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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

8 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

7 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

 

rebus 375 (1)

rebus 375 (2)

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus court du Rotpier qui parait facile ... encore que ... 
Pour vous aider à bien orthographier le dernier mot, je vous donne ceci qui est une diatribe sentencieuse de Pierre :
« Si tu ne souris jamais, le carcan tu as… celui du sérieux à tout prix, du coincé des zygomatiques et du pourfendeur des truculences rabelaisiennes. »

 

1ère ligne, 1ère image: prendre la moitié du nom ( ou du prénom ! ) du volatile ! 

2ème ligne, 2ème image: ne vous occupez pas de la virgule: c'est un ordre ! Dernière image : attrape nigaud  pour poisson ! ( je sais que vous avez toujours du mal avec celui-là alors je vous aide : le miroir aux alouettes en est un ! ) ( L'autre qui suit aussi ... comme Félicie ! ) 

4ème ligne, 3ème image : des poches de  " - - - - " ... pour sauver des vies !

5ème ligne: il faut bien lier la fin du mot de l'avant dernière image avec la dernière !

 

A vous de jouer !  Ne soyez pas obligatoirement pressées, vous ne l'avez pas sous la gorge et je vous soutiens ! 

Et pis c'est tout tout !

Réponse :

Comme disait le rémouleur, science sans conscience n’est que ruine de lame !

Dont l'allusion à Rabelais avec " Le carcan tu as " ... Ah! Ah ! Ah ! 

Bien affûté le Rotpier, n'est-ce pas !  

 

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Serge Lama : " Les ballons rouges " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

6 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

Serge Lama :

« Les ballons rouges »

 
 
 
 
 

Les ballons rouges

 

Je n'ai pas eu de ballon rouge

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Dans ces provinces où rien ne bouge

Tous mes ballons étaient crevés

Je n'ai pas eu de vrai vacances

Seul, face à face avec la mer

Quand le cœur rythme la cadence

Des mouettes qui nagent dans l'air

{Refrain:}

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

J'ai rien donné, j'ai rien reçu

Je n'ai jamais joué aux billes

Quand j'étais gosse dans mon quartier

J'étais cloué dans ma famille

Comme un martyr à son bûcher

Je n'ai pas eu de promenade

Seul, face à face avec le vent

Je lisais le Marquis de Sade

Et j'aimais déjà les divans

{au Refrain}

Les fées n'étaient pas du voyage

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Elles vivaient de leurs avantages

Elles étaient toutes syndiquées

Je n'ai pas vu dans les étoiles

Le carrosse de Cendrillon

La mienne avait une robe sale

Mais elle n'avait pas de chaussons

{au Refrain}

Pourtant j'avais déjà la chance

Quand j'étais gosse dans mon quartier

De ne pas attacher d'importance

A ce que les autres pensaient

Et je n'ai pas vu dans l'Histoire

Quelque guerrier ou quelque roi

Assoiffé de règne ou de gloire

Qui soit plus orgueilleux que moi

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu ...

 

.

Bon partage !

 

.

Rotpier

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

Serge Lama :

« Les ballons rouges »

 
 
 [youtube=http://www.youtube.com/watch?v=tV2XgTi_Duo]
 
 
 
 

Les ballons rouges

 

Je n'ai pas eu de ballon rouge

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Dans ces provinces où rien ne bouge

Tous mes ballons étaient crevés

Je n'ai pas eu de vrai vacances

Seul, face à face avec la mer

Quand le cœur rythme la cadence

Des mouettes qui nagent dans l'air

{Refrain:}

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

J'ai rien donné, j'ai rien reçu

Je n'ai jamais joué aux billes

Quand j'étais gosse dans mon quartier

J'étais cloué dans ma famille

Comme un martyr à son bûcher

Je n'ai pas eu de promenade

Seul, face à face avec le vent

Je lisais le Marquis de Sade

Et j'aimais déjà les divans

{au Refrain}

Les fées n'étaient pas du voyage

Quand j'étais gosse dans mon quartier

Elles vivaient de leurs avantages

Elles étaient toutes syndiquées

Je n'ai pas vu dans les étoiles

Le carrosse de Cendrillon

La mienne avait une robe sale

Mais elle n'avait pas de chaussons

{au Refrain}

Pourtant j'avais déjà la chance

Quand j'étais gosse dans mon quartier

De ne pas attacher d'importance

A ce que les autres pensaient

Et je n'ai pas vu dans l'Histoire

Quelque guerrier ou quelque roi

Assoiffé de règne ou de gloire

Qui soit plus orgueilleux que moi

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu

Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu ...

 

.

Bon partage !

 

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Rotpier

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Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

4 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

 

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

.

Les chouettes Chouettes 55

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Les chouettes Chouettes 58

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Les chouettes Chouettes 56

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Les chouettes Chouettes 57

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Les chouettes Chouettes 59

 

Signature Rotpier

 

 

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"L’épatant charcutier," : le poème bien gras du jour de ... Rotpier

2 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie, #Poésie - humour

 

 

Charcuteries

Image du net

L’épatant charcutier,

Natif de Saint-Jean-Pied-de-Port,

il avait mis le nez dehors

juste le jour du mardi gras

et son visage était ingrat !

Ses copains se moquaient de lui

– ce qui n’était pas très gentil ! –

ils lui disaient en aparté :

« ton pif il est tout épaté ! »

Il s’en plaignit à ses parents,

des gens pas très intelligents !

Après deux jours de réflexion,

son père lui dit : «Mon garçon :

J’y voit un signe du destin :

ton nez épaté c’est très bien !

Tu vas apprendre le métier,

tu feras un bon charcutier ! »

Comme il était un enfant sage

il entra en apprentissage

chez un charcutier dont l’épouse

ne portait rien dessous sa blouse !

Très loin d’être un tas de saindoux,

elle avait de jolis sein doux

et des jambonneaux comme il faut,

très vite il ne fut plus puceau !

Le patron ne se fâcha pas,

chaque fois c’était comme ça,

lui avait la main baladeuse

et s’occupait de ses vendeuses !

C’est dans ces bonnes conditions

qu’il aborda la profession,

il apprit vite le métier :

au C.A.P. il fut premier !

Il entama un tour de France

pour parfaire ses connaissances,

de l’est à l’ouest, du sud au nord

il devint vraiment un cador !

Il se lança dans les concours

du boudin aux topinambours,

des tripes à la tequila,

de l’andouillette au ratafia !

Du saucisson en médaillon

et de la saucisse aux graillons,

du pâté aux macaronis

et des paupiettes aux radis !

Sans compter ses spécialités :

la merguez au vin de curé,

le chorizo de ragondin

et les rognons de marcassin !

C’est lors de l’un de ces concours

qu’il rencontra le grand amour,

son prénom c’était Henriette,

elle était plutôt grassouillette !

 Mais bon poids fait bonne mesure,

même avec sa drôle de hure

il la trouva fort à son goût

et tomba vite à ses genoux !

Dès lors il aima follement

sa grasse Henriette du Mans,

une fille de charcutier

dont le père était trépassé.

La maman avait disjoncté,

passant son temps à picoler,

la boutique battait de l’aile

malgré un très grand potentiel !

Il prit l’affaire à bras le corps,

l’Henriette du Mans d’abord !

Si bien qu’il lui fit un enfant

au bout de deux mois seulement !

Ils s’épousèrent sans cantique

et ils reprirent la boutique

qui grâce à sa grande expérience

devint une vraie référence !

Ils connurent le grand bonheur :

l’enfant eut un frère et trois sœurs !

Les clients étaient épatés :

tous avaient le nez épaté !

Sauf la maman… c’était marrant !

                Epilogue :

Ainsi se termine l’histoire,

elle est vraie vous pouvez me croire !

J’ai cédé mes droits à Pathé :

ils ont été fort épatés !

L’adaptation a commencé,

dans le rôle du charcutier

ils voudraient avoir Depardieu :

pour le gras on ne fait pas mieux !

Et dans le rôle d’Henriette

ils voudraient une grassouillette

dépassant les cent dix kilos

avec d’énormes jambonneaux !

Si vous connaissez alentour

une vraie bête de concours,

téléphonez donc chez Pathé :

il y a un lot à gagner !

Cinquante kilos de rillettes,

une nuit avec Henriette,

une biture avec Gérard

et cent bouteilles de pinard !

Dépêchez-vous, ça vaut le coup,

c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?

Mais évitez votre belle-mère

… après il faudrait vous la faire !

                               

                                                Rotpier

 

Cochon qui rit

Image du net

 

 

Charcuteries

Image du net

L’épatant charcutier,

Natif de Saint-Jean-Pied-de-Porc,

il avait mis le nez dehors

juste le jour du mardi gras

et son visage était ingrat !

Ses copains se moquaient de lui

– ce qui n’était pas très gentil ! –

ils lui disaient en aparté :

« ton pif il est tout épaté ! »

Il s’en plaignit à ses parents,

des gens pas très intelligents !

Après deux jours de réflexion,

son père lui dit : «Mon garçon :

J’y voit un signe du destin :

ton nez épaté c’est très bien !

Tu vas apprendre le métier,

tu feras un bon charcutier ! »

Comme il était un enfant sage

il entra en apprentissage

chez un charcutier dont l’épouse

ne portait rien dessous sa blouse !

Très loin d’être un tas de saindoux,

elle avait de jolis sein doux

et des jambonneaux comme il faut,

très vite il ne fut plus puceau !

Le patron ne se fâcha pas,

chaque fois c’était comme ça,

lui avait la main baladeuse

et s’occupait de ses vendeuses !

C’est dans ces bonnes conditions

qu’il aborda la profession,

il apprit vite le métier :

au C.A.P. il fut premier !

Il entama un tour de France

pour parfaire ses connaissances,

de l’est à l’ouest, du sud au nord

il devint vraiment un cador !

Il se lança dans les concours

du boudin aux topinambours,

des tripes à la tequila,

de l’andouillette au ratafia !

Du saucisson en médaillon

et de la saucisse aux graillons,

du pâté aux macaronis

et des paupiettes aux radis !

Sans compter ses spécialités :

la merguez au vin de curé,

le chorizo de ragondin

et les rognons de marcassin !

C’est lors de l’un de ces concours

qu’il rencontra le grand amour,

son prénom c’était Henriette,

elle était plutôt grassouillette !

 Mais bon poids fait bonne mesure,

même avec sa drôle de hure

il la trouva fort à son goût

et tomba vite à ses genoux !

Dès lors il aima follement

sa grasse Henriette du Mans,

une fille de charcutier

dont le père était trépassé.

La maman avait disjoncté,

passant son temps à picoler,

la boutique battait de l’aile

malgré un très grand potentiel !

Il prit l’affaire à bras le corps,

l’Henriette du Mans d’abord !

Si bien qu’il lui fit un enfant

au bout de deux mois seulement !

Ils s’épousèrent sans cantique

et ils reprirent la boutique

qui grâce à sa grande expérience

devint une vraie référence !

Ils connurent le grand bonheur :

l’enfant eut un frère et trois sœurs !

Les clients étaient épatés :

tous avaient le nez épaté !

Sauf la maman… c’était marrant !

                Epilogue :

Ainsi se termine l’histoire,

elle est vraie vous pouvez me croire !

J’ai cédé mes droits à Pathé :

ils ont été fort épatés !

L’adaptation a commencé,

dans le rôle du charcutier

ils voudraient avoir Depardieu :

pour le gras on ne fait pas mieux !

Et dans le rôle d’Henriette

ils voudraient une grassouillette

dépassant les cent dix kilos

avec d’énormes jambonneaux !

Si vous connaissez alentour

une vraie bête de concours,

téléphonez donc chez Pathé :

il y a un lot à gagner !

Cinquante kilos de rillettes,

une nuit avec Henriette,

une biture avec Gérard

et cent bouteilles de pinard !

Dépêchez-vous, ça vaut le coup,

c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?

Mais évitez votre belle-mère

… après il faudrait vous la faire !

                               

                                                Rotpier

 

Cochon qui rit

Image du net

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

1 Février 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

 

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

31 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus

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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

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rebus 374 (1)rebus 374 (2)

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus très épicé du Rotpier, alors autant s'en débarrasser très vite !

 

1ère ligne, 2ème image: c'est la saison qu'il faut retenir ! 3ème image :quand il a terminé de téter le bébé fait son " - - - " !

2ème ligne, 4ème image: " - - - " est ce personnage ? ( l'autre aussi ! )

   3ème ligne, 1ère image: ruminant de l’Himalaya à longs poils et pas toujours de bon poil ! Nota: il convient de séparer les lettres du mot: y a qu'a le faire et pis c'est tout ! Dernière image : " - - -  - " de tennis !

4ème ligne, 1ère image : il parait qu'on y trouve l'amour mais je ne sais pas si c'est l'amour vache !  

5ème ligne, 3ème  image : le serpent fait toujours "s" ou "se" ... c'est selon son humeur !

7ème ligne, dernière image : la boisson favorite des rosbifs ! 

8ème ligne, 1ère image :  poste de la vigie en haut du grand mat des anciens voiliers ! 2ème image : angle de " - - - ", celui-ci est le vertical !  4ème image et en direct : le sein bol de la " vie " !

 

A vous de jouer !  Ne soyez pas obligatoirement pressées de jouer ... mesdames et ne m'en voulez pas ! 

Et pis c'est tout tout !

Réponse :

Il est erroné de croire qu’il n’y a que les femmes pressées qui courent le risque de contracter une vulvite !

 Nota :  Je vous avais prévenu que c’était salé ! N’allez pas vous enflammer !
 

 

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Jean Ferrat, "L'amour est cerise" : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

30 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

  

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Jean Ferrat :

« L’amour est cerise »

 

Tout est permis quand c'est beau ! 

 

 

L'amour est cerise

Rebelle et soumise
Paupières baissées
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps pressé
C’est partie remise
Pour aller danser

Autant qu’il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t’aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l’amour de Dieu

Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S’est vite élancée

Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m’en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux

O Pierrot de lune
O monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu

Rebelle et soumise
Paupières lassées
Remets ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps passé
C’est partie remise
Pour aller danser

Bon partage !

 

 

Rotpier

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Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

28 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

 

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

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Les chouettes Chouettes 45

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Les chouettes Chouettes 46

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Les chouettes Chouettes 47

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Les chouettes Chouettes 48

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Les chouettes Chouettes 49

 

 

Signature Rotpier

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Le cancer, ce n'est pas que pour les autres : " A la grande tombola de la vie, j’ai gagné … " le poème du jour de ... Pierre

26 Janvier 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Pensées

 

 

Pour faire écho aux problèmes d’expérimentation de médicaments notamment à Rennes : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2016/01/15/24502-essai-clinique-tourne-drame-rennes
 Mon expérience prouve qu’il ne faut pas hésiter à être volontaire quand le cas se présente. J’ai opté en 2010 pour l’essai d’un nouveau traitement du cancer de la peau (détecté en fin 2009 et en stade très avancé : 2 mélanomes en plus !) et, cela m’a sauvé … la peau !
Aujourd’hui je vais bien et la surveillance s’est allégée. Je n’ai plus qu’un scanner tous les 6 mois (contre 1 tous les 6 semaines pendant le traitement !) et des contrôles tous les trimestres.
L’expérience n’a pas été drôle, car j’avais bloqué à moi tous seul plus de la moitié des effets secondaires du médicament et même d’autres qui sont venus se rajouter au protocole de suivi. Vous verrez tout cela dans le poème que j’ai écrit en ces moments-là.
 Les seules séquelles qui me restent sont des problèmes d’estomac
… mais ceux qui me suivent savent que parfois je n’en manque pas … d’estomac !
 Pierre

 

Nota : Je remets tel quel le poème que j’avais publié le 22 septembre 2010.

 

 
 

Préambule :

 

« Les mots s’envolent, les écrits restent ».

C’est le principal avantage de l’écriture sur la parole. J’en vois un autre : coucher ses idées sur papier oblige à choisir et à peser ses mots. Quand cela est fait, la relecture permet de les valider ou pas. Ce qui est  loin d’être négligeable.

 

Voici quelques mots sur mes maux.

… Avec la pointe d’humour que permet la philosophie !

 

Pierre Dupuis

 

 

 

( Ecrit en août-septembre 2010 )

 
 
 
Image du net
 
 

A la grande tombola de la vie,

j’ai gagné …

 

J’ai gagné un vilain cancer,

cancer de peau … manque de chance !

Il y a mieux comme dessert

… je crois que c’est une évidence !

 

Je fais avec : pas d’autre choix !

Mais comme je suis philosophe,

un peu poète de surcroît,

cela donne ces quelques strophes !

 

C’est un banal grain de beauté

qui a viré méchant notoire,

il a été trop tard ôté :

fort de café que cette histoire !

 

On m’a dit : «Ce n’est pas bénin !

Attention, c’est un mélanome

que l’on qualifie de malin,

une espèce de sale gnome ! »

 

Sans demander ma permission,

le mal a fait sa promenade

du coté de mes ganglions,

ce qui me met dans la panade !

 

Ne se contentant pas de ça

il s’est permis l’outrecuidance

de travailler comme un forçat

pour embellir sa performance !

 

Il a repris un peu d’élan

pour aller voir mes jolis muscles :

il devient par trop turbulent :

un vrai sans gène qui m’offusque !

 

Ma peau a connu le scalpel :

bonjour les belles boutonnières !

Allez, au bloc et sans appel !

Mais… elle n’est pas rancunière !

 

Mes veines n’ont pas plus de pot :

on me les pique et les repique,

prélèvement ou bien dépôt :

elles connaissent la musique !

 

Mon corps n’a plus rien à cacher,

on a fait le grand inventaire :

toute une série de clichés,

procédure réglementaire !

 

Le mal est dur à trucider,

car pratiquement increvable !

il faut le coincer, le brider,

lui rendre la vie imbuvable !

 

Un grand labo a mis au point

un produit qui serait capable

de bloquer l’intrus dans un coin,

mais … que d’effets indésirables !

 

Pour tester ce médicament

je me suis porté volontaire,

c’est un challenge évidemment

doublé d’un geste humanitaire.

 

Il faut bien passer à l’humain

pour faire avancer la recherche,

il faut se prendre par la main,

en somme se bouger le derche !

 

Toute une équipe à l’hôpital

m’aide à suivre la procédure :

traitement expérimental

qui n’est pas une sinécure !

 

J’attrape des coups de soleil,

même quand il est en vacances !

Mon visage devient vermeil :

photosensible haute fréquence !

 

Je suis recouvert de boutons

de diverses catégories,

de quoi ouvrir dans le canton

une chaîne de merceries !

 

Ça me picote de partout

et la nuit cela me réveille,

sur la face et sur le caillou :

les coups de soleil de la veille !

 

Quand je me lève le matin,

qu’une belle journée s’annonce,

je repars vite dans mon coin :

à plein de choses je renonce :

 

Dur pour la pêche et le vélo,

pour le jardin, pour les balades,

pour les visites de châteaux,

sans mes six couches de pommade !

  

J’ai l’estomac bien détraqué :

ça me pèse et j’ai des brûlures !

Vous seriez très mal éduqués

de vous fiche de ma figure !

 

Il y a pire, c’est le goût :

les aliments sont insipides !

Je me nourris avec dégoût :

mes repas deviennent arides !

 

Un bon whisky ou un porto,

un succulent filet de lotte,

une saucisse de Morteau,

une bavette à l’échalote,

une cerise sur gâteau

ou encore une île qui flotte :

j’évite d’aller au resto,

tout est mauvais, même la flotte !

 

Un grand bordeaux millésimé

ou un chablis de bonne garde,

sont aussi doux à mon palais

que le litron d’une pocharde !

  

Je sais qu’il faut classer tout ça

dans les effets indésirables,

mais c’est loin d’être la nouba :

j’aspire aux jours plus favorables !

 

J’ai bien assez de volonté

pour poursuivre cette expérience,

mais sans avoir l’absurdité

de ne plus jouir de l’existence !

 

Je n’ai pas pour apostolat

la notion de vivre pour vivre,

cela ne m’intéresse pas :

il faut savoir fermer un livre.

 

Passer mes jours à vivoter

pour faire durer ma carcasse,

ce n’est pas ma tasse de thé :

ou bien ça passe ou bien ça casse !

 

Je vais laisser du temps au temps

pour corriger tous ces problèmes,

peut-être bien la fin de l’an

mais pas jusqu’à la mi-carême !

 

 Cela pour dire  - et je suis clair !-

banco si cela s’améliore,

sinon je la joue au poker

… tiens, je me mets aux métaphores !

 

Heureusement j’ai le soutien

du premier cercle de famille :

de mon épouse au quotidien,

de mes enfants : pas de bisbille !

 

Pour le second, c’est fluctuant,

mais il n’y a pas surprise,

ceux qui communiquaient avant

sont toujours là : pas de traîtrise !

 

Le reste suit d’un peu plus loin,

une attitude assez normale,

finalement … pas plus pas moins

que vous et moi : chose banale !

 

Pour les amis, rien de changé

les vrais restent toujours les mêmes,

pour les autres c’est mitigé :

la liste doucement s’écrème !

 

Mais il est arrivé aussi,

j’y tiens, il faut que je le dise,

qu’un voisin me demande si

cela va mieux : belle surprise !

 

Quelqu’un m’a dit : « Il faut prier ! »

mais pour moi c’est problématique :

quel dieu vais-je m’approprier ?

Comment choisir le bon cantique ?

 

Quand je vois dans les hôpitaux

les quartiers réservés aux mômes,

moi je me dis tout aussitôt :

« les dieux exercent sans diplômes ! »

 

Mieux vaut compter sur les toubibs

quelque puisse être son prénom,

Ivan, Josué, Pierre ou Habib,

c’est plus sûr qu’une religion !

 

Mieux vaut être dans un pays

plutôt riche et démocratique

que pauvre et sous le joug maudit

d’un gouvernement despotique !

 

Encore que pour les USA,

si ta bourse n’est pas bien pleine,

tu peux crever sans que cela,

le moins du monde, ne les gênent !

 

Mais revenons à nos moutons,

c’est à dire à mes métastases,

il faut gérer le feuilleton

dans l’attitude et dans les phrases !

 

Je tente d’être à la hauteur :

j’ai toujours été philosophe,

quelle sera, en tant qu’auteur,

mon ultime et dernière strophe ?

 

Car …

 

Car à la grande tombola

de la vie sans mettre de mise,

j’ai gagné, c’est pas la fiesta,

quelque chose qui me défrise !

 

 

                           Pierre DUPUIS

 

Ce poème n’est pas de la fiction …il est bien d’actualité, hélas !

Tout a commencé au mois d’Octobre dernier ( donc 2009 )

Ceux qui suivent mon blog régulièrement ont pu remarquer quelques «  Blog en pause » inhabituels … et pour cause !

A part cela  - et mes billets d’humour le prouvent ! -  le moral est toujours bon !

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