Le poème du jour et du retour : " La trilogie des gros, " de ... Rotpier !
Les vacances, cela sert :
veuillez noter cette bonne adresse !
La trilogie des gros,
Sonnet 1 :
Elle était experte en cuisine
et pour sa blanquette de veau
on venait des villes voisines
à pied à cheval à vélo !
Mais son allure éléphantine
avec ses cent-quinze kilos
faisait qu’au bal de la marine
faire banquette était son lot.
Pourtant un jour grosse surprise
alors qu’elle était un peu grise
un gars l’invita à danser.
Ils se frottèrent la bedaine
en riant de se la frotter
sans s’occuper du capitaine.
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Sonnet 2 :
De quoi en faire une romance
c’est ce que je fais aujourd’hui
en mettant tout dans la balance
presque deux quintaux et demi !
Vous allez me parler d’outrance
et me traiter de malappris
mais moi je joue la transparence
en défendant les arrondis !
Ils se prénommaient Louise et Serge
ils prirent une belle auberge
qu’ils appelèrent « Les deux gros »
Quand il était dans la marine
c’est lui qui tenait les fourneaux
tout le monde aimait sa cuisine !
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Dénouement :
Entre la blanquette de Louise
le turbot de Serge et le bar
les client étaient dans la mouise
quand ils réservaient un peu tard !
Ils ne reçurent pas d’étoile
de la part de chez Michelin
mais ils gagnèrent les « Trois poêles »
du guide « Les petits malins ».
Le dirlo de la grande boite
relégua comme factotum
la responsable maladroite
ayant raté les Bibendum !
Pour se rattraper ils tentèrent
les « deux étoiles » d’un seul coup
mais en cœur ils les refusèrent
en tapant sur leurs grands faitouts !
Entre deux repas ils trouvèrent
le temps de faire deux marmots
l’un taillé comme père et mère
et l’autre comme un haricot !
Le premier aimait la cuisine
et il se colla aux fourneaux
le second aimait sa cousine
qu’il lutinait près du piano !
Après un prompt apprentissage
le rondelet devint cuistot
l’enseigne changea au passage
de nom et devint « Les trois gros » !
Le maigrichon fit le service
avec sa cousine Nina
il n’avait pas perdu le vice
de la peloter ça et là !
Si vous allez un jour à Vannes
pour le travail ou le repos
en voiture ou en caravane
n’allez pas rater « Les trois gros » !
Le Rotpier
Blog en pause ... oui j'ose ! ... par Pierre et le Rotpier
Du 02 septembre à 5H 33 au 23 septembre à 8H 57 environ :
Je pars, je pars quelque part
du coté de …
Chinon !
Là-bas, je boirais du Chinon chinon rien !
Nous retournons, mon épouse et moi à un endroit où nous avons déjà séjourné ... pour les fidèles, rappelez-vous :
.
Image du net
Au pays du grand Rabelais
où la fabulation est reine
et l’absurdité souveraine
le bon mensonge n’est pas laid.
Ce n’est qu’un petit canular
entre le fromage et la pomme
« Le rire est le propre de l’homme »
et contre l’ennui un rempart.
Alors amis rions souvent
cela met du baume à nos peines
cela rend la vie plus sereine
et gomme nos emmerdements !
J’aurais pu c’est bien évident
choisir une toute autre rime
mais Rabelais nous a en prime
pondu le bon mot « excrément » !
Sortons provisions et bouteilles,
mangeons buvons jusqu’à plus tard
on entend mieux bien remplis car :
« Ventre affamé n’a pas d’oreille ! »
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Photo personnelle
Épopée sibylline,
Alors que j’étais en vacances
au gîte du Moulin Giraud
un très beau gîte au bord de l’eau
j’ai nagé dans l’extravagance.
Il faut préciser c’est notoire
afin de bien comprendre tout
que la commune de Panzoult
est fortement chargée d’histoire.
Parmi les abris troglodytes
il en est un particulier
le logis craint ou recherché
d’une sibylle et de ses mythes.
Situé juste au dessus du gîte
- joli poste d’observation ! -
j’avais la fâcheuse impression
d’être espionné par la susdite !
Photo personnelle
.
Pas n’importe quelle sibylle
mais la Sibylle de Panzoult
dont Rabelais citait le trou
et dont l’image m’obnubile !
Si je vous brosse ce contexte
c’est pour que vous compreniez mieux
que vous soyez moins suspicieux
sur la véracité du texte.
Je vais vous relater l’histoire
n’allez surtout pas vous moquer
d’un pauvre barde très marqué
par cette épreuve vexatoire.
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C’est par un soir de pleine lune
que me parvint comme une voix
un murmure étrange ma foi
qui enclencha mon infortune.
« Que fais-tu près de ma demeure ?
Es-tu venu me consulter ?
Tu me parais bien emprunté :
tu es plus mou qu’un quart de beurre !
Viens donc et entre dans ma grotte
je ne vais pas te dévorer
et mon vieux chien a bien mangé
dépêche-toi crotte de crotte ! »
Son antre sentait la fumée
ça bouillait dans un vieux chaudron
une mixture à gros bouillons
n’ayant pas été écumée.
Dans un coin une vielle chouette
dardait sur moi ses yeux tout ronds
de quoi me filer les jetons
heureusement qu’elle était muette !
Sur une paillasse douteuse
un chat pelé se prélassait
autour de son cou un lacet
sa peau était exémateuse !
Le chien qui était une chienne
m’observait de façon bizarre
prêt à entamer la bagarre
dans une ambiance kafkaïenne !
Croassant de façon lugubre
un gros crapaud tout rabougri
à la peau couleur vert-de-gris
bavait de façon insalubre !
Cela faisait de grosses bulles
venant s’écraser au plafond
qui retombaient dans le brouillon
en formant une pellicule !
J’avais une de ces pétoches
je frémissais de toutes parts
tout prêt à souiller mon falzar
… ne riez pas ce serait moche !
Tout en remuant sa mixture
elle me dit : « N’aie donc pas peur
je ne tue pas mes visiteurs
ou rarement je te le jure.
Je te trouve très sympathique
bien que tu sois un peu simplet
c’est cela chez toi qui me plait
dans le fond tu es drôlatique.
Quand Épistémon et Panurge
sont venus pour me consulter
nous nous sommes bien disputés :
pour trois fois rien moi je m’insurge !
Je leur ai montré mon derrière
car ils m’avaient poussé à bout
et quand on me cherche des poux
je sais me faire cavalière !
En raison de ta bonne bouille
tout mon travail sera gratuit
mais ne le dit pas à autrui
ou je te transforme en grenouille !
Donne-moi tes mains que je lise
dans leurs lignes ton avenir
et ne fais pas tous ces soupirs
vraiment tu te ridiculises !
Je vois … je vois … Oh ! Quelle chance
tu vas avoir prochainement
tu peux partir tranquillement
là tu peux me faire confiance !
Tiens trois louis d’or de ma cagnotte
tu vois ça commence déjà
cela ira bien au-delà
car tu as marché dans ma grotte ! »
Me raccompagnant à sa porte
elle m’embrassa goulûment
puis disparut en un instant
sa chouette en tomba raide morte !
Grosse montée d’adrénaline
de quoi me perturber l’esprit
au bout d’un moment j’entrepris
de redescendre la colline.
A peine entamé la descente
j’ai glissé sur je ne sais quoi
dévalé le ravin tout droit
une culbute ahurissante !
J’ai bel et bien fait une chute
mais tout simplement de mon lit
car je rêvais et sapristi
ce rêve était sans parachute !
Il faut préciser que la veille
j’avais un peu trop abusé
d’un chinon pour le moins corsé
une véritable merveille !
Quand on ne tient pas la chopine
mieux vaut y aller très mollo
mais c’est bien meilleur que de l’eau
quand ce n’est pas de la bibine !
Cette histoire rabelaisienne
je me devais de la conter
du doigt n’allez pas me montrer
ou je me jette dans la Vienne !
Comme les moutons de Panurge
bien d’autres viendront s’y jeter
dans un élan d’absurdité
ce sera une grande purge !
Faites en plutôt le partage
plus on est de fous plus on rit
et Rabelais dans ses écrits
nous a légué cet héritage.
La vie n’est pas sans anicroche
amusons-nous tant qu’on le peut
avant que de devenir vieux
et que le moral s’effiloche !
Foin des guerres picrocholines
qu’un petit rien peut déclencher
prenons la vie du bon coté
érigeons ça en discipline !
Merci à Nanie pour la photo !
Les belges ne sont pas des lents ternes !
Les poèmes du jour un peu sonnets de ... Rotpier : " Marguerite " et "Effeuillage " ! ... "Hécatombe" + "Moralité"
J'avais évoqué, samedi dernier, une autre Marguerite que celle de Richard Cocciente et bien ... la voila !
Aimerez-vous … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
image du net
Marguerite,
Elle avait un prénom charmant,
Un de ceux qui ont le mérite
D’aller à quelqu’un comme un gant :
Joli prénom que Marguerite !
Son sourire était désarmant
Quand un homme même émérite
Dans l’art de se faire galant
Prenait des airs de chattemite !
Eu égard à son gagne-pain,
Bien qu’un tantinet polissonne,
Elle n’appartenait à personne .
Sauf pour exercer son turbin
Elle n’était pas pointilleuse:
Marguerite était effeuilleuse !
.
Image du net un peu bidouillée par le Rotpier !
.
L’art de l’effeuillage,
Nul besoin de chauffer la salle
Pour allumer le populo,
alors que son premier pétale
N’était qu’un tout petit chapeau !
.
L’excitation était totale
A la fin de son numéro
Les hommes perdaient les pédales,
Chauffés par son corps brasero !
C’était la queue devant sa loge
Et il fallait qu’on les déloge
au beau milieu des coups de poing !
Ils auraient donné sans limite
Tout leur fric pour un petit coin
Où effeuiller, seul, Marguerite !
Hécatombe,
Les vieux tombaient comme des mouches
Victimes de lourds infarctus,
Les yeux révulsés et la bouche
Figée dans un dernier rictus !
Et n’étant point sainte nitouche
Elle soutenait mordicus
Qu’il aurait fallu qu’elle touche
Une prime pour chaque gus !
Tous les régimes de retraite
Auraient du lui signer des traites
Pour l’équilibre des bilans !
En exhibant son pédoncule
Elle régulait les croulants
Mieux qu’une bonne canicule !
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.
Moralité des trois sonnets :
Des bataillons de Marguerite
envoyés partout chez les vieux,
voila qui aurait le mérite
de réguler les choses au mieux !
Le paradis avant la lettre,
le nirvana sans avatar,
l’éden avant de disparaître,
le Brama-Loke sans pétard !
… Hormis celui de Marguerite
plus concret qu’une religion,
à toucher dans un dernier rite
avant l’ultime convulsion !
Dans un souci égalitaire
moult bataillons d’effeuilleurs :
hors de question que les mémères
partent sans toucher au bonheur !
Avez-vous aimé … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
A vous de le dire … et pis c’est tout !
Rotpier …( de nez à la morale ! )
Richard Cocciante : "Marguerite" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Richard Cocciante »
« Marguerite »
Je sais, ce n'est pas l'époque
mais je vous l'offre quand même !
J'ai bien connu une Marguerite qui était effeuilleuse
mais ... cela est une toute autre affaire,
je vous la raconterai un jour ... peut-être ?
Marguerite,
Surtout ne m'en voulez pas trop
Si ce soir je rentre chez moi
J'ai tellement de choses faire
Avant que le jour se lève
Et pendant qu'elle dormira
Moi, je lui construirai des rêves
Pour que plus jamais au réveil
Elle ne se lève les yeux en pleurs
Et pour que cette longue nuit
Ne soit plus jamais noire et profonde
Je demanderai la lune
De remplir le ciel tout entier
Et pour que je puisse encore avoir
Le sourire comme avant
Je demanderai au soleil
De bruler comme en plein hiver
Et pour qu'elle puisse encore chanter
Les chansons de notre Bohème
Je construirai un silence
plus grand que ceux des cathédrales
J'irai réveiller les amants
Je parlerai des heures entières
Et je sais qu'ils me suivront
Tant que nous resterons amants
Alors on se promènera
Tous ensemble on dansera
D'incroyables sarabandes
Et elle oubliera sa peine
Et pour que la ville danse
Et pour que la ville chante
On inventera des couleurs
Et elle oubliera ses larmes
Nous irons dans les campagnes
Pour cueillir des fleurs des champs
Et en faire un grand lit blanc
O l'on s'aime tendrement
Et puis nous irons au bord du ciel
Pour lui choisir une toile
Parce que Marguerite est belle
Parce que Marguerite est belle
Parce que Marguerite est frêle
Parce que Marguerite est douce
Parce que Marguerite m'aime
Moi je ne vis que pour elle
Marguerite est ma raison
Mon lendemain mon idéal
Marguerite qui est le vent
Ne sais pas qu'elle peut me faire mal
Parce que Marguerite est celle
Que je veux toujours près de moi
Marguerite est Marguerite
Marguerite est tout pour moi
Marguerite est tout pour moi
Bon partage !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second est tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
Je vous en ai mis deux courts et ce sont les derniers avant les vacances de septembre !
Bon, je suis en retard, mais j'ai une excuse : je viens de rentrer de Versailles ! J'ai un mot d'excuse de mes enfants pour ceux qui ne me croient pas !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C'est une grosse bêtise du Rotpier qui, je vous le rappelle est malin comme un singe ! Si vous avez un peu de mal avec les rébus, vous pouvez toujours tenter de trouver la solution par la bande !
Et pis c'est tout !
Réponse :
En son temps, bien des femmes trouvaient Bonnot beau sans être simiesques pour autant !
Petit jeu de mots avec « Bonnot beau » et « bonobo » ! Je vous avais bien prévenu que j’étais malin comme un singe et qu’il fallait jouer par la bande … en tout bien tout honneur bande de malhonnêtes !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus très court et pas fait pour les petits merdeux !
😂
Bon déchiffrage ! 😄
Réponse :
Ne pourrait-on pas qualifier un jeune trou du cul au comportement tout à fait non naturel d’anus artificiel ?
Qu'il dit l'animal !
La fable du jour : " Drame en Afrique, " ou " Le garde-manger des bantous, " de ... Rotpier !
Image du net
Préambule :
Ceci n’est bien sûr qu’une fable
un truc que l’on raconte à table
entre la poire et le fromage
la manquer serait bien dommage !
Drame en Afrique,
ou
Le garde-manger des bantous,
Vous me croirez peut-être ou pas
d’ailleurs moi aussi j’ai un doute
j’ai des frissons dans la moumoute
quand je ne suis pas sûr de moi.
Je tiens cela d’un vieux sorcier
spécialisé dans les légendes
et les bijoux de contrebande
ce qu’il m’a dit m’a vraiment scié !
Cela parle de Paul Anka
ce chanteur à la voix puissante
charmeur de femmes bien pensantes
les mettant dans tous leurs états !
J’espère que vous suivez bien
mes pensées sont souvent obscures
d’ailleurs je vais faire une cure
c’est nécessaire et ô combien !
Mais revenons-en au sujet
hors de question que je m’égare
comme disait le chef de gare
ou à l’école mon surgé !
.
Donc pour le cas de Paul Anka
lors de vacances en Afrique
un évènement dramatique
lui causa beaucoup de tracas.
Des cannibales très méchants
fait bien ancré dans leur nature
avaient décidé la capture
de trois de ses petits enfants.
Ce n’est pas qu’ils avaient très faim
mais ils avaient cette pratique
d’approvisionner leur boutique
pour ne jamais manquer de rien.
Un petit creux et puis basta
on en colle un dans la marmite
et on prépare quelque frites*
pour se faire un petit Anka !
Si vous pensez que je vous baratine :
En cas de doute adressez-vous
au vieux sorcier j’ai son adresse
vous verrez bien que sous ses fesses
il planque toujours un en-cas !
Le Rotpier
Note de l’auteur afin de prendre un peu de hauteur :
* Il peut-être surprenant d’apprendre que ces cannibales mangeaient aussi des frites, mais c’était un missionnaire belge qui leur avait enseigné la pratique avant que de finir dans la marmite. C’était un Père blanc et non un Père vert. Il s’appelait Jeff Roy-Denledo et venait de l’Abbaye Saint-André de Bruges où il était moine bénédictin. Il avait aussi enseigné aux Bantous ( des Mangbetu du Congo belge, des très méchants ) l’art de fabriquer du chocolat noir. Eux y avaient pris goût et trempaient leurs frites dedans ainsi que les doigts de mains et de pieds de leurs victimes avant d'entamer une agréable partie d’osselets le temps de digérer.
Je tenais à apporter ces précisions afin que cette fable ne paraisse pas trop fantaisiste.
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second est tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image : " - - - " César qu'il dit le centurion !
2ème ligne, 1ère image : la moitié du surnom du volatile ... c'est comme ça mes cocos ! ( l'autre aussi, ce sont des frères jumeaux ! ) 2ème image: le marin est presque en haut du " - - - " comme le disait si bien Alexandre ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, 1ère image : il n'est pas de bon ton de mettre un doigt dans son trou !
5ème ligne, 4ème image : c'est aussi le début de la célèbre phrase de Shakespeare !
6ème ligne, 2ème image : en direct " ti " et il faut y accrocher la 1ère lettre de la dernière image !
7ème ligne, dernière image : quand son nez s'allonge il " - - - - " ! Quand c'est autre chose, on ne sais pas ! ... c'était juste pour bien préciser les choses !
8ème ligne, 2ème image : lieu ou se tiennent des marchés couverts . 3ème image et en direct : "U" ... cocotte !
9ème ligne, 1ère image : le plus petit des Dalton et aussi le plus teigneux ! 2ème image : l'animal fait des " - - - - " ... c'est bon pour vous ?
Dernière ligne, 1ère image : l' " - - - - - " de Vitruve selon le bon Léonard ! ... et n'oublions pas que c'est en sciant que Léonard devint scie ! ... ça vous scie ?
Réponse :
Avec les femmes c’est comme avec les fusées il faut bien cibler la fenêtre de tir afin de commencer l’allumage au bon moment !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C’est un un rébus assez court mais qui pique ! 😂
Après déchiffrage, vous pourrez en parler éventuellement avec votre chien pour peu qu'il soit enclin à la conversation ! 😄
Réponse :
Depuis que j’ai appris que l’éthique transmettait la maladie de Lyme, j’en ai de moins en moins. Je me fous carrément de tout à la grande surprise de mon chien !
Qu'il dit l'animal !
Bernard Lavilliers : « Croisières méditerranéennes » ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Croisières méditerranéennes »
« Bernard Lavilliers »
… Un petit bijou de notre dur au cœur tendre
et parce que le drame est toujours d'actualité …
Croisières méditerranéennes,
Venus des hauts plateaux
Incendiés par la guerre, écrasés de soleil
Les fourmis silencieuses
Fouettées par la poussière, dévorées par le sel
On avait tous un jour
Imaginé la mer et la douceur du vent
Et dans cette nuit noire
On a payé si cher, on coule en dérivant
Croisière méditerranéenne
Sourire carnassier des murènes
Très loin des sirènes italiennes
Tu atteindras ces rives sombres
Très près des côtes siciliennes
Les vierges noires comme une traîne
Imaginer la mer
Qu'on a payé si cher
Imaginer la mer
On est venu de loin
Plus loin que tes repères à des millions de pas
On est venu à pied
Du fond de la misère, on nous arrête pas
Retourne à la maison
Et si y'en avait une, je ne serai pas là
Et la mer engloutit, dans un rouleau d'écume, mon chant et puis ma voix
Croisière méditerranéenne
Sourire carnassier de nous mêmes
Très loin des sirènes italiennes
Tu atteindras ces rives sombres
Très près des côtes siciliennes
Les vierges noires comme une traîne
Imaginer la mer
Qu'on a payé si cher
Imaginer la mer
Imaginer la mer
Nous dormons dans des villes
Ombre parmi les ombres, les longs couteaux tirés
À deux doigts de l’Europe
On a rêvé si fort, on commence à douter
Il est resté debout, devant les barbelés
Sous le ciel minéral
Tu commences à ramper
En dessous du silence, et dans l'oubli total
Croisière méditerranéenne
Sourire carnassier de nous mêmes
Très loin des sirènes italiennes
Tu atteindras ces rives sombres
Très près des côtes siciliennes
Les vierges noires comme une traîne
Imaginer la mer
Qu'on a payé si cher
Imaginer la mer
Bon partage !
Rotpier