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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

10 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

.

Les chouettes Chouettes 60

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Les chouettes Chouettes 61

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Les chouettes Chouettes 62

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Les chouettes Chouettes 63

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Les chouettes Chouettes 64

Signature Rotpier

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" Mon ami le lavoir, " : un poème de ... Pierre !

9 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Préambule :

 Il ne s’agit là que d’une simple fiction, mais … si cela n’a pas été, cela aurait pu être !

Le grand privilège des poètes est de pouvoir relater des choses extraordinaires sans que l’on ne les prenne totalement pour des fous … du moins, le croient-ils !

 Pierre Dupuis

Image du net

Mon ami le lavoir,

 

C’est un très vieux lavoir dont les poutres fendues

ont traversé le temps et les générations,

malgré le poids des ans, même les plus tordues

se portent vaillamment sans trop d’altération.

 

Les tuiles de son toit ont abrité des foules

de femmes aux battoirs agiles et bruyants,

caquetant aussi fort qu’un escadron de poules

pour échanger des faits sérieux ou croustillants !

 

Elles arrivaient tôt pour faire les lessives,

brouettes et paniers remplis jusqu’à ras bords,

des jeunes chantonnant ou des vieilles poussives

s’attelaient au travail, toujours à bras le corps !

 

Pour oublier le mal, pour tromper la fatigue

- des heures à genoux dans des boites de bois ! -

elles se racontaient jusqu’aux moindres intrigues :

tout le monde y passait, des pauvres aux bourgeois !

 

En a-t-il entendu des histoires coquines !

Des récits avérés ou d’autres inventés,

comme le jeune abbé et la grande rouquine

dont les rapports étaient plutôt mouvementés !

 

 Le notaire assiégeant la gironde soubrette,

qui avait tout tenté avant d’être éconduit

et Jean, le jardinier, dont la large brouette

servait gaillardement de lit certaines nuits !

 

Le calme revenait vers la fin de journée

et tous les animaux reprenaient possession

du lieu qu’ils fréquentaient tout au long de l’année,

obligés d’accepter la cohabitation !

 

Les oiseaux s’abritaient aux creux de la charpente,

les rongeurs grignotaient les miettes des repas,

les poissons revenaient sauter dans l’eau courante :

c’est le monde animal qui reprenait le pas !

 

Le lavoir accueillait avec plaisir ces hôtes,

des bruissements, des chants et quelques ronds dans l’eau

ne venait pas troubler, au point qu’il en sursaute,

une sérénité à coucher sur tableau !

 

Pourtant, certaines fois, il n’était pas tranquille,

la nuit favorisant quelque autres visiteurs,

certains très attachants, d’autres bien plus hostiles,

des gentils, des méchants plus ou moins prédateurs !

 

Il partageait parfois des instants romantiques :

les serments les plus fous des jeunes amoureux,

éclairés par la lune aux reflets chromatiques,

des serments qui duraient longtemps ou bien très peu !

 

Combien de vagabonds ou de traîne-savates

avait-il abrité certaines nuits d’hiver ?

Il avait vu un jour un ancien acrobate

s’asseoir au bord de l’eau pour déclamer des vers !

 

Pendant une période, il y a bien des lustres,

vers le coup de minuit un groupe de brigands

s’y rassemblait souvent et cette bande illustre

venait y préparer de sombres guet-apens !

 

Sous la révolution - je parle de la grande ! -

son partage avait fait l’objet de changements :

fini le bon vouloir du seigneur qui commande,

chacun avait son tour plus équitablement !

 

Il avait la mesure aussi du temps des guerres

par la diminution des habits masculins,

gilets et pantalons, il n’en voyait plus guère :

les hommes sur le front n’étaient plus aux moulins.

 

J’ai la chance d’avoir obtenu sa confiance

en venant tous les jours discuter avec lui,

il ne voit plus grand monde et c’est l’insignifiance

qui s’installe aujourd’hui, comme pour le vieux puits.

 

Ils ont régné naguère, étant incontournables,

on venait de fort loin pour se fournir en eau ;

quant aux mères Denis - profils incomparables ! -

le lavoir résonnait au son de leurs sabots !

 

Heureusement pour eux certains ont pris conscience

que c’était un devoir de les garder debout,

en nos modernes temps où s’étale la science,

un coup d’œil au passé n’est pas mauvais du tout !

                  

                 Epilogue :

 

Tu le vois mon ami, j’ai tenu ma promesse,

j’ai couché sur papier certains de tes récits,

j’ai restreint fortement les histoires de fesses :

deux strophes seulement … j’ai beaucoup rétréci !

 

Tu as - je le sais bien ! - des tableaux en réserve,

c’est pourquoi je viendrais encore auprès de toi

et dans un siècle ou deux - je connais bien ta verve ! -

à quelqu’un d’inconnu … tu parleras de moi !

 

                                                Pierre Dupuis

Préambule :

 Il ne s’agit là que d’une simple fiction, mais … si cela n’a pas été, cela aurait pu être !

Le grand privilège des poètes est de pouvoir relater des choses extraordinaires sans que l’on ne les prenne totalement pour des fous … du moins, le croient-ils !

 Pierre Dupuis

Image du net

Mon ami le lavoir,

 

C’est un très vieux lavoir dont les poutres fendues

ont traversé le temps et les générations,

malgré le poids des ans, même les plus tordues

se portent vaillamment sans trop d’altération.

 

Les tuiles de son toit ont abrité des foules

de femmes aux battoirs agiles et bruyants,

caquetant aussi fort qu’un escadron de poules

pour échanger des faits sérieux ou croustillants !

 

Elles arrivaient tôt pour faire les lessives,

brouettes et paniers remplis jusqu’à ras bords,

des jeunes chantonnant ou des vieilles poussives

s’attelaient au travail, toujours à bras le corps !

 

Pour oublier le mal, pour tromper la fatigue

- des heures à genoux dans des boites de bois ! -

elles se racontaient jusqu’aux moindres intrigues :

tout le monde y passait, des pauvres aux bourgeois !

 

En a-t-il entendu des histoires coquines !

Des récits avérés ou d’autres inventés,

comme le jeune abbé et la grande rouquine

dont les rapports étaient plutôt mouvementés !

 

 Le notaire assiégeant la gironde soubrette,

qui avait tout tenté avant d’être éconduit

et Jean, le jardinier, dont la large brouette

servait gaillardement de lit certaines nuits !

 

Le calme revenait vers la fin de journée

et tous les animaux reprenaient possession

du lieu qu’ils fréquentaient tout au long de l’année,

obligés d’accepter la cohabitation !

 

Les oiseaux s’abritaient aux creux de la charpente,

les rongeurs grignotaient les miettes des repas,

les poissons revenaient sauter dans l’eau courante :

c’est le monde animal qui reprenait le pas !

 

Le lavoir accueillait avec plaisir ces hôtes,

des bruissements, des chants et quelques ronds dans l’eau

ne venait pas troubler, au point qu’il en sursaute,

une sérénité à coucher sur tableau !

 

Pourtant, certaines fois, il n’était pas tranquille,

la nuit favorisant quelque autres visiteurs,

certains très attachants, d’autres bien plus hostiles,

des gentils, des méchants plus ou moins prédateurs !

 

Il partageait parfois des instants romantiques :

les serments les plus fous des jeunes amoureux,

éclairés par la lune aux reflets chromatiques,

des serments qui duraient longtemps ou bien très peu !

 

Combien de vagabonds ou de traîne-savates

avait-il abrité certaines nuits d’hiver ?

Il avait vu un jour un ancien acrobate

s’asseoir au bord de l’eau pour déclamer des vers !

 

Pendant une période, il y a bien des lustres,

vers le coup de minuit un groupe de brigands

s’y rassemblait souvent et cette bande illustre

venait y préparer de sombres guet-apens !

 

Sous la révolution - je parle de la grande ! -

son partage avait fait l’objet de changements :

fini le bon vouloir du seigneur qui commande,

chacun avait son tour plus équitablement !

 

Il avait la mesure aussi du temps des guerres

par la diminution des habits masculins,

gilets et pantalons, il n’en voyait plus guère :

les hommes sur le front n’étaient plus aux moulins.

 

J’ai la chance d’avoir obtenu sa confiance

en venant tous les jours discuter avec lui,

il ne voit plus grand monde et c’est l’insignifiance

qui s’installe aujourd’hui, comme pour le vieux puits.

 

Ils ont régné naguère, étant incontournables,

on venait de fort loin pour se fournir en eau ;

quant aux mères Denis - profils incomparables ! -

le lavoir résonnait au son de leurs sabots !

 

Heureusement pour eux certains ont pris conscience

que c’était un devoir de les garder debout,

en nos modernes temps où s’étale la science,

un coup d’œil au passé n’est pas mauvais du tout !

                   Epilogue :

 

Tu le vois mon ami, j’ai tenu ma promesse,

j’ai couché sur papier certains de tes récits,

j’ai restreint fortement les histoires de fesses :

deux strophes seulement … j’ai beaucoup rétréci !

 

Tu as - je le sais bien ! - des tableaux en réserve,

c’est pourquoi je viendrais encore auprès de toi

et dans un siècle ou deux - je connais bien ta verve ! -

à quelqu’un d’inconnu … tu parleras de moi !

 

                                                Pierre Dupuis

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

8 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

7 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

.

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

 

rebus 375 (1)

rebus 375 (2)

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus court du Rotpier qui parait facile ... encore que ... 
Pour vous aider à bien orthographier le dernier mot, je vous donne ceci qui est une diatribe sentencieuse de Pierre :
« Si tu ne souris jamais, le carcan tu as… celui du sérieux à tout prix, du coincé des zygomatiques et du pourfendeur des truculences rabelaisiennes. »

 

1ère ligne, 1ère image: prendre la moitié du nom ( ou du prénom ! ) du volatile ! 

2ème ligne, 2ème image: ne vous occupez pas de la virgule: c'est un ordre ! Dernière image : attrape nigaud  pour poisson ! ( je sais que vous avez toujours du mal avec celui-là alors je vous aide : le miroir aux alouettes en est un ! ) ( L'autre qui suit aussi ... comme Félicie ! ) 

4ème ligne, 3ème image : des poches de  " - - - - " ... pour sauver des vies !

5ème ligne: il faut bien lier la fin du mot de l'avant dernière image avec la dernière !

 

A vous de jouer !  Ne soyez pas obligatoirement pressées, vous ne l'avez pas sous la gorge et je vous soutiens ! 

Et pis c'est tout tout !

Réponse :

Comme disait le rémouleur, science sans conscience n’est que ruine de lame !

Dont l'allusion à Rabelais avec " Le carcan tu as " ... Ah! Ah ! Ah ! 

Bien affûté le Rotpier, n'est-ce pas !  

 

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Serge Lama : " Les ballons rouges " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

6 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

Serge Lama :

« Les ballons rouges »

 
 
 
 
 

Les ballons rouges

 

Je n'ai pas eu de ballon rouge

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Dans ces provinces où rien ne bouge

Tous mes ballons étaient crevés

Je n'ai pas eu de vrai vacances

Seul, face à face avec la mer

Quand le cœur rythme la cadence

Des mouettes qui nagent dans l'air

{Refrain:}

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

J'ai rien donné, j'ai rien reçu

Je n'ai jamais joué aux billes

Quand j'étais gosse dans mon quartier

J'étais cloué dans ma famille

Comme un martyr à son bûcher

Je n'ai pas eu de promenade

Seul, face à face avec le vent

Je lisais le Marquis de Sade

Et j'aimais déjà les divans

{au Refrain}

Les fées n'étaient pas du voyage

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Elles vivaient de leurs avantages

Elles étaient toutes syndiquées

Je n'ai pas vu dans les étoiles

Le carrosse de Cendrillon

La mienne avait une robe sale

Mais elle n'avait pas de chaussons

{au Refrain}

Pourtant j'avais déjà la chance

Quand j'étais gosse dans mon quartier

De ne pas attacher d'importance

A ce que les autres pensaient

Et je n'ai pas vu dans l'Histoire

Quelque guerrier ou quelque roi

Assoiffé de règne ou de gloire

Qui soit plus orgueilleux que moi

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu ...

 

.

Bon partage !

 

.

Rotpier

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

Serge Lama :

« Les ballons rouges »

 
 
 [youtube=http://www.youtube.com/watch?v=tV2XgTi_Duo]
 
 
 
 

Les ballons rouges

 

Je n'ai pas eu de ballon rouge

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Dans ces provinces où rien ne bouge

Tous mes ballons étaient crevés

Je n'ai pas eu de vrai vacances

Seul, face à face avec la mer

Quand le cœur rythme la cadence

Des mouettes qui nagent dans l'air

{Refrain:}

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

J'ai rien donné, j'ai rien reçu

Je n'ai jamais joué aux billes

Quand j'étais gosse dans mon quartier

J'étais cloué dans ma famille

Comme un martyr à son bûcher

Je n'ai pas eu de promenade

Seul, face à face avec le vent

Je lisais le Marquis de Sade

Et j'aimais déjà les divans

{au Refrain}

Les fées n'étaient pas du voyage

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Elles vivaient de leurs avantages

Elles étaient toutes syndiquées

Je n'ai pas vu dans les étoiles

Le carrosse de Cendrillon

La mienne avait une robe sale

Mais elle n'avait pas de chaussons

{au Refrain}

Pourtant j'avais déjà la chance

Quand j'étais gosse dans mon quartier

De ne pas attacher d'importance

A ce que les autres pensaient

Et je n'ai pas vu dans l'Histoire

Quelque guerrier ou quelque roi

Assoiffé de règne ou de gloire

Qui soit plus orgueilleux que moi

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu ...

 

.

Bon partage !

 

.

Rotpier

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Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

4 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

 

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

.

Les chouettes Chouettes 55

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Les chouettes Chouettes 58

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Les chouettes Chouettes 56

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Les chouettes Chouettes 57

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Les chouettes Chouettes 59

 

Signature Rotpier

 

 

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"L’épatant charcutier," : le poème bien gras du jour de ... Rotpier

2 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie, #Poésie - humour

 

 

Charcuteries

Image du net

L’épatant charcutier,

Natif de Saint-Jean-Pied-de-Port,

il avait mis le nez dehors

juste le jour du mardi gras

et son visage était ingrat !

Ses copains se moquaient de lui

– ce qui n’était pas très gentil ! –

ils lui disaient en aparté :

« ton pif il est tout épaté ! »

Il s’en plaignit à ses parents,

des gens pas très intelligents !

Après deux jours de réflexion,

son père lui dit : «Mon garçon :

J’y voit un signe du destin :

ton nez épaté c’est très bien !

Tu vas apprendre le métier,

tu feras un bon charcutier ! »

Comme il était un enfant sage

il entra en apprentissage

chez un charcutier dont l’épouse

ne portait rien dessous sa blouse !

Très loin d’être un tas de saindoux,

elle avait de jolis sein doux

et des jambonneaux comme il faut,

très vite il ne fut plus puceau !

Le patron ne se fâcha pas,

chaque fois c’était comme ça,

lui avait la main baladeuse

et s’occupait de ses vendeuses !

C’est dans ces bonnes conditions

qu’il aborda la profession,

il apprit vite le métier :

au C.A.P. il fut premier !

Il entama un tour de France

pour parfaire ses connaissances,

de l’est à l’ouest, du sud au nord

il devint vraiment un cador !

Il se lança dans les concours

du boudin aux topinambours,

des tripes à la tequila,

de l’andouillette au ratafia !

Du saucisson en médaillon

et de la saucisse aux graillons,

du pâté aux macaronis

et des paupiettes aux radis !

Sans compter ses spécialités :

la merguez au vin de curé,

le chorizo de ragondin

et les rognons de marcassin !

C’est lors de l’un de ces concours

qu’il rencontra le grand amour,

son prénom c’était Henriette,

elle était plutôt grassouillette !

 Mais bon poids fait bonne mesure,

même avec sa drôle de hure

il la trouva fort à son goût

et tomba vite à ses genoux !

Dès lors il aima follement

sa grasse Henriette du Mans,

une fille de charcutier

dont le père était trépassé.

La maman avait disjoncté,

passant son temps à picoler,

la boutique battait de l’aile

malgré un très grand potentiel !

Il prit l’affaire à bras le corps,

l’Henriette du Mans d’abord !

Si bien qu’il lui fit un enfant

au bout de deux mois seulement !

Ils s’épousèrent sans cantique

et ils reprirent la boutique

qui grâce à sa grande expérience

devint une vraie référence !

Ils connurent le grand bonheur :

l’enfant eut un frère et trois sœurs !

Les clients étaient épatés :

tous avaient le nez épaté !

Sauf la maman… c’était marrant !

                Epilogue :

Ainsi se termine l’histoire,

elle est vraie vous pouvez me croire !

J’ai cédé mes droits à Pathé :

ils ont été fort épatés !

L’adaptation a commencé,

dans le rôle du charcutier

ils voudraient avoir Depardieu :

pour le gras on ne fait pas mieux !

Et dans le rôle d’Henriette

ils voudraient une grassouillette

dépassant les cent dix kilos

avec d’énormes jambonneaux !

Si vous connaissez alentour

une vraie bête de concours,

téléphonez donc chez Pathé :

il y a un lot à gagner !

Cinquante kilos de rillettes,

une nuit avec Henriette,

une biture avec Gérard

et cent bouteilles de pinard !

Dépêchez-vous, ça vaut le coup,

c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?

Mais évitez votre belle-mère

… après il faudrait vous la faire !

                               

                                                Rotpier

 

Cochon qui rit

Image du net

 

 

Charcuteries

Image du net

L’épatant charcutier,

Natif de Saint-Jean-Pied-de-Porc,

il avait mis le nez dehors

juste le jour du mardi gras

et son visage était ingrat !

Ses copains se moquaient de lui

– ce qui n’était pas très gentil ! –

ils lui disaient en aparté :

« ton pif il est tout épaté ! »

Il s’en plaignit à ses parents,

des gens pas très intelligents !

Après deux jours de réflexion,

son père lui dit : «Mon garçon :

J’y voit un signe du destin :

ton nez épaté c’est très bien !

Tu vas apprendre le métier,

tu feras un bon charcutier ! »

Comme il était un enfant sage

il entra en apprentissage

chez un charcutier dont l’épouse

ne portait rien dessous sa blouse !

Très loin d’être un tas de saindoux,

elle avait de jolis sein doux

et des jambonneaux comme il faut,

très vite il ne fut plus puceau !

Le patron ne se fâcha pas,

chaque fois c’était comme ça,

lui avait la main baladeuse

et s’occupait de ses vendeuses !

C’est dans ces bonnes conditions

qu’il aborda la profession,

il apprit vite le métier :

au C.A.P. il fut premier !

Il entama un tour de France

pour parfaire ses connaissances,

de l’est à l’ouest, du sud au nord

il devint vraiment un cador !

Il se lança dans les concours

du boudin aux topinambours,

des tripes à la tequila,

de l’andouillette au ratafia !

Du saucisson en médaillon

et de la saucisse aux graillons,

du pâté aux macaronis

et des paupiettes aux radis !

Sans compter ses spécialités :

la merguez au vin de curé,

le chorizo de ragondin

et les rognons de marcassin !

C’est lors de l’un de ces concours

qu’il rencontra le grand amour,

son prénom c’était Henriette,

elle était plutôt grassouillette !

 Mais bon poids fait bonne mesure,

même avec sa drôle de hure

il la trouva fort à son goût

et tomba vite à ses genoux !

Dès lors il aima follement

sa grasse Henriette du Mans,

une fille de charcutier

dont le père était trépassé.

La maman avait disjoncté,

passant son temps à picoler,

la boutique battait de l’aile

malgré un très grand potentiel !

Il prit l’affaire à bras le corps,

l’Henriette du Mans d’abord !

Si bien qu’il lui fit un enfant

au bout de deux mois seulement !

Ils s’épousèrent sans cantique

et ils reprirent la boutique

qui grâce à sa grande expérience

devint une vraie référence !

Ils connurent le grand bonheur :

l’enfant eut un frère et trois sœurs !

Les clients étaient épatés :

tous avaient le nez épaté !

Sauf la maman… c’était marrant !

                Epilogue :

Ainsi se termine l’histoire,

elle est vraie vous pouvez me croire !

J’ai cédé mes droits à Pathé :

ils ont été fort épatés !

L’adaptation a commencé,

dans le rôle du charcutier

ils voudraient avoir Depardieu :

pour le gras on ne fait pas mieux !

Et dans le rôle d’Henriette

ils voudraient une grassouillette

dépassant les cent dix kilos

avec d’énormes jambonneaux !

Si vous connaissez alentour

une vraie bête de concours,

téléphonez donc chez Pathé :

il y a un lot à gagner !

Cinquante kilos de rillettes,

une nuit avec Henriette,

une biture avec Gérard

et cent bouteilles de pinard !

Dépêchez-vous, ça vaut le coup,

c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?

Mais évitez votre belle-mère

… après il faudrait vous la faire !

                               

                                                Rotpier

 

Cochon qui rit

Image du net

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

1 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

31 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus

.

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

.

rebus 374 (1)rebus 374 (2)

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus très épicé du Rotpier, alors autant s'en débarrasser très vite !

 

1ère ligne, 2ème image: c'est la saison qu'il faut retenir ! 3ème image :quand il a terminé de téter le bébé fait son " - - - " !

2ème ligne, 4ème image: " - - - " est ce personnage ? ( l'autre aussi ! )

   3ème ligne, 1ère image: ruminant de l’Himalaya à longs poils et pas toujours de bon poil ! Nota: il convient de séparer les lettres du mot: y a qu'a le faire et pis c'est tout ! Dernière image : " - - -  - " de tennis !

4ème ligne, 1ère image : il parait qu'on y trouve l'amour mais je ne sais pas si c'est l'amour vache !  

5ème ligne, 3ème  image : le serpent fait toujours "s" ou "se" ... c'est selon son humeur !

7ème ligne, dernière image : la boisson favorite des rosbifs ! 

8ème ligne, 1ère image :  poste de la vigie en haut du grand mat des anciens voiliers ! 2ème image : angle de " - - - ", celui-ci est le vertical !  4ème image et en direct : le sein bol de la " vie " !

 

A vous de jouer !  Ne soyez pas obligatoirement pressées de jouer ... mesdames et ne m'en voulez pas ! 

Et pis c'est tout tout !

Réponse :

Il est erroné de croire qu’il n’y a que les femmes pressées qui courent le risque de contracter une vulvite !

 Nota :  Je vous avais prévenu que c’était salé ! N’allez pas vous enflammer !
 

 

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Jean Ferrat, "L'amour est cerise" : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

30 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

  

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Jean Ferrat :

« L’amour est cerise »

 

Tout est permis quand c'est beau ! 

 

 

L'amour est cerise

Rebelle et soumise
Paupières baissées
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps pressé
C’est partie remise
Pour aller danser

Autant qu’il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t’aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l’amour de Dieu

Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S’est vite élancée

Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m’en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux

O Pierrot de lune
O monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu

Rebelle et soumise
Paupières lassées
Remets ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps passé
C’est partie remise
Pour aller danser

Bon partage !

 

 

Rotpier

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