Elections obligent : Lart politique et vive les journalistes !
Allez, pour ceux qui l’aurait raté la dernière fois !
Ceux qui connaissent P.V.,
sauront de quel poème, de lui,
je me suis inspiré… pour la forme !
L’art politique,
Du baratin avant toute chose !
Et puis surtout évite l’impair
moins vague et moins soluble dans l’air,
qui laisse traces et indispose !
Il faut aussi que tu n’ailles point
choisir des mots où rode traîtrise :
demande donc à tes âmes grises
de vérifier dans tous les recoins !
Choses promises mettent les voiles
après bon apéro du midi :
tu pourras, auditoire attiédi,
les emmener tout près des étoiles !
Car tout est dans la nuance encor !
Promesses voilées : tout en cadence !
Rien de précis, c’est comme danse :
il faut maîtriser le corps à corps !
Fuis de plus loin la phrase assassine,
sauf pour tes ennemis les plus purs !
Pour tes amis, prépare du sûr :
dans le genre… couteau de cuisine !
La concurrence ? Tords lui son cou !
Tu fera bien en train d’énergie,
de mater la journalisterie !
si l’on n’ y veille, elle ira jusqu’où ?
Ô qui dira les tords des régies !
Ces journalistes racontent tout,
ils forgent des histoires d’un sou
et les juges les privilégient !
Du baratin encore et toujours !
Que ta verve soit chose envolée
qui sonne dans toutes les allées :
tu finiras par gagner un jour !
Levons le verre à ton aventure
et qu’on se lève chaque matin,
sûrs d’avoir choisi le bon coquin
qui nous trouvera des places sûres !
La pensée du jour : excommunication assurée pour le Rotpier !
La pensée du jour … à ne pas suivre religieusement !
Tout bien pesé, si j’avais été curé, j’aurais été un curé déconneur … si,si ( impératif ! ) .
Dans le genre à :
- mettre du Viagra en poudre dans les hosties et à m’installer confortablement le lendemain dans le confessionnal à attendre les résultats auprès de mes ouailles en confesse (rien que le mot m’amuse ! ) !
- ou bien mettre une grenouille dans le bénitier pour surprendre les vieilles bigotes !
Ah ! Je me serais bien marré quand même !
Et pis c’est tout !
L’A.B. Rotpier ( ça en jette hein ! )
Dans le port dAmsterdam, de Hambourg ou dailleurs ...
Dans le port d’Amsterdam, de Hambourg ou d’ailleurs ...
Coup de filet sur la morue ou marée basse sur le bitume : le poème à déclamer dans tous les ports !

Photo pêchée sur la toile !
Coup de filet,
Comme filet tendu,
elle attendait ses proies,
plutôt marins perdus
que poissons ou lamproies !
Tous charmes en avant
et réserve en arrière,
un mélange savant
et quasi sans barrière !
Maîtrisant son travail
de superbe façon
comme avec un tramail
on rafle tout poisson !
Client au bout du quai,
tentative d’approche :
- alors chéri … OK ?
mais … c’est quoi dans ta poche ?
- C’est mon filet à moi,
présente tes menottes !
Cette fois-ci, c’est toi,
qui va payer la note !
Code opération : « Marée basse sur le bitume »
Vrai flic et pas marin
en mission dans la rue,
un travail sous- marin
pour pêcher la morue !
Le dicton météorologique du jour et de la semaine aïe, aïe, aïe ! de Rotpier !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
Le dicton météorologique du jour et de la semaine … aïe, aïe, aïe ! de … Rotpier !
Si Gilbert Médard à Diane - mon Dieu ! – ce sera pour Barnabé, la danse de St Guy assurée et sur un air Padoue du tout ! A moins … à moins qu’ Elisée ne lui coupe l’envie de prendre son pied !
Note importante :
Toute interprétation dans le sens politique serait le pur fruit de l’imagination la plus débridée du lecteur.
« Elysée » prenant un nid grec et non un nid, et les locataires actuels ne se prénommant ni Gilbert, ni Diane !
Rotpier décline toute responsabilité en cas de transgression de cette note !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Les souvenirs débarquent de Rotpier
Chanson d'automne
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Le souvenir
des souvenirs
qui débarquent,
et ce six juin
est un matin
qui me marque.
Pierre Du puis ……………… pour un tout petit bout !!!!!!!
Le poème du jour: " La démesure "
Là, vous avez de la chance, je n'ai pas de trou ... de mémoire !
La démesure,
J’ai, vous n’allez pas me croire,
une formidable mémoire !
Quelque chose de colossal :
un puits de souvenirs abyssal !
C’est une mémoire énorme,
une mémoire hors normes !
Bref, quelque chose d’ébouriffant :
une mémoire d’éléphant !
Mais hélas, tout étant à la mesure
- pour ne pas dire à la démesure ! -
il m’arrive, comme tout à chacun,
au moment le plus inopportun,
d’avoir une panne dantesque :
un trou de mémoire gigantesque !
Et là, mon pauvre auditoire
Attend trois bons jours que ma mémoire
… revienne !
Les petits haïkus jaunes du jour selon Rotpier
Les haïkus du jour … selon Rotpier
Avertissement aux nouveaux lecteurs :
Définition du haïku selon Rotpier (qui n’engage que lui !) :
Le haïku est un concentré de poésie obtenu par déshydratation du superflu. Pour peu que le lecteur verse dessus, une perle de paupière, une goutte de sueur ou encore la fraîcheur d’un éclat de rire, il déborde en tous sens.
Nota : Haïku se prononce en français : « aiku » sans liaison. Exemple :
dans l’expression « un haïku », on prononce « aiku » et non « naiku »
J’ai rarement le haïku triste.
J’ai souvent le haïku leste
mais je ne l’ai jamais pompeux !
On a, après tout, que le haïku qu’on peut,
c’est tout !
Les petits haïkus jaunes du jour … selon Rotpier
Pof pof pof pof pof
torticolis assuré
mais de grande classe
Bacheliers spoliés
privés de courts
pas d’ la ball’ le bac !
Champagne oublié
finalement pour les bulles
reste le Perrier
Où mes haïkus vous ont-ils conduit ? … clic ! un petit commentaire !
Le poème du jour : « Cur aride »
Merci à Marie Bretagne pour m’avoir permis d’utiliser cette photo comme source d’inspiration pour ce poème.
Vous pouvez retrouver un grand nombre de ses clichés sur
www.zyeuter.com et en tapant « Marie Bretagne » dans « recherche ».

Cœur aride,
Entre sable et mer,
entre mer et sable
un bout de désert
indéfinissable.
Et, sur l’horizon
incommensurable
comme en flottaison
le soleil instable.
Que fais-je ici, moi ?
Faute au grand accroc
non raccommodable
de ton cœur escroc
sur mon cœur friable.
Je ne vois plus rien
… dans les yeux du sable ?
Vide saharien
incommensurable.
Ce vertigineux
roulis inlassable ;
Ce cafard poisseux,
mon cœur qui s’ensable.
Je crois que je vais
crever là, moi.
Fête des mères oblige, le poème du jour : « Maman »
A toutes les mamans !
Petit cadeau de mon épouse : une rose de notre jardin
Maman,
Tu es maman craquante,
tu es maman fondante :
chocolat sous la dent
mais tout tendre en dedans !
Tu es maman délice,
tu es maman complice :
ma maman roudoudou
aux longs baisers tout doux !
Quand parfois tu me grondes
je sens passer une onde
de honte et de remords :
je sais bien que j’ai tort !
Mais …
Tu es maman câline,
tu es toujours encline
à tout me pardonner
et à tout me donner !
Tu es maman tendresse,
tu es la bonne adresse
pour soigner mes bobos,
les petits et les gros !
Tu es maman cuisine,
tu es maman bassine,
mais quand vers toi j’accours,
tu es - Maman ! - … tout court !
Les petits haïkus jaunes du jour selon Rotpier
Les haïkus du jour … selon Rotpier
Avertissement aux nouveaux lecteurs :
Définition du haïku selon Rotpier (qui n’engage que lui !) :
Le haïku est un concentré de poésie obtenu par déshydratation du superflu. Pour peu que le lecteur verse dessus, une perle de paupière, une goutte de sueur ou encore la fraîcheur d’un éclat de rire, il déborde en tous sens.
Nota : Haïku se prononce en français : « aiku » sans liaison. Exemple :
dans l’expression « un haïku », on prononce « aiku » et non « naiku »
J’ai rarement le haïku triste.
J’ai souvent le haïku leste
mais je ne l’ai jamais pompeux !
On a, après tout, que le haïku qu’on peut,
c’est tout !
Les petits haïkus jaunes du jour … selon Rotpier
Oh ! Terre battue
Oh ! Terre martyrisée
piétinée sans cesse !
Vols de balles jaunes
dedans dehors sur les lignes
le printemps se pointe !
Festival de jambes
c’est de la Rolls en Garros
ces mini jupettes !
PS : Une petite partie avec moi ?
J’ai beaucoup pratiqué le tennis en pension !
Rotpier
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