Jacques Brel : " La ville s'endormait " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Le grand Jacques :
« La ville s’endormait »
Quand je pense que certains ont dit que son dernier
album n'était pas une réussite ...
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La ville s'endormait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Et la nuit peu à peu
Et le temps arrêté
Et mon cheval boueux
Et mon corps fatigué
Et la nuit bleu à bleu
Et l'eau d'une fontaine
Et quelques cris de haine
Versés par quelques vieux
Sur de plus vieilles qu'eux
Dont le corps s'ensommeille
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Et mon cheval qui boit
Et moi qui le regarde
Et ma soif qui prend garde
Qu'elle ne se voit pas
Et la fontaine chante
Et la fatigue plante
Son couteau dans mes reins
Et je fais celui-là
Qui est son souverain
On m'attend quelque part
Comme on attend le roi
Mais on ne m'attend point
Je sais, depuis déjà
Que l'on meurt de hasard
En allongeant le pas
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Il est vrai que parfois près du soir
Les oiseaux ressemblent à des vagues
Et les vagues aux oiseaux
Et les hommes aux rires
Et les rires aux sanglots
Il est vrai que souvent
La mer se désenchante
Je veux dire en cela
Qu'elle chante
D'autres chants
Que ceux que la mer chante
Dans les livres d'enfants
Mais les femmes toujours
Ne ressemblent qu'aux femmes
Et d'entre elles les connes
Ne ressemblent qu'aux connes
Et je ne suis pas bien sûr
Comme chante un certain
Qu'elles soient l'avenir de l'homme
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s'endormait
Et j'en oublie le nom
Et vous êtes passée
Demoiselle inconnue
A deux doigts d'être nue
Sous le lin qui dansait
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Edition spéciale : église et pédophilie ... Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
En raison de l'actualité ...
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
En raison de l'actualité ...
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Eglise et Pédophilie, viol encore et toujours : le poème du jour de Pierre : " Tu le diras un jour "
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Toute corrélation avec des faits d’actualité est parfaitement justifiée. Si dieu* existe et compte tenu qu’il régit tout, il est au bas mot complice.
Amis croyants, interrogez-vous !
Lien :
Image du net modifiée par moi-même
Tu le diras un jour …
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos,
des voyages en bateau
et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !
Pierre Dupuis
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 4ème image: il parait que l'amour est dedans ... en attendant, c'est une vache ... mais il est vrai que l'amour vache existe aussi !
2ème ligne, 1ère image ( si l'on ne tient pas compte de l'apostrophe ! ) lieu où se tenait la vigie sur les anciens voiliers !
3ème ligne, dernière image : c'est le moment des " - - - - - " !
4ème ligne, 1ère image : elle est " - - - - - " de chez " - - - - - " ! ( faire la liaison avec l'image suivante ! ) Dernière image : c'est la marque qu'il vous faut retenir ou je fais un malheur !
5ème ligne, 1ère image : petit de la biche !
6ème ligne, 2ème image : le kangourou fait des " - - - - - " !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Est-ce qu’après une sérieuse déconvenue les enfants de la balle rebondissent mieux que les autres ?
Qu'il dit l'animal !
"Les anarchistes" de Léo Ferré ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Léo Ferré
« Les anarchistes,»
Et si, se dressant contre les inégalités
patentes et croissantes, ils revenaient en force ?
Quand on n’a plus rien à perdre,
on ne risque plus grand-chose.
Les anarchistes
La plupart Espagnols allez savoir pourquoi
Faut croire qu´en Espagne on ne les comprend pas
Les anarchistes
Des beignes et des pavés
Ils ont gueulé si fort
Qu´ils peuv´nt gueuler encore
Ils ont le cœur devant
Et leurs rêves au mitan
Et puis l´âme toute rongée
Par des foutues idées
La plupart fils de rien ou bien fils de si peu
Qu´on ne les voit jamais que lorsqu´on a peur d´eux
Les anarchistes
Pour que dalle et pour quoi?
Avec l´amour au poing
Sur la table ou sur rien
Avec l´air entêté
Qui fait le sang versé
Ils ont frappé si fort
Qu´ils peuvent frapper encor
Et s´il faut commencer par les coups d´pied au cul
Faudrait pas oublier qu´ça descend dans la rue
Les anarchistes
En berne sur l´Espoir
Et la mélancolie
Pour traîner dans la vie
Des couteaux pour trancher
Le pain de l´Amitié
Et des armes rouillées
Pour ne pas oublier
Et qu´ils se tiennent bien le bras dessus bras dessous
Joyeux, et c´est pour ça qu´ils sont toujours debout
Les anarchistes
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Le Rotpier
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Journée de la femme ... "Les pépettes" : le poème du jour de ... Pierre !
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Un petit mélange de Pierre et de Rotpier pour célébrer la journée de la femme ...
Un très ancien poème …
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Un p’tit clin d’œil façon princesse
et pas plus haut’ qu’un bout de zan !
Ça joue déjà tout en finesse
une pépette de trois ans !
Une poitrine qui progresse
et qui attir’ les courtisans :
ça se transforme en chasseresse
une pépette de treize ans !
Un peu de stress et de détresse,
des p’tits amis mais pas d’amant :
ça doute un peu mais - sans confesse -
une pépette de seize ans !
Et puis un jour, volent les tresses !
il n’est plus temps le temps d’avant :
ça succombe sous les caresses
une pépett’ de dix huit ans !
Qu’elle soit ta femme ou ta maîtresse,
câlins malins très désarmants :
ça réduit bien ton tiroir-caisse
une pépette de trente ans !
Coule le temps, passe tigresse,
tout en douceur, chemin faisant,
ça s’assagit - sauf les diablesses ! -
une pépette avec les ans !
Pierre Dupuis