Chat s'arrange pas chez le Rotpier ... le poème du jour: "Chat va bien … hein ! " de ... Rotpier
Petit divertissement pseudo poétique que je dédie à …Micha !
J’aurais du le mettre le 15 août, mais j’ai raté la chatière … en un seul mot ... hein !
Bande de malhonnêtes !
Cela plaira-t-il à Micha ? Je ne sais pas … je ne suis pas prophète, bien qu’un peu charlatan ! …
Inch Allah !
Rotpier
Cela suffit pour aujourd’hui, Rotpier !
Excusez-le mesdames et messieurs, ce n’est pas un mauvais bougre, mais il n’est pas très net dans sa tête. Ce n’est pas tout à fait de sa faute : c’est lui qui était coté mur dans le berceau de notre petite enfance.
Moi, je m’en sors en peu mieux.
Pierre
Sur une photo de Jean-François Simon que je salue et remercie :
Chat va bien … hein !
Oh ! Eh ! Ça va … hein !
J’ai très bien entendu !
Les :
« Regarde cet empoté ! »
« Marrant ce chat-pot ! »
« Chat alors ! Un chat sur le pot ! »
«- Il dépare la coupelle :
je trouve ce chat peu rond !
Tu crois que son cou pèle ?
- J’ sais pas … j’aime pas les chats pelés !
… les chats laids non plus !
… les chats lents pas plus ! »
Oh ! ça va bien, hein !
Lâchez-moi les coussins !
Ou alors, ma patte de velours
vous allez la goûter,
toutes griffes déployées
… en plein dans le nez !
Je sais, parfois, me faire chat-teigne !
Et je distribue des marrons et des beignes !
Je suis un chat de garde !
Et, prenez bien garde :
je pourrais aussi me moquer
… dans le genre :
« Vous avez une démarche très … chaloupée !
… vous ne seriez pas un peu de la jaquette ?
Un peu tapette?
… Sans souris … c’est sûr !
Ah ! Ah ! C’est dur, hein les blaireaux ?
Chat vous la coupe
un chat qui se poile sur votre dos !
Fini de faire les zozos !
Là, c’est moi qui rit !
Et … c’est vache un chat qui rit !
Voilà !
Bien charrié, bien servi !
Non mais !
Chat se termine comme chat !!!
Et pis ch’est tout,
Chalut !
Pierre Dupuis
Poème très châtié déjà dupuiblié !
Afganistan, Irack, Géorgie etc ... ils y sont ! Le poème du jour: " Le choix des larmes, ) de Rotpier
La guerre n'est pas un jeu, c'est une infâme saloperie ... parfois nécessaire hélas ! Beaucoup de jeunes appelés ne le mesure pas avant de signer ... leurs familles non plus , souvent.
Le choix des larmes,
La jeunesse et la gloire et … l’uniforme en prime !
Avez-vous observé les bataillons d’assaut ?
Quelque soit le pays, l’élite en armes rime
avec tout jeunes gens : sont-ils fous ou bien sots ?
Il faut chercher ailleurs les tenants et les causes,
je n’ai pas peur de dire et tant pis pour certains
que c’est par ignorance et là, j’affirme et j’ose,
que ces gamins sont là, la peur aux intestins !
A part les inconscients ou les moitié sauvages,
que peut penser un môme en voyant au matin,
au détour d’un rocher ou bien sur une plage,
son copain disloqué, dérisoire pantin !
Je dis - j’affirme et j’ose ! - à ceux qui se rengagent
après avoir vu ça : vous n'êtes pas humains !
Vous avez dans le crâne en unique bagage
l’odeur âcre du sang que peut verser vos mains !
il me faut en déduire en suivant ce précepte,
et là je vais me faire agonir de jurons,
que beaucoup de gradés, il faut bien qu’ils l’acceptent,
sont des gens de ce type ou autres fanfarons !
Ce principe posé, je freine et je tempère,
car il y a bien sûr, à tout, des exceptions
et je suis bien conscient que parmi tous nos pères
beaucoup versaient le sang au nom de la nation .
Ce qui m’entraîne alors à autre dialectique :
c’est la loi d’obéir pour tous les régiments
aux ordres - quels qu’ils soient ! - des hommes politiques
et dans ce marigot, vivent des caïmans !
Oubliez les discours, épluchez bien leurs sphères,
cernez les grands patrons, cherchez leurs intérêts,
que ce soit le sous-sol ou un endroit sur terre
permettant de régner en maître sur le fret !
Il est une exception que je veux bien admettre :
que tonnent les canons des pays libéraux
quand un vil dictateur décide de soumettre
son peuple au bon vouloir d’infâmes généraux !
Et tant pis si je pleure et tant pis si je rêve
à un monde meilleur où tous seraient amis,
le monde est ainsi fait et des gamins en crèvent
le regard étonné pour n'avoir rien compris !
Pierre Dupuis
Déjà publié, repris et augmenté .
Le poème du jour : " Supplique " de ... Rotpier
Supplique,
Ses pas l’avaient menée sur cette plage.
Ici ou ailleurs, peu lui importait,
focalisant tout sur le sauvetage
de son dernier amour qui avortait.
Elle y avait cru sans le moindre doute :
c’était le bon ! Un amour en béton !
… En béton armé ! Pas de fausse route !
Du solide, du vrai, pas du carton !
Engagement total, sans retenue,
pour quel bilan ? … Tout allait s’écrouler !
Elle l’avait pourtant porté aux nues
… cet amour qui avait tout chamboulé !
Elle avait tout oublié des prières,
à un dieu qui lui semblait si lointain !
Mais là, elle avait besoin de repères :
le soleil couchant lui en donnait un.
Bras très haut levés, paumes de mains jointes
ouvertes en « V » : elle communiait !
Elle avait l’impression qu’elle était ointe
par les derniers rayons qu’il envoyait.
Pour quel résultat ? Au cœur une escarre ?
Ou bien en finir là, se consumer,
se brûler et en mourir comme Icare ?
… Prendre une décision et … l’assumer.
Pierre Dupuis
Vive Dijon ! et ... les dicton ( à la c - - ! ) de la semaine de … Rotpier !
Les dictons à la c - - de la semaine !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
Bonne fête à tous les saints de la semaine !
A la Saint Louis : dors !
Tu te réveilleras plus riche encore !
Bof ! … Si on peut plus rêver, alors !
A la Sainte Natacha,
achète un tapis pour ton chat !
Et un … ( censuré le Rotpier ! )
A la Sainte Monique,
tu te la fais, tonique,
avec ou sans tunique :
c’est une volcanique la Monique !
Si, à la Saint Augustin,
tu vois partout des lutins,
que verras-tu à la sainte Sabine,
ma cousine !
Si, à la Saint Fiacre,
tu montes sur tes grands chevaux,
le lendemain, tu feras un bide
à la Saint Aristide !
Et pis c’est tout pour aujourd’hui … brav’ gens !
Heu … non ! Y a du rab !
A la Saint Fiacre,
en voiture , à cheval ou à pied,
il se fera la malle, le Rotpier !
Du coté de Dijon,
là-bas, les monstres sont légion !
La devise des gaillards de Dijon :
Dijon,
dix joncs
dix glans
dix grands :
c’est pas pour les cochons !
La devise de la ville de Dijon :
A Dijon, les vigoureux avancent
alors que les mous tardent !
Prenez-en de la graine et faite vinaigre !
Photo prise sur le net
Dijon: il n'y a que cette ville qui m'aille: là bas, j'aurais sûrement la cote!
Là, c’est tout pour aujourd’hui … brav’ gens !
Bonne semaine !
Le dicton- pub du jour ….. selon Rotpier !
Pas pour Sony ... hein !
Midi, sept heures : l’heure du Berger !
Image prise sur le net
Minuit pétant : l’heure du J.C. !
h ttp://jcmian.spaces.live.com
A consommer avec modération
… pour le premier !
Et … sans modération pour le second !
Moi, je prends les deux
et je ne m’en porte que mieux !
Les essayer, c’est les adopter !
Adopter un J.C.
et … vous ne pourrez plus vous en passer !
A la vôtre camarades de la blogosphère !
Et pis c’est tout !
Signé : le Rotpier !
Le poème du jour: " Buffonnerie à Montbard, " de ... Rotpier
Buffonnerie à Montbard,
Je visitais Montbard,
la ville de Buffon,
et dans un très vieux bar
je vidais carafon.
De l’excellent pinard
j’étais même un peu rond,
quand entra un loubard
venu des environs.
Pas du tout malabar
- ou peut-être des g’ nous ?-
tatoué d’un grand homard
de la ceinture au cou !
Un homard à Montbard,
c’est marrant pour le coup,
mais ça fait très jobard
et pas sérieux de tout !
De derrière le bar,
la fille du patron
fit un clin œil gaillard
à l’étrange garçon.
A cause du homard,
elle en pinçait bonbon,
toute prête au plumard
pour détailler à fond !
Ignorant jusqu’au bout
le clin d’œil égrillard,
le gars resta debout,
reluquant mon pinard !
En bourgogne un loubard,
pour rester dans le coup,
doit un jour, tôt ou tard,
bien tâter au glouglou !
Invitant le lascar
à vider carafon,
je lui posais, peinard,
ma petite question :
« - Pour avoir un homard
tatoué sur ton bedon,
tu viens de Zanzibar
ou du pays Breton ? »
Eclair dans le regard
et se fâchant d’un coup,
le loubard furibard
me choppa par le cou !
J’ignorais le lascar,
ne risquant rien du tout,
des bras jusqu’aux panards :
aussi musclé qu’un clou !
« - Si tu viens à Montbard
pour jouer au buffon,
je te file rencard
pour le canal … dans l’ fond !
- Sans être trop vantard,
excuse-moi garçon,
mais même non thèsard,
je crois qu’on dit … bouffon !
- Ici, y a pas d’ lézard,
toi, t’as rien dans le chou !
Buffon c’est pas ringard
et c’est bien de chez nous !
Et quant à mon homard,
pour peu qu’il soit fin saoul,
dans la Brenne un fêtard
peut en croiser beaucoup !
Tu sais, moi, pour ma part,
un soir que j’étais rond,
j’ai vu sur les remparts
au moins deux escadrons !
Derrière un étendard,
à grands coups de pinçons,
ils s’étripaient le lard
observés par Buffon !
J’ connais pas Zanzibar,
j’ai jamais vu d’ biniou :
je suis né à Montbard
et j’en suis fier … c’est tout !
- Allez, pas de pétard,
t’as raison après tout,
nous sommes à Montbard,
alors buvons un coup ! »
Et en joyeux fêtards,
sautèrent les bouchons,
la porte un peu plus tard
nous vit tout à fait ronds !
On se quitta peinards,
plus copains que cochons,
pour rentrer au plumard,
ce ne fut pas coton !
Je partis au hasard
la Petit’ Forge… c’est où ?
Mais le dieu des soûlards
me guida jusqu’au bout !
Dans le canal, plus tard,
je ne vis rien du tout,
surtout pas de homards
avec des pinc’ partout !
C’est sans trop d’avatar,
sans trop tourner en rond,
qu’encore un peu hagard
j’arrivais à Buffon !
Mais le gravier, vachard,
roulant sous mes talons,
me fit faire un écart :
gadin de tout mon long !
Jurant comme un paillard,
je me remis debout,
rejoignant mon plumard,
je m’endormis d’un coup !
Des rêves de homards
venant me fair’ coucou
en me parlant loubard :
joli coup de bambou !
Me réveillant très tard,
grand mal au carafon,
je me dis qu’à Montbard
faut pas jouer au …buffon !
Ce petit canular,
je l’offre sans façon :
souvenir de bas art
d’un séjour à Buffon !
Pierre Dupuis
Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine, je vous propose de partager les chansons et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Peut-être parce qu'avant-hier, j'étais à Roissy pour mettre nos petites-filles aînées dans l'avion qui les reconduisaient à New York ? Allez savoir !
Ai-je vu ou cru voir ? Je ne sais pas ............. mais, voila le résultat.
Cette fois-ci :
Jacques Brel : Orly
Je trouve aussi le clip vidéo superbe !
Cette fois-ci :
Jacques Brel : Orly
Je trouve aussi le clip vidéo superbe !
Quand je pense que certains avaient dit que cet album ( les Marquises ) était moins bon que les autres !
Les marquises !
Jaurès !
La ville s'endormait !
Vieillir !
Les ramparts de Varsovie !
Orly !
Chez ces gens là, Monsieur, cela ne devait pas tourner bien rond !!!
Mais, je vous laisse déguster
et ... ce n'est pas de la soupe froide !!!
Et je ne vois qu'eux deux
La pluie les a soudés,
Semble-t-il, l'un à l'autre
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et je les sais qui parlent
Il doit lui dire « Je t'aime ! »
Elle doit lui dire « Je t'aime ! »
Je crois qu'ils sont en train
De ne rien se promettre
Ces deux-là sont trop maigres
Pour être malhonnêtes
Ils sont plus de deux mille
Et je ne vois qu'eux deux
Et brusquement, il pleure
Il pleure à gros bouillons
Tout entourés qu'ils sont
D'adipeux en sueur
Et de bouffeurs d'espoir
Qui les montrent du nez
Mais ces deux déchirés
Superbes de chagrin
Abandonnent aux chiens
L'exploit de les juger
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c’est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et maintenant, ils pleurent
Je veux dire tous les deux
Tout à l'heure c'était lui
Lorsque je disais "il"
Tout encastrés qu'ils sont
Ils n'entendent plus rien
Que les sanglots de l'autre
Et puis
Et puis infiniment
Comme deux corps qui prient
Infiniment, lentement,
Ces deux corps se séparent
Et en se séparant
Ces deux corps se déchirent
Et je vous jure qu'ils crient
Et puis, ils se reprennent
Redeviennent un seul
Redeviennent le feu
Et puis, se redéchirent
Se tiennent par les yeux
Et puis, en reculant
Comme la mer se retire,
Il consomme l'adieu
Il bave quelques mots
Agite une vague main
Et brusquement, il fuit
Fuit sans se retourner
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
La vie ne fait pas de cadeau
Et nom de Dieu c'est triste
Orly, le dimanche,
Avec ou sans Bécaud !
Et puis, il disparaît
Bouffé par l'escalier
Et elle, elle reste là
Cœur en croix, bouche ouverte
Sans un cri, sans un mot
Elle connaît sa mort
Elle vient de la croiser
Voilà qu'elle se retourne
Et se retourne encore
Ses bras vont jusqu'à terre
Ça y est ! Elle a mille ans
La porte est refermée
La voilà sans lumière
Elle tourne sur elle-même
Et déjà elle sait
Qu'elle tournera toujours
Elle a perdu des hommes
Mais là, elle perd l'amour
L'amour le lui a dit
Revoilà l'inutile
Elle vivra de projets
Qui ne feront qu'attendre
La revoilà fragile
Avant que d'être à vendre
Je suis là, je la suis
Je n'ose rien pour elle
Que la foule grignote
Comme un quelconque fruit
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour: " Je me souviens d’un jour… ) de ... Rotpier
Je me souviens d’un jour…
Je me souviens d’un jour … d’un jour exceptionnel.
J’étais là … l’invité - plutôt malgré moi ! -
d’une réunion qui comptait famille et proches, pêle-mêle ;
des inconnus aussi ! ( ou ma mémoire les avaient effacés ! )
Nous étions très tassés,
très à l’étroit … surtout moi !
J’eus alors une surprise de poids !
Tous le monde parlait de moi mais
… personne ne me contestait !
Tous m’approuvaient : plus de vaines querelles !
Plus de controverses aigres comme surelle !
Etonné, mais prudent, je gardais quelques traits
bien affûtés au fond de mon carquois.
Car, quoi ! … Ce n’était pas possible :
ils me donnaient sans cesse raison !
Mes plus farouches détracteurs se taisaient !
Presque tous m’aimaient !
J’étais le roi ! J’é…tais…le…roi !
Alors, petit à petit, faiblesse à jamais
de la nature humaine,
je les crus, j’en fus heureux : j’avais vu juste !
Toujours vu juste ! Dans tous les domaines !
Personne ne contestait :
le meilleur c’était moi ! C’é…tait…moi !
Et voilà…et voilà qu’une pâquerette montrait son nez… là !
Là, au ras de l’herbe !
Le printemps arrivait ! La plus belle des saisons !
Et de plus… - de plus ! - avec la vie,
je me mettais au diapason :
pour la première fois je sortais en boite !
Ah ! qu’elle matinée ! … Splendide ! … Superbe !
Pierre Dupuis
Déjà dupuiblié !
Le poème-humour du jour : " Ah! La vache ! " de ... Rotpier
Oh ! La vache !
- Mince ! Joli troupeau ! Bonjour les vaches !
Mais … ce n’est pas vrai, vous avez des piercings !
- Et alors, ça te dérange ? Pauvre tache !
C’est juste, pour nous identifier, un insigne !
- Ah ! Bon ! Je ne savais pas Marguerite,
excuse-moi ! Je ne m’y connais pas trop
en ruminants : c’est ma première visite !
Où il est votre copain, le taureau ?
- D’abord, je ne m’appelle pas Marguerite !
Par contre, toi, tu as comme un air de Fernandel
… dans ses rôles d’idiot ! … Ça t’irrite ?
T’avais qu’à pas commencer, demi-sel !
Notre copain, il est là-bas, derrière !
Il est occupé avec une copine :
il ne saute pas que les barrières !
… Je vois que tu comprends : tu opines !
- Je n’opine pas, je branle du chef !
C’est pareil, mais c’est plus classe !
Mais … vos cornes ne sont pas très en relief :
c’est à peine si elles dépassent !
- Pas plus que les tiennes ! … Pourtant, tu en as !
Tu as beau mettre une grande casquette,
si elle n’entre pas, c’est que ta nana,
elle a son taureau à elle : pas bête !
- Mais, comment tu sais ça ? C’est même pas vrai !
- Ah ! Tu crois ? Pendant que tu joues aux boules
l’après-midi, dans un petit coin frais,
près de la rivière, tout nus ils se roulent !
Ça t’en bouche un coin … hein, mon lapin !
- Heu … ben … je vais faire mon enquête.
Ah ! … Mince, j’allais oublier le pain !
Mais … Pourquoi ça me gratte sous la casquette ?
A demain … tiens, le ciel devient tout noir :
il va pleuvoir comme … vache qui pisse !
- C’est ça, marre-toi bien, on verra ça ce soir
… après ton enquête ! Ducon la malice !
N’oublie pas de nous donner le résultat !
Et puis… fais bien gaffe en passant sous les portes
… des fois que tu trouverais plus d’un gars
qui se la farcirait ta nana très accorte !
Bon, allez les copines, c’est pas tout ça,
maintenant qu’on s’est bien fendu la poire,
faudrait peut-être voir derrière, là-bas :
ils en mettent du temps, le copain et la noire !
Vous ne voyez pas qu’il soit dans l’autre pré
en train de lutiner la voisine !
C’est qu’elle l’a déjà bien aguiché
la charolaise ! On aurait bonne mine !
Elles se mettraient vachement à pousser
… nos cornes ! On nous prendrait pour des bufflonnes !
Je vois déjà l’autre en train de glousser
et de nous prendre pour des pauvres connes !
Nous n’aurions plus que nos yeux pour pleurer :
pire qu’une trahison : un supplice !
Des torrents de larmes couleraient sans arrêt
de nos yeux chiffonnés comme vache qui plisse !
Pierre Dupuis
Photo prise sur le net ! Je me marre !
Les dangers du nucléaire selon le Rotpier !!!
Cela fait 45 ans que je passe mes vacances
près de Bollène dans le Tricastin.
Photo prises sur le net
Voilà le résultat :
Pierre en 1963
Pierre en 2008
Conclusion :
Aucun doute, le nucléaire a des effets négatifs sur l’homme !
A ucun doute pour moi,
R egardez ma bobine :
É tourdi et pantois,
V oyez la triste ruine !
A réva … gare à toi !
Et pis c’est tout !
Le Rotpier
Nota :
Je me demande parfois si le Rotpier n’aurait pas été irradié un jour … coté cerveau ! Il a quand même effectué 6 ou 7 visite de centrales nucléaires ( dont une dans le cœur d’un réacteur … en construction : ouf ! )
A part ces bêtises, je ne vois pas comment, à l’heure actuelle, sortir du nucléaire, tant sur le plan économique que sur celui de la pollution avant d’avoir trouvé une nouvelle énergie propre. Des pays qui l’avaient bannie y reviennent (Allemagne, Suisse… etc. ! )
Pierre