Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : c'est ce qui n'est pas grisé qu'il faut prendre... et pis c'est tout !
3ème ligne, dernière image: le serpent fait toujours "s" !
4ème ligne, 3ème image : la sale bête pique et ça fait mal !
Dernière ligne, derère image: 5 centimes d'euro, ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " !
Si vous êtes en vacances, prenez le temps de planter votre tente avant de vous mettre au travail !
Et pis c'est tout !
Réponse :
A part en camping un homo passe plus de temps derrière sa tente que dessous !
Avec bien sûr un petit jeu de mots avec tente et tante !
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : c'est ce qui n'est pas grisé qu'il faut prendre... et pis c'est tout !
3ème ligne, dernière image: le serpent fait toujours "s" !
4ème ligne, 3ème image : la sale bête pique et ça fait mal !
Dernière ligne, derère image: 5 centimes d'euro, ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " !
Si vous êtes en vacances, prenez le temps de planter votre tente avant de vous mettre au travail !
Et pis c'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Didier Barbelivien : "Elsa" ... ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Didier Barbelivien »
« Elsa »
La la lal la la lal la la lal la …
Elsa,
Elsa, les manèges de Berlin tournaient dans tes bras,
Elsa, la chanson des marins pleurait dans ta voix
Elsa, le soleil du matin s'allumait sur toi
Elsa, le printemps qui revient ne me guérit pas.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu moitié lilas, la la la, la la la
Beaux comme un air d'opéra, la la la, la la la
Je ne voyais plus que ça
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Sur ton visage en delta, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas.
Elsa, les violons des tziganes se battaient pour toi
Elsa, le sourire des nomades subissait ta loi
Elsa, les nuits de Schéhérazade se moquaient du froid
Elsa, dans mes longues promenades quand je pense à toi.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu, moitié lilas, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas.
Elsa, les manèges de Berlin tournent dans le froid
Elsa, la chanson des marins n'a plus rien de toi
Elsa, le soleil ce matin ne brille pas pour moi
Elsa, le printemps qui revient ne me guérit pas.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu, moitié lilas, la la la, la la la
Beaux comme un air d'opéra, la la la, la la la
Je ne voyais plus que ça
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Sur ton visage en delta, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas, la la la, la la la
La la la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la la
Bon partage !
Rotpier
Le travail du bois: une de mes passions !
Bonjour !
Vous avez pu constater dans le poème de mardi dernier "Derrière la vielle porte" qu'en matière de bois et d'ébénisterie j'entrais dans les détails ... et pour cause : je connais très bien le sujet !
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez lancer un diaporama de quelques images illustrant une de mes passions: le travail du bois.
Je travaille avec des vieilles machines que j'ai reconditionné entièrement, mécanique, équipement électrique et peinture.
J'ai trouvé ces machines chez des anciens menuisiers qui les avaient mises de coté pour en acheter des plus modernes.
Je vous expose les différentes opérations du travail du bois et une réalisation: un bureau + l'habillage d'un aquarium + un chandelier ... un infime partie de ce que j'ai fabriqué !
Je travaille presque uniquement avec du chêne.
J'ajouterai plus tard d'autres nombreuses fabrications, j'ai fabriqué tous les meubles de ma maison à l'ancienne: tous les assemblages sont réalisé en tenons-mortaises !
Lien:
Après avoir cliqué sur le lien, cliquez sur "diaporama" ou bien sur les photos que vous pouvez visionner une à une !
Bonne visite dans mon atelier - capharnaüm !
Pierre
Bonjour !
Vous avez pu constater dans le poème de mardi dernier "Derrière la vielle porte" qu'en matière de bois et de menuiserie j'entrais dans les détails ... et pour cause : je connais très bien le sujet !
En cliquant sur le lien ci-dessous, vous pourrez lancer un diaporama de quelques images illustrant une de mes passions: le travail du bois.
Je travaille avec des vieilles machines que j'ai reconditionné entièrement, mécanique, équipement électrique et peinture.
J'ai trouvé ces machines chez des anciens menuisiers qui les avaient mises de coté pour en acheter des plus modernes.
Je vous expose les différentes opérations du travail du bois et une réalisation: un bureau + l'habillage d'un aquarium + un chandelier ... un infime partie de ce que j'ai fabriqué !
Je travaille presque uniquement avec du chêne.
J'ajouterai plus tard d'autres nombreuses fabrications, j'ai fabriqué tous les meubles de ma maison à l'ancienne: tous les assemblages sont réalisé en tenons-mortaises !
Lien:
Après avoir cliqué sur le lien, cliquez sur "diaporama" ou bien sur les photos que vous pouvez visionner une à une !
Bonne visite dans mon atelier - capharnaüm !
Pierre
" Derrière la vieille porte, " : le poème du jour de ... Pierre
Un poème de 2007 déjà publié ...
" Tout est resté figé,
tout est resté en place ! "
Derrière la vieille porte,
Un loquet bricolé
un peu à la va-vite,
pas du tout fignolé :
une invite à visite !
Un peu comme un voleur
j’entrebâille la porte :
une vague lueur
que des ombres déportent
descend de tout en haut,
de l’antique verrière
dont les étroits carreaux
sont mangés par le lierre.
Une odeur de copeaux
un peu moisis domine,
la poussière au repos
agace les narines !
Un oiseau prend son vol
… deux … trois ! Je les dérange !
J’entends aussi au sol
des petits bruits étranges.
Et dans le clair-obscur,
là-bas, quelques yeux brillent !
Les toiles sur les murs
et les poutres fourmillent !
C’est un vrai paradis
pour légions d’araignées
rejoignant leurs abris
dans de larges saignées.
Dans ce vaste local,
des ombres se détachent :
des squelettes bancals
jouant à cache-cache !
L’éclairage manquant,
je retourne à la porte
et tire en grand l’ouvrant
que trois vieux gonds supportent.
Leur grincement râleur
me perce les oreilles :
l’huile, pour leur malheur,
a cessé ses merveilles !
Et … je découvre alors
que la vieille bâtisse
recèle un vrai trésor :
une antre d’ébéniste !
Image prise sur le net
Tout est resté figé,
tout est resté en place !
Un buffet étagé,
juste au milieu, rêvasse.
Il se sent estropié
sans sa belle rosace
qui gît là, à ses pieds,
et n’a jamais prit place !
Les grands squelettes noirs
ne sont que les machines
qui du matin au soir
sentaient bon la résine.
Une scie à ruban
dont la lame rouillée
entoure ses volants
qui semblent verrouillés.
Un gros tas de copeaux
sur la dégauchisseuse,
lui fait comme une peau
épaisse et granuleuse.
Le profil compliqué
du fer de la toupie
attend pour fabriquer
des profils en copie.
La mèche à mortaiser
semble toujours vaillante,
prête à réaliser
son action pénétrante !
Dans le fond l’établi,
de construction solide,
est encombré d’outils
semblants des plus valides !
Des valets, des rabots,
une grande varlope,
des gouges, des ciseaux,
une équerre cyclope.
Un compas d’épaisseur
et puis un autre à verges,
des tampons polisseurs
et une ardoise vierge.
Un pot de brou de noix
et de la cire en boite,
du vernis, un chinois
et aussi de la ouate.
De nombreux gabarits
aux formes travaillées,
de la toile émeri
dans des bandes taillée.
Des chiffons de coton
et d’autres en longue laine,
des pinceaux à poils longs :
au moins une dizaine !
Tout est resté figé,
tout est resté en place.
J’entends un bruit léger
et je fais volte-face !
Des cheveux en chignon
d’une blancheur parfaite,
un corsage en crépon,
pas du tout stupéfaite :
la vielle dame est là
et son pâle sourire :
« - Mon mari n’est plus là,
je voulais vous le dire.
Voilà vingt ans déjà
qu’il dort au cimetière,
mais rien n’a bougé là,
même pas la poussière.
Le vieux buffet attend
sagement sa rosace,
il attendra le temps
que je cède la place.
Peut-être bien qu’après,
un tout jeune ébéniste
tirera un long trait
sur ce silence triste ?
En repartant, Monsieur,
refermez bien la porte,
le loquet est très vieux
… à mon image en sorte. »
Pierre Dupuis
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, avant-dernière image: pour les dames, c'est un " - - - - " mec ! ( l'autre itou ! )
6ème ligne, 2ème image : la première lettre va avec l'image précédente et le reste avec la suivante !
7ème ligne, 1ère image : c'est le volume qu'il faut prendre ! 2ème image, en direct "U" cocotte ! ( l'autre aussi ! )
8ème ligne, 1ère image : la fleur préférée des rois de France !
10ème ligne, 1ère image : en direct : "ti" ! Dernière image : la sale bête pique et donne la pyroplasmose aux toutous !
12ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, c'est qu'il " - - - - " ! Dernière image : elle est religieuse et bouffe son mec après l'amour !
Nota: C’est une affirmation que Michel Houellebecq pourrait défendre bec et ongle !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Confondre le boson de Higgs et le boxon de X, un mec encore inconnu de la police, relève d’une sottise particulièrement élémentaire !
Pour les indices :
Michel Houellebecq pour « Les particules élémentaires » !
Et pour « Bon courage mes chers Watson ! » c’était élémentaire !
Qu'il dit l'animal !
Jacques Brel : " Jef " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Un plaidoyer pour l’amitié
à l’état pur.
Jeff
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais arrête de pleurer
Comme ça devant tout l’monde
Parce qu'une demi-vieille
Parce qu'une fausse blonde
T'a relaissé tomber
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais tu sais qu’tu m’fais honte
A sangloter comme ça
Bêtement devant tout l’monde
Parce qu'une trois quarts putain
T'a claqué dans les mains
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais tu fais honte à voir
Les gens se paient not’ tête
Foutons l’camp de c’trottoir
Viens, Jef, viens, viens, viens !
{Refrain:}
Viens, il me reste trois sous
On va aller s’les boire
Chez la mère Françoise
Viens, Jef, viens
Viens, il me reste trois sous
Et si c'est pas assez
Ben il m’restera l'ardoise
Puis on ira manger
Des moules et puis des frites
Des frites et puis des moules
Et du vin de Moselle
Et si t'es encore triste
On ira voir les filles
Chez la madame Andrée
Paraît qu’y en a d’nouvelles
On r’chantera comme avant
On s’ra bien tous les deux
Comme quand on était jeunes
Comme quand c'était le temps
Que j’avais d’l’argent
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais arrête tes grimaces
Soulève tes cent kilos
Fais bouger ta carcasse
Je sais qu’t’as le cœur gros
Mais il faut le soulever, Jef
Non Jef t'es pas tout seul
Mais arrête de sangloter
Arrête de te répandre
Arrête de répéter
Qu’t’es bon à t’ outre à l’eau
Qu’t'es bon à te pendre
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais c'est plus un trottoir
Ça d’vient un cinéma
Où les gens viennent te voir
Viens, Jef, allez viens, viens !
{Refrain:}
Viens, il me reste ma guitare
Je l'allumerai pour toi
Et on s’ra espagnols
Jef, viens, viens
Comme quand on était mômes
Même que j'aimais pas ça
T'imiteras l’rossignol
Jef,
Puis on s’trouvera un banc
On parlera d’l’Amérique
Où c'est qu'on va aller, tu sais
Quand on aura du fric
Jef, viens
Et si t'es encore triste
Ou rien qu’si t’en as l’air
J’te raconterai comment
Tu d’viendras Rockefeller
On s’ra bien tous les deux
On r’chantera comme avant
Comme quand on était beaux
Jef,
Comme quand c'était l’temps
D'avant qu'on soit poivrots
Allez viens Jef, viens
Ouais ! Ouais, Jef, ouais, viens !
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Un plaidoyer pour l’amitié
à l’état pur.
[embed]https://www.youtube.com/watch?v=T4Mx8AN0GF4[/embed]
Jeff
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais arrête de pleurer
Comme ça devant tout l’monde
Parce qu'une demi-vieille
Parce qu'une fausse blonde
T'a relaissé tomber
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais tu sais qu’tu m’fais honte
A sangloter comme ça
Bêtement devant tout l’monde
Parce qu'une trois quarts putain
T'a claqué dans les mains
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais tu fais honte à voir
Les gens se paient not’ tête
Foutons l’camp de c’trottoir
Viens, Jef, viens, viens, viens !
{Refrain:}
Viens, il me reste trois sous
On va aller s’les boire
Chez la mère Françoise
Viens, Jef, viens
Viens, il me reste trois sous
Et si c'est pas assez
Ben il m’restera l'ardoise
Puis on ira manger
Des moules et puis des frites
Des frites et puis des moules
Et du vin de Moselle
Et si t'es encore triste
On ira voir les filles
Chez la madame Andrée
Paraît qu’y en a d’nouvelles
On r’chantera comme avant
On s’ra bien tous les deux
Comme quand on était jeunes
Comme quand c'était le temps
Que j’avais d’l’argent
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais arrête tes grimaces
Soulève tes cent kilos
Fais bouger ta carcasse
Je sais qu’t’as le cœur gros
Mais il faut le soulever, Jef
Non Jef t'es pas tout seul
Mais arrête de sangloter
Arrête de te répandre
Arrête de répéter
Qu’t’es bon à t’ outre à l’eau
Qu’t'es bon à te pendre
Non, Jef, t'es pas tout seul
Mais c'est plus un trottoir
Ça d’vient un cinéma
Où les gens viennent te voir
Viens, Jef, allez viens, viens !
{Refrain:}
Viens, il me reste ma guitare
Je l'allumerai pour toi
Et on s’ra espagnols
Jef, viens, viens
Comme quand on était mômes
Même que j'aimais pas ça
T'imiteras l’rossignol
Jef,
Puis on s’trouvera un banc
On parlera d’l’Amérique
Où c'est qu'on va aller, tu sais
Quand on aura du fric
Jef, viens
Et si t'es encore triste
Ou rien qu’si t’en as l’air
J’te raconterai comment
Tu d’viendras Rockefeller
On s’ra bien tous les deux
On r’chantera comme avant
Comme quand on était beaux
Jef,
Comme quand c'était l’temps
D'avant qu'on soit poivrots
Allez viens Jef, viens
Ouais ! Ouais, Jef, ouais, viens !
Prendre son pied ... sans scandale ! Le poème du jour : "Scandale sur le sable !" de ... Rotpier
Ça sent bon le sable chaud mais ... sans légionnaire !
Photo de Marie Lecorre
Scandale sur le sable !
Qui donc a pu - c’est un scandale ! -
abandonner ces deux sandales ?
Cela me fait bien mal au cœur,
sans être un vrai enfant de chœur !
Je veux la vérité totale,
même lourde comme tantale !
Est-ce une fille ou un garçon
qui s’est conduit de cett’ façon !
Au plein soleil, elles exhalent
une tristess’ des plus causales !
C’est mon honneur, c’est mon devoir :
je veux absolument savoir !
Je ne pars pas et je m’installe :
ma décision est capitale !
… Ça bouge à coté du buisson
… Ça s’agite et … voilà le son !
Voila … je sais ! C’est de la balle !
La vérité … je la déballe :
Joli bouquet de pieds à poil,
prenant leur pied : ça c’est au poil !
Il n’y aura pas de scandale :
elle reviendra prendr’ ses sandales !
Toute contente en fredonnant
un petit air en ronronnant !
Mais … et si je me faisais… fleuriste ?
C’est une idée monumentale !
Sûr ! Demain… c’est moi qui l’emballe !
Sur la dune ou au bout du quai,
bibi dressera le bouquet !
Rotpier
Ça sent bon le sable chaud mais ... sans légionnaire !
Photo de Marie Lecorre
Scandale sur le sable !
Qui donc a pu - c’est un scandale ! -
abandonner ces deux sandales ?
Cela me fait bien mal au cœur,
sans être un vrai enfant de chœur !
Je veux la vérité totale,
même lourde comme tantale !
Est-ce une fille ou un garçon
qui s’est conduit de cett’ façon !
Au plein soleil, elles exhalent
une tristess’ des plus causales !
C’est mon honneur, c’est mon devoir :
je veux absolument savoir !
Je ne pars pas et je m’installe :
ma décision est capitale !
… Ça bouge à coté du buisson
… Ça s’agite et … voilà le son !
Voila … je sais ! C’est de la balle !
La vérité … je la déballe :
Joli bouquet de pieds à poil,
prenant leur pied : ça c’est au poil !
Il n’y aura pas de scandale :
elle reviendra prendr’ ses sandales !
Toute contente en fredonnant
un petit air en ronronnant !
Mais … et si je me faisais… fleuriste ?
C’est une idée monumentale !
Sûr ! Demain… c’est moi qui l’emballe !
Sur la dune ou au bout du quai,
bibi dressera le bouquet !
Rotpier
"Être philosophe," : le sonnet du jour augmenté de ... Pierre
Préambule : Les différentes définitions de « philosophe » :
◆Personne qui étudie la philosophie; spécialiste de philosophe.
◆Penseur qui élabore un système de pensée, une doctrine philosophique. Philosophe idéaliste, matérialiste.
◆Personne qui pratique la sagesse.
Dans ce sonnet, je ne m’intéresse qu’au dernier cas mais si les deux premiers se révélaient ne pas l’être lors de l’ultime épreuve, je pense que l’épithète de faussaire leur irait comme un gant. Encore … encore qu’il y ait des marchands de grandeur d’âme qui n’ont pas un seul échantillon sur eux !
Être philosophe,
La philosophie est un don,
Elle est en soi, elle est innée,
Elle est un feu de cheminée
Qui toujours produit des brandons.
Ni au clou ni à l’abandon
Elle croit au fil des années,
Enrichie et bien déclinée
Jamais elle ne fait faux bond.
C’est quand vient le bout de la route
Que l’on peut lever tous les doutes :
Notre habit est-il sans accroc ?
Quand on fait face à la camarde
Sans peur ni supplique geignardes :
On échappe au statut d’escroc !
Epilogue :
Fasse que je n’en sois pas un
Quand je serais devant la Parque,
Quand elle me dira « Embarque,
Ici tu ne sers plus à rien ! »
Pierre Dupuis
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !