Il est sain de solliciter les seins ... si ! Rien que pour s'abreuver ... des petites (ou les grosses !) conneries du jour de Rotpier !
Il est sain de solliciter les seins ... si ! Rien (Tiens ! Que viennent-ils faire ici ceux là ? C’est peut-être un cas d’école ?) que pour s'abreuver ... des petites (ou des grosses !) conneries du jour du … Rotpier qui n'est pas un saint !
Et pis c’est tout !
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri, même en province.
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)
Image du net
J’ai souvent été mort de rire
et pourtant je suis encore là !
Rotpier
Image du net trafiquée par le Rotpier!
Petite fantaisie mammaire sans ma mère ni Mamère
qui n’est pas de Mamers … pas plus que ma sœur d’ailleurs !
Ah ! Les gaillards !
Roploplos pour certains
Ou nénés pour les autres,
Biberons pour gamins
Et comment vont les vôtres ?
Reluquons ces païens
Taisez-vous les apôtres !
Seins sans censure c’est sain
et … pas de patenôtres !
Le Rotpier
Le conseil du jour :
L’abc, pour une prof de français qui a des roberts de poche, c’est de ne pas porter un soutien-gorge trop grand : un 100 C serait déraisonnable !
Et pis c'est tout sur les lolos mes loulous !
Contre Benoît XVI, un zizi prend position et c’est une position très ferme ! Une fable de … Rotpier
Préambule de Pierre et de Rotpier:
Je suis beaucoup plus réservé que mon ami le zizi, mais je partage entièrement son avis.
Pierre
Moi, je partage tout avec le zizi ! C’est mon pote et je le soutiens à fond !
Et pis c’est tout ! Non mais !
Rotpier
Image prise sur le net : merci Hector !
Fable.
Les trois petites capotes qui papotent,
le zizi qui réfléchit
et le pape qui radote,
Trois petites capotes,
en pull à col roulé,
tranquillement papotent
avant d’aller danser !
Ayant lu leur notice,
la possédant à fond,
chacune avec malice
veut défendre son fonds !
« - Moi, je suis à la fraise
plus un poil de citron,
un produit de synthèse
qui stimule au rebond !
- Je suis à la vanille
et elles aiment ça !
Faut entendre les filles
glousser - Oh ! La la la ! - .
- Eh bien moi, les frangines,
je suis au chocolat !
De marque « Adrénaline » :
un coup de Séguéla ! »
Puis vient les anecdotes
- du chaud, du croustillant ! -
véritable antidote
pour moral vacillant !
Mais là, je fais l’impasse,
je ne peux pas ici,
dans cette œuvre de classe
devenir trop précis !
Je perdrais tout prestige,
je serais censuré :
ça donne le vertige
les frasques de curé !
Et puis … je n’en ai pas le temps car …
Car un zizi arrive,
la casquette à l’envers,
moral à la dérive
et l’œil tout de travers !
Le connaissant très bien, elles se précipitent !
« - Popol ! Tu es malade ?
Tu sembles déprimé !
Tu sors d’une embuscade ?
Tu es tout chiffonné !
- Si vous saviez les filles
ce que j’ai entendu,
pas de la peccadille :
un truc vraiment tordu !
Il faut que je vous dise,
ça me scie les nougats,
une telle bêtise
ne s’imagine pas !
En voyage en Afrique,
le mec du Vatican,
têtu comme bourrique
a repris son slogan !
Vous seriez responsables
en partie du SIDA !
Donc pas indispensables :
c’est sûr, il est fada !
Ou bien encore pire :
totalement conscient !
Ce serait du délire
et vraiment terrifiant !
Le retour des croisades,
nouvelle inquisition,
remettre une rasade
de bûchers, de question !
Règne de la calotte
tout comme au vieux bon temps !
Mes copines capotes,
ça sent pas le printemps !
Avec les intégristes
rejoignant le bercail,
je suis bien pessimiste
en gros et en détail !
Dans sa Papamobile,
l’ancien scout nazi
deviendrait-il sénile ?
Pour sûr ! Foi de zizi !
De là-haut l’abée Pierre
doit lever son bâton,
lui tailler des croupières
devant le grand patron !
Quant à sœur Emmanuelle,
qui a failli fauter,
je pense que pour elle
il faut ce pape ôter
Alors …
Si par hasard t’existe,
je te le dis - bon dieu ! -
fait-lui quitter la piste :
il devient dangereux ! »
Moralité :
Il ne sera pas dit
qu’un tout simple zizi
ne puisse pas ici
donner son humble avis !
Au début tout petit,
il peut très bien grandir,
- je parle, par l’esprit ! -
n’allez pas alourdir !
Rotpier
Déjà publié !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Cerbère : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Aujourd’hui :
Image du net
Cerbère
Ce monstre dont la mythologie en faisait le gardien des Enfers aux pieds est le fils de Typhon, dit aussi « la Tornade » et d’ Echidna et l’on raconte que Typhon s’était tellement échiné sur Echidna que c’est un monstre qui naquit de ce sauvage coït. Chabal était son frère.
Un autre frère de Cerbère, Léonard, devint chanteur … juste pour le plaisir.
C'était un chien à trois, cinquante ou cent têtes, selon les auteurs et quand il avait la migraine il lui fallait énormément d’aspirine ma cousine !
Il est représenté avec une queue de dragon des têtes de serpent sur l'échine et la tête de Besson sur le croupion.
Il était enchaîné à l'entrée des Enfers et terrorisait les morts eux mêmes qui devaient l'apaiser en lui apportant le gâteau de miel qu'on avait placé dans leur tombe en même temps que l'obole, le Discobole et l’assiette pour Charon déposée dans la bouche de met trop pas risien mais presque.
Mais Cerbère était aussi terrible pour les vivants qui essayaient de forcer la porte des Enfers comme Pirithoos sanctos amen et Thésée vous, qui cherchaient à enlever Perséphone de chez Orange pour l'emmener chez SFR.
Orphée le calma en lui jouant de la lyre jusqu’au délire. Psyché, qui n’était pas de glace, était venue chercher la boite à cosmétique de Perséphone sur l'ordre d'Aphrodite, et l'endormit avec un gâteau trempé dans du vin drogué fourni par Delarue.
Enée, le divin enfant, fit de même avec un gâteau soporifique préparé par la Sibylle qui ne se faisait jamais de bile.
Héraclès, le frère de Ricqlès seul, réussit à le dompter sans armes ni artifice comme le lui avait demandé Hadès et le ramener à Mycènes dans l’Yonne pour le montrer à Eurysthée. Comme d'habitude celui-ci ne brilla pas par son courage et exigea qu'Héraclès ramène immédiatement le monstre aux Enfers, d’une poigne d’acier.
A sa demande le monstre fut donc ramené aux Enfers mais sa bave répandue sur le sol donna naissance à l'aconit qui est une plante toxique dont le suc servait à empoisonner les pointes des flèches, des lances et aussi l’atmosphère de la rue de Solferino, d’où le grand bordel au PS.
Voici, voilà, ce que vous deviez absolument savoir sur Cerbère pour ne pas passer pour de sombres crétins lors d’une réunion entre amis !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Le Rotpier n'a jamais fait si court et c'est un contrepet
de sa facture ! Mais ... il ne vous fera rien banquer !
A vous de trouver le rébus et ... le contrepet !
1ère ligne, 2ème image: son nez s'allonge quand il " - - - - " ! ... 3ème image: le mec n'est pas laid ! ( il n'a pas le nez pâle non plus! )
2ème ligne : le mec est bourré de pognon, il est donc très " - - - - - " !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Le mambo des riches
Ça, c’est juste la signature !
Serge Lama : " Les ballons rouges " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Quand j'étais gosse dans mon quartier
Dans ces provinces où rien ne bouge
Tous mes ballons étaient crevés
Je n'ai pas eu de vrai vacances
Seul, face à face avec la mer
Quand le cœur rythme la cadence
Des mouettes qui nagent dans l'air
{Refrain:}
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
J'ai rien donné, j'ai rien reçu
Je n'ai jamais joué aux billes
Quand j'étais gosse dans mon quartier
J'étais cloué dans ma famille
Comme un martyr à son bûcher
Je n'ai pas eu de promenade
Seul, face à face avec le vent
Je lisais le Marquis de Sade
Et j'aimais déjà les divans
{au Refrain}
Les fées n'étaient pas du voyage
Quand j'étais gosse dans mon quartier
Elles vivaient de leurs avantages
Elles étaient toutes syndiquées
Je n'ai pas vu dans les étoiles
Le carrosse de Cendrillon
La mienne avait une robe sale
Mais elle n'avait pas de chaussons
{au Refrain}
Pourtant j'avais déjà la chance
Quand j'étais gosse dans mon quartier
De ne pas attacher d'importance
A ce que les autres pensaient
Et je n'ai pas vu dans l'Histoire
Quelque guerrier ou quelque roi
Assoiffé de règne ou de gloire
Qui soit plus orgueilleux que moi
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu ...
Bon partage !
Rotpier
Puce ou Pupuce : voila de jolis petits surnoms ... enfin, c'est ma position ! Le poème du jour " Prise de position " de ... Rotpier !
Prise de position,
Quand je l’appelais « Ma Pupuce »
ell’ commençait à se gratter
et c’était pour rien ne cacher
… du coté du mont de vénus !
Il faut bien dire à sa décharge
qu'en ces temps-là j’étais cabot
et qu’à défaut d’être très beau
je menais rondement les charges !
Elle n’aimait pas être nue,
conservant toujours son collier
elle se roulait à mes pieds
sans la moindre des retenues !
Etant sensible à sa détresse
je cédais à tous ses plaisirs,
me pliant à tous ses désirs :
en la cramponnant par les tresses !
Ne pas répondre à ses invites
aurait été plus qu’un affront,
je sens déjà rougir mon front
si je n’avais pas donné suite !
Sur le lit ou sur la moquette
et dans le plus simple appareil,
ça finissait toujours pareil :
pour ne rien cacher en levrette !
Ne jouez pas les hypocrites
car vous aviez bien deviné,
on va voir pousser votre nez
si vous n’acquissez pas de suite !
Ne poussez pas des cris d’orfraie,
n’allez pas condamner ce jeu
datant de la guerre du feu
et de très courante monnaie !
Il n’est même pas impossible
que vous-même soyez issus
de ce petit jeu impromptu
et pas du tout répréhensible !
Je vois de là votre bobine !
N’allez pas garder une dent
pour ce fait contre vos parents,
dent qui serait une canine !
La position du missionnaire
c’est gentil mais un peu lassant :
en amour il faut du piment :
savoir sortir de l’ordinaire !
Aucune atteinte à la morale
ça je vous le dis sans détour,
il suffit de faire le tour,
tant pis pour les coincés qui râlent !
Quand je l’appelais « Ma pupuce »
elle commençait à se gratter
et c’était pour rien ne cacher
… du coté du mont de vénus !
Rotpier
14-18, la der des ders . " le Jugement guerrier " : un poème de ... Pierre
Le jugement guerrier,
Ils étaient partis à la guerre
une fleur au bout du fusil,
la der des ders - sûr, la dernière ! -
après ça ce serait fini.
Ils ont creusé profond la terre
tel les autres en face aussi,
pas question de se laisser faire :
c’était parti pour le gâchis !
Dégoûtés par le grand carnage,
certains ont dit « On n’y va plus ! »
arc-boutés et bien résolus.
Jugés pour manque de courage,
ils ont fini au champ d’horreur
une fleur à l’endroit du cœur.
Pierre Dupuis
Image du net
Tour à tour cabots puis chiens enragés et ... pas moyen de les vacciner ! La fable du jour : « Le lévrier et le corniaud, » de … Rotpier
Puisque qu' " ils " ont remis ça
( au grand jour, car ils n'ont jamais cessé dans l'ombre ! ) :
... vous en reprendrez bien une petite tournée !
Avertissement :
Toute ressemblance ou tout amalgame pouvant être fait avec des personnages existants ou ayant existés, ne peut être que le fruit de l’imagination débordante du lecteur.
Je décline, en conséquence, toute responsabilité.
Rotpier
Images du net légèrement modifiées par Rotpier
Fable écrite en l’an 200 après J.C.
… celui de Corrèze s’entend !
Le lévrier et le corniaud,
Dans des temps reculés, sur notre bonne terre,
deux bêtes s’affrontaient pour avoir le pouvoir,
aucune concession, une implacable guerre
où les coups très vicieux tombaient comme pleuvoir !
L’une tout en hauteur et avec l’élégance
et le maintien inné du lévrier afghan,
l’autre plutôt minus, branché haute fréquence,
un corniaud agité tout aussi intrigant !
Chacun avait sa cour avec ses lèches bottes,
ses inconditionnels et ses traîtres aussi,
ceux-là comptait les points quand l’un plaçait sa botte,
passant dans l’autre camp sur un coup réussi !
Bien trop accaparés par la lutte intestine,
ils géraient le pays entre deux coups fumants,
utilisant l’appui de louches officines
que le peuple payait ma foi très grassement !
Au jeu du plus hargneux - et pas dans la dentelle ! -
le corniaud excellait quand il fallait toucher :
suite à un coup fourré, il déclare et martèle :
« Il finira pour sûr sur un croc de boucher ! »
Il me faut préciser, pour mesurer la haine,
que le grand lévrier avait fait au corniaud
un coup des plus tordus - entourloupe certaine ! - :
histoire de gros sous et paradis fiscaux !
Une liste de noms, sur parchemin écrite,
où figurait celui du sur vitaminé
se mit à circuler de façon hypocrite
et rendit fou furieux l’animal mâtiné !
Il n’était pas certain que l’autre fût coupable,
mais qu’importe après tout dès qu’il tenait un os,
le roquet se montrait tout à fait incapable
de le lâcher un peu, plus têtu qu’un blockhaus !
Le roi de cette époque était en fin de règne,
soutenant l’élégant, enfonçant l’agité,
du moins il essayait car la petite teigne
réagissait avec rare animosité !
Il finit par gagner et occuper le trône
et décida alors de raccourcir le grand
dont l’ombre le gênait partout sur l’hexagone :
pas de place pour deux, c’était constat flagrant !
Un procès s’en suivit mais l’absence de preuves
fit que la vérité ne sortit pas du puits.
Quelques uns la savaient, la gardant pour manœuvre
aux fins de monnayer bon poste ou bon appui !
Moralité première :
Depuis la nuit des temps la politique s'est faite
dans les salons obscurs des différents partis,
un couteau à la main - pas moyen d’être honnête ! -
celui qui y déroge est déjà moitié cuit !
Moralité seconde :
Pour réussir en politique
il ne faut pas prendre de gants,
au besoin s’asseoir sur l’éthique
et être le plus intrigant !
Et façon systématique
couper la route aux plus ardents,
tirer à fond sur l’élastique
quitte à la prendre dans les dents !
Moralité étendue :
C’est le même combat pour toute pyramide,
groupement, entreprise et même au Vatican,
cardinaux en conclave aux discours peu limpides :
transactions et magouille au sein de chaque camp !
Tous les coups sont permis, même les plus sordides,
des plans sont mis au point, parfois très conséquents :
buter, éliminer, il faut faire le vide
il n’y a tout en haut qu’un seul fauteuil vacant !
Rotpier
Atlas : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Aujourd’hui : Atlas
Image du net.
Il convient de remarquer la musculature d'Atlas
qui peut presque se comparer à celle du Rotpier !
Atlas
Le Géant Atlas était le fils soit de Japet ( qui était un vrai chien ! ) et la Nymphe Clyméné ( celle qui avait inventé la climatisation avec le divin enfant ) soit du Titan Eurymédon de Medon. Ses frères étaient Epiméthée Zihunbourepif, Prométhée (n’importe quoi ) et Ménoetios à moelle et bien sûr Chabal.
Atlas était le père des Hyades et des Hespérides et l'arrière grand-père de la désespérante Ségolène du Poitou, mais pas du tout le directeur des éditions portant son nom ... non, non, non ! ( comme dit Michel Jonasz )
Le Géant Atlas, l'aîné des frères, connaissait bien les profondeurs de la mer ( de la mère Michel aussi vu qu'il la sondait assez souvent ) il gouvernait un royaume bordé par une côte escarpée, en escarpins, et très vaste.
Ce territoire, l'Atlantide nord, se trouvait au-delà des Colonnes d'Hercule et de celles de Buren et un chapelet d'îles, où poussaient des arbres fruitiers et des grenouilles de bénitier, le séparait d'un continent plus éloigné, non relié au nôtre.
Colonnes d'Hercule Colonnes de Buren
Les sujets d'Atlas firent des canaux et cultivèrent une immense plaine centrale dont l'eau provenait des montagnes qui l'entouraient entièrement, excepté une ouverture sur la mer. Ils construisirent aussi des palais, des bains, des hippodromes, des ports et des temples, mais pas de mosquée ni de minaret et pas non plus de projet qui tienne debout pour les socialistes.
Ils faisaient la guerre non seulement sur l'autre continent à l'ouest, mais aussi à l'est, en Égypte et en Italie, tout comme les Américains dès lors qu’il y a du pétrole ou du fric à pomper !
Les Egyptiens disent qu'Atlas était le fils de Poséidon qui avait donné naissance, par Clito Rix ( la sœur d’Obélix qui en avait un beau qui plaisait beaucoup à Poséidon : la preuve en est donnée par la suite ! ), cinq fois de suite, à des jumeaux. Ceux-ci avaient prêté serment de fidélité à leur frère sur le sang d'un taureau sacrifié au sommet d'une colonne située près des abattoirs de la Villette et au début c'étaient des hommes extrêmement vertueux, portant avec sérénité le fardeau de leurs immenses richesses en or et en argent, tout à fait l'inverse du Rotpier qui n'est pas du tout vertueux mais qui ne les a pas en or comme Midas après se les être grattées ( vous suivez ou il faut que je donne des explications ? )
Mais un jour la cupidité et la méchanceté envahirent leur cœur et, avec la permission de Zeus, les Athéniens seuls et sans aide les vainquirent et abattirent leur puissance. Au même moment les dieux envoyèrent un déluge, qui, en un jour et une nuit, engloutit l'Atlantide tout entière; les ports et les temples furent recouverts d'une boue épaisse et il devint impossible de naviguer sur la mer, tout comme en Charente Maritime il y a quelque temps.
Atlas et Ménoetios se joignirent à Cronos ( celui des 24 H ) et aux Titans dans la guerre funeste que leur livrèrent Zeus et les dieux de l'Olympe. Zeus tua Ménoetios d'un trait de sa foudre et l'envoya dans le Tartare avec des fines herbes, mais il épargna Atlas qu'il condamna à porter la voûte céleste sur ses épaules pour toute l'éternité.
Il l'a, depuis lors, toujours portée, sauf en une circonstance, lorsque Héraclès le remplaça temporairement lors de la récolte des pommes d’or et aussi des pièces jaunes avec Bernadette ( pas la nôtre, mais celle de Chirac ) avec le David qui n'est pas si douillet que ça !
On parle d’ailleurs de David Douillet pour remplacer Atlas et porter le monde, ce qui rend fou jaloux le Nicolas qui, lui, ne peut porter q’une petite balle de tennis !
Certains disent que Persée ( peau lisse : elle passait des bains dans du lait de chamelle avant de se parfumer au Chamel N° 5 ) changea Atlas en pierre ( pas en Rotpier !) et en fit le mont Atlas en lui montrant la tête de la Gorgone Zola qui avait un jules qui s’appelait Emile Lieusouslémer et qui était grand copain avec Verne, vu qu’ils avaient fait ensemble le tour du monde en ballon en 80 jours chrono avec Cronos.
J’espère que vous suivez bien et rien n’est flou pour vous !
Sinon, faites un tour chez Afflelou mes loulous ! Et pis c’est tout !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !