Les haïkus-maux du jour :
Avertissement aux nouveaux lecteurs :
Définition du haïku selon Rotpier (qui n’engage que lui !) :
Le haïku est un concentré de poésie obtenu par déshydratation du superflu. Pour peu que le lecteur verse dessus, une perle de paupière, une goutte de sueur ou encore la fraîcheur d’un éclat de rire, il déborde en tous sens.
Nota : Haïku se prononce en français : « aiku » sans liaison. Exemple :
dans l’expression « un haïku », on prononce « aiku » et non « naiku »
J’ai rarement le haïku triste.
J’ai souvent le haïku leste
mais je ne l’ai jamais pompeux !
On a, après tout, que le haïku qu’on peut,
c’est tout !
Les haïkus-maux du jour :
En bord de canal
des taupinières géantes
faisant la morale
Squelettes tout blancs
panne de congélateur
presque plus de glace
Un trou tout en haut
puis un autre tout en bas
enfer mérité
Où mes haïkus vous ont-ils conduit ? … clic ! un petit commentaire !
Le dicton - poème du jour selon Rotpier !
Le dicton - poème du jour selon Rotpier !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
Si ta femme ou ta petite amie
est très dure avec toi,
si elle te mène une sale vie :
aujourd’hui, venge-toi !
Pour se défouler, il n’est jamais trop tard,
rends-lui ce que tu endures :
à la Saint Edouard
bats la dure !
Et pis c’est tout !
Des souris et des hommes

Des souris et des hommes,
Quand sa main emprisonne
mes intimes rondeurs,
mon esprit déraisonne :
je n’ai plus de pudeur !
La chaleur de sa paume
me donne des frissons,
il se conduit en môme
curieux et polisson !
En soumise maîtresse
j’obéis à ses doigts :
je fonds sous ses caresses
et je subis sa loi !
Je ne suis qu’une esclave :
je ne peux m’affranchir,
je vis dans son enclave
selon son bon plaisir !
Tout cela vous épate,
mais sachez qu’il me tient :
j’ai un fil à la patte,
je ne suis que son bien !
Il me faut me soumettre :
c’est un dominateur !
Ce n’est pas drôle d’être
… souris d’ordinateur !
Les enfants de Don Quichotte vus par Rotpier !

La pensée-question-réponse-réflexion du jour :
Les enfants de Don Quichotte, partant à l’assaut des moulins à paroles politiques, gagneront-ils ?
Possible, mais ce n’est pas dans la manche !
Ce sera une chevauchée servant test.
Moi, je dis qu’ils gagneront !
Nota :
Je garderais précieusement ce billet pour pouvoir dire un jour : voilà ce que, à l’époque, le Rotpier au sang chaud, pensa.
Un ami, qui avait parié le contraire avec moi, perdit : il me dut le ciné: nous avions parié une place !
Rotpier
Les voeux de Rotpier ou de ... Pierre: c'est comme vous le voulez !


Très bonne année à tous !
- Aux habitués de ce blog que je remercie beaucoup pour leur fidélité.
- Aux passagers éphémères (disciples d’Oedipe) mais assez réguliers et qui sont les bienvenus s’ils veulent rejoindre le cercle des précédents.
- Aux futurs visiteurs qui remonteront peut-être jusqu’à ce billet ou bien qui ne le verront jamais !
- Aux amis qui m’ont procuré (sans être forcément croyants) d’autres amis très souvent fauchés : les amis donnés sont souvent raides !*
*Avec, paradoxalement (des fois proprement) et dans un sens seulement, les bourses plates.
Bref :
Très bonne année à tout le monde.
Que Saint Internet
vous apporte divertissement et bonheur !
Allez en paix mes frères et mes sœurs,
les yeux rivés vers la lueur
intense de votre écran d’ordinateur !
Les haïkus du jour ... selon Rotpier
Avertissement aux nouveaux lecteurs :
Définition du haïku selon Rotpier (qui n’engage que lui !) :
Le haïku est un concentré de poésie obtenu par déshydratation du superflu. Pour peu que le lecteur verse dessus, une perle de paupière, une goutte de sueur ou encore la fraîcheur d’un éclat de rire, il déborde en tous sens.
Nota : Haïku se prononce en français : « aiku » sans liaison. Exemple :
dans l’expression « un haïku », on prononce « aiku » et non « naiku »
J’ai rarement le haïku triste.
J’ai souvent le haïku leste
mais je ne l’ai jamais pompeux !
On a, après tout, que le haïku qu’on peut,
c’est tout !
Les haïkus du jour :
Ils se haïssaient
ce qui les a conduits à
faire chanvre à part
Tressée avec soin
ne manquant jamais son coup
fiable à sang pour sang
Où mes haïkus vous ont-ils conduit ? … clic ! un petit commentaire !
De Sainte Anne ou dailleurs
De Sainte Anne ou d’ailleurs …
Tout homme a dans sa tête un fou qui sommeille.
Le jeu consiste à ne pas trop le réveiller.
C’est pas ma faute si je suis là.
C’est pas ma faute si j’en suis là.
Toute la ville chante en moi,
- bien au-delà du cours Ribaux -
ce qui est rare et qui dénote
que le temps va se mettre au beau !
Très au-dessus, par leurs fréquences,
du chant de fond de la cité,
elles ne sont que conséquence,
qu’un écho du monde agité !
Certaines fois j’ai de la chance,
elles arrivent jusqu’ici !
Alors moi je chante et je danse :
je suis comblé, je suis ravi !
J’adore le chant des sirènes
- je suis un fou : je le sais bien ! -
à chaque fois ils me reprennent
quand je les déclenche pour rien !
- bien au-delà du cours Ribaux -
je n’irais plus où ça clignote :
derrière ils ont mis des barreaux !
Et je m’en fiche et je m’en moque,
toute la ville chante en moi !
Ils ont beau dire « il est sinoque ! »
je garde tout : c’est bien mon droit !
J’adore le chant des sirènes,
il n’est jamais a cappella :
dans ma tête tout se déchaîne
et la lala et la lala !
Pile-poil, je me plie, je me poile !
Ainsi s'en va la vie, s'accumule le temps
Les années sont ânées que l'on va supportant
S'il te plaît nouvel an, avant que de partir
Distille tes journées et comble nos désirs.
C’est à partir d’un commentaire sur un poème de mon ami J.C. MIAN ( voir ci-dessus ) que j’ai écrit ce délire !
Pile-poil, je me plie, je me poile !
Année sur années
j’empile les années,
des années surannées
comme un âne bâté.
Et cette pile
que j’empile
m’ horripile
poil- pile !
C’est débile
imbécile
quand je vois cette pile
que j’ empile
et qui devient si fragile !
Le moindre courant d’air
peut tout foutre en l’air
et moi - et moi ! - de quoi aurais-je l’air ?
Et un lutin qui passe
( petit tour de passe-passe
poétique :
je m’applique ! )
me dit :
«T’ en fait pas mon garçon :
tout simplement d’un con ! »
Quoi ! D’un con d’homme !
Qui capote,
Qui rabiote ?
Allez le lutin : dégage !
aux chiottes :
déménage !
J’enrage !
… C’est tout ! Na !
Le dicton - poème du jour selon Rotpier !
Le dicton - poème du jour selon Rotpier !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
A la Saint Jean l’Apôtre,
il serait utopique
- que dis-je ! -
il serait imbécile
de prendre les discours des politiques
pour paroles d’évangile !
Car, n’oublions jamais que :
Les promesses,
surtout en politique,
et qu’elles que soient les grand-messes,
n’engagent que les imprudents
qui les prennent pour argent comptant !
Bien des politiques
vantent leur éthique
mais s’assoient dessus !
Ce faisant,
ils y laissent leurs empreintes
et même le D.D.T. ( même la D.S.T. ? )
ne peut supprimer l'éthique des fesses !
Les haïkus du jour ... selon Rotpier
Avertissement aux nouveaux lecteurs :
Définition du haïku selon Rotpier (qui n’engage que lui !) :
Le haïku est un concentré de poésie obtenu par déshydratation du superflu. Pour peu que le lecteur verse dessus, une perle de paupière, une goutte de sueur ou encore la fraîcheur d’un éclat de rire, il déborde en tous sens.
Nota : Haïku se prononce en français : « aiku » sans liaison. Exemple :
dans l’expression « un haïku », on prononce « aiku » et non « naiku »
J’ai rarement le haïku triste.
J’ai souvent le haïku leste
mais je ne l’ai jamais pompeux !
On a, après tout, que le haïku qu’on peut,
c’est tout !
Les haïkus du jour :
Je suis bancal comme
un haïku entre deux chaises
pas bien dans ma tête.
Trois lettres un point
passeport incontournable
clic révolution
Où mes haïkus vous ont-ils conduit ? … clic ! un petit commentaire !