Les petites ou les grosses conneries ou les pensées du jour de ... Rotpier
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)« Le rire est le propre de l'Homme »
Rabelais ( Pantagruel )Seulement de l’homme ?
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Quelques conneries en vrac :
1ère Connerie :
J’avais un choix de lecture à faire entre la philosophie de Géo Trouvetout et celle de Jéhovah. J’ai opté pour celle de Géo Trouvetout : c’est quand même quelque chose d’infiniment plus sérieux ! Et j’en suis témoin.
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2ème Connerie :
J’avais emmené ma belle-mère voir le tour de France. La caravane est bien passée, mais ils m’ont laissé le chameau !
3éme Connerie :
Le procès de Fillon, suite aux emplois fictifs de sa Pénélope de femme, aura bientôt lieu. J’espère qu’ils vont se faire tailler un beau costume dans les 24 heures, dûment ! J’espère aussi, sans y croire vraiment, qu’ils vont faire un petit tour en tôle ce qui permettrait à Pénélope de s’attaquer à une tapisserie représentant un motif de la Grèce antique, pourquoi pas une déesse à cul lisse ?
4éme Connerie :
Pour protéger les plus démunis du froid, il serait bon de prendre des décrets gouvernementaux ad hoc et réellement appliqués afin que tous ces pauvres gens ne fassent pas tintin comme par le passé, qu’ils viennent ou non du Tibet.
Je propose également que tous les candidats aux prochaines municipales qui auront ramassé une veste la remettent à des organisations caritatives afin qu’elles les redistribuent ce qui assurerait une bonne couverture sociale.
Après avoir exposé ceci, ne pensez-vous pas que je mérite un poste important au Ministère de la santé et de la protection sociale ? Je ne suis pas une buse hein ! Qui pourrait me pistonner auprès d’Agnès ?
5éme Connerie :
Elle l’avait plaqué pour un rugbyman ! Au bout de six mois, elle avait le ballon ( plutôt ovale ! ) et sa ligne avant avait subit une belle transformation ! Preuve qu’il avait dû lui faire une jolie passe dans le dos lors d’une mêlée rapprochée !
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Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !


Femmes chinoises sur le trottoir, le poème du jour : " Marcheuse " de ... Pierre
Préface :
Suite au second rébus de dimanche dernier qui parlait des belles de nuit chinoises de Belleville, je vous propose un poème écrit il y a 11 ans environ.
Vous trouverez, à la suite, un article traitant du sujet si vous ne le connaissez pas.
A ces femmes chinoises qui se prostituent par nécessité vitale
Marcheuses,
Elles sont des centaines
dans sa situation
pour le moins incertaine
soumise à perversion.
C’est leur moyenne d’âge
- la quarantaine et plus ! -
qui surprend au passage,
provocant le hiatus.
Péripatéticienne,
pas d’autre solution,
drôle de paroissienne
dans cette « profession » !
Son pays c’est la chine,
elle y rêve toujours !
Ici, courbant l’échine,
elle vend de l’amour.
Il n’y a plus d’usine
au Dongbei sinistré,
la plupart sont en ruines :
emploi défenestré !
Petit garçon à charge
mais aussi des parents
et plus du tout de marge :
partir en soupirant.
Un visa pour la France
et des petits boulots,
le rêve devient rance,
il est loin le gros lot !
Paris, la belle ville
dont on rêve le soir,
mais aussi Belleville
où l’on fait le trottoir !
Elle est là, elle marche,
recherchant le client,
mais rien dans sa démarche
de vraiment provoquant.
Pas d’allure indécente :
minijupe au rencart,
tout juste une passante
un peu trop à l’écart.
Du trottoir à l’impasse,
de l’hôtel au meublé
à moitié prix la passe,
ça casse le marché !
SIDA en embuscade
et mauvais coups en plus,
juste une aide à ce stade :
celle du Lotus Bus !
Joli nom de programme
balayant le motus,
seul secours pour ces femmes
du pays du lotus !
Et Médecins du Monde
sur un nouveau chantier
sur notre terre ronde
mais là … c’est à nos pieds !
Elle marche et circule,
il faut bien se montrer,
sans un petit pécule
pas question de rentrer.
Avec un peu de chance
… la fin de ce parcours ?
Mais pour l’instant, l’urgence,
c’est de vendre l’amour.
Le Lotus Bus à Belleville (Image: Médecins du Monde)
On les appelle les «marcheuses de Belleville». Elles sont chinoises, entre trente-cinq et cinquante ans, elles ont l’air de se promener et pourtant elle sont prostituées. Originaires du Nord-Est de la Chine, les prostituées chinoises sont apparues sur les trottoirs de Belleville au début des années 2000. Victimes des restructurations de l’industrie et des usines d’Etats, ces anciennes cadres ou employées sont venues en France dans l’espoir d’une vie meilleure.
Avec Marie Debrus, responsable du Lotus Bus, un programme de prévention et d’accès au droit mis en place par Médecins du Monde.
La prostitution des femmes chinoises est un phénomène récent apparu dans les années 2000. « Ce sont les associations qui travaillent dans les rues qui ont commencé à voir des femmes chinoises, ce qui était plutôt inhabituel jusqu’alors » explique Marie Debrus. Mais elles ne ressemblent en rien aux autres prostituées parisiennes. Plutôt discrètes, elles arpentent les trottoirs et n’ont pas de souteneur. Ces femmes, entre trente-cinq et cinquante ans, sont pour la plupart originaires du Dongbei, la région du Nord-Est sinistrée après les restructurations et les fermetures d’usines d’état. Elles sont venues en France, souvent avec un visa touriste ou d’affaires, pensant travailler sur place ignorant les difficultés administratives. Elles se retrouvent alors dans la rue, souvent après l’échec de petits boulots effectués chez les Chinois, comme la garde d’enfants par exemple. Une fois dans la rue, ces femmes sont des proies faciles pour différents réseaux, sujettes aux violences de la rue, des clients mais aussi de la police.
Afin de venir en aide à ces « marcheuses », Médecins du Monde a mis en place la mission [bLotus Bus[/b] en 2004, qui allie travail de rue (distribution de préservatifs, prise de contact, prévention), permanences en chinois au Centre d’accueil avec des ateliers de discussion (autour des accès aux soins, des droits, de la santé) et accompagnement physiques des personnes dans leurs démarches administratives. Si l’institution est aujourd’hui bien connue des Chinoises, gagner leur confiance n’est pourtant pas si facile. « Ces femmes vivent toutes dans une peur permanente ».
Quel est l’avenir pour ces femmes ? « Beaucoup souhaitent repartir mais l’urgence aujourd’hui est de gagner leur vie » explique Marie Debrus.
Auteur: Marion Zipfel
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus très court et purement normand qui ne va sûrement pas vous prendre les tripes encore que ...
Réponse :
A une époque, les tripes étaient à la mode. A la mode d’accord, mais à la mode de quand exactement : là est la question !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez long qui vous donnera peut-être le virus de ce genre d'exercice !
Allez, au boulot !
Quand vous aurez terminé, j'espère que vous ne rirez pas jaune et que vous m'aiderez à mettre en place une cagnotte en ligne pour aider ces pauvres trimardeuses du bitume ! 😊
Réponse :
Prendre à bras le corps le problème du coronavirus c’est très bien. Mais, qui va s’occuper du problème du manque à gagner des belles de nuit chinoises de Belleville ? Sûrement pas Castaner ni Buzyn !
Léo Ferré: "Les temps sont difficiles" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Léo Ferré :
« Les temps sont difficiles »
Une belle tranche d’années 60 !
Les temps difficiles,
On a retrouvé chez leur coiffeuse,
La censure et une religieuse
Qui se tapait à grands coups de ciseaux
Un bourgeois nommé Diderot
En ces temps difficiles...
Mais, allez donc savoir pourquoi,
Lui, qui pourtant n'y toucha pas,
Savez-vous ce qui arriva?
Ce fut Malraux qui dégueula
Les temps sont difficiles...
Dix centimètres au-dessus du genou
Avec une taille en dessous du cou
Des yeux Chagal, un teint de neige
Pour se les farcir, faut du Courrèges
Les temps sont difficiles...
Vingt centimètres en dessous du cou
Ça se lave chaque fois que sortent les loups
Si t'en a marre de bouffer des briques
Dimanche je t'emmènerai en Beat-nique
Les temps sont difficiles...
Avant de faire la pause-café
Tu boufferas tes pois compensés
Avec un geste de Zitron
Balayant les informacons
En ces temps difficiles...
Et comme dirait Jean-Louis Barreau
Qui a pris Shakespeare pour Ionesco
Le Rhinocéros, c'est bien plus bath
Avec du concentré de tomate...
Les temps sont difficiles...
Que souffle ou non le vent d'autan
Autant dire qu'on aura plus le temps
De se taper les Ricains, d'autant
Plus qu'il n'y aura plus d'OTAN
En ces temps difficiles...
Au fond, tout ça c'est subalterne
Quant il y a qu'un seul mec qui gouverne
Il met, pour voir ses balivernes,
Les députés à la lanterne...
Les temps sont difficiles...
Un général, au fond, c'est un
Conscrit qui serait devenu quelqu'un
Avec l'aide de feuilles de chêne
De dieu et de quelques policemen
En des temps difficiles...
Et comme on dit, je ne sais plus où
Un général ça meurt debout
Si seulement ça mourait couché
Je vois pas pourquoi j'irais râler
Les temps sont difficiles...
Ce siècle avait soixante-trois ans
Washington devenait Texan
Déjà, au seuil de l'après midi
Johnson perçait sous Kennedy
En des temps difficiles...
Et comme Johnson est un brave zigue
Un démocrate que rien ne fatigue
Il s'est engagé au Vietnam
Pour faire un job à Bob Dylan
Les temps sont difficiles...
Prévert disait qu'il était dur
Le vacarme que fait l'oeuf dur
Qu'on tapote sur le comptoir
Quant on a faim, matin et soir
Par les temps difficiles
Mais maintenant que ton bistro
Est passé par la SFIO
On n'entend plus les pauvres manger
Ça ne fait pas de bruit un oeuf Mollet
Les temps sont difficiles...
Aujourd'hui, tout est dans la poche
Les sous-marins, les livres de poche
La culture et le transistor,
Mireille Mathieu et l'UN(o)R
Les temps sont difficiles...
Demain, tu l'auras dans le baba
En dix dix-huit, on te fera ça
Députassier ou électeur
Tu auras ta culture dans le baigneur
Les temps sont difficiles...
Si je vous disais que c'est déguelasse
Passer les Viets au passe à l'as
Et que les Ricains sont des fumiers
Vous me diriez que je suis engagé
En ces temps ridicules
Alors, je retourne chez ma maman
Pour redevenir un petit enfant
Et passer de l'être au néant
Afin de lui laisser tout le temps
D'avaler la pilule...
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)« Le rire est le propre de l'Homme »
Rabelais ( Pantagruel )Seulement de l’homme ?
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Quelques conneries en vrac :
1ère Connerie :
Après de longues recherches, j’affirme que :
Les Cyclopes n’avaient qu’un œil, mais six bouches ! Ce qui les rendaient experts en roulage de pelle ( Comme Castaner ), mais aussi, hélas, très gros fumeurs ! ………… Si, c’est vrai !
Dans quel Etna il est le Rotpier !
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2ème Connerie :
J’ai bien connu un mec qui avait une maîtrise d’arts appliqués ( il pratiquait aussi avec maîtrise le dard appliqué !) Les filles étaient toutes folles de lui et de ses cours particuliers !
Sa 1ère devise était : " Qui aime bien, chatte y vient ! "
Il avait passé sa maîtrise à la Sorbonne, d’où le principe de sa 2ème devise : " Si tu la sors bonne, c’est qu’elle peut encore servir ! "
C’était un sacré gaillard qui travaillait fort dard !
3éme Connerie :
On associe toujours « Guerre et paix » à Tolstoï. La plupart des gens savent de quoi il retourne mais il y en a quelques uns qui croient que Tolstoï était un cuisinier qui servait des steaks tartares très fins.
4éme Connerie :
Les aficionados d’Anne Hidalgo la surnomme « Notre dame de Paris ». J’espère pour eux qu’ils ne s’en brûleront pas les doigts ou les salsifis, ce qui est quasimodo pareil !
4éme Connerie :
Certains pratiquent la méthode Coué (du bon vieil Emile ! … appelée aussi la méthode à Mimile ! ). Pour moi, cela ne marche pas, alors je pratique la méthode « Secoué » : je me bourre le pif et là, ça va beaucoup mieux !
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Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !


Le poème déjanté du jour : " Le périple fou du grand gourou de Kourou, " de ... Rotpier
Images du net bidouillées par le Rotpier
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Le périple fou du grand gourou de Kourou,
Dans une cabane en bambou
bordée par le trouble Kourou
vivait un singulier gourou
qui possédait un vieux coucou.
Un coucou suisse et un toutou
venu tout droit de Tombouctou
qui ne mangeait que du mérou
frit à la poêle et au saindoux.
Sa compagne avait les seins doux
et possédait un gros matou
qui se cognait un peu partout
en faisant de vilains miaous.
Il n’avait plus de dent du tout
obligé de manger du mou
avec de la pâtée de choux
ça le rendait aux trois quarts fou.
Je parle du chat voyez-vous
et en aucun cas du gourou
je le précise pour le coup
où du cerveau vous seriez mous.
Donc revenons-en voulez-vous
à ce personnage un peu flou
pratiquant aussi le vaudou
et un tantinet marabout.
En fait c’était un touche à tout
y compris aux seins doux pas mou
de sa belle et tendre doudou
qu’il couvrait d’or et de bisous.
Ce qui le mettait en courroux
c’était les fusées de Kourou
qui décollaient dans un bruit fou
et faisaient peur à sa doudou.
Ça rendait fou le gros matou
ça décrochait le vieux coucou
le clebs se planquait n’importe où
même lui tremblait des genoux.
Un jour il décida d’un coup
de partir avec sa doudou
son chat son clebs et son coucou
pour le pays des kangourous.
Sur un vieux rafiot en bambou
qui ne tenait qu’avec des clous
et qui transportait du cachou
il arriva quand même au bout.
Aussitôt ce fut la folie
une véritable hystérie
les gens cherchaient sa compagnie
une arrivée très réussie.
Et en moins d’une décennie
il bondit en catégorie
et devint sans forfanterie
le plus grand gourou d’Australie.
Tout le monde fut dans sa poche
les très vieux mais aussi les mioches
une fille infiniment moche
voulait lui rouler des galoches !
Sa doudou qui n’était pas cloche
lui dit : « dégage ou je t’embroche ! »
tout en lui filant des taloches
et des grands coups sur la caboche !
On venait le voir de partout
même un sorcier de Tombouctou
un soir lui troqua son coucou
contre un couple de vieux hiboux.
Dans ses poches il planquait ses sous
quand ça débordait de partout
il en donnait à sa doudou
pour acheter de beaux dessous.
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Et elle lui sautait au cou
elle n’avait plus peur du tout
des fusées partant de Kourou
et lui faisait des gros bisous.
Il avait conquis une aura
qui arriva à Canberra
par le truchement d’un para
qu’il avait guérit d’un zona.
Du coup la Mafia s’en mêla
je veux dire la ‘Ndrangheta
elle se nomme comme ça
en Australie voilà voilà.
Elle voulu l’obliger à
vendre de la marijuana
aux petits rats de l’opéra
de Sydney mais il refusa.
Du coup il reprit son barda
et embarqua pour Calcutta
avec son chien et sa nana
et un nouveau chat angora.
Les vieux hiboux il les troqua
contre un baril de tequila
trente cigares de Cuba
et un splendide harmonica.
En arrivant à Calcutta
il croisa Mère Teresa
revenant de l’orphelinat
à petits pas à petits pas.
C’est à partir de ce jour-là
que le grand gourou s’éclipsa
personne même le para
ne sut où logeait la smala.
Heureusement car la Mafia
avait mis sur lui un contrat
mais personne ne le trouva
doucement il s’évapora.
Beaucoup plus tard on retrouva
sa trace dans l’Himalaya
dans le secteur de Pokhara
dans la maison d’un vieux sherpa.
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On trouva son harmonica
encore en assez bon état
la queue de son chat angora
un bout de cigar’ de Cuba
un petit verre à téquila
un portrait de mère Teresa
une photo de Madona
et une autre de Monica
un portefeuille en kangourou
avec une poche en dessous
contenant outre quelques sous
une capote avec un trou
et une clé pour un coucou
une jolie paire de bas
un petit slip de sa nana
un billet pour le groupa ABBA
et un autre pour l’Alhambra
trois roquettes de bazooka
une parka une chapka
une canette de Coca
un stylo et un agenda
des moustaches de poisson-chat
un roman d’Emile Zola
« Nana » offert par sa nana.
Nul besoin d’être Nestor Burma
pour conclure qu’après tout ça
qu’il était bien passé par là !
Moi seul détiens la vérité
moi seul sait où il est allé
mais j’ai promis craché juré
de ne jamais rien révéler !
Que j’aille tout droit en enfer
qu’on me trucide au revolver
qu’on me pète trois fois le blair
si je trahis ce mec super !
Apostille :
Y a de la vérité en tout
mêm’ dans les récits les plus fous
il suffit de trier le tout
… un point c’est tout un point c’est tout !
Images du net bidouillées par le Rotpier
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus très court et vous n'en subirez pas une, j'en suis certain !
Réponse :
Dans l’ensemble, les défaites sont infiniment moins difficiles à supporter quand ce sont celles des autres.
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus du grand économiste Rotpier qui ne recule devant rien pour servir la France humblement et sans flatulences ... c'était juste pour la rime !
Il est très long, aussi : bon courage !
Allez, au boulot ! Et n'oubliez jamais que le Rotpier ne travestit que très rarement la vérité !
Réponse :
Si, pour doper l’industrie du tourisme, je proposais à nos élus de lancer une politique de grands travelos en votant une loi qu’on appellerait la loi Michou, seriez-vous partant où resteriez-vous mi-chèvre mi-chou?
Image du net !
Jacques Brel: " Jojo " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Jacques Brel »
« Jojo »
Le bel hommage à son copain Georges Pasquier !
Jojo,