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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Crise en Belgique : " Le plat pays " de Jacques Brel " ... revisité par ... Pierre. Un pastiche sérieux .

18 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

A nos voisins et amis belges.

 

 


 

 

Comme j’avais déjà écrit un couplet samedi dernier, il m’a semblé naturel d’écrire les trois autres.

 

    Pierre Dupuis

 

 

La-mer-du-Nord.jpg

 

Image du net

 

 

Pastiche de la chanson

« Le plat pays de Jacques Brel »

pour nos amis belges.

 

 

A toi, ami du plat pays,

 

Face à la mer du Nord les voila sous les vagues

Les flamands les wallons se battent et divaguent

Ils tiennent des propos qui même les dépassent

Qui les noient un peu plus et les mènent à l’impasse

Avec infiniment de malheurs à venir

Aura-t-il le sursaut qui le fera tenir

Le plat pays qui est le tien

 

Avec le BHV la discorde est montagne

Les drapeaux sont plantés comme mats de cocagne

Avec pour objectif la quête des suffrages

Plutôt que de céder préférant le naufrage

Oubliant les bonjours oubliant les bonsoirs

Avec ce vent de haine écoute-le déchoir

Le plat pays qui est le tien

 

Avec un fiel si lourd que tout semble perdu

Avec le fiel gluant de l’animosité

Avec ce fiel lâché dans les malentendus

Avec ce fiel craché comment se pardonner

Ils ont perdu le nord et vont l’écarteler

Le conduire au chaos et le désintégrer

Le plat pays qui est le tien

 

Finie la litanie des actes et des mots

Remettez tout à plat étalez tous vos maux

Oubliez les rancoeurs oubliez les jamais

Mettez-les entre deux solides guillemets

pour que revienne enfin quelque sérénité

et qu’un autre grand Jacques revienne le chanter

Le plat pays qui est le tien

 

                                          Pierre Dupuis

 

 

 

 

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Héraclès pour les grecs ou Hercule pour les romains : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

17 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui :  


 

hercules.jpg 

 

Image du net

 

 

Héraclès  pour les grecs

 

Hercule  pour les romains

 

 

Héraclès (Hercule) est le célèbre héros grec, personnification de la force, et identifié plus tard avec des types d'autres pays : le Phénicien Melkarth, l'Ogma des Celtes, l'Hercule des Latins (qui étaient des chauds lapins) A l'origine il s'appelait Alcides (Sulfurique) c'est la Pythie de Delphes qui lui donna le nom d'Héraclès.

Il était fils de Zeus et d'Alcmème que l’autre femme d'Amphitryon, fils Alcée (le fort), qui apprit rapidement qu'un des deux enfants n'était pas le sien. A sa naissance, Héra envoya deux serpents pour le dévorer dans son berceau ; mais il les étouffa de ses mains (c’était déjà un gamin très balèze, un peu moins que Chabal mais quand même !)  
Il reçut ensuite une solide éducation mais c'était un élève difficile ( 6/20 à la sortie de CP )
Lorsqu'il eut atteint sa dix-huitième année, Héraclès quitta la ferme, les vaches et les cochons et entreprit de tuer le lion de Cithéron (c’est qu’ t’es bourré !) qui ravageait les troupeaux d'Amphitryon et de son voisin, le roi Thespios.

Il reçu en cadeau une épée de la part d'Hermès, une montre de la part de Julien Dray,un arc et des flèches de la part d'Apollon et de Cupidon, un plastron doré d'Héphaïstos, un blason du Poitou-Charentes de Ségolène et Athéna lui remit une tunique qui était unique. Mais généralement Héraclès est facilement reconnaissable à la peau de lion qui le couvre et à sa massue (cadeau d’un général de l’OAS)

Armé de cette massue, il avait, à travers le monde, exterminé des brigands et des monstres de toutes sortes, combattu des tyrans dont Sadam Hussein et Augusto Pinochet ainsi que les dieux eux-mêmes:
• Erginos à moelle
• Alcyonée  (la Manivelle)
• Archéloos près de Lille qui menaçait Martine
• les Centaures du Pholoé,
• le roi égyptien Busiris de Van Gogh
• soutenu le ciel sur ses épaules pour soulager Atlas,
• délivré Hésione d'un monstre,
• participé à l'expédition des Argonautes et  des Internautes
• capturer les Cercope ( des policiers chargés de coincer les Coptes)
• tué le géant Anthé (à la menthe)
• le Centaure Nessos,
• séparé les montagnes de Calpé et d'Abila (les colonnes d'Hercule),
• délivré Prométhée ( tout et rien)
• combattu la Mort avec sa massue et une grande faux.
• etc.

Selon les auteurs l'ordre des travaux diffère; la liste qui suit a été prise chez Apollodore (encore parce qu’il est fatigué)

  • 1) Le lion de Némée et le chien de Mémée
  • 2) L'hydre de Lerne qui appartenait à Vincent et à Philippe
  • 3) La biche de Cérynie farouchement  
  • 4) Le sanglier d'Erymanthe Religieuse
  • 5) Les écuries d'Augias et celles de Bartabas
  • 6) Les oiseaux du lac Stymphale  
  • 7) Le taureau de Crète et le coq à cornes
  • 8) Les juments de Diomède et le petit cheval blanc de Brassens 
  • 9) La ceinture d'Hippolyte et la Rollex de Sarko 
  • 10) Les boeufs de Géryon  
  • 11) Les pommes d'or des Espérides  
  • 12) Cerbère Léonard et le chien à trois têtes et six queues 


Eurysthée refusa de valider deux travaux: l'hydre de Lerne car il considéra qu'il avait été aidé et les écuries d'Augias car Héraclès avait reçu un salaire : celui de la peur en même temps que Yves Montant et Charles Vanel qui trouvaient l’eau trop lourde comme Bernadette sous Birou.

 

Il épousa tout d'abord Mégara (elle était toujours en minijupe) la fille de Créon  mais dans un accès de folie il la tua, lui ne savait pas pourquoi, mais elle oui !
Il eut, en maints endroits, des aventures amoureuses, un peu moins que J.C. (les filles du roi Thespios, Augé dont il eut un fils Télèphe) et même oublié son héroïsme en se faisant l'esclave d' Omphale.
Enfin, il épousa Déjanire, qu'il délaissa pour Lolé. Déjanire envoya à son mari volage une tunique trempée dans le sang de Nessos. A peine eut-il revêtu le vêtement empoisonné qu'il sentit brûler ses chairs et vit son corps se consumer. Alors il dressa un bûcher sur le mont Oeta, et se jeta dans les flammes.
Mais aussitôt il fut admis dans l'Olympe, et reçut l'immortalité en épousant Hébé (ça alors !)

 

Voici, voilà ce que vous devez savoir pour briller sur le sujet en soirée. N’oubliez surtout pas de citer Rotpier comme référence ce qui ne fera pas un effet rance !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

 

 

 

 

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

17 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Réponse pour le rébus :

 je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

 

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

Et pis c’est tout !

 

Rotpier 

 

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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

16 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

rebus-143--1-.jpg

 rebus-143--2-.jpg

 

 Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

Avec un petit contrepet du Rotpier !

1ère ligne, 1ère image : il peut être à ruban ou rigide !

 2ème ligne, 1ère image : le serpent fait toujours "s" !  ... 2ème image: ne vous fichez pas de la mienne ou je vous hache comme du pâté ! (idem pour l'autre!) ... dernière image : cri du mouton !

3ème ligne, 1ème image: Gros poisson ou insulte pour les femmes !  ... dernière image : en haut du mat d'un voilier ancien (où se tenait la vigie)

5ème ligne, 1ème image : en direct : "ka" ... 2ème image : le marin monte en haut du "- - - "  ... comme Alexandre ! ... Dernière image : sa forme peut être différente mais sa fonction est toujours d'abriter !

 

 

Réponse :

 

          Mettre sa tête sur le béton est-ce une figure du kamasutra ?

 

 

Pour le contrepet : vous vous arrangez comme vous voulez :

je ne prends pas position !

 

Et pis c’est tout !

 

 

 

 

Ça, c’est juste la signature !

 

 

Signé Rotpier

 

 

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A nos amis du plat pays : " Le plat pays " du grand Jacques avec un couplet en plus de ... Pierre

15 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Le grand Jacques :
« Le plat pays »
Avec un couplet supplémentaire de Pierre
pour nos amis belges.


 

Le plat pays

 

Avec la mer du Nord pour dernier terrain vague
Et des vagues de dunes pour arrêter les vagues
Et de vagues rochers que les marées dépassent
Et qui ont à jamais le cœur à marée basse
Avec infiniment de brumes à venir
Avec le vent de l'est écoutez-le tenir
Le plat pays qui est le mien

Avec des cathédrales pour uniques montagnes
Et de noirs clochers comme mâts de cocagne
Où des diables en pierre décrochent les nuages
Avec le fil des jours pour unique voyage
Et des chemins de pluie pour unique bonsoir
Avec le vent d'ouest écoutez-le vouloir
Le plat pays qui est le mien

Avec un ciel si bas qu'un canal s'est perdu
Avec un ciel si bas qu'il fait l'humilité
Avec un ciel si gris qu'un canal s'est pendu
Avec un ciel si gris qu'il faut lui pardonner
Avec le vent du nord qui vient s'écarteler
Avec le vent du nord écoutez-le craquer
Le plat pays qui est le mien

Avec de l'Italie qui descendrait l'Escaut
Avec Frida la Blonde quand elle devient Margot
Quand les fils de novembre nous reviennent en mai
Quand la plaine est fumante et tremble sous juillet
Quand le vent est au rire, quand le vent est au blé
Quand le vent est au sud, écoutez-le chanter
Le plat pays qui est le mien.

 

 

 

Couplet supplémentaire de Pierre

pour une amie belge

 

Ils ont perdu le nord les voila sous les vagues

Les Flamands les Wallons se battent et divaguent

Ils tiennent des propos qui même les dépassent

Qui les noient un peu plus et les mènent à l’impasse

Avec infiniment de malheurs à venir

Aura-t-il le sursaut qui le fera tenir

Le plat pays qui est le tien

 

Bon partage !

 

Rotpier

 

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La Fable : " Le poète, le banc et la grenouille, " ... pour un ami poète ... par ... Pierre !

14 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Fable

 

 

A un ami poète qui se reconnaîtra !

 

 

 

J.C.-et-la-grenouille.jpg

 Petit montage du Rotpier !

 

  

Le poète, le banc et la grenouille,

 

Un poète, endormi sur un banc, bien calé,

rêvait en souriant à ses amours passées.

Sourires entrecoupés de sanglots et de larmes,

esquisse d’un tableau d’un indicible charme.

 

Une verte grenouille en passant devant lui

s’arrêta doucement et s’installa sans bruit.

Observant avec soin les détails de l’image

Elle s’écria d’un coup : « mais pour sûr ! C’est un mage ! »

 

Elle fit un grand bon pour sauter sur le banc,

bien plus qu’il n’en fallait et se retrouva - vlan !-

sur les genoux offerts du rêvassant poète,

le réveillant d’un coup : chose , pour le moins, bête !

 

Un échange, tantôt en croaque,

tantôt en vers lents,

s’établit aussitôt !

 

Lui :

«  Halte-là la bestiole ! Aurais-tu disjoncté !

Je te le dis tout net, ais la grande bonté

de dégager de là sans perdre une seconde

avant que je ne sois d’une humeur furibonde ! »

 

Elle :

«  Ne devines-tu pas un appel du destin ?

Je suis sur tes genoux : c’est un signe certain !

Un vil ensorceleur m’a changé en grenouille,

mais je suis une femme : annule cette embrouille !

 

Je le sais, tu le peux, tu es un magicien,

tu assembles tes vers en très grand praticien !

Si, du bout du crayon tu effleures ma tête,

je redeviendrai  femme au lieu de cette bête !

 

 

Je saurai m’acquitter du service rendu :

tout ce que tu voudras et même encore plus !

Accepte le marché, tu ne seras pas dupe :

tu seras remercié, pour le moins au centuple ! »

 

Le poète ébaubi … plutôt dubitatif,

se mis à réfléchir en se grattant les tifs !

« Je ne vois pas de risque à tenter l’expérience,

à exaucer son vœu - bannissons la méfiance !- »

 

Jusque là silencieux, le banc l’interpella :

« Attention mon ami, je sens mal ce coup là !

Je te connais très bien de dos comme de fesses :

tu n’as jamais su dire un « non » franc aux gonzesses !

 

« Ça va bien toi le banc, garde donc tes conseils

pour les petits jeunots, je suis d’âge vermeil !

Je sais ce que je fais: tais-toi, je t’en conjure ! »

N’écoutant pas le banc, il tenta l’aventure !

 

Sur la tête il posa le bout de son crayon

… le ciel s’irisa en milliers de rayons !

Ebloui un instant, il retrouva la vue

pour voir sur ses genoux une fille non nue !

 

Une fille sans âge aux habits vieux et noirs,

à la mine revêche, autant qu’un urinoir !

A l’amabilité de ces vieilles concierges

qui n’ont jamais connu autre chose qu’un cierge !

 

Jetant l’engeance à terre en criant : « c’est du vol !

C’est de l’arnaque en vrac ! C’est vraiment pas de bol ! »

Il faillit s’étrangler et la prendre au collet

quand il vit à ses doigts… horreur ! … un chapelet !

 

Il venait bêtement, lui, le païen, l’impie

de délivrer - punaise ! - une de sacristie !

Une vieille bigote à l’avachi bustier :

véritable grenouille… oui ! mais de bénitier !

 

Tout à fait ulcéré il sortit de son sac,

un flacon aplati qu’il prit par le colback

et se mit en devoir, pour noyer son remord

de le vider cul sec pour se saouler à mort !

 

 

Moralité :

 

Premier enseignement :

 

Les bancs sont des experts en matière de bougresses,

ils connaissent les femmes et encor’ plus leurs fesses !

Leurs rapports sont intimes : ils savent leurs secrets,

ils pourraient faire des livres accrocheurs à souhait !

 

Second enseignement :

 

Si une grenouille ou une femme, mon garçon,

vient à sauter sur tes genoux, sans plus de façon,

sauve-toi le plus loin possible et fais attention :

surtout - surtout ! - : laisse bien de coté ton crayon !

 

                            

                                         Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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Authentification de la tête d’Henry IV : la solution du Rotpier !

13 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

 

Tete-d-Henry-IV.jpg

 

Image du net

 

 

Au sujet d’Henry IV, ne perdons pas la tête !

 

Ne tournons pas autour du pot,

que l’on soit ici ou à Pau,

nous connaissons tous la nouvelle :

sa tête c’était fait la belle !

 

Pour sûr il la perdait souvent

- on l’appelait le Vert Galant ! -

mais c’était pour des courtisanes

sans cracher sur les paysannes !

 

Il leur mettait la main au pot,

sans même enlever son chapeau !

En moins de deux les jouvencelles

perdaient leur statut de pucelle !

 

Mais il n’était pas regardant

sur les cadeaux et très souvent

elles ne cherchaient pas chicane

et revenaient à la tisane !

 

Un jour un certain Ravaillac

l’a cramponné par le colbach

et lui amis deux coups de lame :

le Vert Galant a rendu l’âme !

 

Plus tard sous la révolution,

sans chichi et sans compassion

on l’a déterré pour la fête

et on lui a tranché la tête !

 

Fatigués de la promener,

les sans-culottes déchaînés

l’on abandonnée dans la rue :

une chose très incongrue !

 

Un quidam qui passait par là

tranquillement la ramassa

et la cacha dans son armoire :

joli trophée de notre histoire !

 

Passant de placards en placards,

un grand nombre d’années plus tard,

un jour elle refit surface

tout en restant très peu loquace !

 

Comment pouvoir l’authentifier ?

A quel moyen vraiment se fier ?

Cette tête est-elle la bonne ?

il ne faudrait pas de maldonne !

 

De longues investigations,

cela va nous coûter bonbon :

scanners ou bien radiographies

ADN ou échographies !

 

Pourquoi dépenser tout ce fric

alors qu’on connaît le loustic !

Ce serait vraiment imbécile :

je vois deux méthodes faciles !

 

Il suffirait de lui passer

délicatement sous le nez

une poule au pot bien fumante,

si le pif bouge … elle est gagnante !

 

 

Pour avoir la confirmation

on lui présente sans façon

le pot d’une petite poule :

si son œil brille … et bien ça roule !

 

Restons dans la simplicité,

n’ayons pas peur de cogiter

utilisons notre cervelle

et aussi toutes les ficelles !

 

 

 

                      Rotpier

 

 

 Image du net : la poule au pot



Bon appétit ! ... C'est plus appétissant que

la tête d'Henry IV ... non ?

 

 

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Sarah Palin : une femme dangereuse ! Le tout vu par ... Rotpier !

12 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pensées

 

Constat :

 

Sarah-Palin.jpg 

Sarah Palin

 

Sarah-Palin-avec-une-arme.jpg 

Sarah Praline

 

 

 

Et après, on va s’étonner qu’un cinglé

du Tea Party tire sur l’élue Démocrate

Gabrielle Giffords !

 

Vraiment des sauvages certain(e)s américain(e)s

et ... au plus haut niveau ! 

 

Rotpier

 

 

 

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"Les pépettes" : le poème du jour de ... Pierre !

11 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Un très ancien poème …

 

 

Les-pepettes.jpg

 

 

Les pépettes,

 

Un p’tit clin d’œil façon princesse

et  pas plus haut’ qu’un bout de zan !

Ça joue déjà tout en finesse

une  pépette de trois ans !

 

Une poitrine qui progresse

et qui attir’ les courtisans :

ça se transforme en chasseresse

une pépette de treize ans !

 

Un peu de stress et de détresse,

des p’tits amis mais pas d’amant :

ça doute un peu mais - sans confesse -

une pépette de seize ans !

 

Et puis un jour, volent les tresses !

il n’est plus temps le temps d’avant :

ça succombe sous les caresses

une pépett’ de dix huit ans !

 

Qu’elle soit ta femme ou ta maîtresse,

câlins malins très désarmants :

ça réduit bien ton tiroir-caisse

une pépette de trente ans !

 

Coule le temps, passe tigresse,

tout en douceur, chemin faisant,

ça s’assagit - sauf les diablesses ! -

une pépette avec les ans !

 

 

                                 Pierre Dupuis

 

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Hector : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

10 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

  La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 

  

Aujourd’hui : 

 

Achile-tuant-Hector.jpgAchile tuant Hector, un tableau du Rotpier

 

 

 

 

Hector

 

Fils de Priam et d'Hécube (et des sphères aussi vu qu’elle en avait de belles ... de sphères et qu'on pouvait se les sphère, car elle se laissait faire ), Hector (Tillard était son second prénom) est plus jeune que Paris, c'est pourtant lui qui avait autorité sur les sixTroyens et qui se permet d'adresser des reproches sans peur, comme Bayard, à Paris sur son comportement durant la guerre (pour collaboration avec les allemands)

Amis ou ennemis, tous reconnaissaient en lui le défenseur principal de Troie (c’était son dada !) C'est non seulement un citoyen idéal mais aussi un époux attentionné pour Andromaque (Arron, était son nom de jeune fille) et un père attentif pour leur fils Astyanax et leur fille Padetampax ni de Nana.


Jusqu'à la dixième année du siège de Troie, il évita soigneusement les combats en rase campagne dans lesquels Achille (T’as long ?C’est ce que les filles lui demandaient toujours ) se trouvait parmi les combattants. Protégé par Arès ( Arès Arès ne me touche pas ! comme disait Carli et pas Carla ! ) jusqu'à ce que ce dernier soit blessé par une flèche de Diomède, il tua un grand nombre de Grecs ( dont Zorba et Georges Moustaki qu’il avait pris pour un pâtre grec avec sa tête de métèque ! )
Puis ayant fait ses adieux à sa famille, il provoqua tous les héros grecs en compagnie de son frère Pâris, de Jacques Chirac et de Bertrand Delanoë en tant qu’ancien et actuel maire, ainsi qu’ Edmond. C'est ici que se place le terrible combat contre Ajax (d’Amterdam, celui que je vous en avait causé la semaine dernière, si vous me suivez bien ! ) ) qui dura une journée entière et qui fut arbitré par le grand Jacques et tout un tas de morues qui avaient la frite et qui pissaient comme je pleure sur les femmes infidèles qui cassent trop du coté de Cuba et de La Havane sans vanne ! ) A la nuit tombée les deux adversaires valeureux échangèrent des présents: Ajax donna son baudrier (ne gardant que le moche pour lui) et Hector son épée (qui lui avait été offerte par Dame Oclesse à Damas)
Au cours de l'attaque des vaisseaux grecs, Hector protégé par Apollon ( il avait peur, à juste raison, qu’ils ne le prennent par derrière ! ) sema le désordre dans rangs grecs. Il faudra l'intervention à plusieurs reprises des dieux pour sauver des héros comme Nestor, Burma, Mallet ou Diomède.

Mais il tua Patrocle (mais presque) revêtu de l'armure d'Achille. Alors, à cette nouvelle, Achille courut venger son ami et les six Troyens furent repoussés ( d’où l’expression « Aux armes six Troyens » plagiée dans la Marseille par Rouget de Lisle : il n’était  pas toujours frais le Rouget !)
Hector resta seul en dehors de la ville malgré les exhortations de ses parents. Trois fois les deux adversaires tournèrent autour de la ville. Athéna sous les traits de Déiphobe puis de Claustrophobe, demanda à Hector d'engager le combat en lui promettant son aide. Mais elles disparurent dès qu'Hector fit front. Ce qui prouve que l’on ne peut pas se fier aux gonzesses, qu’elles soient simples citroyennes ou bien Déesse avec tout ce qu’il faut sous le capot !

Zeus avait pesé le Destin, aidé par Giscard, des deux combattants: Hector devait mourir et même Apollon devait cesser son aide. Hector tomba alors sous les coups en prédisant à Achille sa mort prochaine (qui se marra, encordé par Charlotte dans sa baignoire, jusqu’à ce qu’il reçut une flèche à hauts talons tirée par Brigitte Bardot ou Brigitte Lahaie, on ne sait plus très bien tant elles tiraient sans arrêt, ces forcenées du bigoudi !)
Son cadavre fut attaché à un char Leclerc par les pieds et traîné trois fois autour des murailles de Troie ( ce qui fit neuf, parce que trois fois Troie font neuf, sauf preuve par neuf du contraire ! ) puis il fut abandonné aux chiens, aux oiseaux et aux policiers de Brice Hortefeux.

Priam (pour nous pauvres pêcheurs) vint auprès d'Achille et le supplia de lui restituer les restes de son malheureux fils afin de lui procurer une sépulture décente aux enfers. Achille refusa tout d'abord mais les dieux en furent émus et Zeus agacé, enverra Iris, qui avait de beaux yeux tu sais, ordonner à Achille de rendre la dépouille d'Hector qui exigera tout de même une rançon et des places pour le spectacle du grand Georges Brassens qui a toujours célébré la femme d’Hector !

Voilà ce que vous devez retenir d’Hector, selon moi, pour ne pas passer pour des débiles profonds en vacances dans un Club Med en Grèce ou ailleurs !

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

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