Résultat pour “les joueurs de cartes”
Mali: un résumé chronologique des opérations sur place. L'actualité vue par le Rotpier
Les évènements au Mali : le résumé.
Préambule :
Au début, vous avez suivi l’actualité concernant le Mali avec assiduité et puis vous vous êtes lassés. Après l’intervention de l’armée française vous avez repris, puis vous vous être lassés à nouveau. Ce qui fait que vous passez pour des ignares le matin, au café, quand vos collègues en parlent.
Je vous propose ici un résumé succinct, mais néanmoins précis, qui vous permettra, pour peu que vous vous l’appropriiez, de briller enfin sur le sujet.
Ne me remerciez pas : je participe bénévolement à votre culture générale afin de relever très légèrement le niveau de la France.
Le Rotpier
Carte du Mali en guerre (image du net)
Voila le résumé :
Mars 2012 :
Des groupes islamistes armés occupent et se partagent le nord du Mali et agissent en coordination avec le commandement d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi Rliton : ce n’est pas du pipeau !).
Al-Qaïda, da est un groupe très à cheval sur les principes fondamentaux et redingotes de l’islam dur et radical, adepte de la Charia qu’ils appliquent en charriant un peu beaucoup.
Le 30 mars 2012, des combattants séparatistes entrent dans la ville de Kidal ou la résistance des maliens correspond à peu près à que dalle. Le capitaine Sanogo tique ( ce n’est pas un roman ! ) et demande une aide extérieure contre les rebelles pas beaux. Ceux-ci conquièrent la moitié du nord du Mali sans l’autorisation de Lima, ce qui les aurait obligé de faire un long détour.
Le 6 avril 2012, le Mouvement pour la libération d’Azawad (MNLA) proclame l’indépendance du Nord du Mali, qu’il nomme Azawad.
Le 8 avril, Putsch : le président Amadou Toumani Touré, n’étant plus bien entouré, quitte le pouvoir. Les militaires qui le prennent, au motif qu’il faut restaurer l’intégrité territoriale, s’engagent à rendre le pouvoir aux civils, en s’appuyant sur Dioncounda Traoré Al, président du parlement et ami des Béttencout, surtout de Lilliane.
Le 26 mai, le MNLA (touaregs) et Ansar Dine Aluile (islamistes) passent un accord de rapprochement pour créer un Etat dans le Nord. Mais le MNLA déchire l’accord une semaine plus tard.
Le groupe Ansar Dine Aluile est mené par Iyad ag Ghali Nacée, un drôle de volatile surnommé « Tatonbouctoupouilleux ».
Le 4 janvier 2013, Ansar Dine Aluile accuse Bamako de préparer la guerre, et de ne pas vouloir sérieusement engager de pourparlers de paix.
10 janvier 2010 – Après une offensive des combattants islamistes vers le nord, avec capture de la ville de Konna, ( c’est là que « Tatonbouctoupouilleux » déconna ! ) le Mali appelle au secours la France. François le mou devient très dur (du Viagra ?) et bandant toutes ses forces, il envoie l’armée française bombarder les colonnes de 4x4 Volkswagen Touareg : l’opération Serval.
Depuis, l’armée malienne appuyée par l’armée française vole de victoire en victoire et a repris toute les villes conquises par les islamistes qui se sont retirés dans les montagnes au-delà de Kidal.
Dernière minute : Mohamed Moussa Ag Mouhamed, le numéro trois Ansar Dine Aluile, celui qui ordonnait de couper les mains, a été arrêté par un groupe armé. « Il est conduit vers Kidal » a annoncé une source de sécurité malienne.L’armée française bombarde encore actuellement les sites stratégiques des islamistes situés dans les montagnes situées au-delà de Kidal et pas pour que dalle.
Pas de nouvelles de « Tatonbouctoupouilleux » : on ne sait pas s’il s’est rasé pour fuir plus loin.
Voila ce que vous pouvez raconter à vos amis, le matin, en prenant le café et vous faire mousser un maximum. Ne me remerciez pas : je vous en ai déjà dispensé !
Le Rotpier
"Le châtelain, la châtelaine et leur joli bas de laine," ... Un poème -fable, non signé par Jean de La Fontaine , mais par Pierre du Puits quand même !
.
Un poème -fable, non signé par Jean de La Fontaine , mais par Pierre du Puits quand même !
.
Capture personnelle à partit de Google Earth
Avertissement :
Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne peut relever que de l’imagination débridée des lecteurs.
Le châtelain, la châtelaine et leur joli bas de laine,
Il était une fois près de Sablé sur Sarthe,
un château habité par des gens comme il faut,
entouré d’un grand parc où courraient des chevaux,
pas facile à trouver sans avoir une carte.
Des gens bien comme il faut et en plus très honnêtes,
« enfin en apparence ! » éructa un canard
souvent très déchaîné contre les cumulards :
il avait enquêté et tiré la sonnette !
Un canard très spécial entraîné pour la chasse,
un palmipède adroit et des plus débrouillards
capable de tracer même les vieux briscards
afin de les pousser tout au fond de la nasse !
Le châtelain était féru de politique,
de voitures de course et il pilotait bien,
il avait un tracteur pour faire plus terrien :
un homme multicarte à l’esprit très pratique !
Non loin de la demeure, il y avait les moines
d’une grande abbaye chantant du grégorien,
« Cela n’a rien à voir ! » rétorqueront certains,
moi je dis : « Pourquoi pas ? … Vive le patrimoine ! »
D’autant plus que … d’autant plus que …
L’homme était très croyant et allait à l’église
très régulièrement, frisant le calotin,
on pouvait dire aussi qu’il était puritain
jusqu’à ce que dans le tripotage il s’enlise !
Je crois me souvenir - et j’ai bonne mémoire ! -
que quand on a pincé un certain Cahuzac,
un tricheur patenté pris la main dans le sac,
le sieur a applaudi de façon très notoire !
La châtelaine était ma foi fort effacée,
ne se plaisant que dans les mûrs de son château,
faisant des confitures et soignant ses chevaux,
la politique la laissait embarrassée !
Mais pour entretenir une telle demeure,
il faut beaucoup d’argent, cela coûte bonbon,
Il fallut bien trouver beaucoup de picaillons :
sans consolidations les vieux châteaux se meurent !
Alors notre bonhomme embaucha son épouse
et même ses enfants sur des fonds de l’état
pour de vagues travaux sans trop de résultats,
le tout pour faire entrer un maximum de flouze !
A l’heure où je vous parle on ne sait pas encore
ce que les enquêteurs vont trouver en fouillant
dans tout ce pataquès plutôt malodorant,
alors je reviendrai pour cette fable clore !
A la manif pour tous c’est le temps des neuvaines,
des suppliques en chaîne et des cierges brûlés,
de bien vieux procédés pour le moins éculés :
on en est plus au temps des postes à galène !
Je vous dis à bientôt pour la fin de la fable,
patientez un moment, c’est un compte à rebours,
ça caquète déjà fort dans les basses-cours,
attendez quelque peu, vous serez bien affables !
Châtelain, châtelaine aux actions pas très nettes,
sachez que l’on n’est plus au temps des grands seigneurs
et qu’un petit canard peut être égratigneur
sans pour autant finir dans un pot de rillettes !
Image du net, vive les rillettes ... dûment gagnées !
Remerciements :
Remercions le Canard pour sa plume acérée
qui met toujours sa palme aux endroits qui font mal,
beaucoup voudraient couper le cou de l’animal,
nombreux sont ceux qui sont avides de curée !
Allez brave Canard, continue donc ton œuvre,
étrille les tordus, les faux-culs, les tricheurs,
de n’importe quel bord, même les pleurnicheurs
dès lors qu’ils ont usé de coupables manœuvres !
Et n’oublie surtout pas ceux de la fachosphère,
les Le Pen et consorts qui sont autant mouillés
que ceux cités ici, il faut aller fouiller
dans le grand marigot de leurs sombres affaires !
xxxxxxxxxxxx
Conclusion :
Il faudra bien un jour qu’on décerne une palme
à ce lanceur d’alerte efficace et burné
qui depuis plus d’un siècle a su désarçonner
des ô combien puissants magouillant bien au calme !
Pierre Dupuis
Merci le Canard !
Devoir de vacances : "Epopée morvandelle" ou "Par monts et par vaux autour de Moux," le très long poème du jour de Pierre et de Rotpier !
Nota: C'est un gros pavé, ne démarrez pas si vous n'avez pas un peu de temps devant vous !
Préambule :
En première partie, je vous propose une balade en Morvan quelque peu fantaisiste. Si les lieux sont bien réels, les histoires que je brode autour le sont beaucoup moins … encore que … sérieux s’abstenir !
La seconde partie, la moralité, est plus philosophique et aussi plus sujette à contestation de la part de quelques bien-pensants…
Le chalet du trappeur, notre gîte.
L'étang.
Epopée morvandelle
ou
Par monts et par vaux autour de Moux,
Pour éponger un coup de mou
- Eh oui ! Parfois cela arrive ! -
ma femm’ m’a dit : « Allons à Moux
en Morvan ! » … Belle initiative !
« C’est tout près du lac des Settons,
légèrement en altitude,
un peu avant Château-Chinon,
ça changera nos habitudes ! »
Tout de suite j’ai dit « Banco !
c’est une région qui me botte,
viens que je te fasse un bécot
pas besoin d’enlever tes bottes ! »
Cela m’a regonflé à bloc
et j’ai sauté, je vous l’assure,
pile-poil à deux pieds dans mon froc
et puis j’ai lacé mes chaussures !
Je vois à vos yeux égrillards
que vous attendiez autre chose,
vous repasserez mes gaillards :
j’aime que les portes soient closes !
Un matin ce fut le départ,
il faut bien que les choses arrivent,
hors de question d’être en retard
c’était parti pour d’autres rives !
Juste un peu avant Avallon
nous avons quitté l’autoroute,
quelques monts et quelques vallons :
c’était le Morvan pas de doute !
Nous sommes passés à Saulieu,
Loiseau était dans les nuages,
c’est Berton qui tenait les lieux
… l’addition n’était pas plus sage !
Nous avons - bien nous en a pris ! -
seulement regardé la carte
et à la seule vue des prix
on a senti chauffer nos cartes !
Du coup on a mangé à Moux,
c’était beaucoup plus raisonnable,
moins bon aussi mais après tout
c’était quand même convenable !
Pas de mou de veau au menu
mais de la viande charolaise,
dans les près nous les avions vus
et les bestiaux broutaient à l’aise !
Nous avons croisé quelques gens
juste en arrivant au village
et leur bonjour très engageant
augurait un joli partage !
Même chez les adolescents
nous avons vu la différence :
bien moins de morveux en Morvan
que dans le reste de la France !
Au milieu du parc du Morvan
et des grands lacs de retenue
des vieux châteaux et des couvents
nous souhaitaient la bienvenue.
Du coté du lac des Settons
et niché en pleine nature,
attendait notre location :
un chalet de fort belle allure !
A ses pieds un petit étang
enchâssé entre deux collines
miroitait au soleil couchant
rêvant d’une brise coquine !
Son nom : « Le chalet du trappeur »
mais de castors pas une trace,
à croire qu’ils avaient pris peur :
tout comme moi devant ma glace !
Pas de bisons au rendez-vous
contrairement à toute attente
du coup j’ai chassé les bisous
ma femme en était très contente !
Des belges sont venus pêcher,
cinq copains des plus sympathiques,
« Le cowboy » ils m’ont appelé
en voyant mon chapeau mythique !
Ils avaient un équipement
pour la pêche au coup de première,
qu’ils rangeaient soigneusement dans
une remorque à montgolfière !
Eux par contre n’étaient pas fiers,
les belges aiment bien la France,
bien mieux que l’Angleterre et Blair
ou la City et la finance !
Comparé à leur plat pays
le Morvan c’est plein de granite,
un rocher qui même bien cuit
reste moins tendre que les frites !
De toute façon en venant
ils avaient oublié les moules,
se sont-ils vengés sur le blanc ?
… Je n’en sais rien … je perds la boule !
En visite à Château-Chinon
nous avons fait la promenade
que faisait un certain tonton,
une belle et longue balade !
Tout en laissant du temps au temps
nous avons visité la ville
aux souvenirs omniprésents
de l’homme à la force tranquille !
En nous rendant à Vézelay,
nous sommes passés par Bazoches
voir un château loin d’être laid :
Vauban n’était pas pour le moche !
Dans le parc assis sur un banc
j’ai bien détaillé la bâtisse,
je n’ai pas dit : « Merde à Vauban ! »
c’eut été de mauvais auspices !
( Le souvenir du grand Léo
est bien ancré dans ma mémoire,
il reste collé à ma peau
de façon presque péremptoire ! )
A la limite du Morvan
à Autun au théâtre antique
nous avons eu un coup de vent
ne venant pas de l’atlantique.
Nous oublierons avec le temps
comme il est écrit dans le livre :
« Autun en emporte le vent » :
les souvenirs on s’en délivre !
Ne rentrez pas en sécession
avec moi je vous en conjure
je vous donne mes plantations
de jeux de mots, je vous l’assure !
Margaret Mitchell nous avait
entraîné dans une tourmente
qui était loin d’être un navet
et pas du bonbon à la menthe !
En passant par le Mont Beuvray
nous sommes allés à Bibracte,
à l’oppidum il faisait frais,
ça soulageait ma cataracte !
Vercingétorix y avait
réuni les tribus gauloises,
qui ne faisaient pas dans leurs brais
et chantaient des chansons grivoises !
Un peu plus tard à Alésia
César leur a mis la pâtée,
en ce temps-là pas de média
pour filmer la déculottée !
A Vézelay Viollet-le-Duc
a restauré la basilique
au grand désespoir des grands-ducs
qui trouvaient les ruines pratiques !
J’ai mis deux cierges sans raison,
juste pour voir, j’aime les flammes,
je suis athée c’est mon blason,
mon seul drapeau, mon oriflamme !
Si j’admire les bâtisseurs
d’églises ou de cathédrales
je sais aussi tous les malheurs
des gueux aux heures féodales !
« Si dieu n’avait pas existé »
comme a écrit jadis Voltaire,
« il aurait fallu l’inventer »
… Ludovine vas-tu te taire !
Le Morvan c’est chouette allez oust,
viens faire un tour, quitte Versailles,
pas de danger que tu trésailles :
il y a des massifs pour tous !
Laisse Versailles à Macron,
c’est le genre de petit home
qu’il adore et pour qui il fond
… le château, pas le Jeu de Paume !
Il prendra le Grand Trianon
pour y installer sa Brigitte,
nous on sortira les bâtons
… pas de bois mais de dynamite !
Tu ne dépareilleras pas :
du rocher et de La Rochère,
ça se marient comme des bas :
le Morvan te siéra ma chère !
C’est le royaume du sapin,
il y en a plein les collines,
c’est d’ailleurs un bon gagne-pain
que l’on s’appelle ou non Corine !
Toutes les années pour Noël
on arrache et on expédie,
un véritable carrousel
merci merci petit Messie !
Sans rouler à tombeau ouvert
on a atteint Quarré-les-Tombes,
des sarcophages très divers
nous attendaient depuis des plombes !
Nécropole ou bien entrepôt
cela reste des hypothèses,
les historiens à ce propos
restent le cul entre deux chaises !
J’en aurais bien pris un pour moi
mais j’ai eu peur que l’on m’engueule,
pour mon enterrement ma foi
cela aurait eu de la gueule !
Je vois la tête des porteurs :
au lieu du sapin de la pierre !
Pour leurs dos un sacré malheur,
de quoi maudire tous les Pierre !
Et pas question de crémation
la pierre ne brûle pas vite,
c’est huit heures de combustion
pour que le calcaire s’effrite !
Alors bonjour la pollution
c’est très mauvais pour la planète
mais … qu’ouïs-je ? Faites attention !
Qui a craqué une allumette ?
Je ne suis pas encore fou
mais un jour ça viendra peut-être,
en attendant de moi à vous
j’ai encore toute ma tête !
Moralité philosophique … bien cuisinée ?
A trop cultiver le sérieux
on oublie tout à fait de rire,
on prend un sacré coup de vieux
et l’on s’éteint comme un lampyre !
Alors rillons encore un peu,
mijotons la bonne cuisine
des jeux de mots en maître queux
il ne faut pas que l’on lésine !
Et tant mieux si la sauce prend,
mieux vaut qu’ell’ ne soit trop grasse
mais si ell’ l’est de temps en temps
ne m’en veuillez pas trop de grâce !
Les coincés, les collets montés,
n’ont qu’à continuer leur route,
ils me trouvent trop effronté
et bien tant pis moi j’en rajoute !
Vous conviendrez que j’aurais pu
cuisiner d’autres rimes en « route »
je sais faire, j’y suis rompu :
j’aime beaucoup les doubles routes !
Bon prince je m’arrête ici
pour ceux n’aimant pas les épices,
pour les autres pas de souci,
ce n’est qu’un petit armistice !
Soyons fiers d’avoir hérité
de Rabelais, la truculence
et gardons cette faculté
de se moquer des idées rances !
Gloire à Alcofribas Nasier
qui a défié dans ses ouvrages
l’ordre bien pensant des curés
la faculté était en rage !
Religion et rigidité
vont de pair, c’est un héritage,
l’intégrisme et la charité
n’ont jamais fait très bon ménage !
Je respecte les religions
qui ne sont pas hégémoniques
et qui n’ont pas la prétention
de régenter la politique !
Elles sont rares car hélas
des individus s’en emparent
pour, aux quatre coins de l’atlas,
assouvir leurs rêves barbares.
Si l’on remonte dans le temps
l’actuelle église catholique
et ses croisades en orient
en sont un exemple typique.
En ajoutant l’inquisition,
- allons faisons bonne mesure ! -
où sont les méchants et les bons
… à vous la charge de conclure !
Les Sirènes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !
Aujourd’hui :
Les Sirènes et Ulysse
Les Sirènes
Dans le douzième chant de l’Audi C (stéréo ), alors qu'Ulysse ( il se l’était rasé ) et ses compagnons s'apprêtent a quitter l'île de la magicienne Circé (Pompes) celle-ci les prévient que non loin, des monstres féminins charment les marins qui pissent comm’ je pleure pour les femmes de Fidèle qui se casse trop souvent et qui les délaisse comme des chiennes, les attirants sur les récifs sur lesquels ils meurent dans le naufrage de leur navire. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé au PS quand il a succombé au chant de la sirène Ségolaina royalos qui portait toujours un pull en cachemire offert par Lang de chèvre qui était dans les guignols et qui en reste toujours un.
COMMENT LES SIRENES SONT DEVENUES SIRENES :
Filles du fleuve Achéloos et de la Nymphe Melpomène (ou filles du dieu marin Phorcys qui avait déposé le bilan en Belgique), les Sirènes auraient été transformées en monstres par Déméter, minée à cette époque, furieuse qu'elles aient laissé le dieu des Enfers Hadès enlever sa fille Perséphone et ses cartes de crédit, alors que Zeus leur avait donné des ailes pour sauver Perséphone.
Très fières de leurs voix, au 2ème tour, de leurs talents de musiciennes, Les Sirènes osèrent, un jour, défier les Muses ( celles qui avaient des cornes )
Celles-ci, les privèrent de certaines plumes ( notamment celles qu’elles avaient de planté dans le c - -, car elles faisaient aussi le Lido le soir ) ce qui les rendit inaptes au vol, contrairement à Madoff et à bien d’autres, et les exilèrent sur des rochers, au sud de l'Italie, aussitôt recueillies par Berlusconi.
D’autres auteurs, surtout Rotpierros, affirment qu’elles sont devenues Sirènes à causse du fait qu’elles faisaient beaucoup de gâteries aux pompiers de l’époque qui avaient tous pompier bon œil !
Leucosia (« Blanche »), Ligeia (« Mélodieuse »),
Parthénope (« Visage de jeune fille »),
Peisinoé (« Persuasive »), Agtaopé (« Beau visage »), Aglaophonos (« Belle voix »), Molpé (« Mélopée »), Thelxiopé (« Persuasive »), Têtes (« Parfaite ») Carlaguitara (« Celle qui a de belles guitares ») Cristinalagardia («L’emberlificoteuse »)
LE CHARME DES SIRENES EST TROP FORT POUR ULYSSE:
Même pour un personnage de la trempe d'Ulysse, il est impossible de résister aux fascinantes mélopées. Le héros devient comme fou, tente de briser les chaînes qui le retiennent au mat et adresse des regards suppliants à ses marins qui mangeaient des frites et puis des moules et buvaient du vin de Moselle, pour qu'ils le laissent aller vers celles qui chantent si merveilleusement. Conscients du péril qui les guette, les compagnons d'Ulysse leurs oreilles bouchées, serrent les fesses et ne font que resserrer ses chaînes en réponse à ses mouvements et à ses regards désespérés. Ils rament vigoureusement et le navire s'éloigne du danger.
C’est exactement se que n’à pas réussi à faire l’entourage du petit Nicolas quand il s’est laissé séduire par la sirène Carlaguitara qui ne serrait jamais les fesses mais les montrait volontiers et que j'ai cité plus haut.
Ulysse est sauf, mais épuisé. La prochaine étape de son voyage sera consacrée à la recherche de l'âme du devin mort Tirésias, afin qu'elle le conseille sur son retour au royaume d'Ithaque en 2012.
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Perséphone ou Proserpine : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Aujourd’hui :
Image du net : enlèvement de Perséphone par Hadès
Perséphone pour les grecs
Proserpine pour les romains
D'une grande beauté, Perséphone fut élevée en secret en Sicile par sa mère et Silvio Berlusconi qui était déjà dans la Mafia à l’époque.
Perséphone semble avoir finalement accepté son rôle de déesse des Enfers car, dans les légendes, elle agit toujours en accord avec son époux. Assise à côté du trône, elle tient un flambeau ou parfois un pavot et un peu d’opium dont les vertus soporifiques symbolisent le sommeil annuel de la Nature et elle se montre sévère et inflexible.
Toutefois elle tomba amoureuse d'Adonis ( qu’elle avait élevé : belle moralité ! ) qui du lui aussi partager son temps entre la Terre et les Enfers en prenant tous les jours la ligne 13 du métro et en changeant à Nation.
Plus tard elle fut séduite par Zeus qui s'était transformé en serpent à sonnettes et donna naissance à Zagréus, un garçon qui naquit avec une queue et des grelots, ce qui, somme toute, reste assez courant, sauf que les siens sonnaient tout le temps, ce qui est assez énervant à la fin !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Agamemnon : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Aujourd’hui,
Agamemnon
Fils d'Atrée (de là le nom d'Atride qu'on lui donne fréquemment ainsi qu'à son frère Ménélas Omaleur ) et d'Aéropé, selon Homère, Agamemnon qu’un autre, est le roi légendaire de Mycènes dans l’Yonne.
Parfois Agamemnon apparaît comme le fils de Plisthène, fils d'Atrés.
Agamemnon tua Tantale, qu’il soupçonnait d’être tantouze, fils de son oncle Thyeste, et époux de Clytemnestre.
Clytemnestre était la fille de Tyndare (elle le tenait très fermement) roi de Sparte et de Léeda, qui avait une Lada, et donc la demi-sœur Hélène et les garçons, de Castor et Pollux. Agamemnon l'épousa et ils eurent plusieurs enfants dont Electre, Ségolène, Iphigénie sans bouillir, Martine et Oreste.
Agamemnon était un roi puissant, surnommé le "roi des rois" et reconnu par ses pairs d'ailleurs n'avait il pas comme symbole de la toute puissance le sceptre d'ivoire et carré fabriqué par Héphaïstos pour Zeus qui l'avait confié à Hermès qui à son tour l'avait donné à Pélops, le grand-père d'Agamemnon? Le fameux sceptre d’ivoire est actuellement détenu par Gilbert Montagné qui espère retrouver la vue grâce à lui.
C'est lui, Agamemnon, qui organisa l'expédition punitive contre Troie et il fournit 100 navires dont 20 sous-marins et 2 porte-avions mais le chef suprême des Grecs fut retenu à Aulis par une grève des dockers et par des vents contraires car il avait offensé Artémis France tandis que Laverdure et Genevièvre du fond tenait bon, soit pour avoir tué une biche consacrée à la déesse, soit pour s'être vanter d'être meilleur chasseur qu'elle.
Sur les conseils du devin Calchas, il immola sa propre fille, Iphigénie sans bouillir, pour apaiser Artémis malgré l'opposition d'Achille Talon. Clytemnestre irritée par ce sacrifice jura de se venger et noua pendant la guerre de Troie une liaison adultère avec Egisthe, Bill Clinton et Dominique Strauss-Kahn.
Lors de la dixième année de la guerre de Troie, Agamemnon et Achille ramenèrent deux captives d'une expédition contre une cité voisine: Briséis fille du prêtre Brisès les noix et Chryséis, fille du prêtre d'Apollon, Chrysès. Briséis fut attribuée à Achille, et Chryséis à Agamemnon. Chrysès n'ayant pu racheter sa fille, Apollon courroucé envoya la peste Ségolène sur le camp grec et elle y foutut un joli bordel. Calchas le devin révéla qu'il fallait rendre Chryséis pour satisfaire le dieu en colère. Agamemnon y consentit mais exigea en tant que chef, la captive Briséis.
Les deux hérauts d'Agamemnon, Talthybios de carte mère et Eurybates Man vinrent chercher Briséis et Achile obéit à contrecoeur mais refusa désormais de combattre Marine Le Pen et son père, le vieux roi du F Haine.
Après un voyage pénible et deux tentatives infructueuses de débarquement au cap Malée, puis à la pointe de l'Argolide, Agamemnon accompagné de son esclave et concubine Cassandre, qui ne cassait rien, revint finalement dans son palais de Mycènes dans l’Yonne. Cassandre qui était prophétesse et avait de belles fesses, U bot ( y avait des sous-marins dans l'coup , rappalez-vous ! ) annoncer les pires malheurs, le roi ne la crut pas et ne prit aucune précaution et lui refila le Sida … si !
Clytemnestre et son amant Egisthe décidés à se venger et établirent un plan pour les assassiner; les uns disent au milieu du repas donné le jour de leur arrivée, les autres disent au sortir du bain. Clytemnestre lui présenta une tunique sans trou ( et si tu niques sans trou, tu n’arrives à rien comme disaient les Nazis … si ! ) et profitant de son embarras quand il engagea la tête, Egisthe l'assassina froidement à chaud. Selon d'autres auteurs comme Eschyle c'est Clytemnestre qui tua son époux et sa concubine de ses propres mains, sans haine aucune, mais fermement.
Oreste, son fils, le vengera. … J’aurais pu écrire « Au reste, son fils, le vengera » ce qui n’aurait pas changé grand chose car je sais que vous vous en fichez autant que de votre première galipette !
Voici, voilà ce que vous deviez savoir sur Agamemnon… non de non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Perséphone ou Proserpine : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Perséphone pour les grecs
Proserpine pour les romains
Perséphone ( et ses cartes de crédit : je vous l’avais déjà dit ! ) ou Proserpine ( sans commentaires ! ) était la fille de Zeus et de Démèter Minée ou selon d'autres sources la fille de Zeus et de Styx Alèvres.
On l'appelait aussi Coré ou Cora c'est à dire la "jeune fille" qui travaille (qui travaillait au Cora du coin comme caissière et qui avait failli être virée pour avoir récupéré un bon d’achat qu’un client avait oublié !)
Elle formait avec Démèter le groupe des "grandes déesses" qui avaient autant d’ ID que les Dauphines. Elles étaient adorées à Eleusis.
Elle épousa Hadès à l’insu son plein gré et devint la reine des Enfers et de l’E.P.O.
D'une grande beauté, Perséphone fut élevée en secret en Sicile par sa mère et Silvio Berlusconi qui était déjà dans la Mafia à l’époque. Elle perdit très tôt son pucelage : il ne faut pas rester à portée de main du Silvio, pas plus que de DSK d’ailleurs !
Mais Hadès l'aperçut, il décida d'en faire sa reine des Enfers et de l'enlever avec la tacite complicité de Zeus et de Silvio (ça magouillait déjà beaucoup à l’époque !)
L'enlèvement de Proserpine
Alors qu'elle était en train de cueillir des narcisses un peu à l'écart de ses compagnes dans la plaine d'Enna (Sicile), avec Alain Jupé, Laurent Fabius, Dominique de Vil Pin (des anciens de l’Enna) la Terre s'ouvrit et Hadès en surgit sur son char Leclerc tiré par ses magnifiques chevaux bleu nuit et un moteur double turbo de 622 CV, 3 ânes et 2 mulets.
Déméter la chercha partout sur la terre pendant neuf jours et neuf nuits puis déchaîna une terrible famine (Je rappelle à ceux qui ne suivent que d’une oreille distraite mes cours, que Déméter était la déesses de la Terre-Mère et qu’elle régnait sur toutes les récoltes y compris celle des pièces jaunes du couple Bernadette Chirac et David Douillet qui visait déjà le ministère des sports !
Hélios qui voit tout lui révéla finalement que si elle n'était pas sur Terre il se pourrait bien qu'elle fût aux Enfers. Mais Hadès refusa de la restituer. Alors Démèter quitta l'Olympe et cessa de faire fructifier la terre.
Zeus fut alors obligé de tenter une conciliation et conseilla à son frère de rendre Perséphone à sa mère avant que la terre entière ne soit complètement morte de faim.
Il envoya Hermès avec son sac à main porter le message à Hadès. Ce dernier fut d'accord à condition qu'elle n'ait pas encore goûté de la nourriture des Morts, pions ou profs.
Et comme Perséphone affirmait qu'elle n'avait rien mangé depuis son enlèvement, Hadès, contraint de dissimuler son dépit, la renvoya vers sa mère.
Les larmes de Démèter cessèrent de couler. Mais juste au moment où Perséphone se mettait en route pour Eleusis, un des jardiniers d'Hadès, du nom d'Ascalaphos Septique témoigna qu'il l'avait vu cueillir une grenade, en manger sept grains, et la balancer sur le char Leclerc d’Hadès dont une chenille sauta alors que l’autre redémarra ce qui fut à l’origine de la célèbre chanson « c’est la chenille qui redémarre » ! … Si !
Ascalaphos regretta amèrement ses paroles puisque Démèter le changea en chouette ou le bloqua sous une pierre avec rotpier, ce qui ne fut pas chouette.
Perséphone avait mangé la nourriture des Enfers; elle devait y rester. Toutefois Zeus proposa à Perséphone (avec l’accord de l’O.N.U) de passer six mois de l'année aux Enfers et six mois sur la Terre (la proportion est variable selon les auteurs) reproduisant ainsi le cycle des saisons, été et hiver.
Perséphone semble avoir finalement accepté son rôle de déesse des Enfers car, dans les légendes, elle agit toujours en accord avec son époux. Assise à côté du trône, elle tient un flambeau ou parfois un pavot et un peu d’opium dont les vertus soporifiques symbolisent le sommeil annuel de la Nature et elle se montre sévère et inflexible.
Toutefois elle tomba amoureuse d'Adonis ( qu’elle avait élevé : belle moralité ! ) qui du lui aussi partager son temps entre la Terre et les Enfers en prenant tous les jours la ligne 13 du métro et en changeant à Nation.
Plus tard elle fut séduite par Zeus qui s'était transformé en serpent à sonnettes et donna naissance à Zagréus, un garçon qui naquit avec une queue et des grelots, ce qui, somme toute, reste assez courant, sauf que les siens sonnaient tout le temps, ce qui est assez énervant à la fin, sauf pour les filles taquines qui aimaient bien les tripoter !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !
Les sirènes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !
Aujourd'hui :
Image du net
Les Sirènes
Dans le douzième chant de l’Audi C (stéréo ), alors qu'Ulysse (il se l’était rasé ) et ses compagnons s'apprêtent a quitter l'île de la magicienne Circé pompes, celle-ci les prévient que non loin, des monstres féminins charment les marins qui pissent comm’ je pleure sur les femmes de infidèles les attirants sanguinaires sur les récifs sur lesquels ils meurent dans le naufrage de leur navire, tout comme le capitaine du Concordia.
COMMENT LES SIRENES SONT DEVENUES SIRENES :
Filles du fleuve Achéloos et de la Nymphe Melpomène à pied (ou filles du dieu marin Phorcys), les Sirènes auraient été transformées en monstres par Déméter , minée à cette époque, furieuse qu'elles aient laissé le dieu des Enfers Hadès enlever sa fille Perséphone et ses cartes de crédit, alors que Zeus leur avait donné des ailes pour sauver Perséphone .
Très fières de leurs voix, au 1er tour, de leurs talents de musiciennes, Les Sirènes osèrent, un jour, défier les Muses (celles qui avaient des cornes ) Celles-ci, les privèrent de certaines plumes (notamment celles qu’elles avaient de planté dans le c - -, car elles faisaient aussi le Lido le soir ) ce qui les rendit inaptes au vol, contrairement à Madoff et à bien d’autres, et les exilèrent sur des rochers, au sud de l'Italie, aussitôt recueillies par Berlusconi qui s’en tapait trois par jour car à cette époque là, il était très en forme.
D’autres auteurs, surtout Rotpierros le Magnifique affirment qu’elles sont devenues sirènes à causse du fait qu’elles faisaient beaucoup de gâteries aux pompiers de l’époque qui avaient tous pompier bon œil et la lance toujours prête !
Leur nombre varie selon les récits et leurs noms évoquent le charme et la beauté :
Thelxiépia (« Enchanteresse »), Himéropa (« Douce »), Leucosia (« Blanche »), Ligeia (« Mélodieuse »), Parthénope (« Visage de jeune fille »), Peisinoé (« Persuasive »), Agtaopé (« Beau visage »), Aglaophonos (« Belle voix »), Molpé (« Mélopée »), Thelxiopé (« Persuasive »), Têtes (« Parfaite ») Carlaguitara (« Celle qui a de belles guitares ») Nadinamoranota («La belle cireuse de pompes »)
LE CHARME DES SIRENES EST TROP FORT POUR ULYSSE :
l
Image du net
Même pour un personnage de la trempe d'Ulysse , il est impossible de résister aux fascinantes mélopées. Le héros devient comme fou, tente de briser les chaînes qui le retiennent au mat et adresse des regards suppliants à ses marins qui mangeaient des frites et puis des moules et buvaient du vin de Moselle, pour qu'ils le laissent aller vers celles qui chantent si merveilleusement. Conscients du péril qui les guette, les compagnons d'Ulysse gardent leurs oreilles bouchées, serrent les fesses et ne font que resserrer ses chaînes en réponse à ses mouvements et à ses regards désespérés. Ils rament vigoureusement en chantant « La petite Huguette » à tue tête et le navire s'éloigne du danger.
C’est exactement se que n’à pas réussi à faire l’entourage du petit Nicolas quand il s’est laissé séduire par la sirène Carlaguitara qui séduisait tous les mecs qui passaient à sa portée, marins ou pas.
Ulysse est sauf, mais épuisé. La prochaine étape de son voyage sera consacrée à la recherche de l'âme du devin mort Tirésias, afin qu’ il le conseille sur son retour aux affaires en 2012.
Voici, voila ce que vous deviez savoir sur les sirènes qui n’avaient pas toutes un roi selon moi.
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !