Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Trois pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout, c'est trop facile !
Réponse :
Deux piqures et tu vaques sain … en principe !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus très court avec un néologisme ! 😉
Allez, au boulot! Et ... vous pourrez quand même prendre l'apéro ce midi si vous trouvez !
🤣
Réponse :
Rejoindre les alcooliques anonymes, c’est à la fois rompre avec la solitude et avec la saoulitude !
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Allez, comme ils sont très courts, je vous en remets un petit 3ème !
Réponse :
Comme dit un ami de Thierry, t’as plus l’air con que l’air mite !
Jacques Brel : " Orly " .... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Jacques Brel :
« Orly »
Bon, d'accord, je l'ai déjà mise au moins trois fois, mais j'espère que vous ne direz pas que vous avez fait une escale à tort chez moi !
Et, après cela, on ne prend plus l'escalator
à Orly de la même manière...
Orly
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés,
Semble-t-il, l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire « Je t'aime ! »
Elle doit lui dire « Je t'aime ! »
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement, il pleure
Il pleure à gros bouillons
Tout entourés qu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c’est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et maintenant, ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment, lentement,
Ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis, ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis, se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis, en reculant
Comme la mer se retire,
Il consomme l'adieu
Il bave quelques mots
Agite une vague main
Et brusquement, il fuit
Fuit sans se retourner
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c'est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'à terre
Ça y est ! Elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là, elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là, je la suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Seulement de l’homme ?
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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1ère connerie :
J’ai toujours cru, à cause de la similitude phonique, que Mireille Darc avait des ancêtres communs avec Jeanne d’Arc. Nonobstant cette bévue, force est de constater que c’est bien la première qui avait le feu au cul et que c’est bien la seconde que l’on a brûlé sur un bûcher, façon merguez, sur la place du Vieux Marché de Rouen ( qui n’a rien à voir avec Georges puisque lui n’a pas été brûlé bien qu’il se soit mis à dos Rémy ! ) . Sacré tour de Cauchon quand même, ne trouvez-vous pas ?
2ème connerie :
J’ai connu un doux dingue qui grimpait sur une grosse cocotte en fonte et qui lui disait : « Hue cocotte ! ». Comme elle refusait d’avancer, il hurlait comme un dément et lui filait des coups de savates ! Il était encore plus fêlé que la marmite !
3ème connerie :
La comorbidité n’a rien à voir avec les Comores comme le disent des commères incultes en mal de bagout ! Ce sont les mêmes balanceuses de postillons qui racontent que les bébés de Mayotte sont plus emmaillotés qu’ailleurs ! C’est dire le niveau de ces pipelettes !
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Allez, pour terminer une petite énigme : Il faut trouver le titre d'un film très connu de 1976. Pas d'autre indications: je sais que cela va être de la balle pour vous !
Réponse :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Police_Python_357
Le Rotpier
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
Le poème du jour ( plutôt noir ... ) : " De puérile à sénile, la vie file, " de ... Pierre
Ce poème n'est pas gai, je le reconnais, mais il illustre une dure réalité ...
La vie, c'est la vie: ce n'est pas tous les jours qu'on rigole,
parole, parole, ce n'est pas tous les jours qu'on rigole.
Images du net groupées
De puérile à sénile, la vie file,
Quand on est môme,
on veut devenir grand
mais ça traîne, ça traîne, c’est énervant !
Un jour, on choppe ses quinze ans
quinze ans c’est bon
même s’il faut engager la guerre des boutons !
Mais on n’est jamais content
et on attend ses vingt ans impatiemment !
Et ils arrivent en même temps que le régiment !
Là, on t’apprend à faire la guerre
pas celle des boutons : la vraie !
C’est pas beau la guerre
mais s’il faut la faire, autant savoir !
Encore que, maintenant la guerre
soit de plus en plus une affaire de … boutons !
On tourne en rond !
Tranquillement tes trente ans se pointent
avec femme et enfants.
Trente ans, tu as encore bien du temps devant toi !
Mais les quarante arrivent et passent !
Les cinquante ans sont à l’horizon, menaçants !
Et paf ! Tu te les prends dans les dents !
Aïe ! Un demi-siècle ça fait mal !
Il est loin ton premier bal !
La moitié de ta vie
… pour peu que tu atteignes tes cent ans
car ce n’est pas écrit noir sur blanc
loin s’en faut : elle veille la tordue à la faux !
Après, ça file, ça file
comme le sang des hémophiles !
Les années déboulent et s’enfilent !
Que tu sois Ehpadophile ou Ehpadophobe
en pantalon ou en robe
tu as peu de chance d’y échapper à la boite à séniles !
Tu peux être tranquille !
Tant que tu peux te traîner encore un peu, ça va.
Mais quand tes cannes
ne suivent plus, même avec des cannes,
tu es mal ! Drôle de bal !
Et là, tu recommences la guerre des boutons :
ceux sur lesquels tu appuies
pour que l’on vienne s’occuper de toi.
Les rouges, les jaunes ou les verts !
Les verts … couleur de l’espérance
et toi tu es là en errance !
Ça sent le rance, ça pue la décadence !
Ça ne sent pas bon, pas bon du tout !
La vieillesse te colle à la peau,
parlons-en de ta peau au passage,
elle aurait besoin d’un bon repassage :
elle froisse, elle plisse, elle bouloche
C’est moche !
Le plus con, c’est que tu ne peux
même plus sauter du balcon !
Et là, tu traînes ta misère
avec tes frères ou tes sœurs de fauteuil.
Puis, un à un, ils se vident les fauteuils
ça sent le deuil.
Tu restes seul, livide.
Et l’autre, la faucheuse, elle attend
tranquille, sûre d’elle :
elle ricane la sauterelle !
Elle compte : il faut qu’elle ait son compte !
Elle a horreur de se tromper, elle vérifie ses décomptes !
Un d’oublié, qu’elle honte !
Elle aussi doit rendre des comptes
… à qui ?
Puis, ton tour vient,
tu l’attendais, c’est bien.
A son tour ton fauteuil reste vide,
il attend le prochain ou la prochaine
pas misogyne pour deux ronds, c’est bon.
Ça roule pour lui !
Image du net
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout !
Le Rotpier, le coach multi-domaines
Réponse :
Je vous propose une bonne résolution pour commencer la nouvelle année : « Vous dépasser vous-même, mais sans oublier de mettre votre clignotant : prudence oblige ! »
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus très impie c'est tout !
Petite aide :
5ème ligne, avant dernière image: ce n'est pas un PC !
9ème ligne, 2ème image : il faut bien scinder les deux sons de la seconde partie du refrain d'Antoine ! 😉
Allez, au boulot! Si vous allez à la messe, priez pour moi, pauvre pécheur SVP ! Mettez aussi un cierge si vos moyens vous le permettent …merci beaucoup. Dieu vous le rendra certainement.
🤣
Réponse :
Il serait grave de confondre le principe de l’Immaculée Conception liée à la Vierge Marie et l’émasculée conception liée au principe de fabrication des eunuques !
Barbara : " Pierre " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Pierre
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Barbara :
«Pierre »
Comme je me prénomme Pierre
et que j'ai la barbe à ras ...
Pierre
Il pleut
Il pleut
Sur les jardins alanguis
Sur les roses de la nuit
Il pleut des larmes de pluie
Il pleut
Et j'entends le clapotis
Du bassin qui se remplit
Oh mon Dieu, que c'est joli
La pluie
Quand Pierre rentrera
Il faut que je lui dise
Que le toit de la remise
A fui
Il faut qu'il rentre du bois
Car il commence à faire froid
Ici
Oh, Pierre
Mon Pierre
Sur la campagne endormie
Le silence et puis un cri
Ce n'est rien, un oiseau de la nuit
Qui fuit
Que c'est beau cette pénombre
Le ciel, le feu et l'ombre
Qui se glisse jusqu'à moi
Sans bruit
Une odeur de foin coupé
Monte de la terre mouillée
Une auto descend l'allée
C'est lui
Oh, Pierre
Pierre
Bon partage !
Pierre
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Seulement de l’homme ?
.
Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue ...
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Petite tranche de conversation rurale :
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Sinon, je vous propose du sérieux :
Qui peut affirmer que les anthropophages n’avaient pas de problèmes de conscience en boulotant les missionnaires ? Ne serait-ce que quand il y en avait un qui était petit et maigre.
C’est une question existentielle que je me pose et si vous avez la réponse, communiquez-là moi : j’en prendrais connaissance après déjeuner. Pour l’heure, il faut que j’aille écumer le bouillon du pot-au-feu ! Ça fume et ça sent bon dans la marmite en fonte !
Bon appétit à toutes et à tous !
Le Rotpier
Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
La fable du jour ( toute chaude quoique gelée ! ) : " Au pays de la glace, " de ... Rotpier !
Image du net
Fable arctique,
Au pays de la glace,
Un jour un inuit chaud lapin
croisa une belle esquimaude
sans passer par la marivaude
il lui roula un gros patin.
Mais devant son regard éteint
regrettant sa façon rustaude
il comprit qu’au lieu d’être chaude
elle était frigide à haut point.
La regardant un peu en coin
il fit de façon très pataude
des excuses à l’esquimaude
qui n’en fit pas tout un tintouin.
La belle remit ses patins
et siffla sa chienne noiraude
lui repartit en baguenaude
tous deux reprirent leur chemin.
Une bande de cent pingouins
très éméchés et en maraude
en firent moult gorges-chaudes :
les pingouins sont un peu crétins.
Déjà plus bourrés que des coings
ils reprirent leur billebaude
à la recherche de ribaudes
à culbuter dans tous les coins.
Sautant sur la glace à pieds joints
de manière bête et faraude
vingt tombèrent dans l’eau pas chaude :
un bon repas pour les requins !
Moralité :
« Il n’est pas beau de se gausser
des femmes du genre banquise »
c’est l’adage d’une marquise
plus chaude encore qu’un bûcher !
Quant aux pingouins je serais bref
coté cerveau c’est pas Byzance
au niveau de l’intelligence
c’est vrai qu’ils n’en ont pas bezef !
Conséquence de la seconde partie de la moralité :
J’ai eu un mèl d’un esquimau
qui m’a dit « Là-bas ils t’attendent
certains pingouins ne sont pas tendres
et ne sont pas du tout manchots !
Mais je m’en fous je reste au chaud
je n’irais plus sur la banquise
je vais retrouver la marquise
que l’on surnomme « Le brasero » !
Bien à l’abri dans son boudoir
loin de ces contrées si algides
l’antithèse de la frigide
me réchauffera tous les soirs !
Je ne mettrais pas mon smoking
noir avec ma chemise blanche
sauf bien entendu le dimanche :
hors de question d’être shocking !
Nous deviserons tous les jours
sur toutes les femmes frigides
sur la pédérastie de Gide
et sur le sexe des vautours.
Le Rotpier
Image du net bidouillée !