Mozart : "Requiem" ... les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager ... les musiques que j'aime
... circonstances obligent
Cette fois-ci :
« Mozart »
« Requiem »
Je ne suis plus catholique mais ...
Bon partage !
Rotpier
Vendredi 13 ... jour de chance ? Pas si sûr ! ... "la chance" un poème de ... Rotpier
Demain: vendredi 13 ... jour de chance ,
... pas si sûr !
A trop jouer au con,
on finit par se prendre à son propre jeu !
Image du net
Croisez les doigts, sauf …
les manchots ça va de soi !
( Petit clin d’œil à Brassens )
Rotpier
14-18 ... la der des ders ... le rêve transformé en cauchemard ! ... le billet de Pierre
Vous avez déjà lu ce billet et j'espère que vous aimerez le relire.
Je regroupe tout ce que j'ai écrit sur ce sujet ô combien douloureux ...
Le jugement guerrier,
Ils étaient partis à la guerre
une fleur au bout du fusil,
la der des ders - sûr, la dernière ! -
après ça ce serait fini.
Ils ont creusé profond la terre
tel les autres en face aussi,
pas question de se laisser faire :
c’était parti pour le gâchis !
Dégoûtés par le grand carnage,
certains ont dit « On n’y va plus ! »
arc-boutés et bien résolus.
Jugés pour manque de courage,
ils ont fini au champ d’horreur
une fleur à l’endroit du cœur.
Pierre Dupuis
Image du net
.
En 3ème:
J’ai écrit ce poème après avoir lu le Goncourt 2013 « Au revoir là-haut » de Pierre Lemaitre qui traite en partie de ce drame.
Si vous ne l’avez pas lu, je vous le conseille vivement et vous met un lien pour un résumé plutôt bien fait : http://blogs.lexpress.fr/les-8-plumes/2013/11/26/au-revoir-la-haut-de-pierre-lemaitre-prix-goncourt-2013/
Images du net
La mort a le grand avantage de ne point
laisser de séquelles à ceux qui la rencontre …
Souvenirs et regrets d’une gueule cassée,
Pourquoi donc ne suis-je pas mort
quand cet obus venu du nord
a emporté, mon sang se glace,
presque la moitié de ma face.
Je veux bien aller en enfer,
j’ai connu le feu et le fer,
que peut-il arriver de pire,
J’aimerais bien l’entendre dire !
Et les officiers sabre au clair,
les explosions et les éclairs,
les tranchées, les rats et la boue,
les vieilles barbes sur les joues !
Et les assauts et les reculs
et les sombres et froids calculs
pour gagner quelques hectomètres
et obligés de se soumettre !
Les gazés et les fusillés,
les braves qui avaient osé
dire à la maréchalerie :
« Assez de cette boucherie ! »
Les copains désarticulés
et tous les regards affolés
et la mitraille et la mitraille
laissant de fumantes entrailles !
.
Les infirmiers et les brancards,
les jeunes et les vieux briscards,
les chirurgiens coupant des membres,
les corps torturés qui se cambrent !
Et ceux d’en face tout comme nous,
terrés aussi aux fond des trous
et obligés sous la mitraille
de s’élancer vaille que vaille !
Les mêmes de chaque coté
à ordonner, à exiger,
d’aller se faire ouvrir les trippes
au nom des sacrés grands principes !
Pourquoi donc ne suis-je pas mort ?
J’aurais dû, j’en ai grand remords,
en terminer là-bas sur place
pour ne plus me voir dans la glace !
Mais que peut-on faire bon sang
quand on s’est vidé de son sang
et que l’on n’est plus qu’une loque,
une proie pour staphylocoques !
Après …
Après, affronter les regards
avec les yeux plein de brouillard
des amis et de la famille
et pire encore ceux des filles !
Au début de la compassion,
ensuite de la répulsion
et parfois même une grimace
… ferais-je mieux, moi, à leur place ?
Pourquoi donc ne suis-je pas mort
quand cet obus venu du nord
a emporté, mon sang se glace,
presque la moitié de ma face ?
Porté son bois porté les seaux
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter,
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées.
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille prie très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
A une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
Bon partage,
Pierre
Porté son bois porté les seaux
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter,
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées.
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille prie très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
A une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
Bon partage,
Pierre
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image : Attention, passage de " - - - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : il n'est pas moche le mec ... hein mesdames ? ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, 2ème image : il ne faut pas prendre le mou !
4ème ligne, 3ème image :en direct : symbole de la " vie " !
5ème ligne, 3ème image : petite, la bête est lente !
6ème ligne, 1ère image : c'est la marque qu'il faut retenir !
Il est court mais il est vache pour les concernés et quand ils sont cernés c'est toujours ça de gagner pour les identifier ! ... Au boulot les champions !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Un vieux beau au bout du rouleau n’est plus qu’un vieux beau vidé, c’est vache pour lui mais c’est ainsi !
Qu'il dit l'animal !
"Jaurès", une chanson de Jacques Brel chantée par Ian : ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Ian »
« Jaurès »
C’est bientôt le 11 novembre et cette chanson du grand
Jacques évoque la grande boucherie de 14-18.
J’aurais voulu mettre l’originale mais elle n’est plus
disponible sur Youtube !
Jaurès,
Ils étaient usés à quinze ans
Ils finissaient en débutant
Les douze mois s'appelaient décembre
Quelle vie ont eu nos grands-parents
Entre l'absinthe et les grand-messes
Ils étaient vieux avant que d'être
Quinze heures par jour, le corps en laisse
Laissent au visage un teint de cendre
Oui notre Monsieur, oui notre bon Maître
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
On ne peut pas dire qu'ils furent esclaves
De là à dire qu'ils ont vécu
Lorsque l'on part aussi vaincu
C'est dur de sortir de l'enclave
Et pourtant l'espoir fleurissait
Dans les rêves qui montaient aux cieux
Des quelques ceux qui refusaient
De ramper jusqu'à la vieillesse
Oui notre bon Maître, oui notre Monsieur
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Si par malheur ils survivaient
C'était pour partir à la guerre
C'était pour finir à la guerre
Aux ordres de quelque sabreur
Qui exigeait du bout des lèvres
Qu'ils aillent ouvrir au champ d'horreur
Leurs vingt ans qui n'avaient pu naître
Et ils mouraient à pleine peur
Tout miséreux, oui, notre bon Maître
Couverts de prêles, oui, notre Monsieur
Demandez-vous, belle jeunesse
Le temps de l'ombre d'un souvenir
Le temps de souffle d'un soupir :
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Bon partage !
Rotpier
Relation très tendue entre ... " La poutre et le pendu, " ... un poème très très ancien de ... Pierre !
Un très ancien poème ... noir !
Image du net
La poutre et le pendu,
Pourquoi en était-il arrivé là ?
Il ne le savait plus très bien.
Pas quelque chose de précis… non.
Plutôt une accumulation de petits riens
… aux yeux des autres !
Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…
très lourd, dans la besace de la vie.
Il n’était pas pressé… non .
Il prenait son temps : méthodique,
très méthodique.
Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner
de m’ajouter un nœud, un de plus,
un… pas très catholique !
Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place
et, tranquillement, se prépara.
Avec lui même il s’accorda ;
avec le chanvre, il s’encorda.
Puis, brusquement, laissant dans son sillage
la longue ligne droite de sa vie
toujours réglée toujours en ordre
il se paya la fantaisie
de prendre le dernier virage
à fond la caisse et … à la corde !
.
Et moi…moi, au-dessus de lui,
à l’autre bout de lui,
je ne dis rien.
Je fais tranquillement, honnêtement,
mon travail de poutre : je tiens !
Un très ancien poème ... noir !
Image du net
La poutre et le pendu,
Pourquoi en était-il arrivé là ?
Il ne le savait plus très bien.
Pas quelque chose de précis… non.
Plutôt une accumulation de petits riens
… aux yeux des autres !
Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…
très lourd, dans la besace de la vie.
Il n’était pas pressé… non .
Il prenait son temps : méthodique,
très méthodique.
Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner
de m’ajouter un nœud, un de plus,
un… pas très catholique !
Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place
et, tranquillement, se prépara.
Avec lui même il s’accorda ;
avec le chanvre, il s’encorda.
Puis, brusquement, laissant dans son sillage
la longue ligne droite de sa vie
toujours réglée toujours en ordre
il se paya la fantaisie
de prendre le dernier virage
à fond la caisse et … à la corde !
Et moi…moi, au-dessus de lui,
à l’autre bout de lui,
je ne dis rien.
Je fais tranquillement, honnêtement,
mon travail de poutre : je tiens !
" Autoportrait," ... un poème de Pierre
Préambule :
L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.
Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !
On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.
Mais, rien n’empêche de relever le défit et d’essayer quand même.
Autoportrait,
Je suis un poète atypique
passé par la case prolo,
quand je suis la cible de piques
on me les lance ex-nihilo !
Je pèche un peu en rhétorique
car j’ai quitté les cours très tôt,
j’ai un alibi authentique :
à seize ans j’étais au boulot !
J’ai quand même appris mes classiques
préférant Zola à Hugo,
pour ce qui est de la musique
je vais de Wagner à Renaud !
Mes inclinations poétiques
vont du bon Villon à Queneau
en passant par les élastiques
des souliers troués de Rimbaud !
Je suis large sur la rythmique :
je laisse faire mon stylo !
Certains esprits monolithiques
me qualifient de rigolo !
Réguliers ou acrobatiques
mes vers ne sont pas idéaux,
ils sont sérieux ou drolatiques,
polis ou taillés au couteau !
Ils sont peu souvent syntaxiques :
je cultive le quiproquo !
Mais ils sont rarement toxiques
sauf bien sûr contre les fachos !
De l’amour à la politique
je brosse un peu tous les tableaux,
qu’ils soient morbides ou phalliques,
si ça dérange peu me chaut !
Mes textes sont très éclectiques
rasant parfois le caniveau,
je m’accommode des critiques
… tout en préférant les bravos !
Certains me trouvent sympathique,
d’autres me traitent de charlot,
à ceux-là moi je fais la nique
avant de leur tourner le dos !
Tantôt tendre, tantôt caustique,
parfois gentil, parfois salaud,
érotique ou bien hérétique
et bien sûr très souvent cabot !
Quand la Camarde boulimique
m’intimera : " Viens mon coco ! "
je lui dirais sans polémique :
" Attends je range mon stylo !
Je ne te fais pas de supplique
après tout tu fais ton boulot,
ne prend pas cet air pathétique
toi qui a la mort dans la peau ! "
Chacun doit déposer sa chique
un peu plus tard, un peu plus tôt,
il n’y a là rien de tragique :
c’est juste effacer un tableau !
Un banquet sans chant ni musique
réunira dans mon caveau
des légions de vers boulimiques
qui gémiront : " Il n’est pas gros ! "
Ils repartiront faméliques
après m’avoir sucé les os
en quête d’un hypothétique
festin digne de commensaux !
La crémation dont la pratique
a vraiment le vent dans le dos
réduit de façon très drastique
les macchabées … maigres ou gros !
L’avenir est problématique :
pour ces vers-là c’est Waterloo !
Quant à ceux de la poétique,
éviteront-ils le tombeau ?
C’est un portrait très elliptique
que je vous sers sur un plateau,
gagnerais-je une pluie de piques
ou une envolée de chapeaux ?
Préambule :
L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.
Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !
On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.
Mais, rien n’empêche de relever le défit et d’essayer quand même.
Autoportrait,
Je suis un poète atypique
passé par la case prolo,
quand je suis la cible de piques
on me les lance ex-nihilo !
Je pèche un peu en rhétorique
car j’ai quitté les cours très tôt,
j’ai un alibi authentique :
à seize ans j’étais au boulot !
J’ai quand même appris mes classiques
préférant Zola à Hugo,
pour ce qui est de la musique
je vais de Wagner à Renaud !
Mes inclinations poétiques
vont du bon Villon à Queneau
en passant par les élastiques
des souliers troués de Rimbaud !
Je suis large sur la rythmique :
je laisse faire mon stylo !
Certains esprits monolithiques
me qualifient de rigolo !
Réguliers ou acrobatiques
mes vers ne sont pas idéaux,
ils sont sérieux ou drolatiques,
polis ou taillés au couteau !
Ils sont peu souvent syntaxiques :
je cultive le quiproquo !
Mais ils sont rarement toxiques
sauf bien sûr contre les fachos !
De l’amour à la politique
je brosse un peu tous les tableaux,
qu’ils soient morbides ou phalliques,
si ça dérange peu me chaut !
Mes textes sont très éclectiques
rasant parfois le caniveau,
je m’accommode des critiques
… tout en préférant les bravos !
Certains me trouvent sympathique,
d’autres me traitent de charlot,
à ceux-là moi je fais la nique
avant de leur tourner le dos !
Tantôt tendre, tantôt caustique,
parfois gentil, parfois salaud,
érotique ou bien hérétique
et bien sûr très souvent cabot !
Quand la Camarde boulimique
m’intimera : « Viens mon coco ! »
je lui dirais sans polémique :
« Attends je range mon stylo ! »
Je ne te fais pas de supplique
après tout tu fais ton boulot,
ne prend pas cet air pathétique
toi qui a la mort dans la peau !
Chacun doit déposer sa chique
un peu plus tard, un peu plus tôt,
il n’y a là rien de tragique :
c’est juste effacer un tableau !
Un banquet sans chant ni musique
réunira dans mon caveau
des légions de vers boulimiques
qui gémiront : « Il n’est pas gros ! »
Ils repartiront faméliques
après m’avoir sucé les os
en quête d’un hypothétique
festin digne de commensaux !
La crémation dont la pratique
a vraiment le vent dans le dos
réduit de façon très drastique
les macchabées … maigres ou gros !
L’avenir est problématique :
pour ces vers-là c’est Waterloo !
Quant à ceux de la poétique,
éviteront-ils le tombeau ?
C’est un portrait très elliptique
que je vous sers sur un plateau,
gagnerais-je une pluie de piques
ou une envolée de chapeaux ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion ! 3ème image : la moitié du nom du personnage ! Dernière image : prendre la moitié de la marque !
2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !
4ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s" ou "se" ... selon son humeur ! Dernière image : quand elle est petite la sale bête est lente !
6ème ligne, 4ème image : la boisson favorite des rosbifs !
Il est court alors on se dépêche : allez, tout le monde en voiture !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Elle avait un arrière-train de première classe mais pour monter le billet coûtait la peau des fesses !
Qu'il dit l'animal !