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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

7 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour

.

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

rebus 362 (1)

rebus 362 (2)

 

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est une connerie du Rotpier ... qui n'en n'est pas un !

1ère ligne, 2ème image : Attention, passage de "  - - - - - " !  ( l'autre aussi ! ) 3ème image : il n'est pas moche le mec ... hein mesdames ? ( l'autre aussi ! )

2ème ligne, 2ème image : il ne faut pas prendre le mou ! 

4ème ligne, 3ème image :en direct : symbole de la " vie " ! 

5ème ligne, 3ème image : petite, la bête est lente !

6ème ligne, 1ère image : c'est la marque qu'il faut retenir ! 

Il est court mais il est vache pour les concernés et quand ils sont cernés c'est toujours ça de gagner pour les identifier ! ... Au boulot les champions !

Et pis c'est tout !

Réponse :

Un vieux beau au bout du rouleau n’est plus qu’un vieux beau vidé, c’est vache pour lui mais c’est ainsi !

Qu'il dit l'animal !

 

 

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"Jaurès", une chanson de Jacques Brel chantée par Ian : ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

7 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« Ian »

« Jaurès »

C’est bientôt le 11 novembre et cette chanson du grand

Jacques évoque la grande boucherie de 14-18.

J’aurais voulu mettre l’originale mais elle n’est plus

disponible sur Youtube !

 

Jaurès,

Ils étaient usés à quinze ans
Ils finissaient en débutant
Les douze mois s'appelaient décembre
Quelle vie ont eu nos grands-parents
Entre l'absinthe et les grand-messes
Ils étaient vieux avant que d'être
Quinze heures par jour, le corps en laisse
Laissent au visage un teint de cendre
Oui notre Monsieur, oui notre bon Maître

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

On ne peut pas dire qu'ils furent esclaves
De là à dire qu'ils ont vécu
Lorsque l'on part aussi vaincu
C'est dur de sortir de l'enclave
Et pourtant l'espoir fleurissait
Dans les rêves qui montaient aux cieux
Des quelques ceux qui refusaient
De ramper jusqu'à la vieillesse
Oui notre bon Maître, oui notre Monsieur

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

Si par malheur ils survivaient
C'était pour partir à la guerre
C'était pour finir à la guerre
Aux ordres de quelque sabreur
Qui exigeait du bout des lèvres
Qu'ils aillent ouvrir au champ d'horreur
Leurs vingt ans qui n'avaient pu naître
Et ils mouraient à pleine peur
Tout miséreux, oui, notre bon Maître
Couverts de prêles, oui, notre Monsieur

Demandez-vous, belle jeunesse
Le temps de l'ombre d'un souvenir
Le temps de souffle d'un soupir :

Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?

Bon partage !

 

Rotpier

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Relation très tendue entre ... " La poutre et le pendu, " ... un poème très très ancien de ... Pierre !

5 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Un très ancien poème ... noir !

 

Pendu

Image du net

 

La poutre et le pendu,

Pourquoi en était-il arrivé là ?

Il ne le savait plus très bien.

Pas quelque chose de précis… non.

Plutôt une accumulation de petits riens

… aux yeux des autres !

Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…

très lourd, dans la besace de la vie.

Il n’était pas pressé… non .

Il prenait son temps : méthodique,

très méthodique.

Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner

de m’ajouter un nœud, un de plus,

un… pas très catholique !

Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place

 et, tranquillement, se prépara.

Avec lui même il s’accorda ;

avec le chanvre, il s’encorda.

Puis, brusquement, laissant dans son sillage

la longue ligne droite de sa vie

toujours réglée toujours en ordre

il se paya  la fantaisie

de prendre le dernier virage

à fond la caisse et … à la corde !

.

Et moi…moi, au-dessus de lui,

à l’autre bout de lui,

je ne dis rien.

Je fais tranquillement, honnêtement,

mon travail de poutre : je tiens !

                                           Pierre Dupuis

Un très ancien poème ... noir !

 

Pendu

Image du net

 

La poutre et le pendu,

Pourquoi en était-il arrivé là ?

Il ne le savait plus très bien.

Pas quelque chose de précis… non.

Plutôt une accumulation de petits riens

… aux yeux des autres !

Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…

très lourd, dans la besace de la vie.

Il n’était pas pressé… non .

Il prenait son temps : méthodique,

très méthodique.

Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner

de m’ajouter un nœud, un de plus,

un… pas très catholique !

Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place

 et, tranquillement, se prépara.

Avec lui même il s’accorda ;

avec le chanvre, il s’encorda.

Puis, brusquement, laissant dans son sillage

la longue ligne droite de sa vie

toujours réglée toujours en ordre

il se paya  la fantaisie

de prendre le dernier virage

à fond la caisse et … à la corde !

Et moi…moi, au-dessus de lui,

à l’autre bout de lui,

je ne dis rien.

Je fais tranquillement, honnêtement,

mon travail de poutre : je tiens !

                                Pierre Dupuis
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" Autoportrait," ... un poème de Pierre

3 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Pensées

 

 

Préambule :

L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.

Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !

On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.

Mais, rien n’empêche  de relever le défit et d’essayer quand même.

Pierre Dupuis 

 

Autoportrait,

Je suis un poète atypique

passé par la case prolo,

quand je suis la cible de piques

on me les lance ex-nihilo !

Je pèche un peu en rhétorique

car j’ai quitté les cours très tôt,

j’ai un alibi authentique :

à seize ans j’étais au boulot !

J’ai quand même appris mes classiques

préférant Zola à Hugo,

pour ce qui est de la musique

je vais de Wagner à Renaud !

Mes inclinations poétiques

vont du bon Villon à Queneau

en passant par les élastiques

des souliers troués de Rimbaud !

Je suis large sur la rythmique :

je laisse faire mon stylo !

Certains esprits monolithiques

me qualifient de rigolo !

Réguliers ou acrobatiques

mes vers ne sont pas idéaux,

ils sont sérieux ou drolatiques,

polis ou taillés au couteau !

Ils sont peu souvent syntaxiques :

je cultive le quiproquo !

Mais ils sont rarement toxiques

sauf bien sûr contre les fachos !

De l’amour à la politique

je brosse un peu tous les tableaux,

qu’ils soient morbides ou phalliques,

si ça dérange peu me chaut !

Mes textes sont très éclectiques

rasant parfois le caniveau,

je m’accommode des critiques

… tout en préférant les bravos !

Certains me trouvent sympathique,

d’autres me traitent de charlot,

à ceux-là moi je fais la nique

avant de leur tourner le dos !

Tantôt tendre, tantôt caustique,

parfois gentil, parfois salaud,

érotique ou bien hérétique

et bien sûr très souvent cabot !

Quand la Camarde boulimique

m’intimera : " Viens mon coco ! "

je lui dirais sans polémique :

" Attends je range mon stylo ! 

Je ne te fais pas de supplique

après tout tu fais ton boulot,

ne prend pas cet air pathétique

toi qui a la mort dans la peau ! "

Chacun doit déposer sa chique

un peu plus tard, un peu plus tôt,

il n’y a là rien de tragique :

c’est juste effacer un tableau !

Un banquet sans chant ni musique

réunira dans mon caveau

des légions de vers boulimiques

qui gémiront : " Il n’est pas gros ! "

Ils repartiront faméliques

après m’avoir sucé les os

en quête d’un hypothétique

festin digne de commensaux !

La crémation dont la pratique

a vraiment le vent dans le dos

réduit de façon très drastique

les macchabées … maigres ou gros !

L’avenir est problématique :

pour ces vers-là c’est Waterloo !

Quant à ceux de la poétique,

éviteront-ils le tombeau ?

C’est un portrait très elliptique

que je vous sers sur un plateau,

gagnerais-je une pluie de piques

ou une envolée de chapeaux ?

                                                       Pierre Dupuis

Préambule :

L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.

Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !

On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.

Mais, rien n’empêche  de relever le défit et d’essayer quand même.

Pierre Dupuis 

 

Autoportrait,

Je suis un poète atypique

passé par la case prolo,

quand je suis la cible de piques

on me les lance ex-nihilo !

Je pèche un peu en rhétorique

car j’ai quitté les cours très tôt,

j’ai un alibi authentique :

à seize ans j’étais au boulot !

J’ai quand même appris mes classiques

préférant Zola à Hugo,

pour ce qui est de la musique

je vais de Wagner à Renaud !

Mes inclinations poétiques

vont du bon Villon à Queneau

en passant par les élastiques

des souliers troués de Rimbaud !

Je suis large sur la rythmique :

je laisse faire mon stylo !

Certains esprits monolithiques

me qualifient de rigolo !

Réguliers ou acrobatiques

mes vers ne sont pas idéaux,

ils sont sérieux ou drolatiques,

polis ou taillés au couteau !

Ils sont peu souvent syntaxiques :

je cultive le quiproquo !

Mais ils sont rarement toxiques

sauf bien sûr contre les fachos !

De l’amour à la politique

je brosse un peu tous les tableaux,

qu’ils soient morbides ou phalliques,

si ça dérange peu me chaut !

Mes textes sont très éclectiques

rasant parfois le caniveau,

je m’accommode des critiques

… tout en préférant les bravos !

Certains me trouvent sympathique,

d’autres me traitent de charlot,

à ceux-là moi je fais la nique

avant de leur tourner le dos !

Tantôt tendre, tantôt caustique,

parfois gentil, parfois salaud,

érotique ou bien hérétique

et bien sûr très souvent cabot !

Quand la Camarde boulimique

m’intimera : « Viens mon coco ! »

je lui dirais sans polémique :

« Attends je range mon stylo ! »

Je ne te fais pas de supplique

après tout tu fais ton boulot,

ne prend pas cet air pathétique

toi qui a la mort dans la peau !

Chacun doit déposer sa chique

un peu plus tard, un peu plus tôt,

il n’y a là rien de tragique :

c’est juste effacer un tableau !

Un banquet sans chant ni musique

réunira dans mon caveau

des légions de vers boulimiques

qui gémiront : « Il n’est pas gros ! »

Ils repartiront faméliques

après m’avoir sucé les os

en quête d’un hypothétique

festin digne de commensaux !

La crémation dont la pratique

a vraiment le vent dans le dos

réduit de façon très drastique

les macchabées … maigres ou gros !

L’avenir est problématique :

pour ces vers-là c’est Waterloo !

Quant à ceux de la poétique,

éviteront-ils le tombeau ?

C’est un portrait très elliptique

que je vous sers sur un plateau,

gagnerais-je une pluie de piques

ou une envolée de chapeaux ?

                                                       Pierre Dupuis
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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

2 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !      

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !      

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

1 Novembre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

.

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

rebus 361 (1)

rebus 361 (2)

 

C'est une grosse connerie du Rotpier sur toute la ligne !

1ère ligne, 2ème image :  " - - - " César qu'il dit le centurion ! 3ème image : la moitié du nom du personnage ! Dernière image : prendre la moitié de la marque !

2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !

4ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s" ou "se" ... selon son humeur ! Dernière image : quand elle est petite la sale bête est lente !

6ème ligne, 4ème image : la boisson favorite des rosbifs !

 

Il est court alors on se dépêche : allez, tout le monde en voiture !

Et pis c'est tout !

Réponse :

Elle avait un arrière-train de première classe mais pour monter le billet coûtait la peau des fesses !

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Bernard Lavilliers : " On the road again " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

31 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Bernard Lavilliers :
« On the road again »
 
 
 

On the road again,

Nous étions jeunes et larges d'épaules,
Bandits joyeux, insolents et drôles.
On attendait que la mort nous frôle,

Refrain
On the road again, again, 
On the road again, again.

Au petit jour on quittait l'Irlande 
Et, derrière nous, s'éclairait la lande.
Il fallait bien, un jour, qu'on nous pende.

Refrain

La mer revient toujours au rivage. 
Dans les blés mûrs, y'a des fleurs sauvages.
N'y pense plus, tu es de passage.

Refrain

Nous étions jeunes et larges d'épaules.
On attendait que la mort nous frôle.
Elle nous a pris, les beaux et les drôles.

Ami, sais-tu que les mots d'amour 
Voyagent mal de nos jours. 
Tu partiras encore plus lourd.

Refrain

 

 

  Bon partage !

Rotpier

 
 
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“Coup de chaud dans le métro” un poème avec une mise en garde de ... Rotpier !

29 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Humour

 

 

Allez, un petit coup de chaud

à l'approche de l'hiver !

 

... Et aussi une mise en garde

pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !

 
 
 
Image bidouillée par Rotpier !
 
 
 

Coup de chaud dans le métro,

Il avait pris un coup de chaud

en détaillant ses hémisphères,

paire du bas, paire du haut :

véritables calorifères !

C’est par le plus grand des hasards,

sur un escalier mécanique,

qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -

celles du bas au galbe unique !

Il les avait au ras des yeux :

elle avait trois marches d’avance !

Un panorama merveilleux

qui supplantait Saint-Paul de Vence !

Quand tout en haut de l’escalier,

elle reprit sa marche souple,

le mouvement de balancier

lui coupa carrément le souffle !

Il calcula rapidement

que pour rester en équilibre,

il fallait bien que sur l’avant

ce soit aussi du beau calibre !

Alors il lui fila le train

- celui arrière à l’évidence ! -

en retenant très fort ses mains

qui voulaient entrer dans la danse !

A peine arrivés sur le quai,

la rame se pointa bondée :

il se retrouva tout plaqué,

les yeux sur la belle avancée !

Les deux hémisphères du haut

étaient aussi très remarquables :

la nana avait des lolos

qui poussaient à se mettre à table !

Libres de tout harnachement

ils tressautaient tout à leur guise,

à chaque à-coup très franchement,

usant le pull de la marquise !

La marquise qui remarqua

cette expertise licencieuse,

banda ses forces et  lui cloqua

son beau genou dans les précieuses !

Le coup de chaud se transforma

dans la seconde en incendie,

en douleur de très grand format

et en coup de tachycardie !

Elle lui dit en souriant :

« N’en fais pas une maladie,

ça passera avec le temps :

prends ça avec philosophie !

Mon mec est bien plus beau que toi

et si je balance mes fesses,

si mes nénés font contrepoids,

c’est pour que je sois sa déesse ! "

   Moralité :

A moins d’avoir des droits dessus,

ne vas pas trop lorgner les filles :

un petit coup d’œil et pas plus

ou gare aux bijoux de famille ! 

                                Rotpier

 

 

 

Allez, un petit coup de chaud

à l'approche de l'hiver !

 

... Et aussi une mise en garde

pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !

 
 
 
Image bidouillée par Rotpier !
 
 
 

Coup de chaud dans le métro,

Il avait pris un coup de chaud

en détaillant ses hémisphères,

paire du bas, paire du haut :

véritables calorifères !

C’est par le plus grand des hasards,

sur un escalier mécanique,

qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -

celles du bas au galbe unique !

Il les avait au ras des yeux :

elle avait trois marches d’avance !

Un panorama merveilleux

qui supplantait Saint-Paul de Vence !

Quand tout en haut de l’escalier,

elle reprit sa marche souple,

le mouvement de balancier

lui coupa carrément le souffle !

Il calcula rapidement

que pour rester en équilibre,

il fallait bien que sur l’avant

ce soit aussi du beau calibre !

Alors il lui fila le train

- celui arrière à l’évidence ! -

en retenant très fort ses mains

qui voulaient entrer dans la danse !

A peine arrivés sur le quai,

la rame se pointa bondée :

il se retrouva tout plaqué,

les yeux sur la belle avancée !

Les deux hémisphères du haut

étaient aussi très remarquables :

la nana avait des lolos

qui poussaient à se mettre à table !

Libres de tout harnachement

ils tressautaient tout à leur guise,

à chaque à-coup très franchement,

usant le pull de la marquise !

La marquise qui remarqua

cette expertise licencieuse,

banda ses forces et  lui cloqua

son beau genou dans les précieuses !

Le coup de chaud se transforma

dans la seconde en incendie,

en douleur de très grand format

et en coup de tachycardie !

Elle lui dit en souriant :

« N’en fais pas une maladie,

ça passera avec le temps :

prends ça avec philosophie !

Mon mec est bien plus beau que toi

et si je balance mes fesses,

si mes nénés font contrepoids,

c’est pour que je sois sa déesse ! "

   Moralité :

A moins d’avoir des droits dessus,

ne vas pas trop lorgner les filles :

un petit coup d’œil et pas plus

ou gare aux bijoux de famille ! 

                                Rotpier

 

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Horoscope et couple: les grandes interrogations de Rotpier : " Les douze signes et le vilain petit canard, " ... et pis c'est tout !

27 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Humour

 

Choisir une compagne

en fonction de son signe astral,

n’est pas chose facile !

Rotpier

Image du net

Les douze signes et le vilain petit canard,

Vous vous posez maintes questions

quand il vous faut choisir un signe

pour construire une relation

qui ne vire pas à la guigne !

Je vous propose une excursion

mais sans vous donner de consigne ! -

au pays de mes réflexions

que dans ces quelques vers j’aligne !

xxxxxxx

Si je m’entiche d’un Bélier

dont le papa est capricorne,

finirais-je tout humilié

affublé de très longues cornes ?

Si je craque pour un Taureau,

tomberais-je sur une vache ?

Comme le dit l’ami Roro :

certaines sont vraiment des taches !

Si je tombe sur un Gémeaux

qui, parait-il, n’est pas facile,

aurais-je avec elle des mots ?

Ce serait vraiment imbécile !

Si je brulais pour un Cancer,

combien de temps aurais-je à vivre ?

Combien de temps avant les vers ?

Ce n’est pas écrit dans les livres !

Si je fais l’amour à un Lion,

la tiendrais-je par la crinière

pour éviter sa rébellion

quand je ferais un tour derrière ?

Si par un miracle accompli,

je tombais sur une vraie Vierge,

cela ne ferait pas un pli,

mais aurais-je besoin d’un cierge ?

Pourtant le summum des fléaux

ce serait bien qu’une Balance

m’offre son amour sur plateau

et me colle une chaude … offense !

Si je me piquais d’un Scorpion :

combien de jours avant la tombe ?

Rien à voir avec les morpions :

sitôt piqué, sitôt tu tombes !

Si je tombais, tout par hasard,

sur une femme Sagittaire,

pourrais-je sans trop de bazar

arriver à la faire taire ?

Et si j’avais un coup de cœur

pour une jolie Capricorne,

aurais-je beaucoup de bonheur

ou bien une vie des plus mornes ?

Si je séduis une mignonne

qui soit du signe du Verseau,

voudra-t-elle en bonne amazone

sacrifier au recto verso ?

Et si je ferrais un Poisson,

à la messe ou bien dans la rue,

je sais que j’aurais des soupçons :

entre l’ange ou bien la morue !

xxxxxxxxxxx

Je ne sais pas si vous avez

choisi parmi ces douze strophes,

un signe qui pourrait coller

pour limiter la catastrophe !

Mais il faut bien un jour choisir

car même si l’on vire tante,

les signes restent et le désir

c’est de pouvoir planter sa … tente !

Voilà le grand panorama,

le tour complet de l’horoscope,

je rentre dans l’anonymat

avant que l’on me télescope !

Rotpier

Le faux mage complètement rapé :

 

Image bidouillée par le Rotpier

... ça fout les boules, pas vrai ?

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

26 Octobre 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !      

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