Le poème du jour tout chaud tout frais : " Le borné, " de ... Pierre ! ( Pas Pierre le borné SVP ! )
Image du net
Le borné,
Toujours certain d’avoir raison,
Toujours pétri de certitudes
Et ce sur une foultitude
De sujets de tout horizon.
Il ne remet pas en question
Des vérités en désuétude,
Il se raidit et il élude
Les demandes d’explication.
La relativité existe,
Il n’y a rien de fantaisiste
À affirmer et c’est certain
Que sous toutes les latitudes
Les campés sur leurs certitudes
Sont frappés du sceau des crétins !
Péroraison :
Ceci est une théorie,
Un essai de démonstration
Et si c’est une connerie
Je remettrais tout en question !
Je ne voudrais pas qu’on me taxe
Ni de génie ni de crétin,
D’ailleurs très souvent ma syntaxe
Passe bien près de l’incertain !
Si l’on me traite d’imbécile,
Je dis : « Rien n’est définitif ! »
Tous les jugements sont fragiles :
Dans la vie tout est relatif !
Il y a quand même une entorse
à ce « Rien n’est définitif » :
c’est l’instant où bombant le torse
la Parque nous prend par les tifs !
Image du net, cette fois-ci très nette
mais ... tout est relatif, même la longueur des cheveux !
... De la langue aussi !
Image du net
Le borné,
Toujours certain d’avoir raison,
Toujours pétri de certitudes
Et ce sur une foultitude
De sujets de tout horizon.
Il ne remet pas en question
Des vérités en désuétude,
Il se raidit et il élude
Les demandes d’explication.
La relativité existe,
Il n’y a rien de fantaisiste
À affirmer et c’est certain
Que sous toutes les latitudes
Les campés sur leurs certitudes
Sont frappés du sceau des crétins !
Péroraison :
Ceci est une théorie,
Un essai de démonstration
Et si c’est une connerie
Je remettrais tout en question !
Je ne voudrais pas qu’on me taxe
Ni de génie ni de crétin,
D’ailleurs très souvent ma syntaxe
Passe bien près de l’incertain !
Si l’on me traite d’imbécile,
Je dis : « Rien n’est définitif ! »
Tous les jugements sont fragiles :
Dans la vie tout est relatif !
Il y a quand même une entorse
à ce « Rien n’est définitif » :
c’est l’instant où bombant le torse
la Parque nous prend par les tifs !
Image du net, cette fois-ci très nette
mais ... tout est relatif, même la longueur des cheveux !
... De la langue aussi !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )
3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !)
5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !
6ème ligne, dernière image : le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo !
9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand !
10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi ! Je ferais mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose !
11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des " - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !
12ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus !
14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !
Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "
Il est assez long alors ... au boulot les champions et bon voyage !
Et pis ch'est tout !
Réponse :
Il ne faut jamais demander à un musulman et encore plus un intégriste si au bout de son voyage il est arrivé à bon port car il risque de faire sa tête de cochon !
Nota : Il eut été, même en hiver, peut-être plus judicieux de mettre "moins" à la place de "plus", on m'en a fait la remarque et ma foi je pense qu'elle est justifiée !
Je fais mon mea cul plat
et remercie qui de droit !
Amen !
... Et pis c'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : quand on meurt, notre " - - - " s'envole , parait-il ... encore faut-il être croyant ! Dernière image : quand il "- - - - " son nez s'allonge ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison ! )
3ème ligne, dernière image: en direct : " u " cocote ! ( l'autre aussi, il n'y a pas de raison !)
5ème ligne: Je me suis été gouré un peu, vous pouvez ajouté un "a" entre le + et le 1 !
6ème ligne, dernière image : le serpent fait toujours "s" ou se" c'est sa manie ... et n'oubliez pas que quand ce qui sert pend, il est temps de ranger le matériel et de faire dodo !
9ème ligne, 1ère image : un diagramme de " - - - " ... vous avez bien entendu ? 2ème image: ce qui sort amplifié de l'engin ... pour ceux qui sont loin ou durs de la feuille ! Dernière image: oui en allemand !
10ème ligne, 1ère image : ce qui est remplacé par les 3 points rouges sur la stèle, si vous voyez la stèle dites-lui mes amis que je ... mais qu'est-ce que je raconte moi ! Je mieux de vous dire qu'il faut scinder en deux le mot ! 3ème image : de sable ou d'autre chose !
11ème ligne, 3ème image : l'animal fait des " - - - - " ! ... comme le Rotpier qui danse !
12ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus !
14ème ligne, 1ère image : la boisson favorite des rosbifs ! dernière image : la moitié du nom du volatile !
Dernière ligne, 1ère image : en direct: che "
Il est assez long alors ... au boulot les champions et bon voyage !
Et pis ch'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Barbara: " Göttingen " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Barbara »
« Göttigen »
La longue dame brune …
Göttingen
Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen
Bon partage !
Rotpier
« Barbara »
« Göttigen »
La longue dame brune …
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Göttingen
Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : " La rousse semeuse de maux, " de ... Rotpier
Des maux et des mots ... démo :
Image du net bidouillée par le Rotpier
.
La rousse semeuse de maux,
Elle avait un petit sourire
Qui laissait pantois les garçons
Et un coté pince-sans-rire
Qu’elle cultivait sans façon.
Allaient-ils se faire éconduire
Ou passer sous son édredon ?
Répertorier ou bien maudire
Ses nombreuses taches de son ?
Pas facile à cerner la rousse :
Une énigme que sa frimousse !
Et toujours la même question :
Même teinte à tous les étages ?
Et pour la vérification
Ne pas essuyer un : « Dégage ! »
Péroraison :
Voila l’espoir énigmatique
Mais ne manquant pas de piquant
Que de façon systématique
La rousse semait à tous vents !
Image du net, c'est net !
Des maux et des mots ... démo :
Image du net bidouillée par le Rotpier
.
La rousse semeuse de maux,
Elle avait un petit sourire
Qui laissait pantois les garçons
Et un coté pince-sans-rire
Qu’elle cultivait sans façon.
Allaient-ils se faire éconduire
Ou passer sous son édredon ?
Répertorier ou bien maudire
Ses nombreuses taches de son ?
Pas facile à cerner la rousse :
Une énigme que sa frimousse !
Et toujours la même question :
Même teinte à tous les étages ?
Et pour la vérification
Ne pas essuyer un : « Dégage ! »
Péroraison :
Voila l’espoir énigmatique
Mais ne manquant pas de piquant
Que de façon systématique
La rousse semait à tous vents !
Image du net, c'est net !
" Écrin de classe " : un poème de Pierre qui a plus d'une corde dans son arc !
Écrin de classe,
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
L’archet malin
qui la chatouille
se fait gredin
avec papouilles !
De grands frissons,
de longues plaintes,
voilà le son
de la complainte !
Et bien au chaud,
elle ronronne,
moite berceau :
la place est bonne !
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
Rêve …
J’aimerais bien
avoir ma place
en cet écrin
de grande classe !
Je voudrais …
Aux noirs souliers,
faire la nique,
prendre mon pied
… tout en musique !
Mais je n'ai pas
la moindre chance :
je reste là
hors de la danse !
Écrin de classe,
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
L’archet malin
qui la chatouille
se fait gredin
avec papouilles !
De grands frissons,
de longues plaintes,
voilà le son
de la complainte !
Et bien au chaud,
elle ronronne,
moite berceau :
la place est bonne !
Tout contre bas
la contrebasse
fait « la,la,la ! »
et se prélasse !
Rêve …
J’aimerais bien
avoir ma place
en cet écrin
de grande classe !
Je voudrais …
Aux noirs souliers,
faire la nique,
prendre mon pied
… tout en musique !
Mais je n'ai pas
la moindre chance :
je reste là
hors de la danse !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
.
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image : le serpent fait toujours "s" ou "se" selon son humeur avec ou sans panaris ! 3ème image : " - - - " est ce personnage ? Dernière image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
2ème ligne, 2ème image : ça ne sent pas bon ... au présent !
4ème ligne, 1ère image : en direct: "ti" ! 2ème image : ils sont à poil ! 3ème image : petite, la sale bête est lente !
5ème ligne, 1ère image :il ne faut pas prendre la brosse ! Dernière image, le symbole de la "vie" ... c'était en direct du rébus dominical du Rotpier, à vous les studios !
6ème ligne, 2ème image : la sale bête pique tant et plus !
7ème ligne, dernière image : prison pour animaux sauvages ! ( l'autre aussi ! ) Nota: il faut enchaîner avec la 1ère image de la 8ème ligne !
11ème ligne, dernière image : attention c'est " - - - - " bouillant !
12ème ligne, dernière image : endroit où sont entreposés des fûts ! Je rappelle pour les imprudents qu'il est très dangereux de laisser un doigt dans le trou du fût !
Dernière ligne, 1ère image : celui-ci est sélectif comme dit souvent mon coiffeur qui a tendance à les couper en quatre !
Il est assez long alors ... au boulot les champions !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Ceux qui manipulent le Coran en continu pour créer de vives tensions entre les hommes et les peuples ne méritent pas autre chose que la chaise électrique !
Qu'il dit l'animal !
Léo Ferré : " La mémoire et la mer " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Que dire ? Rien, écouter et se laisser bercer par
la voix, la musique et les paroles ...
LA MÉMOIRE ET LA MER
La marée je l'ai dans le coeur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite soeur
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baisers
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus
Ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais géométrisant
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte mon spleen
Les coquillages figurants
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieu des granits ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue
Dans cette mer jamais étale
D'où nous remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du flafla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue aux musiques mortes
C'est fini la mer c'est fini
Sur la plage le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
Bon partage !
Rotpier