Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image : Attention, passage de " - - - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : il n'est pas moche le mec ... hein mesdames ? ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, 2ème image : il ne faut pas prendre le mou !
4ème ligne, 3ème image :en direct : symbole de la " vie " !
5ème ligne, 3ème image : petite, la bête est lente !
6ème ligne, 1ère image : c'est la marque qu'il faut retenir !
Il est court mais il est vache pour les concernés et quand ils sont cernés c'est toujours ça de gagner pour les identifier ! ... Au boulot les champions !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Un vieux beau au bout du rouleau n’est plus qu’un vieux beau vidé, c’est vache pour lui mais c’est ainsi !
Qu'il dit l'animal !
"Jaurès", une chanson de Jacques Brel chantée par Ian : ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Ian »
« Jaurès »
C’est bientôt le 11 novembre et cette chanson du grand
Jacques évoque la grande boucherie de 14-18.
J’aurais voulu mettre l’originale mais elle n’est plus
disponible sur Youtube !
Jaurès,
Ils étaient usés à quinze ans
Ils finissaient en débutant
Les douze mois s'appelaient décembre
Quelle vie ont eu nos grands-parents
Entre l'absinthe et les grand-messes
Ils étaient vieux avant que d'être
Quinze heures par jour, le corps en laisse
Laissent au visage un teint de cendre
Oui notre Monsieur, oui notre bon Maître
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
On ne peut pas dire qu'ils furent esclaves
De là à dire qu'ils ont vécu
Lorsque l'on part aussi vaincu
C'est dur de sortir de l'enclave
Et pourtant l'espoir fleurissait
Dans les rêves qui montaient aux cieux
Des quelques ceux qui refusaient
De ramper jusqu'à la vieillesse
Oui notre bon Maître, oui notre Monsieur
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Si par malheur ils survivaient
C'était pour partir à la guerre
C'était pour finir à la guerre
Aux ordres de quelque sabreur
Qui exigeait du bout des lèvres
Qu'ils aillent ouvrir au champ d'horreur
Leurs vingt ans qui n'avaient pu naître
Et ils mouraient à pleine peur
Tout miséreux, oui, notre bon Maître
Couverts de prêles, oui, notre Monsieur
Demandez-vous, belle jeunesse
Le temps de l'ombre d'un souvenir
Le temps de souffle d'un soupir :
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Pourquoi ont-ils tué Jaurès ?
Bon partage !
Rotpier
Relation très tendue entre ... " La poutre et le pendu, " ... un poème très très ancien de ... Pierre !
Un très ancien poème ... noir !
Image du net
La poutre et le pendu,
Pourquoi en était-il arrivé là ?
Il ne le savait plus très bien.
Pas quelque chose de précis… non.
Plutôt une accumulation de petits riens
… aux yeux des autres !
Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…
très lourd, dans la besace de la vie.
Il n’était pas pressé… non .
Il prenait son temps : méthodique,
très méthodique.
Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner
de m’ajouter un nœud, un de plus,
un… pas très catholique !
Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place
et, tranquillement, se prépara.
Avec lui même il s’accorda ;
avec le chanvre, il s’encorda.
Puis, brusquement, laissant dans son sillage
la longue ligne droite de sa vie
toujours réglée toujours en ordre
il se paya la fantaisie
de prendre le dernier virage
à fond la caisse et … à la corde !
.
Et moi…moi, au-dessus de lui,
à l’autre bout de lui,
je ne dis rien.
Je fais tranquillement, honnêtement,
mon travail de poutre : je tiens !
Un très ancien poème ... noir !
Image du net
La poutre et le pendu,
Pourquoi en était-il arrivé là ?
Il ne le savait plus très bien.
Pas quelque chose de précis… non.
Plutôt une accumulation de petits riens
… aux yeux des autres !
Petits riens qui, un matin, pèsent lourd…
très lourd, dans la besace de la vie.
Il n’était pas pressé… non .
Il prenait son temps : méthodique,
très méthodique.
Allant jusqu’à me caresser pour se faire pardonner
de m’ajouter un nœud, un de plus,
un… pas très catholique !
Il flatta aussi la vieille caisse avant de la mettre en place
et, tranquillement, se prépara.
Avec lui même il s’accorda ;
avec le chanvre, il s’encorda.
Puis, brusquement, laissant dans son sillage
la longue ligne droite de sa vie
toujours réglée toujours en ordre
il se paya la fantaisie
de prendre le dernier virage
à fond la caisse et … à la corde !
Et moi…moi, au-dessus de lui,
à l’autre bout de lui,
je ne dis rien.
Je fais tranquillement, honnêtement,
mon travail de poutre : je tiens !
" Autoportrait," ... un poème de Pierre
Préambule :
L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.
Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !
On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.
Mais, rien n’empêche de relever le défit et d’essayer quand même.
Autoportrait,
Je suis un poète atypique
passé par la case prolo,
quand je suis la cible de piques
on me les lance ex-nihilo !
Je pèche un peu en rhétorique
car j’ai quitté les cours très tôt,
j’ai un alibi authentique :
à seize ans j’étais au boulot !
J’ai quand même appris mes classiques
préférant Zola à Hugo,
pour ce qui est de la musique
je vais de Wagner à Renaud !
Mes inclinations poétiques
vont du bon Villon à Queneau
en passant par les élastiques
des souliers troués de Rimbaud !
Je suis large sur la rythmique :
je laisse faire mon stylo !
Certains esprits monolithiques
me qualifient de rigolo !
Réguliers ou acrobatiques
mes vers ne sont pas idéaux,
ils sont sérieux ou drolatiques,
polis ou taillés au couteau !
Ils sont peu souvent syntaxiques :
je cultive le quiproquo !
Mais ils sont rarement toxiques
sauf bien sûr contre les fachos !
De l’amour à la politique
je brosse un peu tous les tableaux,
qu’ils soient morbides ou phalliques,
si ça dérange peu me chaut !
Mes textes sont très éclectiques
rasant parfois le caniveau,
je m’accommode des critiques
… tout en préférant les bravos !
Certains me trouvent sympathique,
d’autres me traitent de charlot,
à ceux-là moi je fais la nique
avant de leur tourner le dos !
Tantôt tendre, tantôt caustique,
parfois gentil, parfois salaud,
érotique ou bien hérétique
et bien sûr très souvent cabot !
Quand la Camarde boulimique
m’intimera : " Viens mon coco ! "
je lui dirais sans polémique :
" Attends je range mon stylo !
Je ne te fais pas de supplique
après tout tu fais ton boulot,
ne prend pas cet air pathétique
toi qui a la mort dans la peau ! "
Chacun doit déposer sa chique
un peu plus tard, un peu plus tôt,
il n’y a là rien de tragique :
c’est juste effacer un tableau !
Un banquet sans chant ni musique
réunira dans mon caveau
des légions de vers boulimiques
qui gémiront : " Il n’est pas gros ! "
Ils repartiront faméliques
après m’avoir sucé les os
en quête d’un hypothétique
festin digne de commensaux !
La crémation dont la pratique
a vraiment le vent dans le dos
réduit de façon très drastique
les macchabées … maigres ou gros !
L’avenir est problématique :
pour ces vers-là c’est Waterloo !
Quant à ceux de la poétique,
éviteront-ils le tombeau ?
C’est un portrait très elliptique
que je vous sers sur un plateau,
gagnerais-je une pluie de piques
ou une envolée de chapeaux ?
Préambule :
L’autoportrait est un exercice périlleux, peut-être encore plus à l’écrit qu’au pinceau.
Bien se connaître soi-même est pratiquement une gageure !
On croit savoir et un jour on s’aperçoit que non.
Mais, rien n’empêche de relever le défit et d’essayer quand même.
Autoportrait,
Je suis un poète atypique
passé par la case prolo,
quand je suis la cible de piques
on me les lance ex-nihilo !
Je pèche un peu en rhétorique
car j’ai quitté les cours très tôt,
j’ai un alibi authentique :
à seize ans j’étais au boulot !
J’ai quand même appris mes classiques
préférant Zola à Hugo,
pour ce qui est de la musique
je vais de Wagner à Renaud !
Mes inclinations poétiques
vont du bon Villon à Queneau
en passant par les élastiques
des souliers troués de Rimbaud !
Je suis large sur la rythmique :
je laisse faire mon stylo !
Certains esprits monolithiques
me qualifient de rigolo !
Réguliers ou acrobatiques
mes vers ne sont pas idéaux,
ils sont sérieux ou drolatiques,
polis ou taillés au couteau !
Ils sont peu souvent syntaxiques :
je cultive le quiproquo !
Mais ils sont rarement toxiques
sauf bien sûr contre les fachos !
De l’amour à la politique
je brosse un peu tous les tableaux,
qu’ils soient morbides ou phalliques,
si ça dérange peu me chaut !
Mes textes sont très éclectiques
rasant parfois le caniveau,
je m’accommode des critiques
… tout en préférant les bravos !
Certains me trouvent sympathique,
d’autres me traitent de charlot,
à ceux-là moi je fais la nique
avant de leur tourner le dos !
Tantôt tendre, tantôt caustique,
parfois gentil, parfois salaud,
érotique ou bien hérétique
et bien sûr très souvent cabot !
Quand la Camarde boulimique
m’intimera : « Viens mon coco ! »
je lui dirais sans polémique :
« Attends je range mon stylo ! »
Je ne te fais pas de supplique
après tout tu fais ton boulot,
ne prend pas cet air pathétique
toi qui a la mort dans la peau !
Chacun doit déposer sa chique
un peu plus tard, un peu plus tôt,
il n’y a là rien de tragique :
c’est juste effacer un tableau !
Un banquet sans chant ni musique
réunira dans mon caveau
des légions de vers boulimiques
qui gémiront : « Il n’est pas gros ! »
Ils repartiront faméliques
après m’avoir sucé les os
en quête d’un hypothétique
festin digne de commensaux !
La crémation dont la pratique
a vraiment le vent dans le dos
réduit de façon très drastique
les macchabées … maigres ou gros !
L’avenir est problématique :
pour ces vers-là c’est Waterloo !
Quant à ceux de la poétique,
éviteront-ils le tombeau ?
C’est un portrait très elliptique
que je vous sers sur un plateau,
gagnerais-je une pluie de piques
ou une envolée de chapeaux ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image : " - - - " César qu'il dit le centurion ! 3ème image : la moitié du nom du personnage ! Dernière image : prendre la moitié de la marque !
2ème ligne, 3ème image :prendre la moitié de la marque !
4ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s" ou "se" ... selon son humeur ! Dernière image : quand elle est petite la sale bête est lente !
6ème ligne, 4ème image : la boisson favorite des rosbifs !
Il est court alors on se dépêche : allez, tout le monde en voiture !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Elle avait un arrière-train de première classe mais pour monter le billet coûtait la peau des fesses !
Qu'il dit l'animal !
Bernard Lavilliers : " On the road again " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
On the road again,
Nous étions jeunes et larges d'épaules,
Bandits joyeux, insolents et drôles.
On attendait que la mort nous frôle,
Refrain
On the road again, again,
On the road again, again.
Au petit jour on quittait l'Irlande
Et, derrière nous, s'éclairait la lande.
Il fallait bien, un jour, qu'on nous pende.
Refrain
La mer revient toujours au rivage.
Dans les blés mûrs, y'a des fleurs sauvages.
N'y pense plus, tu es de passage.
Refrain
Nous étions jeunes et larges d'épaules.
On attendait que la mort nous frôle.
Elle nous a pris, les beaux et les drôles.
Ami, sais-tu que les mots d'amour
Voyagent mal de nos jours.
Tu partiras encore plus lourd.
Refrain
Rotpier
“Coup de chaud dans le métro” un poème avec une mise en garde de ... Rotpier !
Allez, un petit coup de chaud
à l'approche de l'hiver !
... Et aussi une mise en garde
pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !
Coup de chaud dans le métro,
Il avait pris un coup de chaud
en détaillant ses hémisphères,
paire du bas, paire du haut :
véritables calorifères !
C’est par le plus grand des hasards,
sur un escalier mécanique,
qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -
celles du bas au galbe unique !
Il les avait au ras des yeux :
elle avait trois marches d’avance !
Un panorama merveilleux
qui supplantait Saint-Paul de Vence !
Quand tout en haut de l’escalier,
elle reprit sa marche souple,
le mouvement de balancier
lui coupa carrément le souffle !
Il calcula rapidement
que pour rester en équilibre,
il fallait bien que sur l’avant
ce soit aussi du beau calibre !
Alors il lui fila le train
- celui arrière à l’évidence ! -
en retenant très fort ses mains
qui voulaient entrer dans la danse !
A peine arrivés sur le quai,
la rame se pointa bondée :
il se retrouva tout plaqué,
les yeux sur la belle avancée !
Les deux hémisphères du haut
étaient aussi très remarquables :
la nana avait des lolos
qui poussaient à se mettre à table !
Libres de tout harnachement
ils tressautaient tout à leur guise,
à chaque à-coup très franchement,
usant le pull de la marquise !
La marquise qui remarqua
cette expertise licencieuse,
banda ses forces et lui cloqua
son beau genou dans les précieuses !
Le coup de chaud se transforma
dans la seconde en incendie,
en douleur de très grand format
et en coup de tachycardie !
Elle lui dit en souriant :
« N’en fais pas une maladie,
ça passera avec le temps :
prends ça avec philosophie !
Mon mec est bien plus beau que toi
et si je balance mes fesses,
si mes nénés font contrepoids,
c’est pour que je sois sa déesse ! "
Moralité :
A moins d’avoir des droits dessus,
ne vas pas trop lorgner les filles :
un petit coup d’œil et pas plus
ou gare aux bijoux de famille !
Rotpier
Allez, un petit coup de chaud
à l'approche de l'hiver !
... Et aussi une mise en garde
pour ne pas finir avec des précieuses ridicules !
Coup de chaud dans le métro,
Il avait pris un coup de chaud
en détaillant ses hémisphères,
paire du bas, paire du haut :
véritables calorifères !
C’est par le plus grand des hasards,
sur un escalier mécanique,
qu’il remarqua - nom d’un pétard ! -
celles du bas au galbe unique !
Il les avait au ras des yeux :
elle avait trois marches d’avance !
Un panorama merveilleux
qui supplantait Saint-Paul de Vence !
Quand tout en haut de l’escalier,
elle reprit sa marche souple,
le mouvement de balancier
lui coupa carrément le souffle !
Il calcula rapidement
que pour rester en équilibre,
il fallait bien que sur l’avant
ce soit aussi du beau calibre !
Alors il lui fila le train
- celui arrière à l’évidence ! -
en retenant très fort ses mains
qui voulaient entrer dans la danse !
A peine arrivés sur le quai,
la rame se pointa bondée :
il se retrouva tout plaqué,
les yeux sur la belle avancée !
Les deux hémisphères du haut
étaient aussi très remarquables :
la nana avait des lolos
qui poussaient à se mettre à table !
Libres de tout harnachement
ils tressautaient tout à leur guise,
à chaque à-coup très franchement,
usant le pull de la marquise !
La marquise qui remarqua
cette expertise licencieuse,
banda ses forces et lui cloqua
son beau genou dans les précieuses !
Le coup de chaud se transforma
dans la seconde en incendie,
en douleur de très grand format
et en coup de tachycardie !
Elle lui dit en souriant :
« N’en fais pas une maladie,
ça passera avec le temps :
prends ça avec philosophie !
Mon mec est bien plus beau que toi
et si je balance mes fesses,
si mes nénés font contrepoids,
c’est pour que je sois sa déesse ! "
Moralité :
A moins d’avoir des droits dessus,
ne vas pas trop lorgner les filles :
un petit coup d’œil et pas plus
ou gare aux bijoux de famille !
Rotpier
Horoscope et couple: les grandes interrogations de Rotpier : " Les douze signes et le vilain petit canard, " ... et pis c'est tout !
Choisir une compagne
en fonction de son signe astral,
n’est pas chose facile !
Rotpier
Image du net
Les douze signes et le vilain petit canard,
Vous vous posez maintes questions
quand il vous faut choisir un signe
pour construire une relation
qui ne vire pas à la guigne !
Je vous propose une excursion
mais sans vous donner de consigne ! -
au pays de mes réflexions
que dans ces quelques vers j’aligne !
xxxxxxx
Si je m’entiche d’un Bélier
dont le papa est capricorne,
finirais-je tout humilié
affublé de très longues cornes ?
Si je craque pour un Taureau,
tomberais-je sur une vache ?
Comme le dit l’ami Roro :
certaines sont vraiment des taches !
Si je tombe sur un Gémeaux
qui, parait-il, n’est pas facile,
aurais-je avec elle des mots ?
Ce serait vraiment imbécile !
Si je brulais pour un Cancer,
combien de temps aurais-je à vivre ?
Combien de temps avant les vers ?
Ce n’est pas écrit dans les livres !
Si je fais l’amour à un Lion,
la tiendrais-je par la crinière
pour éviter sa rébellion
quand je ferais un tour derrière ?
Si par un miracle accompli,
je tombais sur une vraie Vierge,
cela ne ferait pas un pli,
mais aurais-je besoin d’un cierge ?
Pourtant le summum des fléaux
ce serait bien qu’une Balance
m’offre son amour sur plateau
et me colle une chaude … offense !
Si je me piquais d’un Scorpion :
combien de jours avant la tombe ?
Rien à voir avec les morpions :
sitôt piqué, sitôt tu tombes !
Si je tombais, tout par hasard,
sur une femme Sagittaire,
pourrais-je sans trop de bazar
arriver à la faire taire ?
Et si j’avais un coup de cœur
pour une jolie Capricorne,
aurais-je beaucoup de bonheur
ou bien une vie des plus mornes ?
Si je séduis une mignonne
qui soit du signe du Verseau,
voudra-t-elle en bonne amazone
sacrifier au recto verso ?
Et si je ferrais un Poisson,
à la messe ou bien dans la rue,
je sais que j’aurais des soupçons :
entre l’ange ou bien la morue !
xxxxxxxxxxx
Je ne sais pas si vous avez
choisi parmi ces douze strophes,
un signe qui pourrait coller
pour limiter la catastrophe !
Mais il faut bien un jour choisir
car même si l’on vire tante,
les signes restent et le désir
c’est de pouvoir planter sa … tente !
Voilà le grand panorama,
le tour complet de l’horoscope,
je rentre dans l’anonymat
avant que l’on me télescope !
Rotpier
Le faux mage complètement rapé :
Image bidouillée par le Rotpier
... ça fout les boules, pas vrai ?
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !