Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Et patati et patata, et patati et patata, OK ! Mais à part le blabla tu fais quoi ?
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez costaud et un tantinet politique ! 🤣
Juste un petite aide : avant dernière ligne, 3ème image : ce n'est pas un PC !
Allez, au boulot brav' gens ! Il s'agit de trancher dans le vif ... au bistouri ! 😊
Réponse :
Un abcès, il faut le crever sous peine de graves complications et d’y rester. Quand on sait que cet abcès, en Amérique, s’appelle Trump, on se dit que cela va gicler et éclabousser un max !
Bernard Lavilliers : " Betty " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Bernard Lavilliers »
« Betty »
Du grand Lavilliers !
Vous trouverez ici quelques informations sur cette chanson :
https://www.letemps.ch/culture/bernard-lavilliers-finis-croire-chante
♪ Betty ♪
Tu n'as pas sommeil
Tu fumes et tu veilles
T'es toute écorchée
T'es comme un chat triste
Perdu sur la liste
Des objets trouvés
La nuit carcérale
Tombant sur les dalles
Et ce lit glacé
Aller et venir
Soleil et sourire
Sont d'l'autre côté
Ces murs, ces grillages
Ces portes et ces cages
Ces couloirs, ces clés
Cette solitude
Si dure et si rude
Qu'on peut la toucher
Ce rayon de lune
Sur le sol allume
Visage oublié
De celui que t'aimes
Qui tire sur sa chaîne
Comme un loup blessé
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, ils t'on couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Je sais, tu vas rester là
T'aimerais plus t'réveiller, plus jamais rêver
Je te dis je t'aime
Dans ce court poème
Dans ce long baiser
Tu es ma frangine
Juste une féminine
Que j'avais rimée
Je te donne ma force
Mes mots et mes notes
Pour te réchauffer
Je haie la morale
Les prisons centrales
Les maisons d'arrêt
Je n'ai pas sommeil
Je fume et je veille
Et j'ai composé
Une chanson d'amour
Une chanson secours
Pour l'autre côté
Pour ceux que l'on jette
Dans les oubliettes
Dans l'obscurité
Pendant qu'les gens dorment
Au fond du conforme
Sans se réveiller
Betty faut pas craquer
Betty faut pas plonger
Je sais, ils t'ont couchée là
Et puis ils ont fermé leurs barreaux d'acier
Betty faut pas pleurer
Betty faut pas trembler
Tu sais, on s'retrouvera, là
Ailleurs, en plein soleil ...
Bon partage !
Rotpier
Les pensées du jour, sérieuses ou moins sérieuses de Pierre ou de Rotpier !
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
.
Quelques rotpierreries en vrac :
1ère Rotpierrerie :
Toutes les études montrent que la femme est plus sobre que l’homme. Ce doit être pour cela qu’elle est plus chameau.
Le Rotpier qui refuse d’être privé de désert.
Toutes les images proviennent du net !
2ème Rotpierrerie :
J’ai souvent donné ma langue au chat … à sa femelle aussi … si !
3éme Rotpierrerie :
Dans ma jeunesse (c’était il y a très longtemps !) j’ai connu des filles très pauvres. Alors, je me comportais avec elles en bon petit diable et ça roulait pour moi.
Pour terminer, deux pensées sérieuses :
L’information tue l’information. Quand il y a pléthore d’hypothèses, comment voulez-vous que le commun des mortels s’y retrouve alors que les spécialistes mènent des combats de tranchées pour pilonner leurs théories ? C’est Verdun après coup et la grosse Berta qui siffle aux oreilles ! Mais restons philosophes et allons nous aérer l’esprit … sur le Chemin des Dames, par exemple, devenu un lieu paisible maintenant.
Le mode de fonctionnement des religions relève plus de la dictature que de la démocratie. Le PDG est nommé à vie par un cercle restreint de hauts dignitaires magouillant entre eux. Si un jour il était élu au suffrage universel pour une durée déterminée, il y aurait de grands changements au sein de ces entreprises basées sur le commerce du vent et produisant, non de l’électricité mais de l’illusion.
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Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

" Le baiser ", un ancien poème remanié de ... Rotpier !
Samedi dernier c'était le " Baiser " d'Alain Souchon. Aujourd'hui, c'est " Le baiser " du Rotpier ou si vous préférez: " La pelle du 19 mai 2020 " !
Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage ...
J'espère que cela roulera pour vous !
Image du net : Ah! Que c'est bon ! Touche mon pompon !
Le baiser,
Le baiser, le vrai !
Le vrai de vrai !
Pas le petit bécot
qu’on s’ fait dans le métro,
pas la petite touche
sur le coin de la bouche,
le truc du bout des lèvres
tout mou et des plus mièvres
qui fait autant d’effet
qu’un ersatz de café !
Ne parlons pas de ça,
ça c’est à mettre au tas !
Parlons du vrai de vrai,
de celui qui effraie
les nones du couvent
qui se touchent pourtant !
Celui d’ l’Hôtel de Ville,
figure de haut style,
capturé par Doisneau
avec son p’tit oiseau,
même un peu arrangé
il a fait saliver
avec application
bien des générations !
Laissons toute pudeur
et comme dit ma sœur :
« Quand il est l’heur’ c’est l’heure
il faut battre le beurre ! »
Le baiser qui dégèle,
celui qui interpelle,
qui vous coupe le souffle,
pas le baiser pignouf !
Le patin sans pantoufle
bien roulé sans esbroufe !
La superbe gamelle
et pas d’ la béchamel !
Foin du bécot chameau
plus mou que le mou d’ veau !
Pas le palot pâlot :
le gros méli-mélo !
La pelle que l’on roule
en se mettant en boule,
le baiser qui secoue
de la tête aux genoux,
qui dénoue le cordon
du p’ tit string pour de bon
et qui très bien mené
conduit tout droit au pied !
Bref !
Je parle du baiser,
du gros, du bon, du vrai
pas du baiser distrait
qui est plus ou moins frais !
Ce baiser-là, mon gars,
il faut le savourer
sans arrière pensée
et aller jusqu’au bout :
c’est cadeau avant tout !
Pas se prendre le chou
ne rien signer du tout,
mais si la raison tangue
au mélange des langues
c’est qu’ t’es bien accroché
et tu n’es pas couché !
Ça va finir au pieu
en ébats licencieux
pendant que Cupidon
qui porte bien son nom
mat’ ra sous tout les angles
en jouant du triangle
ce qui en fera deux
qui seront sur les lieux !
Rotpier
Le baiser de l'Hôtel de Ville de Doisneau, image du net *
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Il n’y a pas d’amour sans petites brouilles et elles évitent qu’il ne se rouille. L’important c'est qu’il n’y ait pas d’embrouille.
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus fantaisiste et romancé qui vous conduire peut-être à à un petit déjeuner chez Stéphanie ...allez savoir ! 🤣
Juste un petite aide : 9ème ligne, 1ère image : le vilain personnage lance un " - - - - " !
Allez, au boulot brav' gens !
J'avoue de sang-froid qu'il est costaud, mais vous connaissant, je sais que vous allez le décortiquer sans trop de mal : fasse le Très Saint que mes prières soient exaucées et qu'il ne vous fasse pas la traversée de l'été ! ... Allez en paix mes sœurs et mes frères comme vous ne pourrez pas encore aller à la messe alors autant vous y coller tout de suite ! 😊
Réponse :
J’ai longtemps pensé que Truman Capote était le surnom d’un américain homosexuel qui sortait toujours couvert. Eh bien non, pas que, je l’avoue de sang-froid.
Nota:
Truman Capote, écrivain américain. https://fr.wikipedia.org/wiki/Truman_Capote
Alain Souchon : " Le baiser " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Alain Souchon »
« Le baiser »
https://www.youtube.com/watch?v=P5weqdVaChQ
Le baiser,
Je chante un baiser osé
Sur mes lèvres déposé
Par une inconnue que j'ai croisée
Je chante un baiser
Le cœur démoli par une
Sur le chemin des dunes
La plage de Malo Bray-Dunes
Sortait ses éléphants gris vert
Des Adamo passaient bien couverts
Donnant à la plage son caractère, naïf et sincère
Le vent de Belgique
Transportait de la musique
Des flonflons à la française
Des fancy-fair à la fraise
Rien n'avait été organisé
Autour de moi elle a mis ses bras croisés
Et ses yeux se sont fermés fermés
Sous l'écharpe les boucles brunes
C'est vrai qu'en blonde j'ai des lacunes
En blonde j'ai des lacunes
Tournez le vent la dune à l'envers
Tournez le ciel et tournez la terre
Tournez tournez le grand air
La Belgique locale
Envoyait son ambiance musicale
De flonflons à la française
Des fancy-fair à la fraise
Sur ma langue ta langue amie
Et dans mon cœur un décalcomanie
Marqué liberté liberté chérie
Je donne des parts
Pour ce moment délicieux hasard
Adamo, MC Solaar
Oh! Tous les milliards de dollars
Le vent de Belgique
Envoyait mélancolique
Ses flonflons à la française
Des fancy-fair à la fraise
Si la vie est un film de rien
Ce passage-là était vraiment bien
Ce passage-là était bien
Un air lassé de reine alanguie
Sur la digue un petit point parti
Dans l'Audi de son mari
Ah! Son mari
Je chante un baiser osé
Sur mes lèvres déposé
Bon partage !
Rotpier
Les pensées du jour, sérieuses ou moins sérieuses de Pierre ou de Rotpier !
Qu’est-ce qu’une idée neuve, brillante, extraordinaire ?
Ce n’est point, comme se le persuadent les ignorants, une pensée que personne n’a jamais eue, ni dû avoir.
C’est au contraire une pensée qui a du venir à toute le monde et que quelqu’un s’avise le premier d’exprimer.
Boileau ( préface des « Œuvres » )
Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?
Et pis c’est tout !
Rotpier
.
Quelques conneries en vrac :
1ère Connerie :
J’ai réussi à percer un mystère mais maintenant je suis très emmerdé : il fuit ! Quelle connerie la curiosité !
2ème Connerie :
Quand il a pris connaissance du tarif de la belle de nuit, il s’est gratté l’occiput !
3éme Connerie :
A boire du rhum à gogo, on finit par l’avoir dans le baba !
4éme Connerie + contrepet :
Ne pas confondre Vladimir Poutine et Vladimir T - - - - - e !
Mais on peut dire : V’ la dix mires T - - - - - e …. si l’on est dans un lupanar ! ( Pierre s’excuse, le Rotpier … non ! )
Dernière Connerie :
J’ai bien connu une hôtesse de l’air allemande (une ancienne d’Allemagne de l’est) qui s’appelait Tanza. Elle s’envoyait en l’air avec le premier venu : elle était complètement louf Tanza !
Pour terminer, la petite pensée du matin cueillie à la rosée :
Le fait de pouvoir porter un masque légitimement avantage une communauté notable : celle des gens qui avancent masqués. J’ai nommé la communauté des faux-culs. Ne voyez pas en moi un quelconque esprit de communautarisme mais simplement un esprit d’observation.
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Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !

" Mais que font les Lily Marlène ? " ... deux sonnets et beaucoup plus de ... Pierre
Un peu à cause de cela:
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_de_l%27Allemagne
Vous savez, moi ,quand ça fait tilt, ça fait tilt !
Et, pour faire un peu écho à la chanson de samedi ... alors lisez ... si ça vous dit !
Les photos sont du net !
Sonnet premier :
Mais que font les Lily Marlène ?
Elle n’avait pas eu d’enfant,
une situation choisie,
elle voulait vivre sa vie
sans entrave et très librement.
Elle avait pris quelques amants
pour satisfaire ses envies,
juste des pulsions assouvies
mais pas d’homme à elle vraiment.
A l’aube de la cinquantaine
elle n’était plus si certaine
d’avoir choisi le bon chemin.
Alors les deux mains sur la tête,
dans son grand studio de Berlin,
elle pleurait : c’était trop bête.
Sonnet second :
Pour ne pas aller dans le mur,
Beaucoup de femmes allemandes
des Gretchen, Marlène ou Eva
quand l’âge avance se demandent :
« Comment en suis-je arrivée là ? »
.
Ni contrainte ni propagande
pour pousser à ce résultat,
de l’égoïsme en opérande ?
Une grosse erreur de l’état ?
Mais peu importe la réponse,
peu à peu la nation s’enfonce
dans l’ère des gens plus que mûrs.
A moins d’un sursaut teutonique,
Berlin ira droit dans le mur :
fin du grand rêve germanique !
Péroraison :
Allez teutons, allez teutonnes
si vous voulez des autochtones
il faut vous remettre au boulot,
il faut refaire des marmots !
L’heure n’est plus à l’égoïsme
mais bel et bien à l’altruisme :
pas de relève à l’horizon
suffisante pour la nation.
Allez Lily, allez Marlène
beaucoup de joie, un peu de peine,
il faut refaire des teutons
au grand jour ou bien à tâtons !
Votre pays a pris conscience
de l’importante déficience
au plan de la natalité :
il prône la maternité !
Mettez de coté la pilule,
laissez tomber tous les scrupules :
trouvez de consentants papas
qui cèderont à vos appas !
A défaut de compatriotes
sans trop de fibre patriote
vous pouvez tout à fait compter
sur les jeunes gens d’à coté !
.
Il y a hors de vos frontières
qui n’ont plus guère de barrières
des hommes prêts à vous aimer
et à vous faire des bébés !
Remettez au travail vos ventres,
il me plairait d’être le chantre,
du renouveau le laudateur,
allez soyez à la hauteur !
Pas de conseils à sens unique,
des Karl, des Franz et des Ulrich
peuvent suivre le mouvement
et trouver de belles mamans !
Mais… Oh ! Bonjour Fräulein Marlène…
Vous souriez à mes poèmes
… on dirait même, on dirait même
que vous avez anticipé :
votre ventre semble occupé !
A mon âge on peut se permettre
sans risque de se compromettre
un langage très familier
tant qu’il n’est pas trop cavalier !
Alors bravo Fräulein Marlène
pour le beau rond de ta bedaine :
tu as choisi la bonne option
pour toi-même et pour ta nation !
Je m’accorde le privilège
du tutoiement qui désagrège
bien des murs et des sortilèges
et qu’Artémise te protège !
Pardonne-moi pour mon sans-gêne
je ne crois pas que ça te gène,
sans rancune et à la prochaine
aufwiedersehen fräulein Marlène !
Aufwiedersehen, aufwiedersehen…
Et si après cela, l’Allemagne ne me décore pas de la médaille de la natalité, où va-t-on chez les teutons ?