre un petit … pastiche !  A la vôtre !

Cette fois-ci :

 «  Les filles du bord de mer  »

de Salvatore Adamo

 qui devient :

  « Tu t’en souviens mémère »

De … Rotpier

Recette pour bien le déguster :

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

   2) On écoute religieusement l’artiste !

 3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 Maintenant on y va !

 
                                                                                             Image du net
 
  

Tu t’en souviens mémère,

Ah ! Oui tu t’en souviens mémère

Du temps de la cuisse légère

Quand un beau gars dans les fougères

Te faisait voir tout à l’envers !

Naïve autant que t’étais belle

Tu balançais ton port’ jarretelles

Aimant pour fair’  ce genr’  de sport

Être aussi nue qu’un doryphore !

Et encore et encore  ... des fois t'oubliais tes bas !

Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

Ton préféré c’était Estève

Il en avait une de rêve

Mais il avait un gros défaut

Il s’endormait sur le boulot !

Tu t’y mettais avec ta sœur

Pour réveiller le gros dormeur

En le patrouillant d' bon cœur en douceur en douceur

En douceur avec ta sœur !

 Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

Lui pardonnant cette manie

Tu partag’  avec lui ta vie

Mais comme il ne fait que ronfler

Tu n’es pas du tout contentée !

Comme tu ne perds pas le nord

Tous les soirs tu rejoins l’Hector

Un gars complètement sourdingue

Mais très balèze pour la tringle !

Puis un beau jour t’en as en marre

T’as mis l’ Estèv’  dans un placard

T’as pris l’Hector et son oiseau

Et t’as nagé vers d’autres eaux

En douceur en douceur

Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

La la la la la la la la la la la !

La la la la la la la la la la la !

                                                                                         Rotpier

 

Et pis c’est tout !

A la vôtre !

Avec modération SVP !

 Rotpier

 

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" Nœud marin, " ... un poème de Pierre

20 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Chalut à tous,

Aujourd'hui, je travaille sans filet ... encore influencé par l'amer

... du travail sur corde raide.

Pierre

 

noeud marin 1

Image du net

A toujours ressasser l’amer

un jour la haine de déchaîne,

se libère en cassant ses chaînes

et c’est le début de l’enfer.

 

Nœud marin,

ou

A trop tirer sur la corde,

Bien sûr il buvait un peu trop

mais il n’était pas un ivrogne,

il se tuait à la besogne

pour lui offrir de beaux cadeaux.

Son métier de marin pêcheur,

il le faisait avec vaillance

et sans la moindre défaillance :

il y mettait un point d’honneur.

Elle en avait jamais assez,

toujours le reproche à la bouche

et elle y allait à la louche

cherchant sans fin à le blesser.

« Tu n’es qu’un pauvre matelot

pas foutu d’être capitaine,

tu approches la quarantaine,

avec toi tout part à vau-l’eau ! »

A pousser le bouchon trop loin

elle ne se rendait pas compte

qu’elle allait lui devoir des comptes

et que ce serait sans témoin.

Toute la journée au chalut

il avait ressassé la chose,

il était bien plus que morose,

le soir il avait vraiment bu.

Elle l’avait apostrophé

dès qu’il avait franchi la porte,

maintenant elle pendait morte

au bout du cordage étiré.

Elle avait à peine souffert,

en nœuds les marins s’y connaissent :

pas de risque de maladresse,

vieil héritage de la mer.

Elle avait usé son amour,

aussi il n’avait pas de peine

ayant accumulé la haine

depuis longtemps jour après jour.

Il était prêt à assumer

les conséquences de son acte

et d’en payer la note exacte,

ses yeux n’étaient pas embrumés.

Il la regardait balancer

doucement au bout du cordage,

il avait épuisé sa rage,

il était calme et soulagé.

Cela ne pouvait plus durer,

et ce n’était là que justice

qu’elle paie pour tous les sévices

moraux qu’il avait enduré.

Il était sûr que les jurés

lui trouveraient des évidentes

circonstances atténuantes

et qu’il serait peu condamné.

Son sort elle l’avait scellé :

quand on devient une harpie

glissant vers la misanthropie

on prend des risques sans filet.

                                             Pierre Dupuis

Chalut à tous,

Aujourd'hui, je travaille sans filet ... encore influencé par l'amer

du travail sur corde raide.

Pierre

 

noeud marin 1

Image du net

A toujours ressasser l’amer

un jour la haine de déchaîne,

se libère en cassant ses chaînes

et c’est le début de l’enfer.

 

Nœud marin,

ou

A trop tirer sur la corde,

Bien sûr il buvait un peu trop

mais il n’était pas un ivrogne,

il se tuait à la besogne

pour lui offrir de beaux cadeaux.

Son métier de marin pêcheur,

il le faisait avec vaillance

et sans la moindre défaillance :

il y mettait un point d’honneur.

Elle en avait jamais assez,

toujours le reproche à la bouche

et elle y allait à la louche

cherchant sans fin à le blesser.

« Tu n’es qu’un pauvre matelot

pas foutu d’être capitaine,

tu approches la quarantaine,

avec toi tout part à vau-l’eau ! »

A pousser le bouchon trop loin

elle ne se rendait pas compte

qu’elle allait lui devoir des comptes

et que ce serait sans témoin.

Toute la journée au chalut

il avait ressassé la chose,

il était bien plus que morose,

le soir il avait vraiment bu.

Elle l’avait apostrophé

dès qu’il avait franchi la porte,

maintenant elle pendait morte

au bout du cordage étiré.

Elle avait à peine souffert,

en nœuds les marins s’y connaissent :

pas de risque de maladresse,

vieil héritage de la mer.

Elle avait usé son amour,

aussi il n’avait pas de peine

ayant accumulé la haine

depuis longtemps jour après jour.

Il était prêt à assumer

les conséquences de son acte

et d’en payer la note exacte,

ses yeux n’étaient pas embrumés.

Il la regardait balancer

doucement au bout du cordage,

il avait épuisé sa rage,

il était calme et soulagé.

Cela ne pouvait plus durer,

et ce n’était là que justice

qu’elle paie pour tous les sévices

moraux qu’il avait enduré.

Il était sûr que les jurés

lui trouveraient des évidentes

circonstances atténuantes

et qu’il serait peu condamné.

Son sort elle l’avait scellé :

quand on devient une harpie

glissant vers la misanthropie

on prend des risques sans filet.

                                             Pierre Dupuis
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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

19 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !      

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

17 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !


 

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un costaud du Rotpier qui n'est pas à ça près ! 

1ère ligne, 1ère image: la moitié du prénom du volatile ! 

2ème ligne, 1ème et 2ème image : il est de bon ton de dire qu'il est sur-péché ! Dernière image : " - - - " est ce personnage ?   

4ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le triste ! ( l'autre aussi ! ) Dernière image: la peinture, la musique, le théâtre en font partie !  Nota: phonétiquement, il faut enchaîner avec les deux suivants ( de la 5ème ligne )

 5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !

6ème ligne, 2ème image : quand il pleure le bébé fait " - - - - " ... de nombreuse fois !

7ème ligne, dernière image : sorte de pâté de tête de sanglier ou de cochon !

8ème ligne, 2ème image : ce n'est pas grand chose mais un " - - -  " c'est un "  - - - " !

10ème ligne, dernière image : le marin est en haut du " - - - " !

11ème ligne, dernière image : l'assassin " - - - " ... conjugué au présent de l'indicatif comme dit le flic qui a un mouchard à cheveux longs !

 

Vous avez du boulot car il est long ! Mais ne me laissez pas trop dans l'attente ... on ne sait jamais !

Et pis c'est tout !

Réponse :

Comme dit mon tonton qui a bourlingué au Sahara les bédouins gays c’est tante sur tante sous la tente ce qui fait se dresser ma tante qui est une femme très réservée !  

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Francis cabrel: "L'encre de tes yeux" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

17 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« Francis Cabrel »

L’encre de tes yeux,


Puisqu'on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu'on est fous, puisqu'on est seuls
Puisqu'ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J'aimerais quand même te dire,
Tout ce que j'ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes
À trop vouloir te regarder j'en oubliais les miennes
On rêvait de Venise et de liberté
J'aimerais quand même te dire,
Tout ce que j'ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l'a dicté

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté où le soleil se lève
Et si malgré ça j'arrive à t'oublier
J'aimerais quand même te dire,
Tout ce que j'ai pu écrire
Aura longtemps le parfum
Des regrets.

Et puisqu'on ne vivra jamais tous les deux...

Bon partage !

 

Rotpier

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De la haute couture, du cousu main ? ... "Haute couture de l'esprit" ... un poème de Pierre

14 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Un très ancien poème sans aucune retouche

sauf ... la présentation !

Image du net : exquise esquisse de Christian Lacroix

 

Haute couture de l'esprit,

Cent fois, sur le métier,

J'ai remis mon ouvrage,

J'ai repris le sentier

Du travail avec rage.

Souvent comme une brute

J'ai cassé puis refait:

Créer en la minute

Le chef-d’œuvre parfait !

Et de fil en aiguille

J'ai forcé mon esprit

A vous bâtir, ô fille

Merveilleuse et sans prix !

J'ai respecté la trame :

Pas un petit défaut !

Et vous devenez dame

Aux atouts triomphaux !

Et je m'en vais rêvant

A ta chair épicée,

Sur un exquis divan

Mes rêves t'ont hissée.

 

                                                        

                                                                       Pierre Dupuis

Image du net

Globalement ... cela change du Rotpier ... non ?

 

Un très ancien poème sans aucune retouche

sauf ... la présentation !

Image du net : exquise esquisse de Christian Lacroix

 

Haute couture de l'esprit,

Cent fois, sur le métier,

J'ai remis mon ouvrage,

J'ai repris le sentier

Du travail avec rage.

Souvent comme une brute

J'ai cassé puis refait:

Créer en la minute

Le chef-d’œuvre parfait !

Et de fil en aiguille

J'ai forcé mon esprit

A vous bâtir, ô fille

Merveilleuse et sans prix !

J'ai respecté la trame :

Pas un petit défaut !

Et vous devenez dame

Aux atouts triomphaux !

Et je m'en vais rêvant

A ta chair épicée,

Sur un exquis divan

Mes rêves t'ont hissée.

 

                                                        

                                                                       Pierre Dupuis

Image du net

Globalement ... cela change du Rotpier ... non ?
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"L'écume de l'amer " ... un poème de Pierre qui n'est pas encore un être tas ...

12 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Etretat tableau de Nozal

Image du net: tableau du peintre Alexandre Nozal

 

L’écume de l’amer,

C’était en mars soixante huit

… enfin si j’en crois ma mémoire,

une passion en déficit

infiniment attentatoire.

J’arpentais alors Etretat

et ses chemins et ses falaises,

où avaient résonné nos pas

jusqu’à ce que je lui déplaise.

Je ne sais toujours pas pourquoi

- brouillard aux yeux ? -  j’ignore encore,

mais je me suis retrouvé là

devant l’aiguille en sémaphore.

Sur notre amour détricoté

j’ai versé des vagues de larmes,

cherchant la maille ayant sauté

sans déclencher la moindre alarme.

Sur un hoquet  des plus amers

le mien est passé sous la porte,

il est parti finir en mer,

c’est là que les vents les emportent.

Il en est ainsi des amours

qui naissent et se concrétisent,

qu’on croit qu’il vont durer toujours

et qui sur les écueils se brisent.

Sur un abysse ou un haut-fond

se trouve un très grand cimetière

où les amours qui se défont

brodent les légendes côtières.

                                                  Pierre Dupuis

 

 

 

Etretat tableau de Nozal

Image du net: tableau du peintre Alexandre Nozal

 

L’écume de l’amer,

C’était en mars soixante huit

… enfin si j’en crois ma mémoire,

une passion en déficit

infiniment attentatoire.

J’arpentais alors Etretat

et ses chemins et ses falaises,

où avaient résonné nos pas

jusqu’à ce que je lui déplaise.

Je ne sais toujours pas pourquoi

- brouillard aux yeux ? -  j’ignore encore,

mais je me suis retrouvé là

devant l’aiguille en sémaphore.

Sur notre amour détricoté

j’ai versé des vagues de larmes,

cherchant la maille ayant sauté

sans déclencher la moindre alarme.

Sur un hoquet  des plus amers

le mien est passé sous la porte,

il est parti finir en mer,

c’est là que les vents les emportent.

Il en est ainsi des amours

qui naissent et se concrétisent,

qu’on croit qu’il vont durer toujours

et qui sur les écueils se brisent

Sur un abysse ou un haut-fond

se trouve un très grand cimetière

où les amours qui se défont

brodent les légendes côtières.

                                                  Pierre Dupuis

 

 

Nota: Déjà publié mais repris et augmenté... de nos jours tout augmente ... 

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

12 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !      

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