Serge Reggiani " Le petit garçon " : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Mon enfant, mon amour
Il pleut sur la maison
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On reste tous les deux
On va bien jouer ensemble
On est là tous les deux
Seuls
Ce soir elle ne rentre pas
Je n'sais plus, je n'sais pas
Elle écrira demain peut-être
Nous aurons une lettre
Il pleut sur le jardin
Je vais faire du feu
Je n'ai pas de chagrin
On est là tous les deux
Seuls
Attend, je sais des histoires
Il était une fois
Il pleut dans ma mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il fait un peu froid, ce soir
Une histoire de gens qui s'aiment
Une histoire de gens qui s'aiment
Ne t'en vas pas
Ne me laisse pas
Je ne sais plus faire du feu
Mon enfant, mon amour
Je ne peux plus grand-chose
Mon garçon, mon amour
Comme tu lui ressembles!
On est là tous les deux
Perdus parmi les choses
Dans cette grande chambre
Seuls
On va jouer à la guerre
Et tu t'endormiras
Ce soir, elle ne sera pas là
Je n'sais plus, je n'sais pas
Je n'aime pas l'hiver
Il n'y a plus de feu
Il n'y a plus rien à faire
Qu'à jouer tous les deux
Seuls
Attends, je sais des histoires
Il était une fois
Je n'ai plus de mémoire
Je crois, ne pleure pas
Attends, je sais des histoires
Mais il est un peu tard, ce soir
L'histoire des gens qui s'aimèrent
Et qui jouèrent à la guerre
Ecoute-moi
Elle n'est plus là
Non... ne pleure pas...!
Bon partage !
Rotpier
" Clovis " , le poème loufoque du jour de ... Rotpier !
Second devoir de vacances !
… Ce chien existe bien, c’est celui des propriétaires du gîte dont je vous ai parlé précédemment !
Photo détourée de ... Pierre !
Clovis,
Je me présente : je suis Clovis.
Je suis un golden retriever
et l’on m’aime souvent sur l’heure !
Surtout mes maîtres, les Livera,
qui sont avec moi très sympa !
Caroline, Jean-Mathé et Louis
… le petit Louis qui a grandi !
Fini le temps, le temps d’alors,
où sa maman disait encore :
« Quand Louis dort c’est un vrai trésor ! »
La prochaine qui le dira
sera peut-être - pouquoi pas ? -
… une Madame Livera !
… Vous paressez bien étonnés
d’entendre un chien ainsi parler,
j’ai l’étoffe d’un philosophe
alors pourquoi la mettre en « off » ?
J’ai bien le droit de m’exprimer
et ce serait bien m’opprimer
que de m’enpêcher d’aboyer !
Cela relèverait du vice
de sortir tous les tournevis
quand simplement Clovis aboie !
Ah ! Ah ! Ah ! Ah !
En plus je suis un chien très franc
comme dit Jean-Mathé souvent :
« Clovis est bien le roi des francs ! »
Je suis très loin d’être un tartuffe,
je sais même trouver des truffes
… Ah ! Cela vous en bouche un coin
et vous faites moins les malins !
Et ne noyez pas le poisson
en parlant « Vase de Soissons »
on m’a déjà fait ce coup là
alors Clovis ne marche pas !
j’avoue quand même un petit vice
- Vous voyez qu’il est franc Clovis ! -
j’ai tendance à faire des fugues,
oui, je vous l’avoue tout net … hug !
J’ai hérité d’un beau collier
et je ne me suis pas méfié,
un truc pas top, une vraie teigne,
un truc qui colle des chataignes !
Clovis ne se fait plus la paire,
il reste à la maison pépère,
terminé de courrir les bois
dans tous les sens comme autre fois !
… Oui ? … Qu’il y a-t-il ? … On me sonne ?
… Je parle à la troisième personne ?
Bon sang … c’est vrai ! Cré non de non,
voila que je m’ prends pour Delon !
Mince, il faut que je me surveille,
voila que mon orgueil s’éveille,
je vais le museler de suite :
hors de question qu’il ne m’habite !
Si je veux devenir un sage,
je dois surveiller mon langage,
pour certains ce serait trop beau
de me traiter de vrai cabot !
Rotpier
Montage de Pierre ... qui n'est pas une truffe ... enfin peut-être pas ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Le comble pour un mycologue c’est d’avoir des relations avec une femme à l’hygiène douteuse pour pouvoir étudier de nouveaux champignons !
Qu'il dit l'animal !
Jacques Brel : " Orly " .... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés,
Semble-t-il, l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire « Je t'aime ! »
Elle doit lui dire « Je t'aime ! »
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement, il pleure
Il pleure à gros bouillons
Tout entourés qu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c’est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et maintenant, ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment, lentement,
Ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis, ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis, se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis, en reculant
Comme la mer se retire,
Il consomme l'adieu
Il bave quelques mots
Agite une vague main
Et brusquement, il fuit
Fuit sans se retourner
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c'est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'à terre
Ça y est ! Elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là, elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là, je la suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
Bon partage !
Rotpier
Juste pour satisfaire la curiosité de D. D. !
Voici, voila !
La friture est assez grosse ! ... 6 Kg pour celle-là !
Et pis c'est tout !
"Le gîte de l’eau de vie," un poème de vacances de ... Pierre
Bonjour à tous !
Me voici de retour après d’excellentes vacances en Bourgogne du coté de Dijon !
Premier devoir de vacances, sérieux … les autres le seront moins !
Photo de Pierre
Le gîte de l’eau de vie,
L’eau de vie ou la vie de l’eau,
sans eau il n’y a pas de vie,
ici rien ne part à vau-l’eau
et l’on y comble ses envies.
A condition … à condition,
d’aimer plus que tout la nature
le calme et non l’agitation,
les bois, les champs et les pâtures.
« L’eau de vie » n’est pas un alcool,
c’est un gîte en pleine campagne,
on ne s’y hausse pas du col :
un bon crémant vaut un champagne !
C’est un chalet en bord d’étang
avec une grande terrasse
qui permet en le surplombant
d’admirer toute sa surface.
Il est tout jeune et bien pensé,
on s’y sent tout de suite à l’aise,
confortable et bien agencé
… pas étonnant qu’à tous il plaise !
Bâti entièrement en bois
- pas des sections genre allumette ! -
le loup pourrait souffler cent fois
… même aussi fort qu’une tempête !
De la pièce de vie on voit
l’étang grâce à des baies immenses
et la vue se perd dans les bois
puis tout en haut le ciel commence.
On peut pêcher, se balader
ou bien ramasser toutes sortes
de champignons et les manger :
dans les sous-bois ils sont cohorte !
L’accueil est simple et chaleureux,
le naturel et l’expérience
forment un mariage heureux
et mettent très vite en confiance !
N’ayez aucune hésitation
vous serez ici très à l’aise,
entre service et discrétion :
un bel exemple de synthèse !
« L’eau de vie » est un élixir
concocté sans distillerie
que l’on goûte avec grand plaisir
… sans peur de la gendarmerie !
Mais rien n’empêche de goûter
- elle est sur place et elle est bonne ! -
à la prune de Jean-Mathé
qui n’est pas faite pour les nonnes ! *
Pierre DUPUIS
* Est-ce qu’elle aurait plu à John ?
Photo de Pierre
Blog en vacances + le poème " Mon ami le mur " de ... Pierre
Petit montage à partir d'une image du net !
Je serais absent jusque vers le 16, 17 ou 18 septembre !
( je pars samedi à l'aube ! )
Je serais quelque part entre Dijon et Montbard
où je boirais un coup , à votre santé !
Allez, quelques petites conneries sur Dijon que je n’ai pas eu le temps de mettre en rébus :
1ère connerie :
A Dijon, les mous tardent à prendre leurs décisions mais pas plus qu’ailleurs !
2ème connerie :
Il n’y a pas plus d’indigents à Dijon qu’ailleurs, tous cela n’est que moutarde en broche !
3ème connerie :
Si tu vois dix joncs à Dijon, regarde bien, il doit y avoir dix mecs au bout !
Et pis c’est tout !
Le Rotpier
Je vous laisse avec mon ami le mur que certains connaissent déjà : c’est un vieux pote à moi !
Et nous sommes encore là,
tous les deux ... pas encore écroulés ...
Mon ami le mur,
En lui faisant la courte échelle,
je n’étais pas très innocent !
J’avais vu que la demoiselle
avait un beau tempérament !
Le tissu de sa minijupe
était vraiment très riquiqui,
elle n’en était - pour sûr ! - pas dupe
et en dessous c’était exquis !
J’ai cultivé la maladresse :
j’ai fait semblant de la lâcher !
Ma main a glissé sous sa fesse
et c’était clair : sans la fâcher !
Poussant plus loin mon avantage,
j’ai découvert qu’elles étaient deux !
Quant à leur ligne de partage :
j’ai failli me crever les yeux !
Nous avons perdu l’équilibre,
le mur que nous voulions franchir
nous a glissé : « Vous êtes libres,
il vous reste à vous affranchir ! »
C’était un mur plein de sagesse
qui connaissait les amoureux
et à son pied la mousse épaisse
formait un lit des plus moelleux !
Nous cultivions l’obéissance
- il fallait bien obtempérer ! -
nous avons fait mieux connaissance,
j’ai même enlevé mon béret !
J’ai fait beaucoup de courte échelle
et le mur m’a toujours aidé,
quand je changeais de demoiselle
il ne semblait pas offusqué !
Mon vieux mur est toujours solide,
je viens le voir de temps en temps,
moi je ne suis plus si valide :
ma courte échelle a fait son temps !
A chacune de mes visites
il me dit invariablement :
« Tu n’amènes plus de petite,
ça me plaisait énormément ! »
Il est vraiment resté robuste
mais sa tête part à vau-l’eau :
Alzheimer ! Ce n’est pas juste !
Même les murs ont leurs fardeaux !
Un jour je viendrais le rejoindre
ne sachant plus très bien pourquoi,
en observant la lune poindre
nous n’auront plus le moindre émoi !
Il sera temps que je trépasse,
je ne veux pas de ces fauteuils
où l’on dépose, où l’on entasse
des corps déjà en demi-deuil !
J’aimerais bien que l’on m’enterre
au pied de mon fidèle ami,
un peu de mousse, un peu de terre :
qu’irais-je faire au paradis ?
Pierre Dupuis
Najat Vallaud-Belkacem, nouvelle ministre de l'Education Nationale : Les pensées de ... Rotpier
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri, même en province.
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)
Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries ! N’ayant pas de voisine à portée de langue …………………… !
Statue dans mon jardin
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
Juste deux petites pensées sur notre nouvelle ministre de l'Education Nationale : Najat Vallaud-Belkacem
1ère Pensée :
Pour l’Education Nationale et ses personnels, j’espère que Najat ne sera pas à l’image du proverbe suivant : « Un serpent caché sous des fleurs » ! … elle qui en est une belle ... de fleur !
Ce serait le bouquet et je ne peux y croire un seul instant !
2ème pensée :
Si j’étais journaliste, je lui donnerais le diminutif suivant :
Navabel … la fin lui siérait à ravir !
Vive l’école de la République, la vraie, la laïque !
Et pis c’est tout !
Bonne méditation !
Rotpier