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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

30 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

 

Rotpier

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

29 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

rebus 259 (1)rebus 259 (2)rebus 259 (3)

 

  
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

C'est une pensée sérieuse et constatée de Pierre !
1ère ligne, dernière image et en direct : "ch" !
2ème ligne, 2ème image : le petit de la vache !
3ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours "s" !

4ème ligne, dernière image : " - - - " est ce personnage ?

5ème ligne, 1ère image : c'est le symbole de la  "- - - - " !
6ème ligne, 2ème image : Sert au pêcheur pour tromper les poissons carnassiers ! ( l'autre aussi ... si ! ) 

7ème ligne, 3ème image : ce n'est pas le crayon qu'il faut prendre !

8ème ligne, 2ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! 3ème image : début de la prière du muezzin ! Dernière image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !

9ème ligne, 1ère image : le dernier des frères Dalton ! 3ème image : la boisson favorite des rosbifs !

 10ème ligne: dernière image : après avoir tété, le bébé fait son " - - - " !

Dernière ligne, 1ère image : c'est celui affiché ! 2ème image : la suite de l'onomatopée du chanteur Antoine !

 

Et pis c'est tout !

 

Réponse :

J’aime les chevaux parce qu’il y en a peu qui pètent plus haut que leur cul contrairement à la majorité de leurs propriétaires !

 

 

Nota : Les plus chanceux, je parle des chevaux, sont ceux qui appartiennent à des petits propriétaires qui les aiment et les soignent avec attention. 

 

 

 

 

Ça, c’est juste la signature !

 

 

 

 

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Nolwenn Leroy : " Tri Martolod " Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

28 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

« Nolwenn Leroy »
« Tri Martolod »

 

… pour rester encore un peu en Bretagne !

 

 

 

 

 

« Tri martolod yaouank... la la la...
Tri martolod yaouank i vonet da veajiñ (bis)

E vonet da veajiñ, gê!
E vonet da veajiñ (bis)

Gant 'n avel bet kaset... la la la...
Gant 'n avel bet kaset betek an Douar Nevez (bis)

Beteg an Douar Nevez, gê!
Beteg an Douar Nevez (bis)

E-kichen mein ar veilh... la la la...
E-kichen mein ar veilh o deus mouilhet o eorioù (bis)

O deus mouilhet o eorioù, gê!
O deus mouilhet o eorioù (bis)

Hag e-barzh ar veilh-se... la la la...
Hag e-barzh ar veilh-se e oa ur servijourez (bis)

E oa ur servijourez, gê!
E oa ur servijourez (bis)

Hag e c'houlenn ganin... la la la...
Hag e c'houlenn ganin pelec'h 'n eus graet konesañs (bis)

Pelec'h 'n eus graet konesañs, gê!
Pelec'h 'n eus graet konesañs (bis)

E Naoned er marc'had... la la la...
E Naoned er marc'had hor boa choazet ur walenn (bis)

Hor boa choazet ur walenn, gê
Hor boa choazet ur walenn (bis) »

 

 

Si vous peinez un peu pour lire le breton,
je vous le traduis ...

 

Trois jeunes marins tra la la... Trois jeunes marins s’en allant voyager

S’en allant voyager,

S’en allant voyager

Conduits par le vent tra la la... Conduits par le vent jusqu’à Terre Neuve

Jusqu'à Terre Neuve,

jusqu'à Terre Neuve

Près des pierres du moulin, tra la la... Près des pierres du moulin ils ont mouillé l’ancre

Ils ont mouillé l'ancre,

ils ont mouillé l'ancre

Et dans ce moulin, tra la la... Et dans ce moulin il y avait une servante

Il y avait une servante, i

l y avait une servante

Et elle me demande, tra la la... Et elle me demande où nous avions fait connaissance

Où nous avions fait connaissance,

où nous avions fait connaissance

À Nantes au marché, tra la la... À Nantes au marché nous avions choisi un anneau

 

Nous avions choisi un anneau,

nous avions choisi un anneau


 

Bon partage !

 

 

Rotpier


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Alzheimer: le poème du jour: "En désapprenance" ... de ... Pierre

26 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Pour faire écho à dimanche dernier qui était la journée consacrée à la maladie d’Alzheimer … 

 


 

 

Image du net



En désapprenance,

 

Dans son regard … rien que du vide

… même en cherchant … plus un ressort.

Ses yeux, autrefois si limpides,

si pétillants … là, quasi morts.

 

Et il se tient en face d’elle,

la regardant … mains dans les mains,

yeux dans les yeux … plus d’étincelle

… la grande peur du lendemain.

 

Tout au début, rien de bien grave,

dans la mémoire, des petits trous,

pas de quoi en faire un conclave,

quelques oublis de rendez-vous.

 

« Tu te souviens du nom d’Octave ?

Où ai-je mis mon grand fait-tout ?

Tiens, elle est ouverte la cave ?

… J’avais pourtant mis le verrou … ? »

 

Et puis un jour en promenade,

plus d’une heure à tourner en rond

et les jambes en cotonnade :

« Mais où se trouve la maison ? »

 

A reculons, elle consulte,

le verdict tombe :il est amer !

Ça claque pire qu’une insulte :

les faits sont là : c’est Alzheimer.

 

Après c’est la dégringolade :

l’esprit, les sens, en flottaison.

Une mémoire en marmelade

et des atteintes à la raison.

 

Et les visages qui s’effacent,

de mois en mois, de jour en jour.

Des souvenirs, plus une trace :

un grand désert et rien autour.

 

Et lui est là, tout en souffrance,

n’y pouvant rien que de pleurer,

témoin de la désapprenance

de l’être cher… tout apeuré.

 

 

                                           Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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La forêt de Brocéliande peut réserver des surprises ! La fable du jour de ... Rotpier !

24 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

 

Allez, un autre devoir de vacances !

 

Une fable à la mode de Rotpier, c'est-à-dire … un peu corsée !

 

 

Fée VivianeImage du net

 

 

   Fable,

 

Rencontre féerique en forêt de Brocéliande,

 

Dans la forêt de Brocéliande

alors que je me promenais,

je vis déboucher de la lande

une fée sortant des genets.

 

Elle avait une longue robe

de tissu blanc très transparent,

avant que je ne me dérobe

elle me dit en souriant :

 

« Alors mon gars on se promène,

tu n’as pas peur tout seul ici ?

Sur cette ancienne voie romaine

plusieurs gars ont été occis !

 

Je suis la bonne fée Viviane,

tu peux avoir confiance en moi,

je suis souple comme une liane

et peux faire beaucoup pour toi !

 

Si tu le veux je te protège

et pour passer le temps vois-tu,

je t’accorde le privilège

de disposer de ma vertu. »

 

Mon grand charme ayant fait son œuvre

( un fort pouvoir de séduction ! )

je mis en route la manœuvre

pour concrétiser notre union !

 

C’est alors que d’une voix douce

elle me dit « C’est cent euros,

si c’est trop cher tu mets les pouces

et moi je repars au boulot ! »

 

Elle m’avait coupé la chique,

et j’en devins tout ramollo,

de quoi devenir psychotique

quand d’un seul coup dans notre dos …

 

… Surgit toute une sarabande

de korrigans vêtus de bleu,

sortis eux aussi de la lande,

qui nous cerna en moins de deux !

 

« Alors Mado on se retrouve,

tu t’es recollée au turbin ?

Qui est donc celui qui te couvre ?

Ne me dis pas que c’est Merlin !

 

Tu te fais appeler Viviane,

c’est bien trouvé, joli boulot,

d’idées tu n’es jamais en panne

… ou est-ce un coup de ton julot ?

 

Vu le travail que tu pratiques

tu aurais pu sans discussion,

tout en étant moins poétique,

prendre pour nom : La fée Lation ! »

 

C’est ainsi que le chef des gnomes

lui parla en gesticulant,

il collectionnait les syndromes

du flic blasé et truculent !

 

C’est quand le panier à salade

vint se ranger sirène hurlant

qu’avec la tête en marmelade

je tombais du lit haletant !

 

             Car …

 

Vous aviez compris tout de suite

qu’il s’agissait d’un cauchemar

consécutif à une cuite

due au chouchen et au pinard !

 

Tout cela mêlé aux légendes

qui fleurissent dans le pays

et dans la tête, en sarabande,

ça provoque un sacré tournis !

 

          Moralité :

 

Il faut rester très raisonnable

et pour faire glisser le far,

boire modérément à table

pour éviter les cauchemars !

 

 

Surtout ne pas prendre la route

car des Korrigans tout en bleu

vous font souffler en cas de doute

dans des ballons et … pas par jeu !

 

Et là pas question de magie

pour escamoter l’infraction :

ils n’ont aucune fantaisie

et il faut payer l’addition !

 

Même la baguette magique

du bon Merlin n’y pourrait rien,

leur héritage est génétique

et se moque des magiciens !

 

 

                                      Rotpier

 

 

 

gendarmes en Korrigans 2

 

Image du net + petit montage du Rotpier

 

 

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

23 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus !

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

22 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

rebus 258 (1)rebus 258 (2)

  
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

C'est une grosse connerie du Rotpier qui vous pris de bosser sans vous éloigner !
 1ère ligne, 1ère image : "il est moche comme un  - - - - d'ailleurs, c'en est un ! 2ème image : coupe d'un organe qui filtre ! 3ème image : lieu où l'on détient des animaux en captivité !
2ème ligne, 1ère image : c'est ce qu'il y a sur les bobines !
  3ème ligne, 2ème image : il parait qu'il est grand ! 4ème image : ce qu'il fait au présent de l'indicatif !

4ème ligne, 1ère image : l'homme est en haut du  - - -  d'un voilier ! Dernière image : la moitié du prénom du volatil !

  5ème ligne, 2ème image, en direct "U" !
6ème ligne, image du milieu : il y en a quatre ! 
Dernière ligne, 3ème image : c'est du gras de cochon ! Dernière image : il y en a plusieurs !

 

Je me sauve ... et pis c'est tout ! 

 

 

Réponse :

Pour un zoophile passer du coq à l’âne est une manière comme une autre de prendre le large !

 

 

C’est du costaud … mais j’avais prévenu !

 

 

 

 

 

Ça, c’est juste la signature !

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" Le moulin de la Boulaye " : le poème du jour de ... Pierre !

19 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Allez, je vous propose un petit devoir de vacances !

 

Poème écrit sur place, dans le moulin, en Bretagne, dans le Morbihan pour être précis ( à Pluméliau à 12 Km de Pontivy )

 

 

DSC00254 (2)Photo prise par moi même 

 

 

 

A Madame et Monsieur Kervarrec

qui ont restauré, avec beaucoup de goût

 

et d’authenticité, le moulin de la Boulaye.

 

 

Le moulin de la Boulaye,

 

« Ah ! Vieux moulin tu as tourné,

tourné, tourné et retourné ;

la force de l’eau sur tes pales

était ton énergie vitale !

 

Les paysans des alentours

qui venaient à chacun leur tour

guigner ta belle mécanique

la trouvait vraiment fantastique !

 

Ils n’avaient rien vu de pareil

à ce formidable appareil,

qui pouvait moudre sans relâche

sans se fatiguer à la tâche ! »

 

Il fallait pour être meunier

réfléchir et savoir manier

une mécanique complexe

qui laissait bien  des gens perplexes.

 

Tout l’art était de réguler

le débit pour faire tourner

la roue à la bonne vitesse,

ce qui demandait de l’adresse.

 

Selon le niveau de l’étang,

selon les caprices du temps,

il fallait surveiller l’étiage

et réagir sans cafouillage !

 

Et puis il y avait les grains

pour les bêtes ou le pétrin :

mouture grossière ou farine

pour les auges ou les cuisines.

 

Chaque fois c’était différent,

il fallait varier tout le temps,

bien affiner tous les réglages

du broyage et du tamisage.

 

Ajoutez qu’en plus du cerveau,

il fallait être aussi costaud :

les sacs de grains ou de farine

pesaient très lourd sur les échines !

 

Sans compter que dans le moulin

la poussière battait son plein,

c’était à peine respirable

rendant les poumons irritables !

 

Le danger était permanent

de se faire happer par les dents

des boulimiques engrenages

capables des pires carnages !

 

Même s’il aimait son métier

et son beau moulin le meunier

mourrait souvent bien avant l’âge

épuisé par tout cet ouvrage !

 

« Combien as-tu mon vieux moulin

usé de ces hommes enclins

à ne vouloir jamais se plaindre,

à faire le travail sans geindre ?

 

Puis un jour il est arrivé

quelque chose qui a scellé

ta disparition programmée

malgré ta grande renommée.

 

C’est la fée électricité

qui a très vite supplanté

toutes autres forces motrices

et s’est faite dominatrice !

 

Sont apparus les grands moulins

qui ont grignoté un à un

les petits sans aucun complexe :

tâche facile dans le contexte !

 

Au grand dam du dernier meunier,

tes engrenages, tes paliers,

sont entrés dans un grand silence

sans aucun espoir de relance.

 

Et le temps a pris tout son temps

pour ronger inlassablement

ta merveilleuse mécanique

en se moquant de tes suppliques !

 

Il a commencé par le bois

de ta roue et puis de ton toit,

s’attaquant ensuite à tes pierres

aidé des ronces et des lierres.

 

Tes arbres se sont descellés,

tes alignements décalés,

de ta mécanique complète

il n’est resté qu’un grand squelette !

 

Mais un jour vint, béni pour toi,

des gens ont réparé ton toit

pour que cessent tes avanies

te conduisant à l’agonie.

 

Ils t’ont redonné du cachet

de haut en bas et sans tricher :

ta mécanique est exposée

comme on le fait dans les musées !

 

Ta fonction a beaucoup changé

puisque tu sers à héberger

des gens qui viennent en vacances

et admire ton élégance !

 

C’est reparti pour très longtemps

et je sens que tu es content,

car  même sans ta mécanique,

au temps tu peux faire la nique !

 

Il est possible  – pourquoi pas ? -

que tu te rappelles de moi :

un vieux monsieur un brin poète

avec un chapeau sur la tête.

 

Un vieux monsieur qui t’a parlé

et que tu as su écouter

sans être étonné de l’affaire,

un vieux monsieur aimant les pierres.

 

Porte-toi bien mon vieux moulin,

tu m’enterreras c’est certain,

les hommes jamais ne revivent :

leurs forces sont beaucoup moins vives !

 

Si l’on peut les rafistoler

un peu quand ils sont très usés,

cela ne les prolonge guère :

la vie de l’homme est éphémère. »

 

 

 

                                  Pierre Dupuis

 

 

 

DSC00205 (2)

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le poème du jour (un petit sonnet branché !) : "La vibrante nonne," de ... Rotpier

17 Septembre 2013 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Bonjour à toutes et à tous !

 

Le Rotpier est de retour !

 

Je vous propose, pour démarrer tout en délicatesse, un petit sonnet branché qui vous fera peut-être vibrer ?

 

Il est tout frais tapé de ce matin ! 

 

 

Nonne (2)

Image du net modifiée par mes soins !

 

La vibrante nonne,

 

Toute jeune elle était entrée

Au couvent sans grande passion,

Elle avait subi des pressions

Et son âme était sinistrée.

 

Elle devait rester cloîtrée

Alors que la grande éclosion

De son corps en ébullition

Lui laissait les joues empourprées !

 

Un jour de la fin février

Elle alla voir le jardinier :

« Je t’en supplie, viens-moi en aide

 

J’ai vraiment le feu au valseur ! »

Il lui dit pendant le remède :

« Bon dieu ! Que tu vibres ô ma sœur ! »

 

   Moralité … si ! Il y en a une !

 

Une nonne n’est qu’une femme,

il suffit de bien la brancher

pour qu’elle soit tout feu tout flamme

et qu’elle se mette à vibrer !

 

 

                                                        Rotpier

 

 

 

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