Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image image: quand on la retourne, la boite imite le cri de la vache " - - - - " !
3ème ligne, 1ère image : le verbe aller au présent de l'impératif !
5ème ligne, 3ème image: la sale bête suce le sang ... et tac !
6ème ligne, 2ème image: en direct : "ti" !
7ème ligne, 2ème image : de sable ou d'autre chose ou bien une femme moche ! ( couché le Rotpier ! ) 3ème image: Eole est le dieu du " - - - - " ! Dernière image : le mec a une sacrée " - - - - " et pis c'est tout !
8ème ligne, 1ère image :l'assassin " - - - " au présent de l'indic à tifs ! Dernière image: le serpent fait "s" !
Dernière ligne, 1ère image : partie de la maison qui n'est pas floutée ! ( tiens, je n'en ai pas fait exprès mais c'est une bonne aide pour la fin !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Ne me dites pas que je divague quand je dis que la politique politicienne est avant tout une histoire de flou !
Qu'il dit l'animal !
Francis Cabrel : "La corrida" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Francis Cabrel
« La corrida » ...
Un petit bijou ...
La corrida
Depuis le temps que je patiente
Dans cette chambre noire
J´entends qu´on s´amuse et qu´on chante
Au bout du couloir
Quelqu´un a touché le verrou
Et j´ai plongé vers le grand jour
J´ai vu les fanfares, les barrières
Et les gens autour
Dans les premiers moments j´ai cru
Qu´il fallait seulement se défendre
Mais cette place est sans issue
Je commence à comprendre
Ils ont refermé derrière moi
Ils ont eu peur que je recule
Je vais bien finir par l´avoir
Cette danseuse ridicule
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Andalousie, je me souviens
Les prairies bordées de cactus
Je ne vais pas trembler devant
Ce pantin, ce minus!
Je vais l´attraper, lui et son chapeau
Les faire tourner comme un soleil
Ce soir la femme du torero
Dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
J´en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou
Pour que je m´incline
Ils sortent d´où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier?
J´ai jamais appris à me battre
Contre des poupées
Sentir le sable sous ma tête
C´est fou comme ça peut faire du bien
J´ai prié pour que tout s´arrête
Andalousie, je me souviens
Je les entends rire comme je râle
Je les vois danser comme je succombe
Je pensais pas qu´on puisse autant
S´amuser autour d´une tombe
Est-ce que ce monde est sérieux?
Est-ce que ce monde est sérieux?
Si, si hombre, hombre
Baila, baila
Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar...
Y mataremos otros
Bon partage !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
" Cortège ": le poème du jour de ... Pierre
Aujourd'hui derrière ... demain devant ... ce n'est pas toujours le premier qui décroche le billet gagnant ...
.
Au suivant ...
Cortège,
En cortège derrière
le dernier qui s’en va,
que tu sois Paul ou Pierre
tu y penses déjà :
… « Le prochain … c’est moi ? »
Doucement tu chemines
et l’ombre des cyprès,
voyant que tu rumines
t’enveloppe de près
murmurant : « C’est possible mon gars ! »
Et soudain tu frissonnes,
tu presses un peu le pas,
tu rejoins la colonne
évitant le faux-pas
et tu te dis :
« J’ai encore le temps
… le temps de ne pas être devant. »
Pourtant … pourtant
... tu sens... tu sens
que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !
Pierre Dupuis
Aujourd'hui derrière ... demain devant ... ce n'est pas toujours le premier qui décroche le billet gagnant ...
.
Au suivant ...
Cortège,
En cortège derrière
le dernier qui s’en va,
que tu sois Paul ou Pierre
tu y penses déjà :
… « Le prochain … c’est moi ? »
Doucement tu chemines
et l’ombre des cyprès,
voyant que tu rumines
t’enveloppe de près
murmurant : « C’est possible mon gars ! »
Et soudain tu frissonnes,
tu presses un peu le pas,
tu rejoins la colonne
évitant le faux-pas
et tu te dis :
« J’ai encore le temps
… le temps de ne pas être devant. »
Pourtant … pourtant
... tu sens... tu sens
que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !
Pierre Dupuis
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, dernière image image: le serpent fait "s" ou "se" ... c'est selon son humeur ! (l'autre aussi !)
2ème ligne, 2ème image: le célèbre petit " - - " ! ( l'autre aussi comme disait Lulu ! )
3ème ligne, 1ère image : lieu ou se tenait la vigie sur les anciens voiliers ! Dernière image: il faut mixer avec celle d'avant et la suivante de la 4ème ligne !
4ème ligne, 2ème image: la sale bête suce le sang !
5ème ligne, 3ème image: sorte de pâté de tête de sanglier ou de porc ! ( n'en faites pas une drôle ! )
6ème ligne, 4ème image : en direct : "ti" !
8ème ligne, 4ème image : la moitié du prénom du volatile ! ( l'autre aussi !)
Et pis c'est tout tout !
Réponse :
Le fait de se luxer une épaule en pratiquant la luxure relève-t-il d’une relation de cause à effet ou bien d’une simple coïncidence ?
Qu'il dit l'animal !
Georges Chelon : " Le père prodigue " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Georges Chelon »
« Le père prodigue »
Une sentence est justifiée …
Le père prodigue,
Ah ! te voilà, toi
J'peux pas bien dire que je te reconnaisse
J'étais vraiment à fleur d'jeunesse
Quand tu nous as laissés tomber
Mais pour le peu que j'me rappelle
De la tête que tu avais
Ça t'aurait plutôt profité
Ce p'tit séjour à l'étranger
Mais j'ai changé moi
Sûr tu dois m'trouver bien grandi
J't'ai pas donné beaucoup de soucis
Mais cependant faudrait pas croire
Que j'ai pu pousser sans histoires
Ah ! te voilà toi
Serait bien temps que tu reviennes
Serait bien temps que tu t'souviennes
De ceux qu't'as laissés derrière toi
D'celle qui fit feu d'toute sa tendresse
Qui eut toujours d'l'amour de reste
Afin qu'ton retour de passion
Ne tombe aussi sur notre front
Mais j'peux bien l'dire, va
Toi qui ne m'as même pas donné
Juste c'qu'il faut d'temps pour t'aimer
Parfois j'ai eu besoin de toi
Une mère c'est trop doux quelquefois
Ah ! te voilà toi
Mais n'te prends pas pour le père prodigue
Pour ton retour la table est vide
On n'a pas tué le veau gras
Ce serait beaucoup trop facile
De revenir d'un pas tranquille
Dans ce qui n'est plus un chez-toi
Tu peux regarder, va
Tu n'verras rien qui t'appartienne
Pas un objet qui te retienne
On t'a effacé de nos joies
Comme toi tu nous effaças
Tu peux fouiller
Tu n'trouvera rien qui t'appartienne
Pas un objet qui te retienne
Ni ne te retiennent nos bras
Ta place n'est pas sous notre toit
Ta place n'est plus sous notre toit
Bon partage !
Rotpier
« Georges Chelon »
« Le père prodigue »
Une sentence est justifiée …
Le père prodigue,
Ah ! te voilà, toi
J'peux pas bien dire que je te reconnaisse
J'étais vraiment à fleur d'jeunesse
Quand tu nous as laissés tomber
Mais pour le peu que j'me rappelle
De la tête que tu avais
Ça t'aurait plutôt profité
Ce p'tit séjour à l'étranger
Mais j'ai changé moi
Sûr tu dois m'trouver bien grandi
J't'ai pas donné beaucoup de soucis
Mais cependant faudrait pas croire
Que j'ai pu pousser sans histoires
Ah ! te voilà toi
Serait bien temps que tu reviennes
Serait bien temps que tu t'souviennes
De ceux qu't'as laissés derrière toi
D'celle qui fit feu d'toute sa tendresse
Qui eut toujours d'l'amour de reste
Afin qu'ton retour de passion
Ne tombe aussi sur notre front
Mais j'peux bien l'dire, va
Toi qui ne m'as même pas donné
Juste c'qu'il faut d'temps pour t'aimer
Parfois j'ai eu besoin de toi
Une mère c'est trop doux quelquefois
Ah ! te voilà toi
Mais n'te prends pas pour le père prodigue
Pour ton retour la table est vide
On n'a pas tué le veau gras
Ce serait beaucoup trop facile
De revenir d'un pas tranquille
Dans ce qui n'est plus un chez-toi
Tu peux regarder, va
Tu n'verras rien qui t'appartienne
Pas un objet qui te retienne
On t'a effacé de nos joies
Comme toi tu nous effaças
Tu peux fouiller
Tu n'trouvera rien qui t'appartienne
Pas un objet qui te retienne
Ni ne te retiennent nos bras
Ta place n'est pas sous notre toit
Ta place n'est plus sous notre toit
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Auvergne ... allez, un petit tour en Auvergne : le poème du jour de Rotpier " Aventure auvergnate, "
C'était il y a 6 ou 7 ans, les auvergnats et ceux qui ont visité l’Auvergne devraient y retrouver leurs moutons !
Aventure auvergnate,
Là-bas au pays des Arvernes,
j’ai pas vu Vercingétorix,
ce n’est pas une baliverne :
même pas croisé Astérix !
Je suis donc parti en balade,
par monts, par vaux et sur les puys :
les gambettes en marmelade,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Un cratère rempli de flotte :
voila le Gour de Tazenat !
Trempette avec ou sans culotte,
ça ne soigne pas le zona !
Au tout premier puy de la chaîne,
j’ai voulu faire le guignol,
j’ai pris sans que cela ne traîne
une bûche au Puy Montcognol !
En bas du Puy de Louchadière,
j’ai rencontré, pauvre de moi,
une louche contrebandière
qui trafiquait dans le Viagra !
J’ai négocié deux ou trois doses :
ma femme approuvait des deux mains !
Nous n’avons pas gagné grand-chose :
trois minutes sur deux heur’ vingt !
J’ai visité le Puy Chopine :
il faisait chaud , j’ai picolé !
Un pandore a vu ma trombine,
aussitôt il m’a fait souffler !
Le ballon a viré de suite,
ça lui a fait ni chaud ni froid :
il a rigolé de ma cuite
… il était plus bourré que moi !
La grande gendarmette à nattes
l’était aussi bien entendu,
la bourrée était auvergnate :
une fille venant du cru !
Je suis monté au Puy de Dôme
par le chemin des muletiers,
il y avait même des mômes,
mais eux n’avaient pas mal au pieds !
J’ai voulu me servir d’eMule
mais quand j’ai ouvert mon ordi,
il a fait sa tête de mule :
il n’y avait pas de wi-fi !
J’ai bien vu le Puy de la vache,
mais je n’ai pas pu voir le veau :
il était au Puy de la Tache
histoire de monter plus haut !
J’ai mis les pieds dans une grotte :
j’ai eu peur car il faisait noir !
En plus j’ai glissé sur la crotte
d’une saleté de clébard !
Je suis passé près de l’usine
Michelin de Clermont-Ferrand,
je n’y ai pas vu Mélusine
mais Bibendum assurément !
Il avait l’air plutôt patraque :
il était gonflé de partout !
Peut-être des coups de matraques
d’ouvriers pas contents du tout !
J’ai trouvé qu’il riait bien jaune,
un peu comme un ara qui rit,
pourvu qu’il garde ses neurones
pour éviter l’hara-kiri !
Un auvergnat très sympathique
m’a donné quatre bouts de pain
mais quand j’ai quitté sa boutique
il m’a fait : « C’est trois euros vingt !
Fini le temps du bon vieux Georges,
il faut casquer pour un quignon,
sinon on te prend par la gorge
pour que tu craches ton pognon !
A Vichy j’ai pris la pastille
sans être au quatorze juillet,
ma femme qui est très gentille
a applaudi sans sourciller !
J’ai tout vu mais pas le régime,
j’ai vu l’amont mais pas Laval,
pas vu Reynaud, pas vu Régine
et même pas le Maréchal !
Je suis passé par La Bourboule
mais Zidane n’était pas là,
du coup j’en ai perdu la boule
et j’ai chanté a capella !
A Thiers j’ai croisé ma banquière
au bras d’un mec pas très futé,
j’ai évité cette rombière :
nous sommes à couteaux tirés !
Le gars fabriquait des viroles
et des manches pour les couteaux,
ell’ va lui filer la vérole :
c’est toujours son petit cadeau !
Je suis allé à Chamalières
sans y rencontrer le d’Estaing.
Valery s’était fait la paire,
Anémone avait mauvais teint !
Mourir idiot c’est imbécile,
j’ai donc visité Vulcania :
ce n’est ni super ni débile
… y compris la cafétéria !
Les auvergnats font triste mine :
l’endroit leur a coûté bonbon !
Une facture qui culmine
plus haut que les puys et les monts !
Aimant bien la mythologie,
j’espérais rencontrer Vulcain :
il devait être de sortie
ou alors planqué dans un coin !
Mis à part ces espiègleries,
visitez la chaîne des puys,
l’Auvergne est vraiment très jolie,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Rotpier ou Pierre DUPUIS
et non DUPUY !
C'était il y a 6 ou 7 ans, les auvergnats et ceux qui ont visité l’Auvergne devraient y retrouver leurs moutons !
Aventure auvergnate,
Là-bas au pays des Arvernes,
j’ai pas vu Vercingétorix,
ce n’est pas une baliverne :
même pas croisé Astérix !
Je suis donc parti en balade,
par monts, par vaux et sur les puys :
les gambettes en marmelade,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Un cratère rempli de flotte :
voila le Gour de Tazenat !
Trempette avec ou sans culotte,
ça ne soigne pas le zona !
Au tout premier puy de la chaîne,
j’ai voulu faire le guignol,
j’ai pris sans que cela ne traîne
une bûche au Puy Montcognol !
En bas du Puy de Louchadière,
j’ai rencontré, pauvre de moi,
une louche contrebandière
qui trafiquait dans le Viagra !
J’ai négocié deux ou trois doses :
ma femme approuvait des deux mains !
Nous n’avons pas gagné grand-chose :
trois minutes sur deux heur’ vingt !
J’ai visité le Puy Chopine :
il faisait chaud , j’ai picolé !
Un pandore a vu ma trombine,
aussitôt il m’a fait souffler !
Le ballon a viré de suite,
ça lui a fait ni chaud ni froid :
il a rigolé de ma cuite
… il était plus bourré que moi !
La grande gendarmette à nattes
l’était aussi bien entendu,
la bourrée était auvergnate :
une fille venant du cru !
Je suis monté au Puy de Dôme
par le chemin des muletiers,
il y avait même des mômes,
mais eux n’avaient pas mal au pieds !
J’ai voulu me servir d’eMule
mais quand j’ai ouvert mon ordi,
il a fait sa tête de mule :
il n’y avait pas de wi-fi !
J’ai bien vu le Puy de la vache,
mais je n’ai pas pu voir le veau :
il était au Puy de la Tache
histoire de monter plus haut !
J’ai mis les pieds dans une grotte :
j’ai eu peur car il faisait noir !
En plus j’ai glissé sur la crotte
d’une saleté de clébard !
Je suis passé près de l’usine
Michelin de Clermont-Ferrand,
je n’y ai pas vu Mélusine
mais Bibendum assurément !
Il avait l’air plutôt patraque :
il était gonflé de partout !
Peut-être des coups de matraques
d’ouvriers pas contents du tout !
J’ai trouvé qu’il riait bien jaune,
un peu comme un ara qui rit,
pourvu qu’il garde ses neurones
pour éviter l’hara-kiri !
Un auvergnat très sympathique
m’a donné quatre bouts de pain
mais quand j’ai quitté sa boutique
il m’a fait : « C’est trois euros vingt !
Fini le temps du bon vieux Georges,
il faut casquer pour un quignon,
sinon on te prend par la gorge
pour que tu craches ton pognon !
A Vichy j’ai pris la pastille
sans être au quatorze juillet,
ma femme qui est très gentille
a applaudi sans sourciller !
J’ai tout vu mais pas le régime,
j’ai vu l’amont mais pas Laval,
pas vu Reynaud, pas vu Régine
et même pas le Maréchal !
Je suis passé par La Bourboule
mais Zidane n’était pas là,
du coup j’en ai perdu la boule
et j’ai chanté a capella !
A Thiers j’ai croisé ma banquière
au bras d’un mec pas très futé,
j’ai évité cette rombière :
nous sommes à couteaux tirés !
Le gars fabriquait des viroles
et des manches pour les couteaux,
ell’ va lui filer la vérole :
c’est toujours son petit cadeau !
Je suis allé à Chamalières
sans y rencontrer le d’Estaing.
Valery s’était fait la paire,
Anémone avait mauvais teint !
Mourir idiot c’est imbécile,
j’ai donc visité Vulcania :
ce n’est ni super ni débile
… y compris la cafétéria !
Les auvergnats font triste mine :
l’endroit leur a coûté bonbon !
Une facture qui culmine
plus haut que les puys et les monts !
Aimant bien la mythologie,
j’espérais rencontrer Vulcain :
il devait être de sortie
ou alors planqué dans un coin !
Mis à part ces espiègleries,
visitez la chaîne des puys,
l’Auvergne est vraiment très jolie,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Rotpier ou Pierre DUPUIS
et non DUPUY !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx