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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

30 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

29 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus assez long, ne m'en voulez pas et n'allez pas faire la tête ! 

2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il  "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )  

3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !) 

5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !

6ème ligne, dernière image :  le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo ! 

9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand ! 

 10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi !  Je ferais mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose ! 

11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des  "  - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !

12ème ligne, 1ère image :  autre nom pour un bus !

 14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !

Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "

Il est assez long alors ...  au boulot les champions et bon voyage !

Et pis ch'est tout !

Réponse :

Il ne faut jamais demander à un musulman et encore plus un intégriste si au bout de son voyage il est arrivé à bon port car il risque de faire sa tête de cochon !

Nota :  Il eut été, même en hiver, peut-être plus judicieux de mettre "moins" à la place de "plus", on m'en a fait la remarque et ma foi je pense qu'elle est justifiée !

Je fais mon mea cul plat

et remercie qui de droit !

 Amen !

... Et pis c'est tout !

Qu'il dit l'animal !

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus assez long, ne m'en voulez pas et n'allez pas faire la tête ! 

2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il  "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )  

3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !) 

5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !

6ème ligne, dernière image :  le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo ! 

9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand ! 

 10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi !  Je mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose ! 

11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des  "  - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !

12ème ligne, 1ère image :  autre nom pour un bus !

 14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !

Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "

Il est assez long alors ...  au boulot les champions et bon voyage !

Et pis ch'est tout !

 

Qu'il dit l'animal !

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Barbara: " Göttingen " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

28 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« Barbara »

«  Göttigen »

La longue dame brune …

Göttingen

Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.

Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.

Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.

Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.

Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.

Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.

Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.

O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.

Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen

 

Bon partage !

 

Rotpier

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« Barbara »

«  Göttigen »

La longue dame brune …

[embed]https://www.youtube.com/watch?v=s9b6E4MnCWk[/embed]

 

Göttingen

Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.

Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.

Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.

Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.

Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.

Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.

Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.

O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.

Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.

Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen

 

Bon partage !

 

Rotpier

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Le poème du jour : " La rousse semeuse de maux, " de ... Rotpier

25 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Humour

 

 

Des maux et des mots ... démo : 

 

Rousse

Image du net bidouillée par le Rotpier

 

.

La rousse semeuse de maux,

Elle avait un petit sourire

Qui laissait pantois les garçons

Et un coté pince-sans-rire

Qu’elle cultivait sans façon.

Allaient-ils se faire éconduire

Ou passer sous son édredon ?

Répertorier ou bien maudire

Ses nombreuses taches de son ?

Pas  facile à cerner la rousse :

Une énigme que sa frimousse !

Et toujours la même question :

Même teinte à tous les étages ?

Et pour la vérification

Ne pas essuyer un : « Dégage ! »

        Péroraison :

 Voila l’espoir énigmatique

Mais ne manquant pas de piquant

Que de façon systématique

La rousse semait à tous vents !

                                                Rotpier

 

Rousse 2

Image du net, c'est net !

Des maux et des mots ... démo : 

 

Rousse

Image du net bidouillée par le Rotpier

 

.

La rousse semeuse de maux,

Elle avait un petit sourire

Qui laissait pantois les garçons

Et un coté pince-sans-rire

Qu’elle cultivait sans façon.

Allaient-ils se faire éconduire

Ou passer sous son édredon ?

Répertorier ou bien maudire

Ses nombreuses taches de son ?

Pas  facile à cerner la rousse :

Une énigme que sa frimousse !

Et toujours la même question :

Même teinte à tous les étages ?

Et pour la vérification

Ne pas essuyer un : « Dégage ! »

        Péroraison :

 Voila l’espoir énigmatique

Mais ne manquant pas de piquant

Que de façon systématique

La rousse semait à tous vents !

                                                Rotpier

 

Rousse 2

Image du net, c'est net !

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" Écrin de classe " : un poème de Pierre qui a plus d'une corde dans son arc !

24 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Atelier d'écriture 14

 

 

Écrin de classe,

Tout contre bas

la contrebasse

fait «  la,la,la ! »

et se prélasse !

L’archet malin

qui la chatouille

se fait gredin

avec papouilles !

De grands frissons,

de longues plaintes,

voilà le son

de la complainte !

Et bien au chaud,

elle ronronne,

moite berceau :

la place est bonne !

Tout contre bas

la contrebasse

fait «  la,la,la ! »

et se prélasse !

                 Rêve …

J’aimerais bien

avoir ma place

en cet écrin

de grande classe !

          Je voudrais …

Aux noirs souliers,

faire la nique,

prendre mon pied

… tout en musique !

Mais je n'ai pas

la moindre chance :

je reste là

hors de la danse !

                                               Pierre Dupuis

 

 

Atelier d'écriture 14

 

Écrin de classe,

Tout contre bas

la contrebasse

fait «  la,la,la ! »

et se prélasse !

L’archet malin

qui la chatouille

se fait gredin

avec papouilles !

De grands frissons,

de longues plaintes,

voilà le son

de la complainte !

Et bien au chaud,

elle ronronne,

moite berceau :

la place est bonne !

Tout contre bas

la contrebasse

fait «  la,la,la ! »

et se prélasse !

                 Rêve …

J’aimerais bien

avoir ma place

en cet écrin

de grande classe !

          Je voudrais …

Aux noirs souliers,

faire la nique,

prendre mon pied

… tout en musique !

Mais je n'ai pas

la moindre chance :

je reste là

hors de la danse !

                                               Pierre Dupuis
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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

23 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

22 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

rebus 364 (2)

rebus 364 (3)

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus d'actualité en raisons des fortes tensions que l'on pourrait qualifier d'électriques !

1ère ligne, 1ère image : le serpent fait toujours "s" ou "se" selon son humeur avec ou sans panaris ! 3ème image : " - - - " est ce personnage ?  Dernière image :  le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !

2ème ligne, 2ème image : ça ne sent pas bon ... au présent !

4ème ligne, 1ère image : en direct: "ti" ! 2ème image : ils sont à poil ! 3ème image : petite, la sale bête est lente !

5ème ligne, 1ère image :il ne faut pas prendre la brosse ! Dernière image, le symbole de la "vie" ... c'était en direct du rébus dominical du Rotpier, à vous les studios !

6ème ligne, 2ème image : la sale bête pique tant et plus !

 7ème ligne, dernière image : prison pour animaux sauvages ! ( l'autre aussi ! ) Nota: il faut enchaîner avec la 1ère image de la 8ème ligne !

11ème ligne, dernière image : attention c'est " - - - - " bouillant !

12ème ligne, dernière image :  endroit où sont entreposés des fûts !  Je rappelle pour les imprudents qu'il est très dangereux de laisser un doigt dans le trou du fût !

Dernière ligne, 1ère image : celui-ci est sélectif comme dit souvent mon coiffeur qui a tendance à les couper en quatre ! 

 

Il est assez long alors ...  au boulot les champions !

Et pis c'est tout !

Réponse :

Ceux qui manipulent le Coran en continu pour créer de vives tensions entre les hommes et les peuples ne méritent pas autre chose que la chaise électrique !

Qu'il dit l'animal !

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Léo Ferré : " La mémoire et la mer " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

20 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Léo Ferré »
«  La mémoire et la mer »

 

Que dire ? Rien, écouter et se laisser bercer par

la voix, la musique et les paroles ...

 

LA MÉMOIRE ET LA MER

La marée je l'ai dans le coeur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite soeur
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baisers
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre

Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus
Ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude

Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais géométrisant
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus

Et toi fille verte mon spleen

Les coquillages figurants
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieu des granits ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue
Dans cette mer jamais étale
D'où nous remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles

Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du flafla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue aux musiques mortes
C'est fini la mer c'est fini
Sur la plage le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle

Bon partage !

 

Rotpier

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Le poème et les réflexions du jour : " Dérapage non contrôlé mais … pas forcément de l’auteur, " de ... Pierre

19 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Pensées, #Billet d'humeur

 

Préambule :

 Il n’est pas pire ineptie que de croire que la démocratie, une fois acquise, demeure éternelle. Elle est à la fois forte et fragile, ce qui implique de la défendre bec et ongles contre toute attaque, extérieure comme intérieure.

 

Des limites de la démocratie,

 La démocratie est sans conteste la meilleure façon pour un pays d’être gouverné mais … parce qu’il y a un « mais » ! Elle n’est pas à l’abri de se saborder elle-même par le fait de l’ignorance, de l’inconséquence et de la versatilité d’une partie des citoyens qui la composent.

Les apprentis dictateurs à l’affût le savent bien qui les manipulent en les brossant dans le sens du poil à coup d’attrape-tout et d’exacerbation de leur haine et de leur racisme latents envers les « autres ». Autres qui peuvent très bien être leurs propres voisins et même des membres de leur propre famille. Ces manipulations s’appellent tout simplement le populisme ! Qu’il soit de droite ou bien de gauche, il aboutit inévitablement un jour ou l’autre à la dictature.

Les politiques démocrates ne peuvent pas dénoncer tout haut ce que j’énonce ici ( bien qu’ils le sachent parfaitement ! ) car ce serait se tirer une balle dans le pied et tarir complètement la source des voix des quelques hésitants. Il ne leur reste plus qu’à essayer de raisonner ces électeurs potentiels sans grand espoir d’y parvenir.

Il importe donc que ce soit des gens de la société civile qui tentent de le faire en sachant aussi que quand l’ignorance et la bêtise sont sur les rails il est très difficile de les arrêter, l’histoire l’a prouvé à maintes reprises aux quatre coins de la terre.

N’étant ni homme politique ni homme important mais républicain convaincu, j’ai décidé d’apporter cette petite pierre à l’édifice de la démocratie. Elle est ce qu’elle est, mais elle est et a le mérite d’être. Elle est brute et tranchante comme silex puisque totalement expurgée de toute trace de langue de bois.

 Pierre Dupuis

 

Tocsin

Image du net

 

Préambule :

Il faut encore et toujours sonnet le tocsin !

 

 

Dérapage non contrôlé mais

… pas forcément de l’auteur,

Sonnet premier :

Il est des gens très hermétiques

qui gobent les attrape-tout *

et nul besoin d’être caustique

pour encore enfoncer le clou !

Sur le plan purement pratique

autant le dire sans tabou,

leur QI est problématique :

à peine plus qu’un sapajou !

Comptons que jamais ils ne volent

car je vous fiche ma parole

que ce genre d’individus

criards et cons comme des mouettes

pourraient nous déféquer dessus

en y allant à l’aveuglette !

* Programme politique assez vaste pour attirer un grand nombre de voix d’électeurs, que l’on peut qualifier plus prosaïquement d’attrape-couillons !

xxxxxxxxxxxxxx

Sonnet second :

 

Quand je pense que ceux-là votent

cela me fait froid dans le dos,

une ficelle, une carotte

et leurs voix tombent aussitôt !

Changeant de bord comme de chiotte,

brandissant leur nouveau drapeau,

retournant vestes et culottes

quitte à se faire mettre gros !

Vous allez dire : « Il exagère 

sous l’emprise de la colère ! »

Moi calmement je vous dis « Non ! »

Je ne supprime aucune ligne,

c’est clair et net et non abscons :

je confirme persiste et signe !

xxxxxxxxxxx

Sonnet troisième :

 

Je ne fais pas de politique,

je ne cours pas après les voix

et les discours dithyrambiques

je m’en bas l’œil ça va de soit !

Je comprends que ma dialectique

puisse choquer et je conçois

qu’on l’abhorre et qu’on la critique

mais sur tout cela je m’assois !

Quand je vois la classe ouvrière

tomber la tête la première

gaiement dans le piège infernal

du populisme vomitoire

je crie à l’affront national :

ils ne connaissent plus l’histoire !

Péroraison :

 

Quoi que l’on dise ou que l’on fasse

l’éternel recommencement

remettra les gens face à face

pour en découdre allègrement !

C’est chaque fois la même chose,

on dit que c’est la der des der

mais la haine se réimpose,

métastasant comme cancer !

Et au sein de chaque famille

de nombreuses prises de bec

partiront sur une broutille

et flamberont comme bois sec !

Cela durera des années,

se propageant comme typhus,

des relations empoisonnées

comme dans l’affaire Dreyfus !

J’aurais pu évoquer la peste

comme vecteur de mal connu,

surtout la brune qui empeste

beaucoup plus fort selon Camus !

On y laissera tous des plumes

mais les responsables diront

drapés dans leurs nouveaux costumes :

« Ce n’est pas nous ! » … à l’unisson !

Ils ne pourront pourtant pas dire :

« Si seulement nous avions su ! »

partout l’information transpire

et ce tous médias confondus !

Mais il faut en avoir l’envie

et arrêter de s’abrutir

avec des émissions pourries

tout juste bon à abêtir !

Tous les grands chantres populistes

tablent sur le repli sur soi

qui selon tous les spécialistes

conduirait au chaos tout droit !

De nos jours vivre en autarcie

n’est que chimère et illusion,

ceux qui prônent cette ineptie

ont d’autres buts : leurs ambitions !

Car ne nous voilons pas la face

c’est bien de cela qu’il s’agit :

manipuler la populace

et puis l’asservir à l’envi !

Raviver le feu de la haine

et du racisme en même temps

venant des profondeurs lointaines

et couvant chez les ignorants !

Lever des meutes phalangères,

des milices prêtes à tout,

ne dites pas que j’exagère,

regardez tout autour de vous !

Dans un bar allez boire un verre,

observez bien et écoutez,

vous en entendrez de sévères

et vous ne pourrez plus douter !

Fermez les yeux et en images

vous les verrez vociférer

et s’élancer pour le lynchage

de quelques cercles désignés !

L’histoire est remplie de ces scènes

mais l’amnésie est de rigueur,

la peste brune est pathogène

et se propage avec vigueur !

Au bout de la triste aventure,

quand les combats seront finis,

quand on dressera la facture

viendra l’heure du grand déni !

Responsables mais pas coupables :

on connaît le refrain par cœur,

au moment de se mettre à table

tous deviendront enfants de chœur !

Mais il y aura les portables

comme impitoyables mouchards,

Facebook et autres redoutables

outils pour piéger les cafards !

Rien de nouveau en ce bas monde,

les pigeons restent les pigeons,

quelques grains et ils font la ronde

… certains même tendent le fion !

Avec ce genre de poème

je ne me ferai pas d’ami

et à vrai dire je crois même

que j’ouïs déjà des ennemis !

S’ils viennent sonner à ma porte

j’essaierai de leur expliquer

pourquoi j’ai agi de la sorte,

je tenterai de m’appliquer !

Mais ils n’auront pas la patience

d’attendre avant de me lyncher,

ces gens sont pétris d’obédience

et peu enclin à s’épancher !

Avec ce genre de poème

je ne me ferai pas d’ami,

ce n’est pas pour moi un dilemme :

ce que je pense je le dis !

                                 Pierre Dupuis

 

 

 

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"Métamorphose foldingue et décousue," ... un poème déjanté de ... Rotpier !

17 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Humour

 

 

 

Tétard

Image du net

 

 

Métamorphose foldingue et décousue,

Je suis devenu athée tard :

une incubation prolongée !

J’étais un peu dans le brouillard :

ma raison était submergée !

Je suis devenu athée tard,

une éducation catholique

laisse des traces, c’est vachard,

comme la peste bubonique !

Je suis devenu athée tard,

et depuis j’aime les grenouilles

sauf celles de bénitier car

elles ont le frifri qui rouille !

Je suis devenu athée tard,

je ne suis pas un imbécile

et je planque mes cuisses car

elles pourraient finir dans l’huile !

Je suis devenu athée tard,

maintenant je saute et coasse,

on dit de moi : « Il est jobard ! »

mais je suis bien dans mes godasses !

Je suis devenu athée tard,

j’ai fréquenté des amphis bien,

des nuls aussi, c’est le hasard,

comme les rendez-vous pubiens !

Je suis devenu athée tard,

j’ai des palmes entre les doigts,

pas les académiques car

je ne les ai pas eu ma foi !

Je suis devenu athée tard,

j’ai horreur des fauteuils crapaud,

je leur trouve un coté bâtard :

j’ai cette pensée dans la peau !

Je suis devenu athée tard,

j’aime bien l’écologie verte

mais pas les verts soixante-huitards

qui cavalent après leur perte !

Je suis devenu athée tard,

je n’aime pas ceux qui grenouillent

dans des religions de hasard

et qui s’en mettent plein les fouilles !

Je suis devenu athée tard

mais si jamais un dieu existe,

je ne suis pas contre un rancard

je tiens à rester progressiste !

Je suis devenu athée tard,

et je suis certain que la chose

ne sera pas - aucun espoir ! -

sans l’ombre d’une sinistrose !

Je suis devenu athée tard,

toutes les religions m’hérissent

et je les charge à la hussard

les sachant mystificatrices !

je suis devenu athée tard,

j’ai un penchant pour le blasphème,

je n’en fais pas un étendard

mais de temps à autres j’en sème !

Je suis devenu athée tard,

ma dialectique est décousue,

tant que ce n’est pas mon falzar

j’aurais la langue bien pendue !

                                                           Rotpier

Pierre dans l'oeil d'une grenouille

Photo du net bidouillée par le Rotpier

Attention ! Je garde un œil sur vous !

 

Tétard

Image du net

 

Métamorphose foldingue et décousue,

Je suis devenu athée tard :

une incubation prolongée !

J’étais un peu dans le brouillard :

ma raison était submergée !

Je suis devenu athée tard,

une éducation catholique

laisse des traces, c’est vachard,

comme la peste bubonique !

Je suis devenu athée tard,

et depuis j’aime les grenouilles

sauf celles de bénitier car

elles ont le frifri qui rouille !

Je suis devenu athée tard,

je ne suis pas un imbécile

et je planque mes cuisses car

elles pourraient finir dans l’huile !

Je suis devenu athée tard,

maintenant je saute et coasse,

on dit de moi : « Il est jobard ! »

mais je suis bien dans mes godasses !

Je suis devenu athée tard,

j’ai fréquenté des amphis bien,

des nuls aussi, c’est le hasard,

comme les rendez-vous pubiens !

Je suis devenu athée tard,

j’ai des palmes entre les doigts,

pas les académiques car

je ne les ai pas eu ma foi !

Je suis devenu athée tard,

j’ai horreur des fauteuils crapaud,

je leur trouve un coté bâtard :

j’ai cette pensée dans la peau !

Je suis devenu athée tard,

j’aime bien l’écologie verte

mais pas les verts soixante-huitards

qui cavalent après leur perte !

Je suis devenu athée tard,

je n’aime pas ceux qui grenouillent

dans des religions de hasard

et qui s’en mettent plein les fouilles !

Je suis devenu athée tard

mais si jamais un dieu existe,

je ne suis pas contre un rancard

je tiens à rester progressiste !

Je suis devenu athée tard,

et je suis certain que la chose

ne sera pas - aucun espoir ! -

sans l’ombre d’une sinistrose !

Je suis devenu athée tard,

toutes les religions m’hérissent

et je les charge à la hussard

les sachant mystificatrices !

je suis devenu athée tard,

j’ai un penchant pour le blasphème,

je n’en fait pas un étendard

mais de temps en tant j’en sème !

Je suis devenu athée tard,

ma dialectique est décousue,

tant que ce n’est pas mon falzar

j’aurais la langue bien pendue !

                                                           Rotpier

Pierre dans l'oeil d'une grenouille

Photo du net bidouillée par le Rotpier

Attention ! Je garde un œil sur vous !

 

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