Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Donner l’asile à des personnes qui y ont droit c’est bien mais après que fait-on des fous ?
Ce court séjour a été excellent ! Il faisait très beau à Paris ce matin et, coup de chance, le périphérique n’était pas trop bloqué. Le stade de France est toujours à la même place !
Qu'il dit l'animal !
Nicoletta : "Il est mort le soleil" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Nicoletta »
« II est mort le soleil »
J’espère que non, même si je suis
un peu fâché avec !
Il est mort,
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Mais je suis la seule à porter le deuil
Et le jour ne franchit plus mon seuil.
Hier, on dormait sur le sable chaud
Hier pour nous il faisait beau
Il faisait beau même en hiver
C'était hier
Il est mort,
Il est mort, le soleil
L'ombre est sur ma vie,
Dans mon cœur, la pluie
Et mon âme s'habille de gris.
Hier, la couleur que j'aimais le mieux
C'était la couleur de tes yeux
C'était la couleur de la mer
C'était hier.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil,
Il est mort, le soleil.
Bon partage !
Rotpier
Confessez-vous et allez en paix, même avec les pires péchés sur la conscience ! Le poème du jour : "Confession peu banale d’un vieux … confessionnal ! " de ... Pierre !
Vous avez tué, torturé, violé,
volé, mais vous vous êtes confessés :
allez-en paix mes frères,
vous êtes ... pardonnés !
Et, si vous l'avez fait au nom de votre dieu,
vous serez sanctifiés !
Sur une superbe photo de Marie Lecorre :
Confession peu banale
d’un vieux … confessionnal !
Si je suis tout en bois,
je ne suis pas de bois !
Je vous dirais ma foi
que j’ai perdu la foi !
Abritant en confesses
de drôles de bougresses
oscillant en souplesse
entre messes et fesses :
J’ai fini - je le dis ! -
par être très instruit
sur les grands interdits
touchant au bigoudi !
Ah ! j’en ai vu passer
quelques uns de curés !
Célibat enduré
ou bien lit partagé !
Dame de compagnie,
simple bonne ou amie ?
carrément bonne amie,
dans le lit endormie !
Presbytère occupé
par rejetons d’abbé :
pas généralité
… pas non plus rareté !
Des bouffeuses d’hosties
hantant les sacristies,
oeillades garanties
pour de fines parties !
« Mon mari est absent
pour un travail pressant :
le lit est bien trop grand
et je m’ennuie dedans ! »
Et voilà - rebelote ! -
l’ aquicheus’ de calotte
mini jup’ ras de motte
avec ou sans culotte !
Mais les péchés de cœur
sont pour moi des liqueurs
quand j’entends les horreurs
de certains dits - d’honneur ! -
Le cul a ses faiblesses
et quand les mains caressent
d’un peu trop près les tresses
ça glisse vite aux fesses !
De tout ça j’en rigole :
ce n’est que gaudriole !
Ce qui vraiment m’affole
c’est les types qui violent !
Venez tous les pécheurs !
Venez tous les tricheurs
Venez les débaucheurs
et aussi les violeurs !
Venez en ribambelle,
la repentance est belle !
Quelques soient les gamelles :
virginité nouvelle !
Venez tous les banquiers,
tous les grands financiers,
les plumeurs d’ouvriers :
vous serez pardonnés !
Venez les politiques,
c’est le coté pratique :
promesses mirifiques
et … pas d’autocritique !
Venez les malfaiteurs,
venez les dictateurs,
tous les exécuteurs,
les bourreaux, les tueurs !
Venez en ribambelle
la repentance est belle !
Deux sous dans la coupelle
et la vie éternelle !
Deux pater, trois avé
« merci Monsieur l’ curé,
ça va mieux vous savez
depuis qu’ j’ai plus d’ péchés !
Allez, à la prochaine,
ma croyance est certaine,
je viendrai en neuvaine :
c’est vraiment une aubaine ! »
Et moi tous ces aveux
me rendent cafardeux
et plus d’un jour sur deux
je me foutrais le feu !
Les flammes seraient belles,
terminé les chapelles,
les vieilles, les nouvelles
qui poussent en kyrielles !
Toutes les religions
accordent le pardon
sur simple invocation
et repentir bidon !
Halte à l’hypocrisie !
Halte aux fautes blanchies !
A bas les homélies
et autres conneries !
Je voudrais m’immoler
pour que le monde entier
arrête de prier
des dieux tous inventés !
Pour certains bien pratique
pour asseoir leurs boutiques
qu’elles soient politiques
ou des plus mercatiques !
Les sermons orientés,
les versets détournés,
les peuples abusés
par des prêcheurs roués !
Je n’en peux plus de vivre,
de tout ça j’en suis ivre
je veux qu’on me délivre :
je veux fermer le livre !
Le seul dieu : c’est la loi,
que l’on soit humble ou roi !
C’est à ce prix, je crois,
que reviendra ma foi
en … les hommes !
Pierre Dupuis
Déjà publié !
" Les raboteurs de parquet," : un poème de ... Pierre d'après le tableau de Gustave Caillebotte
Je vous propose aujourd’hui un poème écrit à partir du tableau de Gustave Caillebotte : « Les raboteurs de parquet »
Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Raboteurs_de_parquet
Image du net
Liminaire :
Et ça rabote et ça rabote
Sous l’œil expert de Caillebotte
Qui mémorise les détails
De ces compagnons de travail.
.
Les raboteurs de parquet,
A genoux couverts de sueur,
torses nus sur corps athlétiques,
longs bras aux muscles élastiques,
ils s’activent les raboteurs.
Outils tranchants comme rasoirs
manipulés de main de maître,
que ce soit du chêne ou du hêtre
le parquet geint sous les racloirs !
De brut et rugueux au départ
il devient de plus en plus lisse,
bientôt sur lui les outils glissent :
il devient plan comme billard !
Dans la pièce flotte une odeur,
un composé âcre et hybride
de sueur et de bois acide
ne gênant pas les travailleurs.
.
D’un naturel plutôt taiseux,
les conversations sont très rares,
leur besogne les accapare :
ils gardent leur souffle pour eux.
Du vin est à portée de main,
ils en partagent les bouteilles,
pas un nectar de bonne treille
mais du gros rouge à fort tanin !
La chaleur et les gros efforts
font que parfois ils en abusent,
la fin de journée est confuse :
le travail avance moins fort !
Le lendemain ils seront là
prêts à recommencer leur tâche
douze heures par jour, sans relâche,
pas loin d’un travail de forçat !
Les genoux le dos et les bras,
le soir, ne sont plus que brûlures,
ce n’est pas une sinécure
que ce travail la tête en bas.
Quand la tâche est menée à bien
et que l’on voit le parquet lisse,
on dit : « c’est un travail d’artiste
ces hommes sont des magiciens ! »
Ils repartiront autre part,
d’autres demeures les attendent,
on ne manque pas de commandes
quand on maîtrise à fond son art !
A jamais immortalisés
par le pinceau de Caillebotte
ils sont toujours là qui rabotent
le geste lent et maîtrisé.
Image du net
Liminaire :
Et ça rabote et ça rabote
Sous l’œil expert de Caillebotte
Qui mémorise les détails
De ces compagnons de travail.
Les raboteurs de parquet,
A genoux couverts de sueur,
torses nus sur corps athlétiques,
longs bras aux muscles élastiques,
ils s’activent les raboteurs.
Outils tranchants comme rasoirs
manipulés de main de maître,
que ce soit du chêne ou du hêtre
le parquet geint sous les racloirs !
De brut et rugueux au départ
il devient de plus en plus lisse,
bientôt sur lui les outils glissent :
il devient plan comme billard !
Dans la pièce flotte une odeur,
un composé âcre et hybride
de sueur et de bois acide
ne gênant pas les travailleurs.
.
D’un naturel plutôt taiseux,
les conversations sont très rares,
leur besogne les accapare :
ils gardent leur souffle pour eux.
Du vin est à portée de main
et ils partagent les bouteilles,
pas un nectar de bonne treille
mais un gros rouge à fort tanin !
La chaleur et les gros efforts
font que parfois ils en abusent,
la fin de journée est confuse :
le travail avance moins fort !
Le lendemain ils seront là
prêts à recommencer leur tâche
douze heures par jour et sans relâche
pas loin d’un travail de forçat !
Les genoux le dos et les bras,
le soir, ne sont plus que brûlures,
ce n’est pas une sinécure
que ce travail la tête en bas.
Quand la tâche est menée à bien
et que l’on voit le parquet lisse,
on dit : « c’est un travail d’artiste
ces hommes sont des magiciens ! »
Ils repartiront autre part,
d’autres demeures les attendent,
on ne manque pas de commandes
quand on maîtrise à fond son art !
A jamais immortalisés
par le pinceau de Caillebotte
ils sont toujours là qui rabotent
le geste lent et maîtrisé.
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Est-ce qu’une femme particulièrement adipeuse remue les oreilles et barrit fortement quand on lui ligature les trompes ?
C’était sauvage mais je vous avais prévenu !
Je vous mets un lien vers le blog de l’ami Durdan qui a donné la réponse à sa manière : http://durdan.eklablog.com/rebus-d-apres-rotpier-a117525278
Qu'il dit l'animal !
Ben E. King : "Stand By Me" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Ben E. King »
« Stand By Me »
Qui n’a pas flirté là-dessus ... à condition d'avoir l'âge !
Il vient de mourir.
Traduction des paroles :
Reste avec moi,
Quand la nuit est venue
Et le pays est noir
Et la lune est la seule lumière que l'on peut voir
Non je n'aurai pas peur, non je n'aurai pas peur
Aussi longtemps que tu resteras, resteras avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Si le ciel que nous regardons
Pouvait trembler et tomber
Et les montagnes pouvaient s'effondrer dans la mer
Je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas, non je ne pourrai
verser une larme
Aussi longtemps que tu restes, restes avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Quand tu as des problèmes, ne restes-tu pas avec moi?
Oh maintenant maintenant reste avec moi
Et chérie, chérie, reste avec moi, oh maintenant
maintenant reste avec moi
Reste avec moi, reste avec moi
Bon, c’est plutôt ( comme dit mon chien ! )
mièvre comme paroles mais la mélodie
… aïe aïe aïe !!!
Bon partage !
Rotpier
Joyeux 1er mai à toutes et à tous ! Pierre et Rotpier !
Le jour du 1er Mai,
je ne vais quand même pas me défiler !
Allez, je vous en offre quelques brins
et vous souhaite beaucoup de bonheur !
En prime, je vous offre
le dernier tube à la mode !
... Cela ne va pas nous rajeunir non plus,
mais c'est plutôt marrant !
Rotpier ... toujours vert
(on a bien le droit de rêver ... non ? )
Encore un petit bonus :
Le dicton de circonstance de cette année :
S’il fait un temps de chien en mai, dors !
Le conseil de la confrérie des joyeux chevaliers de la jaquette :
Pour ton bonheur, en mai, mue gay !
Le vieux dicton des caravanes africaines :
Qui a pleuré en avril en mai a ri !
Bon, je me sauve car mon épouse m’attend ! Si je ne fais pas fissa, je vais me faire sonner les clochettes … et pas qu’un brin ! Ce qui serait quand même le bouquet un 1er mai !
Et pis c’est tout !
Pierre et Rotpier
Jean-Marie le Pen et ses grands principes ... L’actualité vue par le Rotpier !
Jean-Marie le Pen et ses grands principes !
Un lien :
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
( Petit montage à partir d'images du net !)
Le Rotpier
Etretat ou être tas, il faut choisir ! Les poème du jour de Pierre et de … Rotpier !
Deux poèmes au choix déjà publiés !
... Vous pouvez voter !
Pierre et Rotpier ... Docteur Jekyll et Mister Hyde
en quelque sorte !
Images du net
Poème de Pierre :
Superbe photo de Marie ... merci à elle !
L’écume de l’amer,
C’était en mars soixante huit
… début ou fin ?... Trou de mémoire.
Une passion en déficit
infiniment attentatoire.
J’arpentais alors Etretat
et ses chemins et ses falaises,
où avaient résonné nos pas
jusqu’à ce que je lui déplaise.
Je ne sais toujours pas pourquoi
- brouillard aux yeux ?- j’ignore encore,
mais je me suis retrouvé là
devant l’aiguille en sémaphore.
Sur notre amour détricoté
j’ai versé des vagues de larmes,
cherchant la maille ayant sauté
sans déclencher la moindre alarme.
Sur un hoquet des plus amers
mon pauvre amour a pris la porte,
il est parti finir en mer,
c’est là que les vents les emportent.
Sur un abysse ou un haut-fond
se trouve un très grand cimetière
où les amours qui se défont
entrent dans une ère glacière.
Pierre Dupuis
Poème de Rotpier :
Et de fil en aiguille
quand on n’est pas gentille
on finit tout en bas :
on devient être tas !
La loi des tas
ou
Avec la complicité de Newton
ou
L’art d’occire Constance,
Chute de meuf
et je suis veuf !
J’étais sa chose
et ça repose !
Tout au début
ben … moi j’ai bu !
Oh ! Quelles cuites
j’ai pris de suite !
Un peu plus tard
même un pétard !
Quelle bombance
quand j’y repense !
Le tout discret,
tout en secret !
Loin de la ville :
j’ suis pas débile !
Au quotidien,
le mec très bien :
deuil de Constance
de circonstance !
« Pour moi c’est dur
soyez-en sûr,
j’ai de la peine,
ma vie se traîne.
Je prie les cieux
mon bon monsieur ,
paix à son âme
ma bonne dame. »
C’était un soir,
il faisait noir,
j’étais à l’aise
sur la falaise.
Mes yeux de chat
voyaient en bas
une marée
fort déchaînée.
J’ai profité
en vérité
de la vue basse
de la bécasse !
Un croche-pied
très bien placé
et une chute
sans parachute !
De haut en bas :
bon débarras !
Newton oblige
quelle voltige !
Un être tas
à Etretat
chose normale
je le signale !
Bien éclaté
sur les rochers,
son corps en loques
qui se disloque !
Pas de témoin
sauf un vieux chien
hochant la tête
la brave bête !
Un scénario
bien comme il faut :
joli montage
et … l’héritage !
Rotpier
Quand la physique donne
un petit coup de main :
merci Monsieur Newton
car vous le valez bien !
Et pis c'est tout ! Non mais !
Juste pour raviver les souvenirs de Bernadette qui était sur place ( en haut de la falaise ! ) il y a peu de temps !
Deux poèmes au choix déjà publiés ! ... Vous pouvez voter !
Pierre et Rotpier ... Docteur Jekyll et Mister Hyde
en quelque sorte !
Images du net
Poème de Pierre :
Superbe photo de Marie ... merci à elle !