Marine Le Pen, l'acrostiche pamphlétaire du jour: "La vague bleu Marine Le Pen" ... de ... Pierre
Image du net venant du site du FN
Bidouillage d'images du net
La vague bleu Marine Le Pen
La maligne a appris le jeu
Auprès de son mentor de père
Vague marine sur front bleu
Avec un charme qui opère.
Gagneuse jusqu’au bout des yeux :
Un savoir faire qui entraîne
En escamotant les enjeux.
Bien dans sa peau bien dans sa haine
L’ héritière du cauteleux
Est à l’aise et non à la peine :
Une fille à mettre le feu !
Méfiez-vous de cette sirène
Aux chants - Oh ! Combien venimeux ! -
Rapprochez-là plus des murènes :
Image qui convient bien mieux !
Ne croyez pas qu’elle diffère :
Elle est bien la fille du vieux !
Les deux font diablement la paire
Et sont tout aussi dangereux !
Prenez le temps de vos repères
Evitez de fermer les yeux :
Nana, oui mais … genre vipère !
Pierre Dupuis
Poésie, le poème du jour : "Heureux qui comme cul lisse," ... un poème de Joachim ... euh ... non ! de ... Rotpier
… du Bellay et Ronsard, bien sûr !
Prenez « Heureux qui comme Ulysse » du premier,
pour la forme et « Mignonne allons voir si la rose »
du second, pour l’esprit et vous obtenez la synthèse :
« Heureux qui comme cul lisse » de … Rotpier !
Un peu sonnet quand même le gars ! Non ?
Montage du Rotpier
... enfin ... bidouillage du Rotpier !
Heureux qui comme cul lisse,
Bien heureux le cul lisse avide de voyages
qui s’affranchit du joug de sa lourde toison
et qui s'offre aux regards bien plus que de raison,
se prêtant aux plaisirs de nombreux essayages.
Qu’il en profite à fond, en ville ou au village,
dans les champs, dans les bois, à la belle saison
ou bien sous l’édredon à la défeuillaison :
Il aura moins d’attrait quand il prendra de l’âge.
Même en gardant toujours son coté audacieux,
il aura plus de mal à attirer les yeux.
Les rides seront là sur sa peau moins affine
qui faisait que les gars en perdaient leur latin
devenant pour le coup presque tous chauds lapins
et le faisait reluire autant que pierre fine !
Rotpier
Déjà publié !
Japon : les catastrophes s’enchaînent : une autre arrive encore … par Pierre
Au Japon, depuis le tremblement de terre, il y a des réactions en chaîne.
Après le tremblement de terre, le tsunami et la catastrophe des centrales, un nouveau cataclysme se profile :
La spéculation !
Montage de Pierre
Il est vrai que les grands groupes financiers et industriels nippons n’étaient pas les derniers à spéculer mais, comme d’habitude, c’est le peuple japonais qui va en subir les conséquences !
Banques, assurances, fonds spéculatifs :
tout pour eux, tous pourris !
Une seule solution à l’échelon mondial :
C’est eux qu’il faut atomiser !
Pierre Dupuis
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Pensée d'actualité avec quand même un petit contrepet du Rotpier !
1ère ligne, image du milieu : permet de franchir une rivière ! (l'autre aussi ! ... Si !)
2ème ligne, 2ème image: ils sont en ligne et
en "- - - -"
Avant-dernière image: se lever à 3h 52 du matin, c'est très "- - -" !
3ème ligne, 4ème image: accessoire du pêcheur pour tromper le poisson (carnassiers) ... Dernière image, le serpent fait toujours "se"
4ème ligne, 1ère image : sorte de pâté à base de tête de sanglier ou de porc !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Au Japon les bourses tremblent aussi : coup de chaleur sur les nippons !
Le changement de couleur c'est pour le contrepet !
Ça, c’est juste la signature !
Audience pour ce blog : un grand merci à tous !
Attention : alerte sismique !
… pour l’audience de ce blog !
Après le pic du 8 mars, il y a eu
une réplique hier !
Les statistiques d'Over-Blog :
Je pense que la variété des sujets
abordés y est pour quelque chose.
Entre les articles de Pierre et ceux de Rotpier,
variante sérieuse et variante débridée
d’un seul et même personnage, chacun
d’entre vous peut y trouver son compte !
Merci à vous, blogueurs connus et inconnus,
qui m’encouragez à continuer !
L’auteur de ce blog
Pierre Dupuis
Oreste : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas : suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !
Aujourd’hui :
Oreste poursuivi par les Erinnyes d'après BOUGUEREAU
Oreste
Oreste est le dernier des enfants d’Agamemnon que l’autre, roi de Mycénes (Yonne) et de Clytemnestre.
Déjà tout jeune, il servit d'otage à Télèphe One venu à chercher auprès d'Achille, le médicament pour soigner ses blessures.
Oreste n'était qu'un adolescent lorsque son père Agamemnon, de retour de la guerre de Troie, fut tué par Clytemnestre et par Egisthe, son amant. Il put, avec l'aide de sa sœur Electre Trie, citée ici, se réfugier chez son oncle Strophios, en Phocide et Marteau. Il se lia d'une solide amitié avec son cousin, Pylade qui demeura le fidèle compagnon de ses infortunes. Sa confiance en Pylade ne fit que monter de Chine.
Parvenu à l'âge adulte, il décida, sur les conseils d'Apollon, de venger la mort de son père. Accompagné de Pylade, il se rendit en secret à Mycènes et tua, avec la complicité de sa sœur Electre, sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe, qui tenait un gros registre.Son meurtre, qui semblait une juste vengeance, frappa les dieux d'horreur et d’eau de Cologne et, en tant que matricide, ils lui dépêchèrent les Erinnyes qui n’avouaient jamais comme Guy Martel, pour le tourmenter et qui le poursuivirent jusqu'à Delphes.
Cependant, Apollon n'abandonna pas l'infortuné. Il lui conseilla de se réfugier à Athènes chez Zorba qui vivait à la colle avec Anthony Quinn, où l'Aréopage 126, grâce à l'intervention décisive d'Athéna et le plaidoyer d'Apollon étayer par la dithyrambique tirade de maître Collard fumé, l'acquitta de son meurtre. Puis le dieu le purifia à Delphes et, par la bouche de la Pythie circulaire, lui fit savoir qu'il serait définitivement guéri de sa démence en allant chercher la statue d'Artémis en Tauride du sud : pays ou il faisait très chaud et où les filles se baladaient à poils.
En Tauride, Oreste et Pylade, sur le point d'être sacrifiés comme étrangers, furent reconnus par Iphigénie sans bouillir, prêtresse d'Artémis Roussos, qui s'enfuit avec eux en leur livrant la statue.
En passant par Mégalopolis secrète, il abandonna symboliquement un doigt aux Erinnyes pour ne plus être tourmenté à la menthe.
Il eut d'autres aventures selon l'Andromaque d'Euripide l’insipide. En effet, il enleva Hermione à Néoptolème, roi d'Epire que l’autre et tua son rival à Delphes. Hermione la morpione était la fille de Ménélas à pas grand-chose et d'Hélène qui était toujours entourée de garçons, Hélène à qui il avait été fiancé alors qu'il était tout jeune mais que Ménélas avait par la suite marié à Pyrrhos à moelle, le fils d'Achille Talon pour faire plaisir au héros lors du siège de Troie.
De retour dans le Péloponnèse où il fait toujours très froid, à Mycènes, le héros prit possession du trône de son père Agamemnon, dont il avait été injustement spolié, puis épousa Hermione. Oreste régna dès lors sur Argos, Argus, Mycènes et Spartes.
La peste, Ségolène, s'abattit sur son royaume en même temps que sur le PS et l'oracle consulté indiqua que l'épidémie cesserait si les cités et les temples détruits pendant la guerre de Troie étaient reconstruits. C'est pourquoi il envoya des colons (dont Christophe) en Asie Mineure et en Poitou Charente Majeure.
Après un long règne, il mourut en Arcadie à un âge avancé ( un peu moins quand même que Jeanne car il avait abusé de calmants) Plus tard ses ossements furent transportés à Spartes et assurèrent la victoire de cette ville sur Tégée V, mais les romains affirmaient de leur côté que sa dépouille avait été ensevelie dans le forum, sous le temple de Saturne, dons de sa propre maison.
Voici voila ce que je devait vous apprendre sur Oreste
… au reste, c’est fini pour aujourd’hui braves gens !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Jean Ferrat, "L'amour est cerise" : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
L'amour est cerise
Quitte ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps pressé
C’est partie remise
Pour aller danser
Autant qu’il nous semble
Raisonnable et fou
Nous irons ensemble
Au-delà de tout
Prête-moi ta bouche
Pour t’aimer un peu
Ouvre-moi ta couche
Pour l’amour de Dieu
Laisse-moi sans crainte
Venir à genoux
Goûter ton absinthe
Boire ton vin doux
O rires et plaintes
O mots insensés
La folle complainte
S’est vite élancée
Défions le monde
Et ses interdits
Ton plaisir inonde
Ma bouche ravie
Vertu ou licence
Par Dieu je m’en fous
Je perds ma semence
Dans ton sexe roux
O Pierrot de lune
O monts et merveilles
Voilà que ma plume
Tombe de sommeil
Et comme une louve
Aux enfants frileux
La nuit nous recouvre
De son manteau bleu
Rebelle et soumise
Paupières lassées
Remets ta chemise
Belle fiancée
L’amour est cerise
Et le temps passé
C’est partie remise
Pour aller danser
Bon partage !
Rotpier
Poésie humoristique, le poème déjanté du jour: "J’en ris sous cape !" de ... Rotpier !
Je vous offre le texte :
à vous de trouver l’air !
Image du net
J’en ris sous cape !
Alors que j’étais à Cuba
en vacances avec ma nana,
ell’ m’a laissé - ça désarçonne ! -
tomber pour une belle autochtone !
Là, j’en suis resté sur le cul :
en deux ans quatre fois cocu !
Les femmes étant trop décevantes,
je me suis tourné vers les tantes !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
C’est le conseil que m’a donné
un ami, un ancien curé,
qui ne porte plus la soutane
et qui habite à La Havane.
Quand il a quitté son boulot,
il m’a dit : « Les fidèles cass’ trop !
Ils sont obèses et je précise
qu’ils pètent les bancs des églises !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Si mon ami est défroqué,
il n’a pas sa cuti viré !
Mais il connaît bien les tapettes
et m’a dit comprendre ma quête :
" Si tu veux fair’ ton trou là-bas
c’est mieux d’être sans poils mon gars !
Si tu veux à tout prix séduire,
tu dois t’épiler à la cire !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Tu n’es pas grand, t’as le cul bas :
c’est un très bon atout pour toi !
Tu vas les rendrent fous ces folles :
tu va passer à la cass’ role !
Ils vont vite fait t’allumer
tu risques même de fumer !
Tu va passer à la tournante :
ça se pratique chez les tantes !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Tu vas remarquer dans le lot
un mec surnommé Ernesto,
en moins de deux il va te faire
le coup du révolutionnaire !
Pendant qu’il sera dans ton dos
tu tiendras des petits drapeaux !
Une position pas facile
même les années bissextiles !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Si tu vois sans son goupillon,
arriver l’abée Décochon,
un vieux copain de séminaire :
sache qu’il connaît bien l’affaire !
Il est encore un peu curé
mais à cent pour cent bilboquet !
Quand un garçon passe à confesse
il faut qu’il planque bien ses fesses !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Maintenant je vais te quitter
car en France il me faut rentrer
dans le Morbihan, en Bretagne,
j’ai déniché une compagne !
En comptant l’avion et le train,
j’aurais bien six arrêts au moins
car en excluant les pannes,
c’est six gares de là à Vannes ! "
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Moralité :
Que l’on soit d’ici ou là-bas,
qu’on ait le cul haut ou bien bas,
pour éviter d’être maussade
soignons-nous à la rigolade !
Si cette histoir’ fait un tabac
et qu’elle arriv’ jusqu’a Cuba :
envoyez-moi quelques havanes,
des purs, des vrais, sans cellophane !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Rotpier
Fumant non ?
Image du net
Poésie, le poème du jour : " La vieille dame " de Pierre
" ... Sa peau, sahélisée, ... "
Image du net
Cliché mental mémorisé au détour d’un couloir d’une maison de retraite pour personnes en fin de vie… enfin… d’un mouroir …
La vieille dame,
Ses yeux,
profondément encastrés,
avaient la fragilité et la transparence gênante
d’un œuf sans coquille, bleu.
Un bleu aussi délavé
que celui d’un jean très longtemps porté.
Les quelques fils d’argent,
disséminés sur sa tête, avaient oublié
les descendantes cascades d’antan.
Sa peau, sahélisée,
raide tendue sur l’armature décalcifiée
de ses os protubérants,
semblait prête à se rompre à tout instant.
La moindre esquisse de sourire
- vague grimace pour qui ne savait pas la lire -
lui demandait un effort considérable.
Et elle restait là, greffe de fauteuil,
dans l’interminable attente
d’un avenir en deuil.
Condition misérable.
.
Pierre Dupuis