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Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout !
Réponse :
Quand un pou pond quelle est la durée de l'incubation ? Est-elle rapide ou lente? C'est la question que se posent souvent les petits enfants qu'ils soient papous ou pas !
Qu'il dit l'animal !
Richard Cocciante : "Avec simplicité" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
"Richard Cocciante"
« Avec simplicité »
Pour écrire d'aussi belles chansons, je pense qu'il a un Cocciante intellectuel au dessus de la moyenne ... quand pensez-vous?
Avec Simplicité :
Tu m'as dit des mots d'amitié, l'amour s'est glissé en moi
Avec simplicité
De tous petits mots parfumés d'oiseaux sont tombés du ciel
Avec simplicité
Je ne crierai plus au secours
Le chagrin d'hier tourne court
C'est toi qui l'as tué
Avec simplicité
Je t'emporte dans ma chanson d'amour inventée pour toi
Avec simplicité
Quelle soit belle ou non, ma chanson, elle suit le fil de ta voix
Avec simplicité
Je n'ai plus de fête sans toi
La seule fête pour moi
C'est seulement de t'aimer
Avec simplicité
Et je sais très bien désormais
Pour qui j'ai envie de chanter
Tu me quittes une heure, je suis mort
Je n'ai plus ni cœur ni corps, je suis désenchanté
Par une ombre aux yeux de soleil
Qui a cambriolé presque tout mon sommeil
Avec simplicité
Il y a ton orage dans l'air
Il y a ton sourire sur la mer
Il y a ton éclair, ton électricité
Le printemps peut battre tambour
La fleur qui fait mon cœur moins lourd
C'est toi qui l'as semé
Avec simplicité
Et je sais pour qui désormais
Le soir j'ai envie de chanter
Je n'existe plus quand tu sors
J'ai toute ma vie dehors, je suis désenchanté
Par une ombre au cœur qui sommeille
Qui a cambriolé presque tout mon soleil
Avec simplicité
Il y a ton parfum doux amer
Cette eau pure au cœur du désert
Il y a chaque nuit sur mes nerfs
Cette éventualité
De ta simplicité
Bon partage ... tout en simplicité !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
.
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Poésies du jour : "Les couleurs de la vie," ... de ... Pierre
Je vous invite ami(e)s à partager avec moi un balayage des couleurs de la vie ou, plus précisément, des tons de la vie. Ces tons qui s’associent si parfaitement à nos états d’âme.
En premier, je vous invite à aller vers le sombre, vers le noir.
En second, ce sera l'inverse ... mieux vaut garder le bon pour la fin ...
Ces poèmes ont déjà été publiés mais je les ai retouchés … juste un petit coup de pinceau çà et là.
Bon partage,
Pierre
Il fait gris, il fait moche
et mon coeur s'effiloche.
Il en saigne et s'aigrit
où est donc son grigri ?
Pierre
Photo de Jean-François Simon
Les couleurs de la vie,
Je vous prends par les yeux
comme on prend par la main,
Balayons les couleurs, d'aujourd'hui, de demain.
Là, sous nos yeux … la vie ! Toute la vie.
Ses couleurs, ses tons … des tons à l’envie.
Clairs au début mais … déjà perturbés.
Le socle et la base … déjà plombés.
On avance et … la lumière s’estompe.
On fait un vœu, on croit, mais … on se trompe !
Et, l’irréductible avance du temps
nous entraîne vers les tons rebutants.
D’ abord, quelques traits décochés … sombres,
avant-garde des bataillons de l’ombre.
Vaincu, le bleu cède la place et meurt.
Le gris, plus gris, se renforce et s’étale.
Encore quelques lueurs qu’il avale …
et puis … il passe un pacte avec le noir
… son maître … inexorable laminoir !
Plus de lueurs,
toutes les peurs
et … le trou noir.
Pierre Dupuis
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Chose promise, chose due : je vous invite ami(e)s à refaire le chemin à l’envers.
Autre petit instantané …
Il avait mis des mois
à sortir de l’impasse,
un long chemin de croix
où parfois on y passe,
une purée de poix
une ignoble mêlasse
visqueuse comme poix :
la Parque qui t’enlace.
Pierre
Cliché de Jean-François Simon
Les couleurs de la vie,
L’homme était là, droit … immobile …
détaillant chaque ton … fragile
… encore … encore un peu.
Il avait, sous les yeux,
les couleurs traversées
cette dernière année.
Son regard balayait le cliché,
de gauche à droite, il revivait
les dernières étapes de sa vie.
Il les revivait …une à une … intensément.
Le sombre … le plus que sombre,
cette poisse d’ombre
…désespérante.
Il était là … dans ce trou noir.
Il avait perdu tout espoir.
L’enfer ! Le fond ! La fin du rêve !
Et tous les jours … et pas de trêve !
Il n’y avait plus que le vide
… plus que le noir … livide.
Le temps passait … pas un éclair.
Pourtant il savait bien le clair !
Il l’avait connu … avec elle.
Oui ! Avec elle, la belle !
Et puis un jour … plus rien … partie !
Sans explications ! … La folie !
Le tunnel ! Le trou ! Le néant !
Des mois dans ce gouffre béant.
Des mois et des mois d’amertume :
le long deuil d’un amour posthume.
Pourtant …
Un matin, dans son vieux miroir,
il avait cru apercevoir
une lueur … fugitive.
Éclaircie toute relative :
du noir … moins noir … virant au gris.
Mais, vigilant même amaigri,
décochant des nuées de traits sombres,
le noir essayait le surnombre.
Malgré cela, il reculait.
Des escadrons, couleur de lait,
arrivaient à faire main-basse
sur les volumes de l’espace !
Le bleu avançait, impérial,
gommant tout souvenir glacial.
Ayant fini son balayage,
certain d’avoir tourné la page,
l’homme pivota et sourit.
Dans la rue, plus tard,
son regard accrocha - surpris ! -
le fier profil d’une passante
à la clarté éblouissante !
Pierre Dupuis
Image du net évoquant " A une passante " de Charles Baudelaire
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical du Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
.
C’est un rébus qui a un certain rapport avec la fête des mères mais il est mijoté par le Rotpier ... ça crève les yeux ! Enfin, surtout après le déchiffrage !
3ème ligne, 4ème image : la moitié de Coco comme d'hab !
Dernière image: boisson favorite des anglais !
5ème ligne, 1ère image: lieu où se tenaient les marchés dans le temps ! Dernière image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies !
6ème ligne, 1ère image : ça ne fait pas lourd, mais 5 " - - - - " c'est 5 " - - - - " ! ( son à enchaîner avec l'image d'avant ! ) 2ème image : il ne faut pas prendre le court !
Entre la dernière image de la 8ème ligne et la première de la 9ème, l’enchaînement n'est pas facile !
9ème ligne, dernière image " - - - " est ce personnage ? ( ne pas tenir compte du point au milieu ... un point c'est tout ! )
Dernière ligne : il ne faut pas prendre le mou !
Et pis c'est tout !
Allez, au boulot et ne posez pas trop de question: moi, je ne suis pas certain de pouvoir y répondre !
Réponse :
Le complexe d’Œdipe a un coté paradoxal dans le sens où l’on peut considérer que c’est l’effet mère qui dure !
Nota : Je vous vous avais bien dit qu'il y avait un rapport avec la fête des mères !
Ça, c’est juste la signature !
"Elsa" de Didier Barbelivien ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Didier Barbelivien »
« Elsa »
… souvenirs, souvenirs…
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♪ Elsa ♪
Elsa, les manèges de Berlin tournaient dans tes bras,
Elsa, la chanson des marins pleurait dans ta voix
Elsa, le soleil du matin s'allumait sur toi
Elsa, le printemps qui revient ne me guérit pas.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu moitié lilas, la la la, la la la
Beaux comme un air d'opéra, la la la, la la la
Je ne voyais plus que ça
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Sur ton visage en delta, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas.
Elsa, les violons des tziganes se battaient pour toi
Elsa, le sourire des nomades subissait ta loi
Elsa, les nuits de Schéhérazade se moquaient du froid
Elsa, dans mes longues promenades quand je pense à toi.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu, moitié lilas, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas.
Elsa, les manèges de Berlin tournent dans le froid
Elsa, la chanson des marins n'a plus rien de toi
Elsa, le soleil ce matin ne brille pas pour moi
Elsa, le printemps qui revient ne me guérit pas.
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Moitié bleu, moitié lilas, la la la, la la la
Beaux comme un air d'opéra, la la la, la la la
Je ne voyais plus que ça
Je me souviens de ces yeux là, la la la, la la la
Sur ton visage en delta, la la la, la la la
Même à des années de toi, la la la, la la la
Je vis mais je ne dors pas, la la la, la la la
La la la la la la la la la la la la la la
La la la la la la la la la la la la la la
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
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Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
" Bouquet de mots " , un poème de ... Pierre
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Allez, un peu de poésie, de la vraie, pour
adoucir de ce monde de brutes !
Image du net !
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Bouquet de mots,
J’avais cueilli des petits mots
des mots gentils sur les rameaux
d’un arbre qui m’avait souri
sans savoir qui j’étais … si, si !
Le soleil les avait dorés,
je les ai de suite adorés,
je les ai mis tous bout à bout
ils m’ont dit « Oh ! Le touche à tout » !
Comme je suis très bricoleur,
j’ai fabriqué avec bonheur
une tige pour chacun d’eux
ce qui les a rendu heureux !
Ils ont sauté tous à pieds joints
dans un vase et j’ai des témoins :
mon chat Gaston, un angora,
ainsi que sa copine Elsa !
Ils ont formé un gros bouquet,
selon le sens où l’on se met
leurs messages sont différents
sans jamais être indifférents !
Aux gens qui sont toujours grincheux
ils ne font pas dans le moelleux !
Les joyeux ont tous leurs égards :
ils leur parlent parfois fort tard !
Je fais partie de ces derniers,
vous aviez pour sûr deviné
et quand je veux aller au lit
ils crient tous au casus belli !
Mais quand ils voient mes yeux cernés
ils prennent soin de ma santé
et me disent : « Allez, dodo :
tu rates tous tes jeux de mots ! »
Le jour de mon dernier écueil
je les voudrais dans mon cercueil :
le temps doit paraître très long
sans la moindre conversation !
J’avais cueilli des petits mots
des mots gentils sur les rameaux
d’un arbre qui m’avait souri
il en reste plein … allez-y !
Ne les laissez pas se flétrir
même les mots peuvent mourir
si l’on ne leur tend pas la main :
les mots sont comme les humains !
Pierre Dupuis