Aretha Franklin - The Queen of Soul ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Aretha Franklin
« The Queen of Soul »
Le cœur d'Aretha s'est arrêté, il nous reste ses chansons et ses leçons d'engagement politique et social.
Bon partage !
Rotpier
" Tu le diras un jour ... " ... un poème encore et toujours de circonstance de Pierre
Suite à :
Je remets ce poème une nouvelle fois et je pense, hélas, que ce ne sera pas la dernière.
Je vous mets aussi une pensée que je devais mettre en rébus:
" La charge la plus lourde à porter pour un nouveau pape c’est qu’il devient le chef de file de nombreux pédophiles sans forcément faire partie intrinsèquement de la congrégation. "
Image du net modifiée par moi-même
Tu le diras un jour ...
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos !
Et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !
Pierre Dupuis
Déjà publié et ne s'adressant pas qu'aux prêtres ...
La pensée du jour de ... Rotpier : La théorie du ruissellement
Je reprends la pensée de mon rébus de dimanche et je développe un peu :
Statue dans mon jardin
Donc, je développe un peu :
Les deux dernières image viennent du blog VINCENTDIDIER
Lien : http://www.vincentdidier.net/2017/10/la-theorie-du-ruissellement.html
.
Un autre lien traitant du sujet : https://www.nouvelobs.com/edito/20170929.OBS5332/la-theorie-du-ruissellement-fable-des-annees-1980.html
Et pis c’est tout !
Bonne méditation et préparez le parapluie !
... En parlant de parapluie et de ruissellement je préfère ceci :
Le parapluie
Il pleuvait fort sur la grand-route
Elle cheminait sans parapluie
J'en avais un, volé, sans doute
Le matin même à un ami
Courant alors à sa rescousse
Je lui propose un peu d'abri
En séchant l'eau de sa frimousse
D'un air très doux, elle m'a dit oui
Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardi
Chemin faisant, que ce fut tendre
D'ouïr à deux le chant joli
Que l'eau du ciel faisait entendre
Sur le toit de mon parapluie
J'aurais voulu, comme au déluge
Voir sans arrêt tomber la pluie
Pour la garder, sous mon refuge
Quarante jours, quarante nuits
Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardi
Mais bêtement, même en orage
Les routes vont vers des pays
Bientôt le sien fit un barrage
A l'horizon de ma folie
Il a fallu qu'elle me quitte
Après m'avoir dit grand merci
Et je l'ai vue toute petite
Partir gaiement vers mon oubli
Un p'tit coin d'parapluie
Contre un coin d'paradis
Elle avait quelque chose d'un ange
Un p'tit coin d'paradis
Contre un coin d'parapluie
Je n'perdais pas au change, pardi
Un article de : Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Je la sens bien la théorie du ruissellement prônée par Macron et les riches, je la sens bien. Ça ruisselle ça ruisselle c’est chaud… ils nous pissent dessus tout simplement !
J’y reviendrai mardi pour un petit complément !
" Dites-moi " de Michel Jonasz ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Michel Jonasz
« Dites-moi »
Dites-moi
Elle avait toujours
Dans son porte monnaie
L'île au trésor
Et des pièces de un franc usées
Un pinceau de poil de martre
Pour mettre des rideaux bleus
Aux fenêtres de ses yeux
Aux fenêtres de ses yeux
Un livre à la main sur le balcon
Elle s'endormait
Dans un vieux fauteuil de Manille
Je cherchais des prénoms
Mathieu, Cécile
En regardant courir vers dix heures
Dans l'école des filles et des garçons
{Refrain:}
Dites moi dites moi même
Qu'elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites moi ça
Dites moi ça
Dites moi dites moi même
Qu'elle est partie pour un autre que moi
Mais pas à cause de moi
Dites moi ça
Dites moi ça
Dans mon cœur vaudou
Il y a quatre épingles
Qu'elle a pris soin d'abandonner
Pour que je pleure
J'ai cloué ma porte
Qu'est ce qui m'a pris
J'ai brisé le miroir où elle faisait ses tresses
Mis du papier journal sous les fenêtres
J'entendais de l'école trop de cris
Il n'est rien né de notre lit
{au Refrain}
Bon partage !
Rotpier
Le pastiche du jour: " Le déserteur "de Boris Vian qui devient : " L’accusateur, " de ... Pierre Dupuis
Un petit pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre
Ceux qui me suivent connaissent mes démêlées avec le maire de ma commune en temps de vice-président et webmestre de l'association l'AMG créée pour contrer ses dérives .
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Le déserteur »
de Boris Vian
qui devient :
« L'accusateur … »
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
[embed]https://www.youtube.com/watch?v=gjndTXyk3mw[/embed]
Pastiche du « Déserteur » de Boris Vian.
L’accusateur,
Monsieur le maire autant
Vous dire que la lettre
Que j’ai osé commettre
A assez de mordant
Elle est dans le droit-fil
Des vers et des poèmes
Bâtis en anathème
Aux confins du civil
Forme d’objurgations
Qui de marbre vous laissent
Mais dont j’ai la faiblesse
De croire en leur action
Du haut de votre ego
Vous avez de l’aisance
Beaucoup de suffisance
Et vous toisez de haut
Mon regret le plus grand
Est mon action tardive
À contrer vos dérives
Et tous vos errements
J’aurais du m’impliquer
Bien plutôt dans la danse
Entrer en dissidence
Et je dois m’expliquer
Je ne connaissais pas
La façon arbitraire
De mener les affaires
Que vous aviez déjà
Il a fallut un heurt
Pour en prendre conscience
Et entrer en défiance
Et j’y vais de bon cœur
Je ne suis pas certain
De percer la cuirasse
Mais d’y laisser des traces
Ça je l’espère bien
Nul besoin d’être sûr
De gagner pour se battre
Il faut toujours combattre
Même contre des murs
Vous connaissez les lois
Il faut le reconnaître
Il faut bien les connaître
Pour s’en jouer parfois
Vous avez votre cour
Et vous savez y faire
Vous avez la manière
Le verbe et le discours
Vous les avez choisis
Pour leur coté docile
Comportement servile
Certains sont vos nervis
Vous en avez besoin
Pour couvrir vos manœuvres
Afin de mettre en œuvre
Vos plans et vos dessins
Je ne crois plus en ceux
Prônant l’indépendance
Ils restent dans la danse
Même quand c’est vaseux
Ils sont inféodés
Mais resterons coupables
De leur indubitable
Statut d’embrigadés
Comment ne pas penser
Que certains en profitent
Ceux de la proche orbite
du cercle rapproché
« Je te donne la main
C’est toi qui fait la donne »
La recette est très bonne
On connaît le refrain
Ça marche à tous les coups
L’omerta est de mise
Sur les choses promises
Tout reste dans le flou
En dehors de la cour
Des favoris gravitent
Genre bernard-l’ermite
Jamais trop au grand jour
L’opacité c’est net
Vous convient à merveille
L’encre de la bouteille
À l’heure d’internet
Moins il y a de gens
Informés plus ça passe
Les tours de passe-passe
Aiment l’ombre vraiment
Il faudra bien un jour
Les mettre sur la place
Car tout laisse des traces
Malgré les beaux discours
Combien auront coûté
D’argent à la commune
Sûrement pas des prunes
Tous vos mandats passés
Si l’on fait le bilan
Sec de vos mandatures
Et sans caricature
Il n’est guère brillant
Vous avez dirigé
la commune en despote
Système lèche-bottes
Avec des obligés
Les résultats sont là
Les communes voisines
Et cela me chagrine
Ont beaucoup plus d’éclat
Voila ce que j’avais
Sur le cœur à vous dire
Vous allez en sourire
Ou pas du tout qui sait
Mais si vous vous fâchez
Vous pourrez porter plainte
J’assume ma complainte
Et ça vous le savez
Dans ce que j’ai écrit
Il n’y a nul mensonge
Depuis longtemps j’y songe
Et c’est sans compromis
Mais je dois m’arrêter
Et déposer ma plume
Et tant pis si j’écume
Il me faut clôturer
Je ne crois pas que vous
Aimerez ces paroles
Car les paroles volent
Et se posent partout
Aux lecteurs et à ceux qui vont fredonner :
Parti dans mon élan
Lors de cette apostrophe
J’ai ajouté des strophes
Au chant de Boris Vian
Veuillez me pardonner
Ce flux excédentaire
Ma plume est cavalière
je dois la refreiner
J’ai beau m’y employer
Elle n’est pas docile
Et ce n’est pas facile
À moins de la noyer
Si cela vous a plu
Vous pouvez tout reprendre
J’aimerai vous entendre
La chanter tant et plus
… La chanter tant et plus…
Pierre Dupuis
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Pierre
Blog en veilleuse pour cause de surcharges diverses !
Avis à la population !
Blog en veilleuse pour une semaine pour cause de :
Gros travaux !
+ Fiesta
Ça va être dur !
Que dis-je : terrible !
A mardi prochain si tout va bien
et … si vous le voulez bien !
Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Madame, votre mari vous trompe, vengez-vous ! Sous couvert de jeu érotique offrez-lui un étui pénien à fermeture éclair : c’est le traquenard assuré !
J'ai l'intention de déposer le brevet de l’étui pénien à fermeture éclair … si ! Qui veut me financer ?