Rébus : réponses aux petits rébus dominicaux de ... Rotpier !
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un : c'est cadeau !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
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C’est un rébus du Rotpier non déformé mais compressé !
1ère ligne, 2ème image: Celui-ci est de montagne ! Dernière image : l' " - - - - - " de Vitruve du bon Léonard !
2ème ligne, 1ère image : endroit ou se tenait la vigie sur les anciens voiliers !
3ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le triste ! Dernière image et en direct : "che" !
4ème ligne, 2ème image : le serpent fait toujours "s" ! 3ème image : sorte de pâté de tête de sanglier ou de porc !
5ème ligne, 3ème image : boisson favorite des Britishs ! Dernière image : celui-ci est de gare !
6ème ligne, 1ère image : le nom du fabricant du célèbre petit beurre ( pas Moustafa Ben ça la ! ) 2ème image et en direct: "ti" !
8ème ligne, 4ème image : la boite imitait le cri de la vache !
9ème ligne, 1ère image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
10ème ligne, 2ème image : le complément de ci- " --- " !
11ème ligne, 3ème image : Éole est le dieu du " - - - - "
12ème ligne, 2ème image : un " - - - " de sable ou d'autre chose !
13ème ligne, 2ème image : 0,5 Km/h, c'est très " - - - - "
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot ! Il n'est pas très difficile pour vous qui circuler sur la toile ... pas forcément dans cette sphère-là ... tralala !
Réponse :
Quand la communauté gay échange sur Internet et qu’elle utilise le sigle P.D.F. je me demande s’il ne s’agit pas d’une convention tacite voulant dire : Pas De Foufoune !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot ! Chas alors ! C ’est un adage qui ne va certainement pas vous donner beaucoup de fil à retordre !
Réponse :
Ce n’est pas parce qu’une femme est fine comme une aiguille qu’elle se laisse enfiler facilement !
Qu'il dit l'animal !
Il y a 104 ans, elle commençait : 14-18 ... la der des ders ... le rêve transformé en cauchemard ! ... le billet de Pierre
Je vous propose, en cette veille de 11 novembre, un petit florilège de mes billets consacrés à ce sujet et publiés au fil des années ...
C’était il y a 104 ans et …
Ils partaient la fleur au fusil !
Après … 4 années d’enfer !
Images du net
En premier : le poème « Verdun »
A Verdun,
Et la boue et les rats
et les gaz scélérats,
tous les jours la tuerie
tous les jours l’incurie.
De boyaux en boyaux
encombrés de boyaux,
de tranchées en tranchées
les jambes arrachées.
Et tous ces trous d’obus
et tous ces tirs au but
ces crêtes qui s’écrêtent
et ces corps sans leur tête.
Et ces grands officiers
aux orgueils outranciers,
aux visages tout glabres
et agitant leur sabres.
Et l’alcool avalé
et les assauts zélés,
les discours, les harangues,
les cadavres exsangues.
La raison n’a plus cours
on attaque on y court
on tire on coupe on tranche
baïonnette à la hanche.
Et …
Et cet éclat d’obus
sur un coup droit au but
et l’horrible souffrance
et la mort pour la France
Pierre Dupuis
En second :
Le jugement guerrier,
Ils étaient partis à la guerre
une fleur au bout du fusil,
la der des ders - sûr, la dernière ! -
après ça ce serait fini.
Ils ont creusé profond la terre
tel les autres en face aussi,
pas question de se laisser faire :
c’était parti pour le gâchis !
Dégoûtés par le grand carnage,
certains ont dit « On n’y va plus ! »
arc-boutés et bien résolus.
Jugés pour manque de courage,
ils ont fini au champ d’horreur
une fleur à l’endroit du cœur.
Pierre Dupuis
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En troisième:
J’ai écrit ce poème après avoir lu le Goncourt 2013« Au revoir là-haut » de Pierre Lemaitre qui traite en partie de ce drame.
Si vous ne l’avez pas lu, je vous le conseille et vous met un lien pour un résumé plutôt bien fait : http://blogs.lexpress.fr/les-8-plumes/2013/11/26/au-revoir-la-haut-de-pierre-lemaitre-prix-goncourt-2013/
Image du net
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Souvenirs et regrets d’une gueule cassée,
Pourquoi donc ne suis-je pas mort
quand cet obus venu du nord
a emporté, mon sang se glace,
presque la moitié de ma face.
Je veux bien aller en enfer,
j’ai connu le feu et le fer,
que peut-il arriver de pire,
J’aimerais bien l’entendre dire !
Et les officiers sabre au clair,
les explosions et les éclairs,
les tranchées, les rats et la boue,
les vieilles barbes sur les joues !
Et les assauts et les reculs
et les sombres et froids calculs
pour gagner quelques hectomètres
et obligés de se soumettre !
Les gazés et les fusillés,
les braves qui avaient osé
dire à la maréchalerie :
« Assez de cette boucherie ! »
Les copains désarticulés
et tous les regards affolés
et la mitraille et la mitraille
laissant de fumantes entrailles !
.
Les infirmiers et les brancards,
les jeunes et les vieux briscards,
les chirurgiens coupant des membres,
les corps torturés qui se cambrent !
Et ceux d’en face tout comme nous,
terrés aussi aux fond des trous
et obligés sous la mitraille
de s’élancer vaille que vaille !
Les mêmes de chaque coté
à ordonner, à exiger,
d’aller se faire ouvrir les trippes
au nom des sacrés grands principes !
Pourquoi donc ne suis-je pas mort ?
J’aurais dû, j’en ai grand remords,
en terminer là-bas sur place
pour ne plus me voir dans la glace !
Mais que peut-on faire bon sang
quand on s’est vidé de son sang
et que l’on n’est plus qu’une loque,
une proie pour staphylocoques !
Après …
Après, affronter les regards
avec les yeux plein de brouillard
des amis et de la famille
et pire encore ceux des filles !
Au début de la compassion,
ensuite de la répulsion
et parfois même une grimace
… ferais-je mieux, moi, à leur place ?
Pourquoi donc ne suis-je pas mort
quand cet obus venu du nord
a emporté, mon sang se glace,
presque la moitié de ma face ?
Pierre Dupuis
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En quatrième:
la chanson de Gérard Berliner « Louise »
où la guerre de 14-18 est évoquée
Parole de Louise:
Mais qui a soulagé sa peine
Porté son bois porté les seaux
Offert une écharpe de laine
Le jour de la foire aux chevaux
Et qui a pris soin de son âme
Et l'a bercée dedans son lit
Qui l'a traitée comme une femme
Au moins une fois dans sa vie
Le bois que portait Louise
C'est le Bon Dieu qui le portait
Le froid dont souffrait Louise
C'est le Bon Dieu qui le souffrait
C'n'était qu'un homme des équipes
Du chantier des chemins de fer
À l'heure laissée aux domestiques
Elle le rejoignait près des barrières
Me voudras-tu moi qui sais coudre
Signer mon nom et puis compter,
L'homme à sa taille sur la route
Passait son bras, la promenait
L'amour qui tenait Louise
C'est le Bon Dieu qui le tenait
Le regard bleu sur Louise
C'est le Bon Dieu qui l'éclairait
Ils sont partis vaille que vaille
Mourir quatre ans dans les tranchées.
Et l'on raconte leurs batailles
Dans le salon après le thé
Les lettres qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui les portait
La guerre qui séparait Louise
C'est le Bon Dieu qui la voyait
Un soir d'hiver sous la charpente
Dans son lit cage elle a tué
L'amour tout au fond de son ventre
Par une aiguille à tricoter
Si je vous garde Louise en place
C'est en cuisine pas devant moi
Ma fille prie très fort pour que s'efface
Ce que l'curé m'a appris là
Et la honte que cachait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a cachée
Le soldat qu'attendait Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a vu tomber
Y a cinquante ans c'était en France
Dans un village de l'Allier
On n'accordait pas d'importance
A une servante sans fiancé
Le deuil qu'a porté Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a porté
La vie qu'a travaillé Louise
C'est le Bon Dieu qui l'a aidée
Bonne lecture !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Le poème un peu sonnet du jour : "Obligé de sonnet deux fois !" et ... même une troisième ! Le tout par ... Rotpier !
Image du net
Obligé de sonnet deux fois !
Je n’étais pas très emballé
Par cette injonction de ma muse,
Je lui ai dit : « Si ça t’amuse,
Tu n’as plus qu’à t’y atteler ! »
Au regard qu’elle m’a roulé,
Je me suis dit : Oh ! Triple buse
Ça va chauffer dans la cambuse
Si tu cherches à te défiler ! »
Elle a exigé en despote,
en restant droite dans ses bottes,
Que je bâtisse deux sonnets
Avec des rimes identiques.
Je me suis mis aux ballonnets
De blanc cassis dans cette optique !
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Verre pour vers, j’ai étalé
Sur papier de façon diffuse,
Ma raison devenant confuse,
Ces strophes sans trop m’affaler !
Ne pouvant plus rien avaler,
Je lui ai dit « Là, je refuse
D’aller plus loin car tu abuses,
Je tiens à te le signaler ! »
J’avais l’estomac en compote,
Encore pire que mon pote
Lulu qui dès potron-minet
Se beurre de façon drastique !
J’ai terminé mes deux sonnets
En écriture automatique !
Cela a bien marché ma foi,
j’ai sonnet encore une fois !
Au bout de vingt deux blanc cassis,
Alors que j’étais très malade,
Je me suis porté l’estocade
En me mettant au cannabis !
J’ai déliré un synopsis
Avec des scènes égrillardes,
des étreintes plus que gaillardes :
Un vrai festival de pubis !
Quand j’ai refait un peu surface
Et pour ne pas perdre la face,
J’ai mis tout cela noir sur blanc
Et je l’ai donner à ma muse !
Elle en est tombée sur le flanc
Et depuis c’est moi qui l’abuse !
Non, mais !
Rotpier
Rébus : réponses aux petits rébus dominicaux de ... Rotpier !
Réponse pour les rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Nota: Surtout le second sur lequel j'avais fait une monumentale erreur d'accord ! A voir sur l'article !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un en bonus !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
.
C’est un rébus très court du Rotpier qui est assez philosophe !
1ère ligne, avant dernière image: le serpent fait toujours " s " ! ( l'autre aussi ! ) Dernière image : l' " - - - - - " de Vitruve du bon Léonard ! ( l'autre aussi ! )
2ème ligne, dernière image : du " - - - " pour coudre !
3ème ligne, 2ème image : lieu où l'on trouve des animaux en cage !
4ème ligne, 2ème image : un arbre cher à Shakespeare ! Dernière image : endroit ou se tenait la vigie sur les anciens voiliers !
5ème ligne, 1ère image : en direct, le symbole de la " vie" ! 2ème image : suite du refrain d'une chanson d'Antoine !
7ème ligne, 1ère image : vue de l'intérieur d'un " - - - - " de golf !
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot ! Il est court et philosophique je vous le rappelle !
Réponse :
L’un des summums de la philosophie c’est d’être une vieille peau et de se trouver bien dedans !
Le second, sans aide pour les connaisseurs et les habitué(e)s !
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot ! J'espère que vous n'allez pas sourire jaune !
Réponse :
L’invasion du frelon asiatique fait-elle partie des prémices du péril jaune ?
Nota :
J’ai, fait une énorme faute d’accord masculin-féminin !
Mais pourquoi suis-allé mettre une île à la place d’une aile ?
Pourquoi me suis-je égaré à ce point ?
Pourquoi n’ai-je pas donné au féminin la place qui lui revient ?
Je fais ici mon acte de contrition :
Le frelon asiatique à cassé ma boutique
Et je suis devenu un pauvre hère erratique
Je n’ai pas fait l’accord qu’il fallait entreprendre :
Je vous fournis la corde et à vous de me pendre !
Amen !
Le Rotpier
Qu'il dit l'animal !
Barbara: " Göttingen " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Barbara »
« Göttigen »
La longue dame brune …
Göttingen
Bien sûr, ce n'est pas la Seine,
Ce n'est pas le bois de Vincennes,
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Pas de quais et pas de rengaines
Qui se lamentent et qui se traînent,
Mais l'amour y fleurit quand même,
A Göttingen, à Göttingen.
Ils savent mieux que nous, je pense,
L'histoire de nos rois de France,
Herman, Peter, Helga et Hans,
A Göttingen.
Et que personne ne s'offense,
Mais les contes de notre enfance,
"Il était une fois" commence
A Göttingen.
Bien sûr nous, nous avons la Seine
Et puis notre bois de Vincennes,
Mais Dieu que les roses sont belles
A Göttingen, à Göttingen.
Nous, nous avons nos matins blêmes
Et l'âme grise de Verlaine,
Eux c'est la mélancolie même,
A Göttingen, à Göttingen.
Quand ils ne savent rien nous dire,
Ils restent là à nous sourire
Mais nous les comprenons quand même,
Les enfants blonds de Göttingen.
Et tant pis pour ceux qui s'étonnent
Et que les autres me pardonnent,
Mais les enfants ce sont les mêmes,
A Paris ou à Göttingen.
O faites que jamais ne revienne
Le temps du sang et de la haine
Car il y a des gens que j'aime,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen.
Mais c'est bien joli tout de même,
A Göttingen, à Göttingen.
Et lorsque sonnerait l'alarme,
S'il fallait reprendre les armes,
Mon cœur verserait une larme
Pour Göttingen, pour Göttingen
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
.
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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Et en bonus, la citation de Clémenceau à propos de la mort de Félix Faure :
« Il voulait être César, il n’aura été que Pompée »
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Le poème-délire du jour : " Fric-fracs en vrac " ou " Les flics chocolat, " de ... Rotpier
... Juste un petit délire chocolaté du Rotpier !
Image du net !
Fric-fracs en vrac
ou
Les flics chocolat,
Les policiers étaient perplexes
devant le nombre de fric-fracs
ils avaient affaire à un crack
l’affaire allait être complexe.
Il ciblait les confiseries
et uniquement les Kinder
armé d’un sac et d’un cutter
une technique bien murie.
Kinder Joy ou Kinder surprise
Kinder délice ou bien Bueno
il raflait tout pas de cadeau
il avait l’art et la maîtrise.
Malgré les très nombreuses planques
et l’activation des indics
ils n’avaient pas les pauvres flics
grand-chose sur ce saltimbanque !
Il avait une grande adresse
et il leur jouait bien des tours
au point qu’ils se sentaient balourds
surtout quand ils lisaient la presse.
Car ces retors de journalistes
n’ayant rien d’autre sous la main
prenait ça comme du bon pain
et ils se faisaient satiristes.
Rien de bien méchant à vrai dire
juste de quoi faire un bon mot
quelque chose de rigolo
simplement pour faire sourire.
L’un avait gagné la timbale
en qualifiant notre voleur
de… « Véritable serial Kinder »
cela resta dans les annales.
Peu à peu les vols s’espacèrent
et un beau jour tout s’arrêta
tout le monde le regretta
à l’exception du commissaire.
On ne retrouva pas l’artiste
les flics restèrent chocolat
seule la formule resta :
dans la vie les bons mots résistent.
Epilogue :
Il se pourrait que ce poème
intéresse un jour Ferrero
mais même contre un pont d’euros
je préfère rester bohème.
Certains vont dire : « Qu’il est bête !
Il n’a rien dans le ciboulot
c’est un barjot, c’est un charlot
ventrebleu saperlipopette !
Il pourrait engranger des thunes
en signant des contrats juteux
il doit être gaga le vieux
il ne fera jamais fortune ! »
Mais rien ne sert d’être trop riche
mieux vaut être bien dans sa peau
tout le reste c’est du pipeau
je m’en fiche et m’en contrefiche !
Et si vous aimez les surprises
vous n’allez pas être déçus
je vous délivre sans reçu
la vérité sans roublardise.
Epilogue de l’épilogue :
Mon secret je vais vous le dire
dans cette affaire de Kinder
c’était moi le petit voleur
je remplissais ma tirelire.
Je revendais à la sauvette
tout ce que j’avais chapardé
aidé par mon copain Dédé
qui se payait des cigarettes.
J’en avais assez de me taire
je ne risque plus la prison
il y a depuis prescription
et il est mort le commissaire !
De plus…
Je ne l’ai pas dit à confesse
j’évitais déjà les curés
j’avais raison de me méfier
comme ils le disent dans la presse !
Car pour quelques confiseries
en matière de contrition
quelle aurait été l’addition ?
… Pas des « Je vous salue Marie » !