poesie
Curé pédophile : Dieu doit être jugé pour complicité aggravée ! Le poème du jour : «Tu le diras un jour … » de … Pierre
Prêtre pédophile :
http://www.directmatin.fr/article/50488
Puisque Dieu sait tout, voit tout et peut tout,
il doit être jugé pour complicité aggravée.
Poème déjà publié au moins trois fois, mais je le remettrais chaque fois que l’actualité remettra en lumière ce genre d’acte et ce genre d’individu.
Pierre
Image du net modifiée par moi-même
Tu le diras un jour,
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos !
Et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !
Pierre Dupuis
Euthanasie, le poème du jour « La politique de l’autruche » : un poème de Pierre
Le 08 septembre 2003
Parce que, dans une démocratie évoluée comme la nôtre, il est totalement injuste de refuser ce choix à quelqu’un qui le fait, en toute lucidité, à un moment donné.
Image du net
La politique de l’autruche
ou … la tête dans l’urne,
Chaque jour, un peu plus, des rigoles se creusent
sur mon pauvre visage agité par des tics ;
nul besoin d’un expert pour faire un diagnostic :
c’est la pile des ans qui se fait dévoreuse !
Ma carcasse se tasse et devient dérangeante,
la couleur de ma peau s’approche du mastic ;
dans les yeux des enfants, je lis le pronostic :
« il me fait peur ce vieux avec sa voix tremblante ! »
Mon passage ici-bas c’est avéré fertile,
si j’en fais le bilan, le solde est positif ;
il ne faut surtout pas aggraver le passif
en restant trop longtemps une charge inutile.
Je ne suis plus capable en toute indépendance
d’assurer mon départ par un acte discret,
il fallait y penser - c’est mon plus grand regret ! - :
il faut savoir trancher avant la décadence !
Il est temps - oui ! grand temps - de quitter cette terre,
je ne peux ni ne veux, à la vie, m’amarrer ;
je demande à la loi de ne plus me barrer
l’accès de ce chemin : j’en suis propriétaire !
C’est un choix personnel mais j’en connais tant d’autres
qui voudraient bien pouvoir décider de leur sort,
qui peut mettre un veto, qui peut nous donner tort :
c’est notre volonté, n’imposez pas la vôtre !
Un simple mot chez vous provoque l’amnésie,
mais dans certains pays il ne fait plus frémir :
les gens ont tout compris, leur âme a su mûrir,
ce mot que vous boudez ce nomme « euthanasie » !
Si vous ne voulez pas passer pour des baudruches,
vous, messieurs les élus, il faut légiférer,
il est passé le temps de toujours différer
il va falloir cesser de jouer les autruches !
De gauche ou bien de droite, oubliez les clivages !
Ce sujet délicat n’est pas des plus porteur ?
Raison de plus pour vous : soyez à la hauteur
et vous serez alors dignes de nos suffrages !
Arrêtez d’esquiver au nom de la Patrie !
Le sujet est tabou ? A vous de l’expliquer !
Quant aux grands offusqués, il faut les impliquer :
obligez-les, deux jours, à vivre en gériatrie !
Pierre Dupuis
La rafle du Vél d'Hiv', un poème de ... Pierre
Ignorer ou méconnaître l’histoire
c’est se couper d’une partie importante
de sa faculté d’analyse.
Pierre
Pour l’anniversaire de la rafle du Vél’ d’Hiv’
Selon certains, ce n’est qu’un détail
d’un détail de l’histoire.
Image du net
La rafle,
« Police ! Ouvrez et préparez
juste une petite valise,
vous allez devoir voyager,
c’est au Vél’ d’Hiv’ qu’on centralise.
C’est seulement pour travailler,
n’ayez pas peur, pas de hantise,
Monsieur Bousquet nous a chargé
de cette mission très précise. »
Sept milliers d’âmes dans un four,
un seul point d’eau, sans nourriture
et cela a duré cinq jours.
Ils ont payé la forfaiture
de ceux aux ordres de Vichy
qui rampaient aux pieds des nazis !
Pierre Dupuis
Image du net
Je ne suis pas un fan absolu de Madona,
mais j’aime bien le retour de boomerang
pour le père et la fille Le Pen !
Un petit clic sur le lien !
l
" La main " : Un poème très ancien de ... Pierre
Poème très ancien ( 1999 ? )
" A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur."
La main,
Comme enfin je soufflais - bonheur compréhensible -
Assis sur une table enduite de couleurs,
Récupérant un peu d’une classe impossible,
Je vis le tableau noir partager ma douleur !
La craie courrait sans fin, par une main guidée,
Une main je vous dis ! Toute seule ! Sans bras !
D’une pâleur extrême, assurément vidée
Du sang dont une goutte échappait vers le bas.
S’égrainait sous mes yeux et très bizarrement
Je comprenais le sens des phrases contenues
Dans ce message étrange écrit si clairement.
Je m’en vais essayer de vous donner lecture
- Pas du message écrit : il n’était que pour moi ! -
De ce qui se passa, c’est vrai, je vous le jure !
Et je saurais comprendre ensuite votre émoi !
La main - d’autorité - me pris alors en charge
en pointant son index sur un ordinateur
Qui afficha de suite en écran extra large
Une image incroyable : un plan fascinateur !
Je reconnus, malgré la façade noircie,
Le profil évident du Lycée Aragon
Qui avait dû subir un très grave incendie,
une porte battait, pendant à un seul gond.
Un bruit de fond montait et je vis une bande
Déboucher en hurlant de derrière un muret,
Des propos venimeux rythmaient la sarabande :
« A mort ces cons de profs, il faut les capturer ! »
On pouvait reconnaître en tête de la horde,
Les clones de certains du fond de nos paniers
Qui nous posent problème en refusant tout ordre :
Ils étaient à coup sûr les fils de ces derniers !
Et d’un bûcher fumant, les pages calcinées
Des livres déchirés s’envolaient dans le soir,
Un vent ascensionnel, volutes déchaînées,
Entraînait vers le ciel ce vol de corbeaux noirs.
La main vint à placer - je ne vis pas de suite -
Son index tremblant à un endroit précis :
Tout en bas du brasier, une forme réduite
Agitait sous le feu cinq doigts tout rétrécis.
La main comme une folle agita ses phalanges,
Son cri désespéré me vrilla les tympans
Et je la vis pleurer, libérant un mélange
Composé pour moitié, de larmes et de sang !
Je la pris dans mes mains, ce ne fut pas facile,
De calmer sa douleur, d’éteindre ses sanglots :
La peur de formuler des propos imbéciles,
Quoi dire à une main qui hante les tableaux ?
A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur.
Le tableau s’effaça, supprimant le message.
L’ordinateur se tut, son écran devint noir.
Un tourbillon me prit : j’étais sur son passage
et je fus avalé par un grand entonnoir.
Pierre Dupuis
Maigrir sans s'aigrir ! Régimes alimentaires: les grands gourous, d'Australie ou non, sont sur le pont … un pont d’or !
Attention !
... Je balance du lourd !
Pratiquement tout le monde
se fait avoir avec les régimes !
… C’est alimentaire mon cher Watson !
Toutes les images proviennent du net !
La dictature des régimes,
Tu as le moral à zéro,
Ton IMC est hors limite !
Sergent Garcia plus que Zorro :
toujours un œil sur la marmite !
Tu ne rentres plus dans tes jeans,
plus Maïté que Marilyne !
Jour et nuit tu traînes ton spleen
tes kilos et ta gélatine !
Là, vous êtes le pain béni
des grands charlatans des régimes,
les rois de l’embrouillamini
ceux qui surfent sur les déprimes !
Difficile d’y échapper :
la dictature est bien en place !
Comment éviter d’être happés,
comment peut-on y faire face ?
Ils ont flairé le bon filon :
médecins et filous prospèrent !
Les premiers comme les seconds
possèdent le sens des affaires !
A coup de pub et de gros sous
et de promesses d’embellie,
ils deviennent des grands gourous
… pas seulement en Australie !
Cela commence par :
« Eh ! Tu te fais du bedon,
il faudrait penser au régime !
Laisse donc tomber les lardons :
ton profil n’est plus bellissime ! »
« Tu as les fesses en chamallow
et des bourrelés à la taille !
Pour ta ligne c’est Waterloo :
maintenant tous les mecs se taillent ! »
Et là :
Que tu sois fille ou bien garçon,
tu te regardes dans la glace,
plus à poil qu’un colimaçon
et là, du coup, ton sang se glace !
Tu n’avais pas fait attention
à l’aiguille de la balance,
pas de grande révolution :
la graisse a beaucoup de patience !
Mais d’un coup ça te saute aux yeux :
tu as augmenté de volume !
Ton corps est beaucoup moins gracieux :
ta sveltesse est plus que posthume !
Joli durillon de comptoir,
poignées d’amour bien préhensibles !
Tu fais bien plier le plongeoir
… heureusement qu’il est flexible !
« Mais c’est terrible ! Oh ! Quelle horreur !
J’ai le moral qui se délite !
C’est sans la moindre ombre d’erreur
une attaque de cellulite ! »
Alors :
C’est la ruée sur le clavier :
« régime » tapé sur Google !
Il y a des liens par milliers
et ça devient très casse-gueule !
Le marché doit être juteux :
sur la place il y a du monde !
Vingt mille entrées … c’est fabuleux :
la recherche est plus des fécondes !
Les noms que l’on trouve en avant
sur cette interminable liste :
docteur Cohen, docteur Dukan,
deux des éminents spécialistes !
Si l’on remonte dans le temps
on en rencontre une flopée :
belle tribu de charlatans
chantant la même mélopée !
Judy Mazel, Herman Taller :
l’un joue les fruits, l’autre les graisses !
Ma pauvre sœur de quoi t’as l’air
… dès que c’est fini tu engraisses !
Soupe pour Marguerite Dambrot :
la soupe aux choux et pas une autre !
Du coté des grands cérébraux :
le yin, le yang, vous ferez vôtres !
Groupe sanguin pour d’Amato :
chaque groupe a sa nourriture !
Et là tu maigris aussitôt
… après c’est la déconfiture !
Pour Montignac, bien dissocier
les glucides et les lipides !
Vous voyez ce n’est pas sorcier :
il sera tout plat votre bide !
Tu peux choisir les Weigt Watchers
si tu aimes les assemblées,
mais ça te coûtera plus cher :
la somme peut être doublée !
Revenons-en aux deux premiers :
Dukan, Cohen qui sont en guerre :
passages d’armes coutumiers
qui n’étonnent vraiment plus guère !
Pour Dukan c’est sans discussion :
uniquement des protéines !
C’est bien la seule solution :
il le confirme et l’entérine !
Pour Cohen, très logiquement,
ça va vers l’hypocalorique :
et là tu la sautes vraiment,
tu tournes comme une bourrique !
Mais tous régimes confondus,
quand on regarde les sondages,
on sait que les kilos perdus
reviennent vite à l’abordage !
Plus de quatre vingt dix pour cent
des gens qui croyaient au miracle,
en ont été pour leur argent
encaissé par les grands oracles !
Moralité :
Il ne faut surtout pas rêver :
maigrir sans effort est un leurre !
Il faut accepter d’en baver
un minimum et pas qu’une heure !
Si tu veux perdre des kilos,
il faut te remuer les fesses !
N’écoute pas tous ces charlots
qui font grossir leurs tiroirs-caisses !
En mangeant raisonnablement
et en faisant de l’exercice,
tu peux maigrir durablement
sans être taxé de jocrisse !
Pierre Dupuis
Ils reviennent en force ... les coquelicots ! Le chaud poème du jour: "Trésor coquelicot," de ... Pierre
images du net !
Trésor coquelicot,
Jupe légère et froufroutante,
corsage ouvert en calicot,
la belle est belle et envoûtante
avec ses joues coquelicot !
Cheveux au vent et mèches folles
bouche à poser mille bécots
et un sourire qui affole
sur ses lèvres coquelicot !
Très réactive à touche-touche :
acquiescement sans quiproquo
pour se faire une fraîche couche
au milieu des coquelicots !
La peau à nu - adieu corsage ! -
corps velouté comme abricot
de jolis seins pas du tout sages
aux mamelons coquelicot.
Et pour finir - pourquoi le taire ? -
jupe en drapeau presque aussitôt
libérant enfin le mystère
d’un doux trésor coquelicot !
Et là une pressante envie
d’y déposer de chauds bécots
et de profiter de la vie
au milieu des coquelicots !
Et pour bannir toute indécence,
sur la scène : glisse rideau !
Aller plus loin serait licence :
on en reste aux coquelicots !
Pierre Dupuis
Le poème du jour : "Spirale," de ... Pierre !
Image de Marie ... je crois me souvenir ...
Spirale,
Selon le sens où tu la prends,
elle te hisse ou bien te broie ;
elle t’apprend, te désapprend,
dans les deux cas, toi, tu tournoies.
La tête en l’air, la tête en bas :
C’est là toute la différence !
C’est jour de fête ou de combat,
le goût sucré ou le goût rance !
Tout un symbole en un cliché :
toute l’image de la vie !
De bas en haut, prime moitié,
de haut en bas, l’autre asservie.
Rester en haut le plus longtemps,
est un pari, est un challenge !
Sachant qu’il est compté le temps
dès que tu es sorti des langes !
Plus tu restes de temps perché
et plus belle est ton existence,
mais un jour il faut décrocher :
tu descends où tu te balances !
Pierre Dupuis
" Cortège ": le poème du jour de ... Pierre
Cortège,
En cortège derrière
le dernier qui s’en va,
que tu sois Paul ou Pierre
tu y penses déjà :
… « Le prochain … c’est moi ? »
Doucement tu chemines
et l’ombre des cyprès,
voyant que tu rumines
t’enveloppe de près
murmurant : « C’est possible mon gars ! »
Et soudain tu frissonnes,
tu presses un peu le pas,
tu rejoins la colonne
évitant le faux-pas
et tu te dis :
« J’ai encore le temps
… le temps de ne pas être devant. »
Pourtant …
pourtant ... tu sens
... tu sens
que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !
Pierre Dupuis
i
"L’hiver indien," l'un de mes premiers poème (1999 ? ) ... Pierre
Un de mes premiers poèmes
écrit dans une période un peu tourmentée…
.
L’hiver indien,
Depuis longtemps déjà, dans mes sommeils agités,
mon esprit mélange les choses :
des faits lointains qui me reviennent avec clarté,
des faits actuels puisés dans des journaux du soir,
des faits futurs déjà gravés dans ma mémoire.
Dans mon crâne-laboratoire
s’effectue la lente et profonde alchimie de tout cela.
Bouillonnait ensemble cette nuit-là :
une très vieille légende indienne,
une caisse de retraite avec un trou béant,
des voitures incendiées dans la plaine
et un vieillard me ressemblant.
Le tout était liquéfié dans un creuset combinatoire,
mon crâne-alambic recueillait avec soin
la quintessence de ce magma malsain
d’où s’échappaient d’inquiétantes fumerolles noires.
La pression montait.
Tout allait exploser, quand…
un rêve jaillit en exutoire.
Un vieil indien me ressemblant,
tenant deux torches en sautoir
et sous le bras un réservoir,
s’éloignait de son pas pesant.
Dans sa démarche oscillatoire,
on sentait bien sa volonté :
« il fallait en finir ce soir !»
Toute la tribu, sans s’émouvoir,
perdait de vue le vieil indien,
lorsque soudain, dans le lointain,
jaillit le feu libératoire.
Hochant la tête pour tout adieu
la grappe humaine se disloqua,
matérialistes et ambitieux
les jeunes oubliaient déjà.
… Un vieil indien me ressemblant
tenant deux torches en sautoir
s’évaporait dans l’air du soir.
Pierre Dupuis
" La femme chatte " : le poème du jour de ... Pierre
... " Des griffes assassines
à vous trancher le lard " ...
Image du net
A Louis-Ferdinand
La femme chatte,
Elle était très câline,
ronronnant avec art :
rôle de Messaline
méritant un oscar !
Le plein d’adrénaline
au moment du rencard :
dessous de percaline
tout de suite au placard !
Et que je te décline,
devant des yeux hagards
se léchant les babines,
des trésors sans remparts !
Une chair opaline
réclamant sans retard
caresses libertines
et prouesses plus tard !
Des griffes assassines
à vous trancher le lard :
un flot d’hémoglobine
avant le corbillard !
Femme chatte sauvage
au dur regard qui luit :
un dangereux voyage
jusqu’au bout de la nuit !
Composition très fine :
le frisson à son prix !
Mais sans être mesquine :
pas de mort à crédit !
Pierre Dupuis
l