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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Léo Ferré "Est-ce ainsi que les hommes vivent ?" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

16 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

 

Léo Ferré :

 « Est-ce ainsi que les hommes vivent ? »

Tout est affaire de décor
Changer de lit changer de corps
A quoi bon puisque c'est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m'éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j'ai cru trouver un pays.

Cœur léger cœur changeant cœur lourd
Le temps de rêver est bien court
Que faut-il faire de mes jours
Que faut-il faire de mes nuits
Je n'avais amour ni demeure
Nulle part où je vive ou meure
Je passais comme la rumeur
Je m'endormais comme le bruit.

Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.

C'était un temps déraisonnable
On avait mis les morts à table
On faisait des châteaux de sable
On prenait les loups pour des chiens
Tout changeait de pôle et d'épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j'y tenais mal mon rôle
C'était de n'y comprendre rien

Dans le quartier Hohenzollern
Entre la Sarre et les casernes
Comme les fleurs de la luzerne
Fleurissaient les seins de Lola
Elle avait un cœoeur d'hirondelle
Sur le canapé du bordel
Je venais m'allonger près d'elle
Dans les hoquets du pianola.

Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.

Le ciel était gris de nuages
Il y volait des oies sauvages
Qui criaient la mort au passage
Au-dessus des maisons des quais
Je les voyais par la fenêtre
Leur chant triste entrait dans mon être
Et je croyais y reconnaître
Du Rainer Maria Rilke.

Elle était brune elle était blanche
Ses cheveux tombaient sur ses hanches
Et la semaine et le dimanche
Elle ouvrait à tous ses bras nus
Elle avait des yeux de faïence
Elle travaillait avec vaillance
Pour un artilleur de Mayence
Qui n'en est jamais revenu.

Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.

Il est d'autres soldats en ville
Et la nuit montent les civils
Remets du rimmel à tes cils
Lola qui t'en iras bientôt
Encore un verre de liqueur
Ce fut en avril à cinq heures
Au petit jour que dans ton cœoeur
Un dragon plongea son couteau

Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.

Bon partage !

Rotpier

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Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

14 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

 

Les chouettes Chouettes 110

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Les chouettes Chouettes 111

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Les chouettes Chouettes 112

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Les chouettes Chouettes 113

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Les chouettes Chouettes 115

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

Les chouettes Chouettes 114

 

 

 

Signature Rotpier

... Je vous chouette une bonne distraction !  

 

Lire la suite

Nuit debout, je rends hommage à ce mouvement par le biais de ce poème : " Agora ! Agora ! " ... un poème de ... Pierre

12 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie, #Billet d'humeur, #Pensées, #Politique

 

 

Billet-préambule de Pierre : 

Même avec ses excès et ses débordements « Nuit debout » est un mouvement utile et respectable. Infiniment dangereux aussi pour la finance internationale bien sûr !

Si l’on observe bien, qu’elles sont les formations politiques qui condamnent le mouvement avec le plus de virulence ? Celles de droite et d’extrême droite bien sûr … même si elles le font en marchant sur des œufs … prudence oblige: les élections approchent !

La droite, l’extrême droite et la finance portent le même chapeau … le panama de préférence !

En mai 68, de Gaulle qualifiait les événements de « chienlit » et la droite applaudissait. Je ne doute pas qu’actuellement, au sein de leurs sphères, ce mot ne soit employé !

Vive « Nuit debout » ! Longue vie à elle et que les forces de l’ordre les aident à isoler et à se débarrasser des casseurs de tout poil ! Que germent des idées nouvelles porteuses d’espoir pour la jeunesse sous l’œil bienveillant de la République !

PS : En mai 68, j’avais 22 ans et je travaillais dans l’industrie. Nous avons été 5 semaines en grève avec occupation de l’usine.

Pierre Dupuis

 

Pensé et écrit en juin et juillet 2011, finalisé en août.

Si je précise ces dates c’est que, dans le contexte actuel,

les choses peuvent et devraient évoluer rapidement, c’est le souhait que je formule.

Ce jour d’avril 2016, je reprends ce poème et l’enrichis un peu car il semble que les choses bougent en France avec le mouvement de « Nuit debout » …

Pierre Dupuis

 

Nuit debout Place-de-la-Republique-a-Paris-le-11-avril Benoît Tessier Reuters

Photo parue dans le Monde.  Benoît  Tessier / Reuter

Agora ! Agora !

Venez donc les amis il y a de la place

sur les places de France et de tous les pays,

montrons aux dirigeants que nous, la populace,

ne voulons plus payer pour des banquiers pourris !

Car ce sont bien ceux-là qui sont à l’origine

de la crise mondiale et de tous ses effets :

montages financiers de très basse cuisine

dont le grand chef Madoff a été le reflet !

Pour un qui a payé combien d’autres sont libres ?

Les états ont couvert d’abyssaux déficits,

mais aussitôt qu’ils ont retrouvé l’équilibre

ils ont recommencé sous les satisfecits !

Satisfecits de ceux qui tirent les ficelles :

les grands groupes mondiaux et leurs bons serviteurs

qui en profitent pour remplir leurs escarcelles

en s’infiltrant partout auprès des décideurs !

Ne nous y trompons pas quand ces vautours spéculent

sur le riz et le blé ou autres aliments,

ils savent tout à fait - mais n’ont aucun scrupule ! -

qu’ils condamnent à mort un grand nombre d’enfants !

Et le jour et la nuit et sans aucune pause,

sur leurs ordinateurs des logiciels dédiés,

triturent les marchés pour extraire leur dose

de profits sans savoir ce que c’est que semer !

On peut les rapprocher du genre des sangsues :

ils ne produisent rien et ne sont que saigneurs

qui pompent sans arrêt de manière goulue

une sorte d’impôt comme au temps des seigneurs !

Véritable racket, dîme des temps modernes,

faisant grimper les prix - certains au grand galop ! -

sous les yeux bienveillants de ceux qui nous gouvernent

et nous prennent vraiment pour de pauvres charlots ! 

Ils ont des revenus qui donnent le vertige,

on s’y perd en cherchant à compter les zéros !

Mais ils en veulent plus à un point qui afflige

quitte à recourir à des actes immoraux !

Ils ont échafaudé des systèmes d’embrouille :

agences à leurs pieds, dites de notation,

des outils pernicieux servant à leurs magouilles,

capables de couler sans remords des nations !

Quand je dis « à leurs pieds » ce n’est qu’un euphémisme

ces agences les ont pour principaux clients !

Pour ne citer qu’un cas illustrant un séisme

les subprimes en sont un exemple criant !

Ces agences ont donné, pendant nombre d’années,

à ces micmacs nocifs la note triple « A »,

la meilleure qui soit sans être condamnées :

laxisme ou connivence aux sommets des états ?

Taxer les plus-values : action prioritaire !

Remettre la morale enfin au goût du jour !

Resserrer nettement l’échelle des salaires :

regonfler les plus bas en pompant les plus lourds !

Un riche un peu moins riche à encore une marge

bien plus que confortable alors qu’un pauvre lui,

même avec un peu plus, peine à couvrir ses charges

et petit à petit se retrouve hors circuit !

Si l’on n’y prend pas garde : attention à la casse !

N’ayant plus rien à perdre on devient très méchant,

cela peut glisser vers une lutte des classes :

l’histoire l’a prouvé qui se souvient du sang !

Essayons de rester calmes et pacifiques,

il faut en premier temps exposer nos griefs

de façon claire et nette à tous les politiques

qui vont solliciter nos votes dans leur fief !

C’est des engagements qu’il nous faut et des fermes !

Terminé le blabla : nous voulons des contrats !

A bas le baratin, il faut y mettre un terme :

ils devront rendre compte à la fin des mandats !

Ils ne sont pas à court d’annonces mensongères,

comédiens affirmés ils maîtrisent leur art,

bonimenteurs patents et dupeurs de première :

ce qui ce fait de mieux dans le genre roublards !

Ils surfent sur la vague haute de l’ignorance

de certains citoyens qui ne s’informent plus,

qui ont tout oublié de l’histoire de France

préférant aux débats la télé torche-cul !

Il faudra mettre en place un plan de vigilance

car ils vont - c’est certain ! -  essayer de biaiser !

Dans ce domaine là ils frôlent l’excellence

mais il n’est plus question de se laisser baiser !

Le terme est un peu cru mais il a le mérite

d’être clair et précis et sans aucun détour :

pas de langue de bois, pas de mots hypocrites

car en face il y a des chevaux de retour !

Monsieur Stéphane Hessel nous a montré la voie !

Indignons-nous vraiment, reprenons le flambeau !

Les purs politicards et bien on les renvoie,

il y a trop longtemps qu’on les a sur le dos !

Agora ! Agora ! Tout comme en Grèce antique,

décidons tout d’ici, reprenons tout en main !

Dictons nos conditions aux hommes politiques :

ils sont là pour servir les peuples souverains !

Beaucoup on oublié, seul un rappel à l’ordre

et un contrat très clair peuvent précipiter

un retour aux valeurs, un jour il faut bien tordre

le cou à un système ô combien gangrené !

Au niveau probité pas d’écart admissible !

toute sortie des clous coûtera l’exclusion,

si l’on peut se tromper en visant une cible

on ne peut pas tromper le peuple sans sanctions !

Quand je dis « exclusion » c’est de définitive

dont je parle aujourd’hui mais vous m’aviez compris,

car certains ont l’honneur très approximative,

élastique au besoin si l’on y met le prix !

Il faut éradiquer la peste économique !

Les paradis fiscaux, nous en viendrons à bout

tous ensemble et soudés nous leur ferons la nique

en restant s’il le faut toutes les nuits debout !

Tous les banquiers véreux gérant des comptes offshores

pour des clients ripous quelques soient leurs fonctions

doivent le payer cash, il y en a pléthore,

pas de quartier pour eux : que de lourdes sanctions !

Il nous faut nous en prendre à la finance occulte,

faisons-lui rendre gorge et pas de cinéma !

que dans tous les pays on arrête et inculpe,

en France, au Luxembourg ou bien au Panama !

Agora ! Agora ! Tout comme en Grèce antique,

décidons tout d’ici, reprenons tout en main !

Dictons nos conditions aux hommes politiques :

ils sont là pour servir les peuples souverains !

Pierre Dupuis

 

 

Agora 2

Image du net

Billet-préambule de Pierre : 

Même avec ses excès et ses débordements « Nuit debout » est un mouvement utile et respectable. Infiniment dangereux aussi pour la finance internationale bien sûr !

Si l’on observe bien, qu’elles sont les formations politiques qui condamnent le mouvement avec le plus de virulence ? Celles de droite et d’extrême droite bien sûr … même si elles le font en marchant sur des œufs … prudence oblige: les élections approchent !

La droite, l’extrême droite et la finance portent le même chapeau … le panama de préférence !

En mai 68, de Gaulle qualifiait les événements de « chienlit » et la droite applaudissait. Je ne doute pas qu’actuellement, au sein de leurs sphères, ce mot ne soit employé !

Vive « Nuit debout » ! Longue vie à elle et que les forces de l’ordre les aident à isoler et à se débarrasser des casseurs de tout poil ! Que germent des idées nouvelles porteuses d’espoir pour la jeunesse sous l’œil bienveillant de la République !

PS : En mai 68, j’avais 22 ans et je travaillais dans l’industrie. Nous avons été 5 semaines en grève avec occupation de l’usine.

Pierre Dupuis

 

Pensé et écrit en juin et juillet 2011, finalisé en août.

Si je précise ces dates c’est que, dans le contexte actuel,

les choses peuvent et devraient évoluer rapidement, c’est le souhait que je formule.

Ce jour d’avril 2016, je reprends ce poème et l’enrichis un peu car il semble que les choses bougent en France avec le mouvement de « Nuit debout » …

Pierre Dupuis

 

Nuit debout Place-de-la-Republique-a-Paris-le-11-avril Benoît Tessier Reuters

Photo parue dans le Monde.  Benoît  Tessier / Reuter

Agora ! Agora !

Venez donc les amis il y a de la place

sur les places de France et de tous les pays,

montrons aux dirigeants que nous, la populace,

ne voulons plus payer pour des banquiers pourris !

Car ce sont bien ceux-là qui sont à l’origine

de la crise mondiale et de tous ses effets :

montages financiers de très basse cuisine

dont le grand chef Madoff a été le reflet !

Pour un qui a payé combien d’autres sont libres ?

Les états ont couvert d’abyssaux déficits,

mais aussitôt qu’ils ont retrouvé l’équilibre

ils ont recommencé sous les satisfecits !

Satisfecits de ceux qui tirent les ficelles :

les grands groupes mondiaux et leurs bons serviteurs

qui en profitent pour remplir leurs escarcelles

en s’infiltrant partout auprès des décideurs !

Ne nous y trompons pas quand ces vautours spéculent

sur le riz et le blé ou autres aliments,

ils savent tout à fait - mais n’ont aucun scrupule ! -

qu’ils condamnent à mort un grand nombre d’enfants !

Et le jour et la nuit et sans aucune pause,

sur leurs ordinateurs des logiciels dédiés,

triturent les marchés pour extraire leur dose

de profits sans savoir ce que c’est que semer !

On peut les rapprocher du genre des sangsues :

ils ne produisent rien et ne sont que saigneurs

qui pompent sans arrêt de manière goulue

une sorte d’impôt comme au temps des seigneurs !

Véritable racket, dîme des temps modernes,

faisant grimper les prix - certains au grand galop ! -

sous les yeux bienveillants de ceux qui nous gouvernent

et nous prennent vraiment pour de pauvres charlots ! 

Ils ont des revenus qui donnent le vertige,

on s’y perd en cherchant à compter les zéros !

Mais ils en veulent plus à un point qui afflige

quitte à recourir à des actes immoraux !

Ils ont échafaudé des systèmes d’embrouille :

agences à leurs pieds, dites de notation,

des outils pernicieux servant à leurs magouilles,

capables de couler sans remords des nations !

Quand je dis « à leurs pieds » ce n’est qu’un euphémisme

ces agences les ont pour principaux clients !

Pour ne citer qu’un cas illustrant un séisme

les subprimes en sont un exemple criant !

Ces agences ont donné, pendant nombre d’années,

à ces micmacs nocifs la note triple « A »,

la meilleure qui soit sans être condamnées :

laxisme ou connivence aux sommets des états ?

Taxer les plus-values : action prioritaire !

Remettre la morale enfin au goût du jour !

Resserrer nettement l’échelle des salaires :

regonfler les plus bas en pompant les plus lourds !

Un riche un peu moins riche à encore une marge

bien plus que confortable alors qu’un pauvre lui,

même avec un peu plus, peine à couvrir ses charges

et petit à petit se retrouve hors circuit !

Si l’on n’y prend pas garde : attention à la casse !

N’ayant plus rien à perdre on devient très méchant,

cela peut glisser vers une lutte des classes :

l’histoire l’a prouvé qui se souvient du sang !

Essayons de rester calmes et pacifiques,

il faut en premier temps exposer nos griefs

de façon claire et nette à tous les politiques

qui vont solliciter nos votes dans leur fief !

C’est des engagements qu’il nous faut et des fermes !

Terminé le blabla : nous voulons des contrats !

A bas le baratin, il faut y mettre un terme :

ils devront rendre compte à la fin des mandats !

Ils ne sont pas à court d’annonces mensongères,

comédiens affirmés ils maîtrisent leur art,

bonimenteurs patents et dupeurs de première :

ce qui ce fait de mieux dans le genre roublards !

Ils surfent sur la vague haute de l’ignorance

de certains citoyens qui ne s’informent plus,

qui ont tout oublié de l’histoire de France

préférant aux débats la télé torche-cul !

Il faudra mettre en place un plan de vigilance

car ils vont - c’est certain ! -  essayer de biaiser !

Dans ce domaine là ils frôlent l’excellence

mais il n’est plus question de se laisser baiser !

Le terme est un peu cru mais il a le mérite

d’être clair et précis et sans aucun détour :

pas de langue de bois, pas de mots hypocrites

car en face il y a des chevaux de retour !

Monsieur Stéphane Hessel nous a montré la voie !

Indignons-nous vraiment, reprenons le flambeau !

Les purs politicards et bien on les renvoie,

il y a trop longtemps qu’on les a sur le dos !

Agora ! Agora ! Tout comme en Grèce antique,

décidons tout d’ici, reprenons tout en main !

Dictons nos conditions aux hommes politiques :

ils sont là pour servir les peuples souverains !

Beaucoup on oublié, seul un rappel à l’ordre

et un contrat très clair peuvent précipiter

un retour aux valeurs, un jour il faut bien tordre

le cou à un système ô combien gangrené !

Au niveau probité pas d’écart admissible !

toute sortie des clous coûtera l’exclusion,

si l’on peut se tromper en visant une cible

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

11 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Pensées, #Humour

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

10 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

.

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

 

rebus 384 (1)

rebus 384 (2)

rebus 384 (3)

.

.

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus d'actualité vue par le Rotpier et qui touche à la petite économie ... enfin, façon de voir les choses !

  1ère ligne, 3ème image : il faut prendre la moitié de la marque ! ( l'autre aussi ! )

2ème ligne, 1ère image : le personnage est " - - - - -  " ... c'est sa position !

 4ème ligne, 1ère image : après le tétée le bébé fait son " - - - " !  2ème image : le serpent fait toujours '"s" !  3ème image et en direct : "ti" ! Dernière image: l'assassin "  - - - " au présent ! 

6ème ligne, 1ère image : c'est du sélectif ! 4ème image : son nez s'allonge quand il "  - - - - " ! 8ème ligne, 3ème image : la colombe est le signe de la " - - - - " !

10ème ligne, dernière image : il ne faut pas prendre le grand !

11ème ligne,  c'est le volume qu'il faut prendre ! 

Dernière ligne, 2ème image : petite étendue d'eau ! Dernière image : lieu où sont entreposés des fûts ! 

A vous de jouer !  Bon courage, il est assez long ! 

Et pis c'est tout !

Réponse :

La pénalisation des clients des prostituées mettra triplement les bourses à plat et pénalisera aussi cette petite économie de marché !

 

Qu'il dit l'animal !

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Jean-Jacques Goldman : " Pas toi " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

9 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« Jean-Jacques Goldman »

«  Pas toi »

Je l’aime beaucoup celle-ci … pas toi ?

 

Pas Toi

Graver l'écorce 
Jusqu'à saigner 
Clouer les portes 

S'emprisonner 

Vivre des songes
A trop veiller
Prier des ombres
Et tant marcher

J'ai beau me dire
Qu'il faut du temps
J'ai beau l'écrire
Si noir sur blanc
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi

Passent les jours
Vides sillons
Dans la raison
Mais sans amour

Passe ma chance
Tournent les vents
Reste l'absence
Obstinément

J'ai beau me dire
Que c'est comme ça
Que sans vieillir
On n'oublie pas
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi

Y'a pas de haine
Y'a pas de roi
Ni Dieu, ni chaîne
Qu'on ne combat
Mais que faut-il
Quelle puissance ?
Quelle arme brise
L'indifférence ?

Oh, c'est pas juste
C'est mal écrit
Comme une injure
Plus qu'un mépris
Quoi que je fasse
Où que je sois
Rien ne t'efface
Je pense à toi
Et quoi que j'apprenne
Je ne sais pas
Pourquoi je saigne
Et pas toi...

Bon partage !

 

Rotpier

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Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !

7 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Les chouettes Chouettes du Rotpier

Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !

Elles sont féminines ou masculines  et assez BCBG… quoique !

Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement ! 

 Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !

 Le Rotpier

 

Les hululucubrations abracadabrantesques

des chouettes Chouettes du Rotpier

 

Les chouettes Chouettes 107 (1)

Les chouettes Chouettes 107 (2)

 

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

 

Les chouettes Chouettes 108

 

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

 

Les chouettes Chouettes 109

 

 

Signature Rotpier

 

... Je vous chouette une bonne distraction !  

 

 

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Le poème du jour : " Le heurtoir, " de ... Pierre

4 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Elle attendait

 elle était là

… suspendue au bon vouloir

… au bon vouloir

d’un simple heurtoir … bleu…

Photo de Marie

.
Le heurtoir,

Elle était là … juste derrière !

Phalanges de craie,

elle attendait.

 Elle attendait,

redoutant l’ultime marche arrière,

… non croyante … elle priait !

L’épreuve était douloureuse :

allait-il venir ou pas ?

Elle n’était plus qu’une amoureuse

qui avait jeté sur ses ans l’omerta.

A peine quelques cheveux blancs

et une allure fière.

Une existence sans vraiment de cadeaux,

un âge où la vie peut encore se refaire,

après … rideau !

Pas de judas au travers de la porte :

tout dépendait du heurtoir !

Allait-il rester sonorité morte

ou bien retentir comme battoir ?

Elle s’était promise une chose :

ne pas entrebâiller l’huis !

Attendre, attendre jusqu’à l’overdose

… attendre que ce soit lui !

Elle était là, presque dans le noir,

phalanges de craie,

elle attendait.

Elle attendait

… se demandant si son cœur tiendrait

au tout premier coup de heurtoir.

Elle était là

… suspendue au bon vouloir

au bon vouloir d’un simple heurtoir … bleu,

bleu comme le pâle azur de ses yeux.

 

                                                                 Pierre Dupuis

 

Elle attendait

 elle était là

… suspendue au bon vouloir

… au bon vouloir

d’un simple heurtoir … bleu…

Photo de Marie

.
Le heurtoir,

Elle était là … juste derrière !

Phalanges de craie,

elle attendait.

 Elle attendait,

redoutant l’ultime marche arrière,

… non croyante … elle priait !

L’épreuve était douloureuse :

allait-il venir ou pas ?

Elle n’était plus qu’une amoureuse

qui avait jeté sur ses ans l’omerta.

A peine quelques cheveux blancs

et une allure fière.

Une existence sans vraiment de cadeaux,

un âge où la vie peut encore se refaire,

après … rideau !

Pas de judas au travers de la porte :

tout dépendait du heurtoir !

Allait-il rester sonorité morte

ou bien retentir comme battoir ?

Elle s’était promise une chose :

ne pas entrebâiller l’huis !

Attendre, attendre jusqu’à l’overdose

… attendre que ce soit lui !

Elle était là, presque dans le noir,

phalanges de craie,

elle attendait.

Elle attendait

… se demandant si son cœur tiendrait

au tout premier coup de heurtoir.

Elle était là

… suspendue au bon vouloir

au bon vouloir d’un simple heurtoir … bleu,

bleu comme le pâle azur de ses yeux.

 

                                                                 Pierre Dupuis

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

4 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !          

Et pis c'est tout Rotpier

 

 

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Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !

3 Avril 2016 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Rébus, #Pensées

 

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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

 

rebus 383 (1)

rebus 383 (2)

.

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Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

C'est un rébus sans faux col et c'est à vous de vous faire mousser en le déchiffrant ! Il y une double interrogation ... je m'interroge très souvent sur le bien fondé de mes conneries !

  1ère ligne, 2ème image : c'est le cri de la bête qu'il faut prendre ! 3ème image : le serpent fait "s" ou "se" selon son humeur !  Dernière image : tout le monde en connait des grosses ( il faut enchaîner avec la suite et ce n'est pas très évident ! )

4ème ligne, 2ème image : le petit de la vache ! 

5ème ligne, 3ème image : Eros est le dieu de l' " - - - - -  " !

6ème ligne, 1ère image : il va venir ! 4ème image : le mec est balèze, donc très  " - - - - " !

 

Dernière ligne, 1ère image : quand elle est petite, la sale bête est lente ! 

A vous de jouer !  

Et pis c'est tout !

Réponse :

Je me suis laissé dire que la bière favorite des amoureux était la Pelforth ? Ça roule pour vous ? 

 

Qu'il dit l'animal !

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