Bernard Lavilliers : " On the road again " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
On the road again,
Nous étions jeunes et larges d'épaules,
Bandits joyeux, insolents et drôles.
On attendait que la mort nous frôle,
Refrain
On the road again, again,
On the road again, again.
Au petit jour on quittait l'Irlande
Et, derrière nous, s'éclairait la lande.
Il fallait bien, un jour, qu'on nous pende.
Refrain
La mer revient toujours au rivage.
Dans les blés mûrs, y'a des fleurs sauvages.
N'y pense plus, tu es de passage.
Refrain
Nous étions jeunes et larges d'épaules.
On attendait que la mort nous frôle.
Elle nous a pris, les beaux et les drôles.
Ami, sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours.
Tu partiras encore plus lourd.
Refrain
Rotpier
“Coup de chaud dans le métro” un poème avec une mise en garde de ... Rotpier !
Allez, un petit coup de chaud
à l'approche de l'hiver !
... Et aussi une mise en garde
pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !
Coup de chaud dans le métro,
Il avait pris un coup de chaud
en détaillant ses hémisphères,
paire du bas, paire du haut :
véritables calorifères !
C’est par le plus grand des hasards,
sur un escalier mécanique,
qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -
celles du bas au galbe unique !
Il les avait au ras des yeux :
elle avait trois marches d’avance !
Un panorama merveilleux
qui supplantait Saint-Paul de Vence !
Quand tout en haut de l’escalier,
elle reprit sa marche souple,
le mouvement de balancier
lui coupa carrément le souffle !
Il calcula rapidement
que pour rester en équilibre,
il fallait bien que sur l’avant
ce soit aussi du beau calibre !
Alors il lui fila le train
- celui arrière à l’évidence ! -
en retenant très fort ses mains
qui voulaient entrer dans la danse !
A peine arrivés sur le quai,
la rame se pointa bondée :
il se retrouva tout plaqué,
les yeux sur la belle avancée !
Les deux hémisphères du haut
étaient aussi très remarquables :
la nana avait des lolos
qui poussaient à se mettre à table !
Libres de tout harnachement
ils tressautaient tout à leur guise,
à chaque à-coup très franchement,
usant le pull de la marquise !
La marquise qui remarqua
cette expertise licencieuse,
banda ses forces et lui cloqua
son beau genou dans les précieuses !
Le coup de chaud se transforma
dans la seconde en incendie,
en douleur de très grand format
et en coup de tachycardie !
Elle lui dit en souriant :
« N’en fais pas une maladie,
ça passera avec le temps :
prends ça avec philosophie !
Mon mec est bien plus beau que toi
et si je balance mes fesses,
si mes nénés font contrepoids,
c’est pour que je sois sa déesse ! "
Moralité :
A moins d’avoir des droits dessus,
ne vas pas trop lorgner les filles :
un petit coup d’œil et pas plus
ou gare aux bijoux de famille !
Rotpier
Allez, un petit coup de chaud
à l'approche de l'hiver !
... Et aussi une mise en garde
pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !
Coup de chaud dans le métro,
Il avait pris un coup de chaud
en détaillant ses hémisphères,
paire du bas, paire du haut :
véritables calorifères !
C’est par le plus grand des hasards,
sur un escalier mécanique,
qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -
celles du bas au galbe unique !
Il les avait au ras des yeux :
elle avait trois marches d’avance !
Un panorama merveilleux
qui supplantait Saint-Paul de Vence !
Quand tout en haut de l’escalier,
elle reprit sa marche souple,
le mouvement de balancier
lui coupa carrément le souffle !
Il calcula rapidement
que pour rester en équilibre,
il fallait bien que sur l’avant
ce soit aussi du beau calibre !
Alors il lui fila le train
- celui arrière à l’évidence ! -
en retenant très fort ses mains
qui voulaient entrer dans la danse !
A peine arrivés sur le quai,
la rame se pointa bondée :
il se retrouva tout plaqué,
les yeux sur la belle avancée !
Les deux hémisphères du haut
étaient aussi très remarquables :
la nana avait des lolos
qui poussaient à se mettre à table !
Libres de tout harnachement
ils tressautaient tout à leur guise,
à chaque à-coup très franchement,
usant le pull de la marquise !
La marquise qui remarqua
cette expertise licencieuse,
banda ses forces et lui cloqua
son beau genou dans les précieuses !
Le coup de chaud se transforma
dans la seconde en incendie,
en douleur de très grand format
et en coup de tachycardie !
Elle lui dit en souriant :
« N’en fais pas une maladie,
ça passera avec le temps :
prends ça avec philosophie !
Mon mec est bien plus beau que toi
et si je balance mes fesses,
si mes nénés font contrepoids,
c’est pour que je sois sa déesse ! "
Moralité :
A moins d’avoir des droits dessus,
ne vas pas trop lorgner les filles :
un petit coup d’œil et pas plus
ou gare aux bijoux de famille !
Rotpier
Horoscope et couple: les grandes interrogations de Rotpier : " Les douze signes et le vilain petit canard, " ... et pis c'est tout !
Choisir une compagne
en fonction de son signe astral,
n’est pas chose facile !
Rotpier
Image du net
Les douze signes et le vilain petit canard,
Vous vous posez maintes questions
quand il vous faut choisir un signe
pour construire une relation
qui ne vire pas à la guigne !
Je vous propose une excursion
mais sans vous donner de consigne ! -
au pays de mes réflexions
que dans ces quelques vers j’aligne !
xxxxxxx
Si je m’entiche d’un Bélier
dont le papa est capricorne,
finirais-je tout humilié
affublé de très longues cornes ?
Si je craque pour un Taureau,
tomberais-je sur une vache ?
Comme le dit l’ami Roro :
certaines sont vraiment des taches !
Si je tombe sur un Gémeaux
qui, parait-il, n’est pas facile,
aurais-je avec elle des mots ?
Ce serait vraiment imbécile !
Si je brulais pour un Cancer,
combien de temps aurais-je à vivre ?
Combien de temps avant les vers ?
Ce n’est pas écrit dans les livres !
Si je fais l’amour à un Lion,
la tiendrais-je par la crinière
pour éviter sa rébellion
quand je ferais un tour derrière ?
Si par un miracle accompli,
je tombais sur une vraie Vierge,
cela ne ferait pas un pli,
mais aurais-je besoin d’un cierge ?
Pourtant le summum des fléaux
ce serait bien qu’une Balance
m’offre son amour sur plateau
et me colle une chaude … offense !
Si je me piquais d’un Scorpion :
combien de jours avant la tombe ?
Rien à voir avec les morpions :
sitôt piqué, sitôt tu tombes !
Si je tombais, tout par hasard,
sur une femme Sagittaire,
pourrais-je sans trop de bazar
arriver à la faire taire ?
Et si j’avais un coup de cœur
pour une jolie Capricorne,
aurais-je beaucoup de bonheur
ou bien une vie des plus mornes ?
Si je séduis une mignonne
qui soit du signe du Verseau,
voudra-t-elle en bonne amazone
sacrifier au recto verso ?
Et si je ferrais un Poisson,
à la messe ou bien dans la rue,
je sais que j’aurais des soupçons :
entre l’ange ou bien la morue !
xxxxxxxxxxx
Je ne sais pas si vous avez
choisi parmi ces douze strophes,
un signe qui pourrait coller
pour limiter la catastrophe !
Mais il faut bien un jour choisir
car même si l’on vire tante,
les signes restent et le désir
c’est de pouvoir planter sa … tente !
Voilà le grand panorama,
le tour complet de l’horoscope,
je rentre dans l’anonymat
avant que l’on me télescope !
Rotpier
Le faux mage complètement rapé :
Image bidouillée par le Rotpier
... ça fout les boules, pas vrai ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !
3ème ligne, 4ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion !
4ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils ! 4ème image : la vache fait " - - - " !
5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !
6ème ligne, 2ème image : la suite d'un refrain d'Antoine ... pas Marc ! 4ème image : ne pas tenir compte de cette virgule : elle arrivée à l’insu de mon plein gré !
7ème ligne, 1ère image : en direct: " U " !
9ème ligne, 3ème image : la sale bête donne la piroplasmose à nos amis les chiens !
Dernière ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit ! Dernière image : c'est la teuf !
Il n'est pas trop long alors au boulot et bon dimanche à tous !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Est-ce que l’insémination d’une femme avec du sperme conservé en paillette réussit mieux quand elle est pratiquée un jour de fête
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !
3ème ligne, 4ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion !
4ème ligne, 3ème image : il ne faut pas prendre le fils ! 4ème image : la vache fait " - - - " !
5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !
6ème ligne, 2ème image : la suite d'un refrain d'Antoine ... pas Marc ! 4ème image : ne pas tenir compte de cette virgule : elle arrivée à l’insu de mon plein gré !
7ème ligne, 1ère image : en direct: " U " !
9ème ligne, 3ème image : la sale bête donne la piroplasmose à nos amis les chiens !
Dernière ligne, 2ème image : ce n'est pas la nuit ! Dernière image : c'est la teuf !
Il n'est pas trop long alors au boulot et bon dimanche à tous !
Et pis c'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Léo ferret: "Paname" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Léo Ferré :
« Paname »
Paname
Paname
On t'a chanté sur tous les tons
Y a plein d'parol's dans tes chansons
Qui parl'nt de qui de quoi d'quoi donc
Paname
Moi c'est tes yeux moi c'est ta peau
Que je veux baiser comme il faut
Comm' sav'nt baiser les gigolosPaname
Rang' tes marlous rang' tes bistrots
Rang' tes pépées rang' tes ballots
Rang' tes poulets rang' tes autos
Paname
Et viens m'aimer comme autrefois
La nuit surtout quand toi et moi
On marchait vers on n'savait quoiPaname
Y a des noms d'rues que l'on oublie
C'est dans ces rues qu'après minuit
Tu m'faisais voir ton p'tit Paris
Paname
Quand tu chialais dans tes klaxons
Perdue là-bas parmi les homm's
Tu v'nais vers moi comme un' vraie môm'Paname
Ce soir j'ai envie de danser
De danser avec tes pavés
Que l'monde regarde avec ses pieds
Paname
T'es bell' tu sais sous tes lampions
Des fois quand tu pars en saison
Dans les bras d'un accordéonPaname
Quand tu t'habill's avec du bleu
Ça fais sortir les amoureux
Qui dis'nt "à Paris tous les deux"
Paname
Quand tu t'habill's avec du gris
Les couturiers n'ont qu'un souci
C'est d'fout' en gris tout's les sourisPaname
Quand tu t'ennuies tu fais les quais
Tu fais la Seine et les noyés
Ça fait prend' l'air et ça distrait
Paname
C'est fou c'que tu peux fair' causer
Mais les gens sav'nt pas qui tu es
Ils viv'nt chez toi mais t'voient jamaisPaname
L'soleil a mis son pyjama
Toi tu t'allum's et dans tes bas
Y a m'sieur Haussmann qui t'fait du plat
Paname
Monte avec moi combien veux-tu
Y a deux mille ans qu't'es dans la rue
Des fois que j'te r'fasse un' vertu
Paname
Si tu souriais j'aurais ton charme
Si tu pleurais j'aurais tes larmes
Si on t'frappait j'prendrais les armes
Paname
Tu n'es pas pour moi qu'un frisson
Qu'une idée qu'un' fille à chansons
Et c'est pour ça que j'crie ton nom
Paname, Paname, Paname, Paname...
Bon partage !
Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Léo Ferré :
« Paname »
http://www.youtube.com/watch?v=S8l8-aic780
Paname
Paname
On t'a chanté sur tous les tons
Y a plein d'parol's dans tes chansons
Qui parl'nt de qui de quoi d'quoi donc
Paname
Moi c'est tes yeux moi c'est ta peau
Que je veux baiser comme il faut
Comm' sav'nt baiser les gigolosPaname
Rang' tes marlous rang' tes bistrots
Rang' tes pépées rang' tes ballots
Rang' tes poulets rang' tes autos
Paname
Et viens m'aimer comme autrefois
La nuit surtout quand toi et moi
On marchait vers on n'savait quoiPaname
Y a des noms d'rues que l'on oublie
C'est dans ces rues qu'après minuit
Tu m'faisais voir ton p'tit Paris
Paname
Quand tu chialais dans tes klaxons
Perdue là-bas parmi les homm's
Tu v'nais vers moi comme un' vraie môm'Paname
Ce soir j'ai envie de danser
De danser avec tes pavés
Que l'monde regarde avec ses pieds
Paname
T'es bell' tu sais sous tes lampions
Des fois quand tu pars en saison
Dans les bras d'un accordéonPaname
Quand tu t'habill's avec du bleu
Ça fais sortir les amoureux
Qui dis'nt "à Paris tous les deux"
Paname
Quand tu t'habill's avec du gris
Les couturiers n'ont qu'un souci
C'est d'fout' en gris tout's les sourisPaname
Quand tu t'ennuies tu fais les quais
Tu fais la Seine et les noyés
Ça fait prend' l'air et ça distrait
Paname
C'est fou c'que tu peux fair' causer
Mais les gens sav'nt pas qui tu es
Ils viv'nt chez toi mais t'voient jamaisPaname
L'soleil a mis son pyjama
Toi tu t'allum's et dans tes bas
Y a m'sieur Haussmann qui t'fait du plat
Paname
Monte avec moi combien veux-tu
Y a deux mille ans qu't'es dans la rue
Des fois que j'te r'fasse un' vertu
Paname
Si tu souriais j'aurais ton charme
Si tu pleurais j'aurais tes larmes
Si on t'frappait j'prendrais les armes
Paname
Tu n'es pas pour moi qu'un frisson
Qu'une idée qu'un' fille à chansons
Et c'est pour ça que j'crie ton nom
Paname, Paname, Paname, Paname...
Bon partage !
Rotpier
Pastiche de la chanson « Les filles du bord de mer » de Salvatore Adamo qui devient : "Tu t’en souviens mémère," de ... Rotpier
Je vous offre un petit … pastiche ! A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Les filles du bord de mer »
de Salvatore Adamo
qui devient :
« Tu t’en souviens mémère »
De … Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Image du netTu t’en souviens mémère,
Ah ! Oui tu t’en souviens mémère
Du temps de la cuisse légère
Quand un beau gars dans les fougères
Te faisait voir tout à l’envers !
Naïve autant que t’étais belle
Tu balançais ton port’ jarretelles
Aimant pour fair’ ce genr’ de sport
Être aussi nue qu’un doryphore !
Et encore et encore ... des fois t'oubliais tes bas !
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
Ton préféré c’était Estève
Il en avait une de rêve
Mais il avait un gros défaut
Il s’endormait sur le boulot !
Tu t’y mettais avec ta sœur
Pour réveiller le gros dormeur
En le patrouillant d' bon cœur en douceur en douceur
En douceur avec ta sœur !
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
Lui pardonnant cette manie
Tu partag’ avec lui ta vie
Mais comme il ne fait que ronfler
Tu n’es pas du tout contentée !
Comme tu ne perds pas le nord
Tous les soirs tu rejoins l’Hector
Un gars complètement sourdingue
Mais très balèze pour la tringle !
Puis un beau jour t’en as en marre
T’as mis l’ Estèv’ dans un placard
T’as pris l’Hector et son oiseau
Et t’as nagé vers d’autres eaux
En douceur en douceur
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
La la la la la la la la la la la !
La la la la la la la la la la la !
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
" Nœud marin, " ... un poème de Pierre
Chalut à tous,
Aujourd'hui, je travaille sans filet ... encore influencé par l'amer
... du travail sur corde raide.
Pierre
Image du net
A toujours ressasser l’amer
un jour la haine de déchaîne,
se libère en cassant ses chaînes
et c’est le début de l’enfer.
Nœud marin,
ou
A trop tirer sur la corde,
Bien sûr il buvait un peu trop
mais il n’était pas un ivrogne,
il se tuait à la besogne
pour lui offrir de beaux cadeaux.
Son métier de marin pêcheur,
il le faisait avec vaillance
et sans la moindre défaillance :
il y mettait un point d’honneur.
Elle en avait jamais assez,
toujours le reproche à la bouche
et elle y allait à la louche
cherchant sans fin à le blesser.
« Tu n’es qu’un pauvre matelot
pas foutu d’être capitaine,
tu approches la quarantaine,
avec toi tout part à vau-l’eau ! »
A pousser le bouchon trop loin
elle ne se rendait pas compte
qu’elle allait lui devoir des comptes
et que ce serait sans témoin.
Toute la journée au chalut
il avait ressassé la chose,
il était bien plus que morose,
le soir il avait vraiment bu.
Elle l’avait apostrophé
dès qu’il avait franchi la porte,
maintenant elle pendait morte
au bout du cordage étiré.
Elle avait à peine souffert,
en nœuds les marins s’y connaissent :
pas de risque de maladresse,
vieil héritage de la mer.
Elle avait usé son amour,
aussi il n’avait pas de peine
ayant accumulé la haine
depuis longtemps jour après jour.
Il était prêt à assumer
les conséquences de son acte
et d’en payer la note exacte,
ses yeux n’étaient pas embrumés.
Il la regardait balancer
doucement au bout du cordage,
il avait épuisé sa rage,
il était calme et soulagé.
Cela ne pouvait plus durer,
et ce n’était là que justice
qu’elle paie pour tous les sévices
moraux qu’il avait enduré.
Il était sûr que les jurés
lui trouveraient des évidentes
circonstances atténuantes
et qu’il serait peu condamné.
Son sort elle l’avait scellé :
quand on devient une harpie
glissant vers la misanthropie
on prend des risques sans filet.
Chalut à tous,
Aujourd'hui, je travaille sans filet ... encore influencé par l'amer
du travail sur corde raide.
Pierre
Image du net
A toujours ressasser l’amer
un jour la haine de déchaîne,
se libère en cassant ses chaînes
et c’est le début de l’enfer.
Nœud marin,
ou
A trop tirer sur la corde,
Bien sûr il buvait un peu trop
mais il n’était pas un ivrogne,
il se tuait à la besogne
pour lui offrir de beaux cadeaux.
Son métier de marin pêcheur,
il le faisait avec vaillance
et sans la moindre défaillance :
il y mettait un point d’honneur.
Elle en avait jamais assez,
toujours le reproche à la bouche
et elle y allait à la louche
cherchant sans fin à le blesser.
« Tu n’es qu’un pauvre matelot
pas foutu d’être capitaine,
tu approches la quarantaine,
avec toi tout part à vau-l’eau ! »
A pousser le bouchon trop loin
elle ne se rendait pas compte
qu’elle allait lui devoir des comptes
et que ce serait sans témoin.
Toute la journée au chalut
il avait ressassé la chose,
il était bien plus que morose,
le soir il avait vraiment bu.
Elle l’avait apostrophé
dès qu’il avait franchi la porte,
maintenant elle pendait morte
au bout du cordage étiré.
Elle avait à peine souffert,
en nœuds les marins s’y connaissent :
pas de risque de maladresse,
vieil héritage de la mer.
Elle avait usé son amour,
aussi il n’avait pas de peine
ayant accumulé la haine
depuis longtemps jour après jour.
Il était prêt à assumer
les conséquences de son acte
et d’en payer la note exacte,
ses yeux n’étaient pas embrumés.
Il la regardait balancer
doucement au bout du cordage,
il avait épuisé sa rage,
il était calme et soulagé.
Cela ne pouvait plus durer,
et ce n’était là que justice
qu’elle paie pour tous les sévices
moraux qu’il avait enduré.
Il était sûr que les jurés
lui trouveraient des évidentes
circonstances atténuantes
et qu’il serait peu condamné.
Son sort elle l’avait scellé :
quand on devient une harpie
glissant vers la misanthropie
on prend des risques sans filet.
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image: la moitié du prénom du volatile !
2ème ligne, 1ème et 2ème image : il est de bon ton de dire qu'il est sur-péché ! Dernière image : " - - - " est ce personnage ?
4ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le triste ! ( l'autre aussi ! ) Dernière image: la peinture, la musique, le théâtre en font partie ! Nota: phonétiquement, il faut enchaîner avec les deux suivants ( de la 5ème ligne )
5ème ligne, 1ère image : lieu où se tiennent encore des marchés ! Dernière image: le cri du mouton !
6ème ligne, 2ème image : quand il pleure le bébé fait " - - - - " ... de nombreuse fois !
7ème ligne, dernière image : sorte de pâté de tête de sanglier ou de cochon !
8ème ligne, 2ème image : ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " !
10ème ligne, dernière image : le marin est en haut du " - - - " !
11ème ligne, dernière image : l'assassin " - - - " ... conjugué au présent de l'indicatif comme dit le flic qui a un mouchard à cheveux longs !
Vous avez du boulot car il est long ! Mais ne me laissez pas trop dans l'attente ... on ne sait jamais !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Comme dit mon tonton qui a bourlingué au Sahara les bédouins gays c’est tante sur tante sous la tente ce qui fait se dresser ma tante qui est une femme très réservée !
Qu'il dit l'animal !